Bayonvillers

Bayonvillers est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Bayonvillers

La mairie.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC Terre de Picardie
Maire
Mandat
Xavier Palpied
2020-2026
Code postal 80170
Code commune 80058
Démographie
Gentilé Bayonvillois
Population
municipale
337 hab. (2018 )
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 51′ 44″ nord, 2° 37′ 40″ est
Altitude Min. 82 m
Max. 95 m
Superficie 8,1 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Moreuil
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Bayonvillers
Géolocalisation sur la carte : Somme
Bayonvillers
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Bayonvillers
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Bayonvillers
Liens
Site web http://www.bayonvillers.fr

    Géographie

    Description

    Bayonvillers est un village rural picard du Santerre situé à 23 km à l'est d'Amiens, à la même distance au sud-ouest de Péronne et à 50 km au sud d'Arras.

    Il est desservi par l'ancienne route nationale 29 (actuelle RD 1029) et est traversé par l'Autoroute A29 (France)

    En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 47)[1].

    Le pays est plat, légèrement ondulé au sud[2]. La plus grande partie du territoire est constituée des couches argileuses du limon des plateaux. En dessous, se trouve une craie blanche ou jaune selon les endroits[2],[3].

    La nappe phréatique qui alimentait à la fin du XIXe siècle les puits se situait alors à environ 18 mètres de profondeur[2].

    On indiquait à la fin du XIXe siècle : « Étant situé entre la vallée de la Luce et la vallée de la Somme, le village ne redoute guère la grêle. Sa position élevée limite la présence des brouillards »[2].

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Bayonvillers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (94,5 %), zones urbanisées (5,5 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    Baienvillers est produit en 1147, Baconvillers et Bayenvillers en 1301. Puis, Bayonvilliers en 1567 ; la forme actuelle, Bayonvillers, est attestée dès 1710[2].

    Significations :

    • le domaine de Baio, nom d'homme germanique[réf. nécessaire] ;
    • d'après la légende, Bayonvillers tirerait son nom d'un seigneur nommé Bayon que saint Quentin aurait guéri de la lèpre[11],[2].

    Histoire

    Antiquité

    Des armes de pierre et des monnaies gallo-romaines ont été trouvées sur le territoire[2].

    La voie romaine Amiens - Saint-Quentin traverse le village (RD 1029)[12]. Les traces d'une villa gallo-romaine ont été retrouvées au lieu-dit le Chêne[13].

    Selon la tradition catholique, saint Quentin qui parcourait la région à la fin du IIIe siècle, rencontre une femme qui lui propose de porter la tunique de son maître nommé Bayon. Saint Quentin accepte et du fait est guéri de la lèpre.[réf. nécessaire]

    Moyen Âge

    Dès 1171, l'église est mentionnée[2].

    La collégiale Saint-Firmin d'Amiens nommait à la cure. Nicolas Quesnel, bienfaiteur des pauvres, tient la cure en 1599[2].

    La seigneurie dépendait du chapitre de Saint-Quentin[2].

    Époque moderne

    Des souterrains ou muches ont servi de refuge aux habitants en 1636, lors des invasions espagnoles[2].

    Dès 1701 et peut-être même avant, le village a son école[2].

    Époque contemporaine

    Les biens du clergé vendus à la Révolution française comme biens nationaux sont alors achetés par les fermiers locaux[2].

    À la fin de l'épopée napoléonienne, les Cosaques ont occupé le pays en 1814-1815[2].

    Lors de la Guerre franco-allemande de 1870 et pendant l'occupation qui a suivi, l'armée allemande a effectué de nombreuses réquisitions. Sur les 30 jeunes du village qui ont combattu, deux sont morts, un a été blessé[2].

    Durement éprouvé pendant la Première Guerre mondiale[14], le village a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [15].

    Des vestiges de la guerre sont encore retrouvés de nos jours dans le village[16].

    Politique et administration

    Rattachement administratifs et électoraux

    La commune se trouvait de 1793 à 2016 dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Par arrêté préfectoral du , la commune en est détachée le pour intégrer l'arrondissement de Péronne[17]. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Rosières-en-Santerre[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Moreuil.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes du Santerre créée le .

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département[19].

    Le projet préfectoral prévoit la « fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre », le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[20],[21],[22]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[23], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le [24].

    Cette procédure aboutit à la création au de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[25].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[26]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Jean-François Dessaint    
    mars 2008[27] 2014 Dominique Terrier    
    2014[28] mai 2020[29] France Chlon-David   responsable communication et événementiel au pôle métropolitain du Grand Amiénois
    mai 2020[30] En cours
    (au 31 mars 2021)
    Xavier Palpied    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

    En 2018, la commune comptait 337 habitants[Note 3], en diminution de 5,34 % par rapport à 2013 (Somme : −0,18 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    762495792831880910943937925
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    885877853858849846805712682
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    624601520462457457434401399
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    391368288295269345355357355
    2017 2018 - - - - - - -
    340337-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Les communes de Bayonvillers, Lamotte-Warfusée et Guillaucourt gèrent l'enseignement primaire au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal[34].

