Hostun

Hostun est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Pour l’article homonyme, voir Maison d'Hostun, qui désigne la famille ayant tenu la localité à fief pendant plusieurs siècles.

Hostun

Avenue des Marronniers.

Blason
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Valence
Intercommunalité Valence Romans Agglo
Maire
Mandat
Bruno Vitte
2020-2026
Code postal 26730
Code commune 26149
Démographie
Gentilé Hostunois, Hostunoises
Population
municipale
992 hab. (2018 )
Densité 54 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 02′ 25″ nord, 5° 11′ 55″ est
Altitude Min. 196 m
Max. 1 133 m
Superficie 18,24 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Vercors-Monts du Matin
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Hostun
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Hostun
Géolocalisation sur la carte : France
Hostun
Géolocalisation sur la carte : France
Hostun
Liens
Site web hostun.fr

    Géographie

    Localisation

    Hostun est situé à 15 km à l'est de Romans-sur-Isère.

    Urbanisme

    Typologie

    Hostun est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. La commune est en outre hors attraction des villes[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,7 %), terres arables (33,6 %), zones agricoles hétérogènes (16,9 %), cultures permanentes (4,4 %), mines, décharges et chantiers (3,1 %), prairies (2,7 %), zones urbanisées (1,7 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Toponymie

    Attestations

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[8] :

    • XIe siècle : mention de l'église Saint-Martin : Sanctus Martynus ecclesia Ostum (cartulaire de Romans, 226).
    • 1170 : Osteon (cartulaire des hospitaliers, 6).
    • 1178 : Osteu (cartulaire de Léoncel, 27).
    • 1195 : Ostiun (cartulaire de Léoncel, 58).
    • 1202 : Ostaeu (cartulaire des hospitaliers, 51).
    • 1207 : Ostehum (cartulaire des hospitaliers, 62).
    • 1214 : Austeun (cartulaire des hospitaliers, 46).
    • 1215 : Oustau (cartulaire des hospitaliers, 77).
    • 1232 : Hostium (cartulaire de Léoncel, 111).
    • 1238 : mention du château : castrum Augustidini (Gall. christ., XVI, 114).
    • 1240 : mention du château : castrum de Hosteun (cartulaire de Romans, 370).
    • 1249 : mention du prieuré Saint-Martin : prioratus Sancti Martini d'Austeu (cartulaire de Léoncel, 162).
    • 1263 : de Octuduno (cartulaire de Léoncel, 212).
    • 1266 : mention du château : castrum d'Auteu (cartulaire de Léoncel, 225).
    • 1293 : Outuon (inventaire des dauphins, 1708).
    • 1293 : mention de l'église Saint-Martin : ecclesia Sancti Martini de Æstuno (cartulaire de Saint-Robert, 12).
    • 1294 : Housteunum et Houstadunum (inventaire des dauphins, 1707 et 1709).
    • 1300 : mention du château : castrum de Hosteduno (inventaire des dauphins, 1709).
    • 1300 : mention du prieuré Saint-Martin : prioratus Sancti Martini Hostunduno (cartulaire de Saint-Robert, 19).
    • 1327 : mention du château : castrum Austheduni (inventaire des dauphins, 42).
    • 1334 : Ostedunum (inventaire des dauphins, 232).
    • 1334 : mention du château : castrum Ostoduni (inventaire des dauphins, 48).
    • 1359 : Hostendunum (cartulaire de Romans, pièces just., 19).
    • XIVe siècle : mention du prieuré Saint-Martin : prioratus Sancti Martini de Hostuduno (pouillé de Valence).
    • XVe siècle : mention du prieuré : prioratus Hosteduni (pouillé de Valence).
    • XVe siècle : mention du château : Ostuns (terrier de Parnans).
    • 1430 : Otun (doc. inédits, 359).
    • 1515 et 1540 : mention de la paroisse : cura Hosteduni (rôle de décimes).
    • 1584 : Aultun (mémoires d'Eustache Piémond, 193).
    • 1630 : Autung (archives de la Drôme, E 793).
    • 1666 : Autun (archives de la Drôme, E 2428).
    • 1891 : Hostun, commune du canton de Bourg-de-Péage, dont le chef-lieu est au village de Saint-Martin-d'Hostun.

    Étymologie

    Le toponyme est vraisemblablement issu du gallo-latin Augustus et -dunum[réf. nécessaire].

    • Cf. Augustodunum (Autun, dans le Morvan), cité fondée durant le règne d'Auguste (son nom signifie « la forteresse d'Auguste » (voir article dun).

    Histoire

    Antiquité : les Gallo-romains

    L'étymologie August- et -dunum laisse supposer une implantation gallo-romaine[réf. nécessaire].

