Arlempdes

Arlempdes (prononcer Arlandes[Note 1]) est une commune du département de la Haute-Loire, dans la région Auvergne-Rhône-Alpes, en France, située à 27 km environ au sud-est du Puy-en-Velay. Ses habitants sont appelés les Arlempdois[1].

Arlempdes

Le village d'Arlempdes et en second plan son château.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Loire
Arrondissement Le Puy-en-Velay
Intercommunalité Communauté de communes des Pays de Cayres et de Pradelles
Maire
Mandat
Daniel Liabœuf
2020-2026
Code postal 43490
Code commune 43008
Démographie
Population
municipale
141 hab. (2018 )
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 51′ 58″ nord, 3° 55′ 26″ est
Altitude Min. 769 m
Max. 1 166 m
Superficie 13,74 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Velay volcanique
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Arlempdes
Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Arlempdes
Géolocalisation sur la carte : France
Arlempdes
Géolocalisation sur la carte : France
Arlempdes
Liens
Site web http://www.village-arlempdes.com

    Géographie

    Le village d'Arlempdes est principalement connu pour son site magnifique ainsi que son château éponyme, autrefois siège d'une baronnie. Il est encaissé au fond de la vallée de la Loire, à une trentaine de kilomètres seulement de sa source. Un piton rocheux (dyke volcanique) sert de piédestal aux ruines du château, qui surplombent ainsi la rivière d'une centaine de mètres.

    Le paysage est dominé par de superbes coulées basaltiques, parfois sous forme d'orgues, qui témoignent du passé volcanique de la région. Sa signification en celte : « la vallée des éboulis » est sans doute une référence à l'effondrement de ces orgues, colonnes fracturées en centaines de rochers plus ou moins importants.

    Arlempdes est le bourg-centre d'une commune de 1 300 hectares dispersée en une dizaine de villages ou hameaux[Note 2]. Le village lui-même ne compte que peu d'habitants ; c'est une petite bourgade aux maisons anciennes et de mieux en mieux rénovées.

    Le site se trouve à km de la route nationale 88 joignant Saint-Étienne (Loire) au sud de la France, au niveau du village de Costaros.

    Communes limitrophes

    Arlempdes est limitrophe des communes suivantes[2], toutes situées dans l'arrondissement du Puy-en-Velay :

    Urbanisme

    Typologie

    Arlempdes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[3],[4],[5]. La commune est en outre hors attraction des villes[6],[7].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (76,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (41,1 %), zones agricoles hétérogènes (31,6 %), forêts (21 %), terres arables (3,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 152, alors qu'il était de 153 en 2013 et de 140 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 47,4 % étaient des résidences principales, 48 % des résidences secondaires et 4,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,3 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Arlempdes en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (48 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 79,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (78,8 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Arlempdes en 2018.
    Typologie Arlempdes[I 1] Haute-Loire[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 47,4 71,5 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 48 16,1 9,7
    Logements vacants (en %) 4,6 12,4 8,2

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Arlemde en 1215, Harnempde en 1248[10], Castrum Arllemdii en 1267 qui nous informe de la présence du château dont il reste quelques vestiges sur un rocher surplombant la Loire.

    Endroit stratégique et haut lieu spirituel, le toponyme dériverait du celtique Ar-Nemeton (sanctuaire, lieu sacré), prototype d'*Arnemetum, ou mieux, *Arenemetum signifiant devant le nemeton (temple)[11].

    Son nom en langue occitane, Arlempde, est lui-même à l'origine de celui en français[12].

    Histoire

    Le rocher et château surplombant la Loire.

    Le site d'Arlempdes domine une boucle de la Loire et sert de « verrou » entre plusieurs vallées. C'est ainsi qu'il a naturellement été choisi comme site religieux, d'où son nom Arlempdes (< gaulois *Ar(e)-nemeton « temple de l'est »), et comme site militaire. Dans l'Antiquité, un camp romain est installé provisoirement sur une colline avoisinante : le camp d'Antoune. Il est occupé par une garnison romaine au temps de la Guerre des Gaules (Ier siècle av. J.-C.)[13].

    Dès le haut Moyen Âge, le dyke d'Arlempdes est habité. La chapelle Saint-Jacques, dont la construction actuelle date du XIIe siècle, semble avoir été précédée par une chapelle plus ancienne, qui servit de point de départ à l'installation permanente d'habitants.

