Aspiran

Aspiran [as.pi.ʁɑ̃] est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie.

Aspiran

Maison du Viguier (XVe siècle).

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Lodève
Intercommunalité Communauté de communes du Clermontais
Maire
Mandat
Olivier Bernardi
2020-2026
Code postal 34800
Code commune 34013
Démographie
Gentilé Aspiranais
Population
municipale
1 655 hab. (2018 )
Densité 103 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 34′ 00″ nord, 3° 27′ 00″ est
Altitude 79 m
Min. 17 m
Max. 160 m
Superficie 16,13 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Clermont-l'Hérault
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Aspiran
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Aspiran
Géolocalisation sur la carte : France
Aspiran
Géolocalisation sur la carte : France
Aspiran

    Géographie

    Aspiran est un village situé dans la vallée de l'Hérault. Le territoire est traversé par l'autoroute A75.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Hydrographie

    L'Hérault, le Ruisseau de la Carrièrasse et le Ruisseau de Candaurade sont les principaux cours d'eau traversant la commune.

    Communes limitrophes

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 16,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 707 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,7 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Pouget », sur la commune du Pouget, mise en service en 1980[6]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,6 °C et la hauteur de précipitations de 680,8 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 27 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,4 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[12].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : 0[14], d'une superficie de 12 794 ha, effectuant la transition entre la plaine languedocienne et les premiers contreforts de la Montagne Noire et du Larzac. Outre l'aigle de Bonelli, trois autres espèces d'oiseaux ont également été prises en compte dans la délimitation de la ZPS, l'Outarde canepetière, le Blongios nain et le Busard cendré[15].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[16] : le « massif de Mourèze et la plaine agricole et garrigues de Péret » (8 126 ha), couvrant 13 communes du département[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Aspiran est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[18],[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (78,3 %), zones agricoles hétérogènes (11,4 %), zones urbanisées (4,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,5 %), forêts (2,5 %), prairies (0,2 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous le nom latin de Aspirianus en 844 dans les archives de la cathédrale Saint-Nazaire de Béziers, sous les formes de Aspiriano en 1146, de Aspirano en 1203, ad Aspira en 1380[24], de Aspirano Caprariensis (1344), pro Aspirano Caprariense (1351), ad Aspira de Cabrayres (1380), Aspiran (1708).

    Domaine gallo-romain : gentilice latin Asperius ou surnom Asper+ suffixe -anum[25].

    L'ancien déterminant de la commune se rapporte à la proximité de Cabrières. Le château de Cabrières était à cette époque occupé par une troupe de routiers qui contrôlaient à leur profit les mouvements dans la vallée de l'Hérault.

    Histoire

    Le nom d'Aspiran serait dérivé du nom d'une ancienne villa gallo-romaine. On trouve des traces d'amphores vinaires qui démontrent que la culture de la vigne était déjà importante à cette époque. Une campagne archéologique programmée mène régulièrement depuis 2005 des opérations de fouille sur l'atelier de potier gallo-romain de Saint-Bézard à environ deux kilomètres du village d'Aspiran. Le site fondé durant période augustéenne produisait de la céramique sigillée, de la céramique à pâte claire et des amphores. La découverte de nombreux fours met en évidence un atelier de production important pleinement intégré au commerce antique. Une natatio (piscine des thermes romains) aux dimensions exceptionnelles (la plus grande retrouvée en Gaule) a été dégagée aux abords des chais vinicoles, derrière lesquelles se situerait la pars-urbana (la partie d'une villa romaine qui était réservée à la résidence du maître) du site. L'abbaye d'Aniane devint propriétaire d'Aspiran et le resta jusqu'à la Révolution[Laquelle ?].

    Des fouilles conduites en 2017 au lieu-dit L'Estagnola en bordure de l'Hérault permirent de mettre au jour un vaste bâtiment des années 70 après J-C[26].

    De l'enceinte médiévale subsistent deux portes. On trouve encore des maisons construites entre les XIe et XVIIe siècles. On pratique la polyculture (seigle, vigne, olivier) et le travail de la laine. À la fin du XIXe siècle, la crise du phylloxéra surmontée, la viticulture devient omniprésente. On construit une coopérative viticole. La clairette d'Aspiran obtient l’appellation d'origine contrôlée en 1948.

    Lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée « société des amis de la constitution » en septembre 1792[27].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2014 Jean-Noël Satger DVG  
    mars 2014 En cours
    (au 18 mai 2020)
    Olivier Bernardi[28],[29] UMP-LR Agriculteur, vice-président de la Communauté de communes du Clermontais et
    président du Syndicat Centre Hérault (SCH) du Pays Cœur d'Hérault[29],[30]

    Démographie

    Au dernier recensement, la commune comptait 1 655 habitants.