    Du Moyen Âge à la Révolution

    La seigneurie[8] :

    • Au point de vue féodal, Hostun était une terre du fief des dauphins.
    • La plus grande partie appartient dès le XIIIe siècle à une famille de son nom.
    • Les Hostun acquièrent le reste des Chevanas, des Guélin de Rochechinard et d'autres co-seigneurs.
    • 1615 : les biens de la branche ainée des Hostun passent (par mariage) aux Lionne.
    • 1713 : Hostun est vendu au maréchal de Tallart. Ce dernier avait déjà obtenu, en 1712, l'érection en duché (sous le nom d'Hostun) des terres de la Baume-d'Hostun, la Motte-Fanjas, Oriol-en-Royans, Saint-Jean-en-Royans, Saint-Just-de-Claix, Saint-Martin-le-Colonel, Saint-Nazaire-en-Royans et Saint-Thomas en duché, sous le nom d'Hostun. Il y fit donc entrer la terre d'Hostun, ainsi que celle d'Eymeux.
    • 1715 : le maréchal obtient l'élévation du duché en duché-pairie
    • 1755 : faute d'héritier mâle, le duché d'Hostun passe (par héritage) aux Sassenage.
    • Il passe (par mariage) aux Bruck, aux Talarn et aux Bérenger, peu de temps avant la Révolution.

    1789 (démographie) : 134 chefs de familles[8].

    Avant 1790, Hostun était une communauté de l'élection et subdélégation de Romans et du ressort de la justice du duché-pairie d'Hostun dont le siège était à Saint-Marcellin.
    Elle formait une paroisse du diocèse de Valence dont l'église, dédiée à saint Martin, était celle d'un prieuré de l'ordre de Saint-Benoît connu dès 1248 et placé en 1293 dans la dépendance du prieuré Saint-Robert-de-Cornillon, près de Grenoble. Le titulaire de ce prieuré était collateur et décimateur dans la paroisse d'Hostun[8].

    De la Révolution à nos jours

    En 1790, Hostun devient le chef-lieu d'un canton du district de Romans comprenant les municipalités de Hostun, Beauregard, Crispalot, la Baume-d'Hostun et Saint-Nazaire-en-Royans. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait une simple commune du canton de Bourg-de-Péage, formant (en 1891) deux paroisses dites de Saint-Martin et de Saint-Maurice[8].

    Le vieux village d'Hostun était situé en hauteur. Au cours des XVIIIe et XIXe siècles, l'habitat commence à descendre et à s'établir dans la plaine, au lieu-dit Saint-Maurice.
    En 1839, le curé proposa le déménagement de la paroisse, d'autant que la vieille église était en piteux état. Cela provoqua la révolte des habitants du haut village, conduits par un bourgeois voltairien, ce qui bloqua le conseil municipal pendant dix ans.
    En 1847, le prêtre fut chassé de son presbytère.
    La révolution de février 1848 permit la nomination d'un nouveau prêtre et le début des travaux. Le parti haut incendia le chantier, puis se détermina à passer au calvinisme. Une maîtresse d'école protestante fut nommée.
    Pour éviter de tout perdre, l'évêque créa deux paroisses.
    Finalement, en 1864, un débat public permit la résolution du conflit[9].

    Politique et administration

    La mairie.

    Liste des maires

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    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1871    ?    
    1874    ?    
    1878    ?    
    1884    ?    
    1888    ?    
    1892    ?    
    1896    ?    
    1900    ?    
    1904 1908 Pierre Clave    
    1908 1912 Pierre Clave   maire sortant
    1912 1919 Pierre Clave   maire sortant
    1919 1925 Pierre Clave   maire sortant
    1925 1929 Pierre Clave   maire sortant
    1929 1935 Pierre Clave   maire sortant
    1935 1945 Pierre Clave   maire sortant
    1945 1947 Pierre Clave   maire sortant
    1947 1953 Pierre Clave   maire sortant
    1953    ?    
    1959    ?    
    1965    ?    
    1971    ?    
    1977    ?    
    1983    ?    
    1989    ?    
    1995    ?    
    2001 2008 Edmond Gélibert DVG président de la communauté de communes du canton de Bourg-de-Péage
    2008 2014 Edmond Gélibert   maire sortant
    2014 2020 Bruno Vitte   cadre supérieur
    2020 En cours
    (au 21 janvier 2021)
    Bruno Vitte[10][source insuffisante]   maire sortant

    Politique environnementale

    La commune dispose d'une déchèterie[11].

    Population et société

    Démographie

    En 2018 , la commune d’Hostun comptait 992 habitants.

    Au XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Les autres chiffres sont des estimations[réf. nécessaire].

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7048407927701 0449749631 0061 055
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    978898887887872831831824804
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    831797768648622646619684704
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    721705667664653758844951975
    2018 - - - - - - - -
    992--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[12] puis Insee à partir de 2006[13].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête communale : dimanche de la mi-Carême[14].
      • Les Hostunois organisent plusieurs jours de festivité dont un corso de chars décorés avec des fleurs de papier. Autrefois les conscrits fabriquaient leur char et défilaient sur l'avenue des Marronniers[réf. nécessaire].
      • La commune est composée de deux hameaux qui ont chacun un président. Ces derniers distribuent les spécialités régionales à la mi-Carême[réf. nécessaire].
    • Fête patronale : 22 septembre[14].

