Saint-Paul-lès-Romans

Saint-Paul-lès-Romans [sɛ̃ pɔl lɛ ʁɔmɑ̃] est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Paul.

Saint-Paul-lès-Romans

La mairie.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Valence
Intercommunalité Valence Romans Agglo
Maire
Mandat
Gérard Lunel
2020-2026
Code postal 26750
Code commune 26323
Démographie
Population
municipale
1 827 hab. (2018 )
Densité 116 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 04′ 06″ nord, 5° 08′ 01″ est
Altitude Min. 140 m
Max. 200 m
Superficie 15,77 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Romans-sur-Isère
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Romans-sur-Isère
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Saint-Paul-lès-Romans
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Saint-Paul-lès-Romans
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Paul-lès-Romans
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Paul-lès-Romans
Liens
Site web https://www.saint-paul-les-romans.fr/

    Ses habitants sont dénommés les Saint-Paulois et Saint-Pauloises.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Saint-Paul-lès-Romans est limitrophe de la ville de Romans-sur-Isère. Elle se trouve à environ 26 kilomètres au nord-est de Valence.

    Hydrographie

    La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par le réseau de bus Citéa.

    Le petit aérodrome de Saint-Paul-lès-Romans est situé au nord-ouest de la commune[1].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Paul-lès-Romans est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].

    La commune fait partie de l'aire d'attraction de Romans-sur-Isère dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69 %), zones agricoles hétérogènes (14,2 %), zones urbanisées (5,3 %), forêts (4,4 %), eaux continentales[Note 3] (4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,1 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Quartiers, hameaux et lieux-dits

    Site Géoportail (carte IGN)[1] :

    • Aérodrome de Saint-Paul-lès-Romans
    • Bellevue
    • Bonnardel
    • Buissières
    • Champ Long
    • Chapolay
    • Coteau
    • Génériats
    • Grange Neuve
    • la Commanderie
    • la Gébelinière
    • la Mure
    • la Verdière
    • le Bois
    • le Château
    • le Cognet
    • le Four à Chaux
    • le Port d'Ouvey
    • les Aumônes
    • les Balmas
    • les Blaches
    • les Chaussas
    • les Chirouses
    • les Donnets
    • le Sée
    • les Essarts
    • les Gonthiers
    • les Gourrey
    • les Grands Bois
    • les Grands Mas
    • les Linguènes
    • les Marrots
    • les Mingauds
    • les Petits Mas
    • les Ores
    • les Routes
    • les Taillis
    • les Veugnards
    • Maniscey
    • Patas
    • Pétrole
    • Sablon
    • Saint-Véran
    • Serviat
    • Villedegavay

    Toponymie

    Attestations

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[9] :

    • 1023 : San Pol el mandament de Sancto Pol deis Iseran (Lacroix, L'arrondissement de Montélimar, II, 311).
    • 1038 : mention de la paroisse : parrochia Sancti Pauli des uper Malevos (cartulaire de Romans, 224).
    • 1080 : villa Sancti Pauli in mandamento Castellionis (Lacroix, L'arrondissement de Montélimar, II, 176).
    • 1108 : mention de l'église Saint-Paul : ecclesia Sancti Pauli qui distata Romanis duobus millibus (cartulaire de Romans, 225).
    • 1150 : mention de la commanderie : domus Hospitalis Sancti Pauli (cartulaire des Hospitaliers, 4).
    • 1202 : mention de la commanderie : l'Uspïtau de Sain Poul (cartulaire des Hospitaliers, 29).
    • 1252 : mention du mandement (s'étendant sur les deux rives) : el mandement de Sancto Pol deis Iseran en cei (cartulaire des Hospitaliers, 58).
    • 1315 : Sanctus Paulus prope Romanensem (archives des Bouches-du-Rhône, mss. de Chantelou).
    • 1328 : mention de la commanderie : preceptoria Sancti Pauli in Viennesio (terrier du Laris).
    • XIVe siècle : mention de la commanderie : preceptoria Sancti Pauli prope Romanis (pouillé de Vienne).
    • 1435 : mention du mandement : mandamentum Sancti Pauli de Romanis (terrier de la commanderie).
    • XVe siècle : mention de l'église Saint-Paul : ecclesia Sancti Pauli (archives de la Drôme, fonds de Saint-Paul-lès-Romans).
    • 1549 : Saint Pol près Romans (rôle de tailles).
    • 1891 : Saint-Paul-lès-Romans, commune du canton de Romans.