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1281 1901 3181 4501 6141 5401 4521 4511 530
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5461 4361 4891 4341 6421 2901 2141 2411 358
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5161 5321 5251 5211 5671 5681 5741 2021 185
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 1581 1941 0231 0311 0721 1671 2641 5261 641
    2018 - - - - - - - -
    1 655--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Les listes nominatives de recensement de population ont été numérisées et sont consultables en ligne sur le site des Archives départementales de l’Hérault[33].

    Économie

    L'activité principale est la viticulture.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Plan de la façade principale du bureau de poste (1900)
    • La Maison du viguier (XVe siècle) construite pour l'abbé d'Aniane.
    • La Porte de l'Est, reste de l'enceinte fortifiée.
    • L'Église Saint-Julien d'Aspiran, dont le mur nord est de l'époque romane. Reconstruite au XIVe siècle, elle a été ensuite fortifiée. La Guerre de Cent Ans et les Guerres de religion l'ont endommagée. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1963[34]. De nombreux objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[34].
    • La chapelle des pénitents d'Aspiran. Aux XIVe et XVe siècles, les pénitents de la confrérie du Saint-Esprit s'y réunissaient. Ils ont été remplacés au XVIIe siècle par les Pénitents blancs. Le clocher est du XIXe siècle.

    Héraldique

    Les armoiries de Aspiran se blasonnent ainsi :

    D’azur au pairle losangé d'or et d'azur.

    Personnalités liées à la commune

    Famille de la Treille de Villevieille, seigneurs de la Sablonière, et famille Ayot de la Treille (notables).

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Le Pouget - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Aspiran et Le Pouget », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Le Pouget - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Aspiran et Sète », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    14. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Aspiran », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « site Natura 2000 FR9112002 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    16. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Aspiran », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « ZNIEFF le « massif de Mourèze et la plaine agricole et garrigues de Péret » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. Ernest Nègre - 1990 - Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 599.
    25. Frank R. Hamlin et abbé André Cabrol, Les noms de lieux du département de l'Hérault : Dictionnaire Topographique et Étymologique, , 415 p. (ISBN 2-904624-00-7, lire en ligne), p. 17
    26. « Aspiran un granarium émerge-t-il des berges de l'Hérault ? », Archéologia, no 561, janvier 2018, pp. 38 à 45.
    27. Jean-François Dubost, « Le réseau des Sociétés Politiques dans le département de l'Hérault pendant la Révolution Française (1789-1795) », Annales historiques de la Révolution française, no 278, 1989. p. 415.
    28. Résultats au 1er tour des élections municipales et communautaires 2020 d'Aspiran, publié sur le site du ministère de l’Intérieur (consulté le ).
    29. Fiche de la mairie d'Aspiran, mise à jour le sur le site la-mairie.com (consulté le ).
    30. Olivier Bernardi, nouveau président du SCH, publié le sur le site du Midi-Libre (consulté le ).
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    33. Listes nominatives de recensement de population consultables en ligne
    34. « Eglise Saint-Julien », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Georgette Birouste, « Aspiran : vie et mort du « Château » des Abbés ; Aspiran : un bac très utile, mais bien encombrant », Bulletin du Groupe de recherches et d'études du Clermontais, nos 61-62-63,
    • Foyer rural d’Aspiran, Groupe mémoire, Aspiran : mémoire partagée des années de guerre 1939-1945 : exposition, Aspiran, Foyer rural d'Aspiran, , 184 p.
    • Foyer rural d’Aspiran, Groupe mémoire, Aspiran : histoire d'oliviers : catalogue de l'exposition de juillet 2009 au foyer rural, Aspiran, Foyer rural d'Aspiran, , 72 p.
    • Foyer rural d’Aspiran, Groupe mémoire, Aspiran : la crise du phylloxéra, Aspiran, Foyer rural d'Aspiran, , 38 p.
    • Pierre-Yves Genty, « L'atelier de potiers gallo-romain d'Aspiran, Hérault : synthèse des travaux de 1971 à 1978 », Figlina : documents du laboratoire de céramologie de Lyon, no 3, , p. 71-92
    • Groupe d'études languedociennes, Les Domaines de la Vallée de l'Hérault : Histoire d'un domaine d'Aspiran, Gourdibau : Ballades du pays de Thau : Creyssels, le domaine, Montpellier, Université du Tiers Temps, , 29 p.
    • Robert Thernot, L'établissement rural antique de Soumaltre (Aspiran, Hérault) : ferme, auberge, nécropole et atelier de potier en bordure de la voie Cessero-Condatomagus (Ier-IIe siècle), Montagnac, M. Mergoil, , 388 p.

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

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