    Loisirs

    • Parc d'animation Le Monde merveilleux des lutins[réf. nécessaire].

    Économie

    Agriculture

    En 1992 : céréales, vergers, bovins, caprins[14].

    • La noix de Grenoble (Appellation d'Origine Contrôlée)[réf. nécessaire].
    • Aviculture[réf. nécessaire].
    • Coopérative agricole[14].
    • Produits locaux : les bugnes et le foujou (fromage à tartiner à base de tomme de chèvre)[réf. nécessaire].

    Industrie

    • Carrières de kaolin[14] et de sable exploitées par une seule entreprise, la Sibelco, d'origine belge et exploitant de nombreuses carrières dans le monde. Elle emploie une trentaine de personnes sur le site d'Hostun, quartier Les Merles[réf. nécessaire].

    Tourisme

    Le tourisme est une activité en plein essor sur la commune, l'hébergement rural sous forme de gîtes ou de chambres d'hôtes offrant une centaine de lits sur la commune[réf. nécessaire].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Saint-Martin-d'Hostun église du XIe siècle.
    • Le Mottet : Motte castrale, emplacement du château médiéval d'Hostun rasé[réf. nécessaire].
    • Château féodal Saint-Martin : remanié[14].
    • Château de la croix avec mâchicoulis du XVe siècle[réf. nécessaire].
    • Maisons anciennes à Saint-Martin[14].
    • Vierge du Mottet[réf. nécessaire].
    • Crèche populaire sous verre (objet classé)[14].
    • Église du XIXe siècle à Saint-Maurice[14].

    Patrimoine culturel

    • Orchestre d'harmonie des « Enfants d'Hostun »[réf. nécessaire].

    Citations littéraires

    Des membres de la Maison d'Hostun sont cités dans des œuvres littéraires :

    • Dans le roman de Guy Allard, Un tournoi à Romans en 1484 (1673), deux membres de la maison d'Hostun figurent parmi les participants au tournoi, notamment Charles d'Hostun dont on apprend qu'il se rendit à Rochechinard pour rencontrer Djem, rival malheureux de son frère Bajazet II dans la succession de leur père, le sultan ottoman Mehmed II.
    • Catherine de Bonne, épouse de Roger d'Hostun, marquis de la Baume-d'Hostun, est citée dans la correspondance de Madame de Sévigné et les Mémoires de Roger de Bussy-Rabutin.
    • Dans sa correspondance, madame de Sévigné accorda une place de choix à Roger de Bussy-Rabutin, son cousin. Cependant, dès 1668, le ton de l'échange se tend à cause du portrait désagréable que Bussy fit de sa cousine dans son Histoire amoureuse des Gaules. Cependant, il avait de l'estime pour sa cousine et aurait préféré qu'elle ne lise pas ce texte qui était alors à l'état de manuscrit. Dans ses Mémoires, Bussy expliquera qu'il eut l'imprudence de laisser ce manuscrit à madame de la Baume, en 1662, alors qu'il lui rendait visite au couvent de la Miséricorde, à Lyon, où son mari la tenait enfermée afin de mettre un terme à ses écarts de conduite. Bussy céda à sa demande et lui laissa lire le manuscrit. Contrairement à sa promesse, madame de la Baume le recopia et plusieurs exemplaires du manuscrit finirent ainsi par circuler. L'un atterrit entre les mains de madame de Sévigné qui, dans sa lettre du , raconte l'événement : Il y eut des gens qui me dirent en ce temps-là : « J'ai vu votre portrait entre les mains de Madame de la Baume, je l'ai vu ». Je ne réponds que par un sourire dédaigneux, ayant pitié de ceux qui s'amusaient à croire à leurs yeux. « Je l'ai vu », me dit-on encore au bout de huit jours, et moi de sourire encore. [...] Et je demeurai cinq ou six mois de cette sorte, faisant pitié à ceux dont je m'étais moquée. Enfin le jour malheureux arriva où je vis moi-même, et de mes propres yeux bigarrés, ce que je n'avais pas voulu croire. Si les cornes me fussent venues sur la tête, j'aurais été moins étonnée.

    Patrimoine naturel

    • Vue étendue sur un paysage vallonné[14].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique, logotype et devise

    Blason
    De gueules à la croix engrêlée d'or[15].
    Détails
    Armoiries de la maison d'Hostun, ayant tenu la localité à fief pendant plusieurs siècles.

    Adopté par la municipalité.

    Annexes

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 177.
    9. Peter M. Jones, Quelques formes élémentaires de la vie religieuse dans la France rurale (fin XVIIIe et XIXe siècles, Annales, Économies, Sociétés, Civilisations. Volume 42, no 1, 1987, p. 97-99.
    10. http://www.mairesdeladrome.fr/annuaire/
    11. https://www.valenceromansagglo.fr/fr/au-quotidien/dechets/les-decheteries/hostun-l-ecanciere.html
    12. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    13. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    14. Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Hostun.
    15. « Hostun (Drôme) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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