    Histoire

    Protohistoire

    Le territoire de la commune fait partie de la tribu gauloise des Allobroges.

    Antiquité : les Gallo-romains

    Le territoire de la commune fait partie de la cité de Vienne[10],[11].

    Une voie romaine (nommée Meyanne au Moyen Âge) reliait Vienne à l'Italie en passant par Grenoble[12].
    On traversait alors l'Isère par le pont romain « de la déesse », à Châteauneuf.
    C'est le long de cette voie que s'installent les Romains (sites actuels de Saint-Paul-lès-Romans et Génissieux)[13].

    Une villa gallo-romaine a révélé de belles mosaïques (conservées au musée de Valence)[14]. Cette villa, dite Villa des Mingauds, est située à la jonction des communes de Génissieux, Triors et Châtillon-Saint-Jean.
    Les mosaïques, datées des années 170-180, sont composées de marbre, de terre cuite et de pâte de verre. Elles représentent les travaux d'Hercule et Orphée[15],[16].
    Cette luxueuse villa a été occupée du Ier au IVe siècle[10],[11]. Les principales fouilles ont été effectuées entre 1964 et 1969[réf. nécessaire].

    Du Moyen Âge à la Révolution

    La seigneurie[9] :

    • Au point de vue féodal, la terre de Saint-Paul-lès-Romans était partagée entre le commandeur du lieu et les dauphins.
    • Les commandeurs conserveront leur part jusqu'à la Révolution.
    • 1638 : la part des dauphins est aliénée aux Guigou de Chappolay.
      • 1658 : elle passe aux Lionne.
      • 1709 : passe aux Chabo de la Serre
      • 1757 : vendue aux Bally de Bourchenu, derniers seigneurs.

    Avant 1790, Saint-Paul-lès-Romans était une communauté de l'élection et subdélégation de Romans et du bailliage de Saint-Marcellin.
    Elle formait une paroisse du diocèse de Vienne dont l'église, dédiée à saint Paul, était celle d'une commanderie patrimoniale de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, à laquelle furent unies, en 1326, celles de Saint-Sauveur et des Loives (Isère), puis plus tard celles de Crispalot et du Laris (Drôme) et de Montfalcon (Isère), et dont le commandeur était collateur et décimateur dans cette paroisse[9].

    Le mandement de Saint-Paul-lès-Romans comprenait, avec la commune de ce nom, une partie de celle de Romans. Il semble même qu'au XIIIe siècle, ce mandement s'étendait sur les deux rives de l'Isère. De ce fait, la commanderie de Crispalot (quartier de ce nom, commune de Beauregard) dépendit toujours de celle de Saint-Paul-lès-Romans, bien que les pays situés sur la rive droite de l'Isère fussent de la langue d'Auvergne, tandis que ceux de la rive gauche étaient de la langue de Provence[9].

    De la Révolution à nos jours

    Le seuil du canal du Bia.

    En 1790, Saint-Paul-lès-Romans devient le chef-lieu d'un canton du district de Romans, comprenant les municipalités de Châtillon-Saint-Jean, Saint-Paul-lès-Romans et Triors. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait une simple commune du canton de Romans[9].

    XIXe siècle : le canal du Bia est construit en pierre de tuf. Il est alimenté par l'eau de la Joyeuse à partir du seuil du Bia[réf. nécessaire].