    Le château, qu'une bulle du pape Clément IV mentionne pour la première fois en 1267, est construit du XIIIe au XVIe siècle, avec de nombreux remaniements. Il présente la caractéristique d'être totalement imbriqué dans la roche et de s'adapter à sa morphologie. Il ne présente donc pas un plan classique de forteresse féodale. Les remparts sont naturellement prolongés par la roche volcanique, rendant une ascension quasi impossible. La fonction du château d'Arlempdes est de protéger l'accès vers le nord, donc il est la cible de nombreuses convoitises.

    Jusqu'au XVIe siècle, il est possédé par diverses familles de seigneurs locaux, dont la famille de Monlaur, très puissante dans tout le sud de l'Auvergne, ou la famille de Mirabel. Il entre ensuite, après qu'une fille du baron de Montlaur eut épousé Charles de Poitiers en 1450, dans les possessions de Diane de Poitiers, ce qui explique la présence de ses armes gravées dans un mur du château. Le logis seigneurial (dont il ne reste qu'un pan de mur) a été construit pendant sa possession. Par la suite, la forteresse sert de garnison aux troupes royales, sous la direction, une fois encore, d'un seigneur local, comme la famille de Goÿs de Mézeyrac au XVIIIe siècle.

    De plus en plus délaissé par les familles qui succèdent à la famille de Goÿs, le château est, dès avant la Révolution française, totalement abandonné : il n'a plus d'intérêt stratégique. Il tombe alors en ruines, les habitants se servant en pierres sur le site. Au XIXe siècle, il est vendu pour un franc symbolique à l'œuvre du Prado. En 1963, une association regroupant des descendants de la famille de Goÿs de Mézeyrac et des passionnés du site rachète les ruines et entreprend la restauration du château.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1995 2020 Gérard Testud[14] DVD Retraité agricole
    2020 En cours Daniel Liabœuf[15]    

    L'élection municipale a été annulée par le tribunal administratif en juin 2014[16].

    Démographie

    Évolution démographique

    En 2018, la commune comptait 141 habitants. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Une réforme du mode de recensement permet à l'Insee de publier annuellement les populations légales des communes à partir de 2006. Pour Arlempdes, commune de moins de 10 000 habitants, les recensements ont lieu tous les cinq ans, les populations légales intermédiaires sont quant à elles estimées par calcul[17]. Les populations légales des années 2008, 2013, 2018 correspondent à des recensements exhaustifs[18].

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    721476513513544471477553519
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    531534514512514518537538536
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    544550527510468451428367326
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    270211220182142114129131133
    2013 2018 - - - - - - -
    135141-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Âge de la population

    La pyramide des âges, à savoir la répartition par sexe et âge de la population, de la commune d'Arlempdes en 2010[21] ainsi que, comparativement, celle du département de la Haute-Loire la même année[22], sont représentées avec les graphiques ci-dessous.

    La population de la commune comporte 50,8 % d'hommes et 49,2 % de femmes. Elle présente en 2010 une structure par grands groupes d'âge plus âgée que celle de la France métropolitaine[23]. L'indice de jeunesse, égal à la division de la part des moins de 20 ans par la part des plus de 60 ans, est en effet de 0,61 pour la commune, soit 61 jeunes de moins de 20 ans pour cent personnes de plus de 60 ans, alors que pour la France métropolitaine il est de 1,06. Cet indice est également inférieur à celui du département (0,87) et à celui de la région (0,8)[24].

    Pyramide des âges à Arlempdes en 2010 en pourcentage[21].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,5 
    90  ans ou +
    0,0 
    5,9 
    75 à 89 ans
    7,7 
    29,4 
    60 à 74 ans
    24,6 
    16,2 
    45 à 59 ans
    20,0 
    25,0 
    30 à 44 ans
    18,5 
    7,4 
    15 à 29 ans
    10,8 
    14,7 
    0 à 14 ans
    18,5 
    Pyramide des âges dans le département de la Haute-Loire en 2010 en pourcentage[22].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90  ans ou +
    1,4 
    7,9 
    75 à 89 ans
    12,3 
    15,9 
    60 à 74 ans
    16,3 
    21,7 
    45 à 59 ans
    20,2 
    19,8 
    30 à 44 ans
    18,6 
    15,6 
    15 à 29 ans
    14,0 
    18,7 
    0 à 14 ans
    17,2 

    Économie

    Le village vit essentiellement du tourisme. Quatre gîtes ruraux et un hôtel-restaurant permettent l'accueil des touristes.