    À la fin de l'année scolaire 2018-2019, l'école de Bayonvillers ferme[35]. Fin 2020 et début 2021, le mobilier est vendu sur internet, la commune envisage de vendre l'école et le logement communal[36],[37].

    Culture

    L'estaminet est un lieu associatif destiné à rassembler les habitants autour de projets artistiques et de rendre accessibles toutes les créations artistiques[38]

    Autres équipements

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Étienne[39]: au chevet de l'église, se trouve un calvaire en bois peint au décor sculpté représentant, entre autres, les instruments de la passion. Le christ en croix du XVIe siècle[40] est abrité par un demi-dôme en forme de cloche. Le calvaire est protégé en tant que monument historique au titre d'objet : classement par arrêté du 12 janvier 2004[41]. Le clocher en brique flanque le côté nord de la nef. L'intérieur un maître-autel en bois sculpté avec un retable de style Louis XIV, des fonts baptismaux en marbre blanc.
    • Monument aux morts
    • Chapelle Notre-Dame-de-Liesse: reconstruite en 1840 et 1938. Elle aurait marqué le passage des pèlerins se rendant à Liesse, dès le Moyen Âge[42].

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Léon Gaudefroy, Monographie de Bayonvillers, 1905, Yvert et Tellier, (ASIN B001C91DTK) , rééd. la Vague verte, (ISBN 978 2 35637 054 9)

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Bayonvillers », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
    • Carte spéciale des régions dévastées : 12 SE, Amiens [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
    2. Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur, M. Douay, 1er mars 1899, Archives départementales de la Somme, Amiens
    3. La notice de M. Douay, instituteur, sur le site des Archives départementales de la Somme.
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Lèon Gaudefroy, Monographie de Bayonvillers, 1905.
    12. « Photo aérienne de Roger Agache, 1964 », notice no ARR22_6480852ZA, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    13. « Photo aérienne de Roger Agache, 1964 », notice no ARR22_6480855ZA, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    14. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    15. Journal officiel du .
    16. « Munitions retrouvées à Bayonvillers : Description des objets retrouvés dans le jardin de Charlotte Macczak », sur http://blogs.ac-amiens.fr, (consulté le ).
    17. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme - Recueil n°200 des actes administratifs du 27 décembre 2016 des Hauts-de-France », sur http://www.prefectures-regions.gouv.fr/hauts-de-france/, (consulté le ).
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Vincent Fouquet, « Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières ? : Le conseil communautaire, qui s’est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l’occasion d’annoncer la volonté de l’intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre », Le Courrier picard, (lire en ligne).
    20. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    21. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard, (lire en ligne).
    22. « Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017 : L’annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre : les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
    23. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région, (lire en ligne).
    24. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031, , p. 78-79 (lire en ligne [PDF]).
    25. « CC Terre de Picardie (N° SIREN : 200070928) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
    26. « Les maires de Bayonvillers », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    27. « Liste des maires de la Somme », sur http://www.somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
    28. Ludovic Lascombe, « Quand on est maire, surtout d’un petit village, il faut apprendre à être po-ly-va-lent... et avoir la gnaque » : Haute-Somme - Ils ont été élus en 2014. Trois ans après, ils dressent un 1er bilan. Exemple à Bayonvillers », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    29. Adeline Collet, « France Chlon-David a présenté ses derniers vœux à la tête de Bayonvillers », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « France Chlon-David, 44 ans, responsable communication et événementiel au pôle métropolitain du Grand Amiénois, a commencé sa carrière politique à Bayonvillers dès son arrivée dans la commune, il y a 12 ans. « Le maire m’a tout de suite proposé d’entrer au conseil municipal et d’être adjointe », rapporte-t-elle. En 2014, elle se présente pour être édile et est élue ».
    30. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. Le Courrier Picard, « Carte scolaire, ils restent mobilisés », dimanche 25 février 2018, p. 8.
    35. « Vent de tristesse à Bayonvillers et Guillaucourt : C’est fini. Les deux communes ont perdu la bataille de leur école. L’émotion était à son comble en ce dernier jour de classe, vendredi 5 juillet », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    36. Martin Levissse, « L’ancienne école de Bayonvillers est mise en vente : Alors que les enfants ne viennent plus entre les murs de l’école de Bayonvillers depuis 2019, la mairie a décidé d’organiser une visite collective ce 23 janvier. L’objectif : retrouver les anciens élèves et faire visiter les murs aux potentiels acquéreurs », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    37. « Nouvelle vente aux enchères à Bayonvillers : Cette fois, les acheteurs trouveront du mobilier, mais aussi des livres », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    38. Aude Colina, « L’estaminet de Bayonvillers change de mains : Devenu le point de rencontre du village de 350 habitants, l’Estaminet soufflera ses huit bougies avec les membres de l’association La Cerise sur le plateau, et plus sous l’égide des Pêcheurs de lune », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    39. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Bayonvillers (Canton de Rosières). d'après nature, 26 sept. 1867 », Documents numérisés, fonds Macqueron,, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
    40. « Croix : Christ en croix », notice no PM80001636, base Palissy, ministère français de la Culture.
    41. « Base Palissy ».
    42. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 243 (ASIN B000WR15W8).
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