    Politique et administration

    Liste des maires

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    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
    1790 1871  ?    
    Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
    1871 1874  ?    
    1874 1878  ?    
    1878 1884  ?    
    1884 1888  ?    
    1888 1892  ?    
    1892 1896  ?    
    1896 1900  ?    
    1900 1904  ?    
    1904 1908  ?    
    1908 1912  ?    
    1912 1919  ?    
    1919 1925  ?    
    1925 1929  ?    
    1929 1935  ?    
    1935 1945  ?    
    1945 1947  ?    
    1947 1977 Henri Garmon    
    1953 1959 Henri Garmon   maire sortant
    1959 1965 Henri Garmon   maire sortant
    1965 1971 Henri Garmon   maire sortant
    1971 1977 Henri Garmon   maire sortant
    1977 1983 Jacques Rivoire    
    1983 1989 Jacques Rivoire   maire sortant
    1989 1995 Maurice Payen    
    1995 2001 Marc Rivoire    
    2001 2008 Roger Mallet    
    2008 2014 Agnès Rodillon    
    2014 2020 Gérard Lunel    
    2020 En cours
    (au 27 novembre 2020)
    Gérard Lunel[17][source insuffisante] SE cadre
    maire sortant

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[19].

    En 2018, la commune comptait 1 827 habitants[Note 4], en augmentation de 1,84 % par rapport à 2013 (Drôme : +4,05 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8458418591 0121 1181 1341 1531 0621 200
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1651 1291 0971 007981917982968937
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    952956893824843830789860846
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    8938659601 3011 4011 5021 6261 7931 822
    2018 - - - - - - - -
    1 827--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Un char du corso 2013.
    • Fête patronale : le [14].
    • Corso fleuri : le deuxième dimanche après Pâques[14]. Ce corso a été initié en 1951 afin d'accélérer le remboursement de l'emprunt contracté par la commune lors de la construction de la salle des fêtes. Plus de vingt chars circulent dans le village. La 68e édition a eu lieu en 2018[réf. nécessaire].
    • Fête communale : le troisième dimanche de septembre[14].

    Sports

    Cultes

    Une communauté Emmaüs s'est installée dans les années 1990[22].

    Économie

    Agriculture

    En 1992 : céréales, vignes, vergers, ovins, chevaux[14].

    • Coopérative (vins, eaux-de-vie, céréales)[14].

    Industrie et artisanat

    Une ancienne carrière est située sur la commune (quartier les Blaches)[1].

    Tourisme

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église.
    • Le petit pont qui enjambe la Joyeuse serait d'époque romaine[réf. nécessaire].
    • Église de style roman : clocher carré[14]. À gauche de l'entrée, se trouve une très ancienne pierre tombale[13].
    • Ancienne commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.
    • Chapelle rurale[14].
    • Vieilles maisons en appareil de galets[14].

    Héraldique, logotype et devise

    Saint-Paul-lès-Romans possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

    Annexes

    Bibliographie

    • 1875 : Ulysse Chevalier, Cartulaire des Hospitaliers et des Templiers en Dauphiné, Vienne, E.-J. Savignè (imprimeur), (lire en ligne). Voir Cartulaire de la maison de l'Hôpital de Saint-Paul-lès-Romans, p. 2-58.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en octobre 2020, l'ancienne notion d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. https://www.geoportail.gouv.fr/
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 354 (Saint-Paul-lès-Romans).
    10. [PDF] Marie-Noëlle Roy, La Pierre et l'Écrit, no 20, Didactibook, p. 7.
    11. [PDF] Gérard Rochas, « Épigraphie et Histoire : la vallée de l'Isère à l'époque romaine », 1998, p. 250.
    12. « L'Isère », Carte archéologique de la Gaule, p. 38.
    13. Origines historiques sur le site de la commune de Saint-Paul-lès-Romans.
    14. Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Saint-Paul-lès-Romans.
    15. Hercule (Les cavales de Diomède), Hercule (L'Hydre de Lerne), Hercule (La biche de Cérynie), Hercule (Le sanglier de l'Erymanthe), Orphée charmant les animaux (détail 1), Orphée charmant les animaux (détail 2), Orphée charmant les animaux (détail 3).
    16. Marcel Leglay, Fouilles et monuments archéologiques dans la circonscription de Rhône-Alpes, Gallia, 1971, vol. 29, no 2, p. 435.
    17. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr (consulté le ).
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    22. L'Histoire de la Communauté, Emmaüs Saint-Paul-lès-Romans
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