    Les villages et lieux-dits de la commune sont agricoles. La commune compte 18 exploitations principales, dont la production principale est le lait[25].

    Vie locale et manifestations

    Le festival d'Arlempdes, créé en 1995, est une quinzaine théâtrale. Il a lieu chaque année à la fin du mois de juillet, dans l'enceinte du château médiéval[26].

    Patrimoine

    Église romane Saint-Pierre.
    La poterne, face nord.
    Croix historiée du XVe siècle (face avec la pietà).

    Église Saint-Pierre

    L'église romane Saint-Pierre, composée d’un vaisseau unique, de trois travées, et d’un chœur clos par un mur plat, fut construite au XIIe siècle et au XIIIe siècle, puis remaniée au XVIe siècle. Elle comporte un clocher à peigne rectangulaire à quatre arcades du XVIe siècle, typique du Languedoc, un portail occidental à quatre colonnes, dont deux torsadées, et une archivolte polylobée. (Classée monument historique le 16 septembre 1907[27]).

    Croix de pierre

    La croix monumentale en pierre du XVe siècle, naguère située sur le mur de l’ancien cimetière, non loin du portail d’entrée de l'église, est composée d'un fût octogonal et d'une partie supérieure (la croix proprement dite), historiée sur les deux faces : l’une, celle tournée vers l’ouest, s’ornant d’une pietà, l’autre représentant la crucifixion. (Classé monument historique le 28 mai 1907[28]).

    Poterne

    L'ancienne porte d'enceinte, dite poterne, datée de 1066 ― si l’on en croit une inscription gravée dans une plaque de marbre ― est composée d'une haute voûte en berceau brisé, que surmonte une salle prenant jour, sur la face nord (c'est-à-dire intérieure), par une fenêtre à meneau ; un deuxième étage sous comble, éclairé par une petite fenêtre dans la face sud (extérieure), fut probablement (comme le porte à supposer la différence de mise en œuvre de la maçonnerie entre les deux étages) ajoutée postérieurement, au XIVe ou XVe siècle. Cette porte était autrefois intégrée à l’enceinte extérieure du château, laquelle se raccordait aux murailles du château proprement dit par le sud-est et le nord-ouest (Inscription MH le 27 septembre 1971[29]).

    Château

    Le château, aujourd’hui ruiné, hormis la chapelle castrale et un corps de bâtiment non loin de celle-ci dont le rez-de-chaussée (la salle d’armes) a gardé sa voûte, coiffe un relief basaltique situé le long de la jeune Loire, dont la paroi orientale, face au fleuve, présente des à-pics d’une centaine de mètres de hauteur. Il se présente grosso modo comme un rectangle de 30 sur 80 mètres[Note 4], délimité par des fronts de courtine plus ou moins rectilignes, à l’exception de la portion nord-est de l’enceinte, d’un dessin irrégulier, où le château tend à se soumettre aux contraintes topographiques induites par la morphologie des falaises à cet endroit. Le côté le plus exposé est le flanc nord-ouest. Les murailles sont jalonnées de tours d’angle et de tours de flanquement (sept au total). Au centre de la forteresse, un mur, aujourd’hui à l’état de débris, relié à une tour circulaire, qui servit autrefois de donjon, subdivise le château en deux parties distinctes. La moitié sud a l’aspect d’un terre-plein dégagé, alors que la partie nord est densément occupée de bâtiments, pour la plupart ruinés : la chapelle, du XIIe siècle, préservée ; un pan de mur, seul élément à subsister de l’ancien logis seugneurial construit par les Poitiers aux XVe et XVIe siècles ; des vestiges de geôles, près de la salle d’armes, déjà mentionnée ; enfin quelques restes de murs et de fenêtres près du portail d'entrée (daté du XIIe) dans le nord-ouest du château. Les soubassements des murailles remontent au XIIIe siècle, et le reste des constructions date des XVe et XVIe siècles, c'est-à-dire de l'époque à laquelle les Poitiers s'appliquèrent à remettre en état et à reconstruire la forteresse.

    La chapelle castrale Saint-Jacques du XIIe siècle, bâtie en pierre rouge, et nouvellement rénovée, est la seule partie conservée du château féodal primitif élevé au XIIe siècle. Peu décorée et d’aspect rustique à l’intérieur, elle se compose d’une nef voûtée en berceau, aux parois latérales évidées sous un arc de décharge surbaissé, se prolongeant par une abside ronde voûtée en cul-de-four, plus ou moins de même largeur (Inscription MH le 27 février 1926, puis les alentours en 1945[30]).

    Personnalités liées à la commune

    Le marquis d'Arlempdes fut avec Pilâtre de Rozier le premier aérostatier.

    Bibliographie

    • Louis Simonnet, Le site gallo-romain des Souils d’Arlempdes : in Cahiers de la Haute-Loire 1974, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire,
    • André Crémillieux, Pierre Bout, P. Elouard, M. Philibert, J.-P. Daugas, L. Simonnet, J. E. Brochier, J.P. Chabanon, L’abri sous roche de La Baume d’Arlempdes : Préhistoire et Histoire, résultats de neuf années de fouilles au bord de Loire, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire,
    • Yves Soulingeas, Claude Perron, Arlempdes en 1634, notes d’histoire démographique : in Cahiers de la Haute-Loire 1987, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire,
    • Christian Corvisier, Arlempdes, le premier château de la Loire : in Cahiers de la Haute-Loire 1996, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, (lire en ligne)

    Liens externes

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Le p en effet ne se prononce pas. API : /aʁlɑ̃d/.
    2. Ce sont principalement les localités de Montagnac, Freycenet, Masclaux, Coulombs, Montcoudiol, et le Suc.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. À titre de comparaison, la forteresse de Polignac mesure environ 100m sur 200m.

    Site de l'Insee

    1. « Chiffres clés - Logement en 2018 à Arlempdes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. « Chiffres clés - Logement en 2018 à Arlempdes - Section LOG T2 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. « Chiffres clés - Logement en 2018 à Arlempdes - Section LOG T7 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière », sur le site de l'Insee (consulté le ).

    Autres sources

    1. Arlempdes et ses habitants les Arlempdois, Arlempdoises
    2. Géoportail (consulté le 30 novembre 2015).
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. M. A. Thomas (Nouveaux Essais, p. 41).
    11. « La toponymie gauloise de l'Auvergne et du Velay (Albert Dauzat) ».
    12. Jean-Pierre Chambon, Bernard Clémençon, Emmanuel Grélois, « Le toponyme médiéval Arlempde (1325) et autres issues inédites de gaul. nemeto- dans la cité des Arvernes (Clerlande ; Lempdes et Lindes) », Études celtiques, CNRS, vol. 43, , p. 147-186 (EAN 9782271135216, lire en ligne).
    13. Françoise de La Conterie, Antone en Velay - microtoponymie appliquée au site fortifié du camp d’Antoune : in Cahiers de la Haute-Loire 1976, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, (lire en ligne)
    14. « Liste des maires » [PDF], Préfecture de la Haute-Loire, (consulté le ).
    15. « Liste des maires » [PDF], Préfecture de la Haute-Loire, (consulté le ).
    16. « Le tribunal administratif annule les élections municipales », sur La Montagne, (consulté le ).
    17. « Le recensement de la population en bref », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    18. « Calendrier de recensement des communes de la Haute-Loire », sur Insee (consulté le ).
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    21. « Chiffres clés évolution et structure de la population d'Arlempdes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    22. « Chiffres clés évolution et structure de la population du département de la Haute-Loire en 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    23. « Chiffres clés évolution et structure de la population de la France métropolitaine en 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    24. « Chiffres clés évolution et structure de la population de la région Auvergne en 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    25. Arlempdes sur le site officiel de la communauté de communes du Pays de Cayres Pradelles
    26. Le festival d'Arlempdes sur le site des Théatrales du Velay
    27. Notice no PA00092579, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    28. Notice no PA00092578, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    29. Notice no PA00092580, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    30. Notice no PA00092577, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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