Antonne-et-Trigonant
Antonne-et-Trigonant est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Antonne-et-Trigonant | |||||
Le bourg d'Antonne. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Périgueux | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Le Grand Périgueux | ||||
Maire Mandat |
Daniel Le Mao 2020-2026 |
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Code postal | 24420 | ||||
Code commune | 24011 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Antonnais | ||||
Population municipale |
1 293 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 64 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 12′ 46″ nord, 0° 49′ 52″ est | ||||
Altitude | Min. 89 m Max. 217 m |
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Superficie | 20,23 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Périgueux (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Trélissac | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | www.antonne-trigonant.com | ||||
Géographie
Généralités
Incluse dans l'aire urbaine de Périgueux[1], la commune d'Antonne-et-Trigonant est bordée à l'est et au sud par l'Isle — principal affluent de la Dordogne — ainsi que très brièvement par son affluent l'Auvézère, les deux cours d'eau confluant au sud de la commune. Au nord, près d'un tiers du territoire communal est occupé par la forêt domaniale de Lanmary.
Son altitude minimale, 89 mètres, se situe au sud-ouest là où l'Isle quitte la commune pour servir de limite entre Bassillac et Trélissac. L'altitude maximale, 217 mètres, se trouve au nord-ouest, au lieu-dit Lacombe, en limite de Cornille.
Le bourg d'Antonne, établi sur la rive droite de l'Isle et traversé par la route nationale 21, est situé, en distance orthodromique, huit kilomètres à l'est-nord-est de Périgueux.
La commune est également desservie par les routes départementales 6 et 69. Au nord, elle est limitée par la route départementale 8 qui la sépare de Cornille et de Sorges. Entre Trélissac et Sarliac-sur-l'Isle, un tronçon commun aux sentiers de grande randonnée GR 36 et GR 646 parcourt le territoire communal.
Laurière est un hameau de la commune. Ses habitants sont appelés les Lauriérois. Son nom occitan est L'Auriéra (du latin aurus = or).
Communes limitrophes
Antonne-et-Trigonant est limitrophe de six autres communes.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Tour Blanche », sur la commune de La Tour-Blanche-Cercles, mise en service en 1967[8] et qui se trouve à 35 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 964,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 49 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Antonne-et-Trigonant est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,9 %), zones agricoles hétérogènes (23,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,2 %), terres arables (8,3 %), prairies (5,3 %), zones urbanisées (4,6 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Prévention des risques
Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2016 pour l'Isle en amont de Trélissac, ainsi que son affluent l'Auvézère, impactant les rives de ces deux cours d'eau, et notamment toute la zone de leur confluence, au sud de Bas-Trigonant[21],[22].
Villages, hameaux et lieux-dits
Outre le bourg d'Antonne, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[23] :
- Bas Trigonant
- les Bégoux
- les Brandes
- la Broussancie
- le Chalard
- Château des Bories
- Château de Lanmary
- Château de Trigonant
- Chauveyrou
- les Chauzes
- la Closerie
- le Coderc
- la Combe
- la Croix du Rat
- les Farges
- la Forêt
- Forêt domaniale de Lanmary
- la Garenne
- les Gaunies
- Haut Trigonant
- l'Hôpital
- les Jamets
- Lacaud
- Laurière
- le Maine
- le Marquisat
- Marsaneix
- le Mater
- le Pey
- la Peyre
- la Pigeassonie
- les Piles
- Ravine
- la Serène
- la Sibaudie
- les Tavernes
- la Tuillère
- les Vergnes
- les Vignes.
Toponymie
Antonne : Le nom de la localité est attesté sous la forme Antona au XIIIe siècle[24]. Il se réfère à un personnage, soit d'origine gallo-romane : Antoninus, soit gauloise : Antonus[25], soit encore gallo-romaine : Antonus ou Antonnus[26].
Trigonant : Le nom de la localité est attesté en latin sous la forme Sanctus Saturninus de Tregonam en 1192, rappelant l'existence, en ces lieux, d'un sanctuaire dédié à saint Saturnin. Ce nom demeure mystérieux : on peut éventuellement y voir une origine pré-indo-européenne, tr correspondant à une hauteur[25], ou encore latine, tirée de trigonum signifiant triangle[26]. Trigonant pourrait être un toponyme celtique qu'il serait possible de rapprocher de Trégon, en Bretagne, dérivant de Treb (village) et Cun (hauteur).
En occitan, la commune porte le nom d'Antona e Trigonant[26].
Histoire
La première mention écrite connue de Trigonant se réfère à son église Sanctus Saturninus de Tregonam, en 1192, alors qu'Antonne apparait au XIIIe siècle sous sa forme Antona[25].
Au XIVe siècle, Antonne et Trigonant (Anthona, Tregonan) étaient deux paroisses distinctes faisant partie de la châtellenie d'Auberoche[27].
Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, on trouve la graphie Trigonan[28].
Lors de la création des cantons en 1790, la commune d'Antonne devient chef-lieu de canton. Le canton d'Antonne est supprimé en 1801 par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », et la commune est rattachée au canton de Savignac-les-Églises[29].
En 1823, les anciennes communes dAntonne et de Trigonant fusionnent sous le nom d'Antonne-et-Trigonant[29].
Le , treize otages sont fusillés au lieu-dit les Piles (partagé entre Cornille et Antonne-et-Trigonant) à la suite d'un accrochage entre un groupe de résistants et les Allemands[30].
Dans le contexte de la fin de la guerre d'Algérie, un hameau de forestage fut installé en 1962, à destination d'anciens harkis et de leurs familles, au pied du château de Lanmary ; ce hameau est connu parfois sous le nom de hameau de forestage Chauveyrou[31].
Politique et administration
Rattachements administratifs
Les communes d'Antonne et de Trigonant (appelée dans un premier temps « Trigonau ») ont été rattachées, dès 1790, au canton d'Antonne qui dépendait du district de Perigueux. Les districts sont supprimés en 1795 et le canton d'Antonne en 1800. Les communes sont alors rattachées au canton de Savignac-les-Églises dépendant de l'arrondissement de Périgueux[29],[32]. Elles fusionnent en 1823.
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[33]. La commune est alors rattachée au canton de Trélissac.
Intercommunalité
Le , la commune d'Antonne-et-Trigonant rejoint la communauté d'agglomération périgourdine. Celle-ci disparaît le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie : Le Grand Périgueux.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[34],[35].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Antonne-et-Trigonant relève[39] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Population et société
Démographie
Les habitants d"Antonne-et-Trigonant se nomment les Antonnais[40].
Jusqu'en 1823, les communes d'Antonne et de Trigonant étaient indépendantes.
Démographie de Trigonant
Démographie d'Antonne, puis d'Antonne-et-Trigonant
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[42].
En 2018, la commune comptait 1 293 habitants[Note 7], en augmentation de 6,6 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Sports
Le club de football d'Antonne est créé en 1947 sous le nom d'« Escoire » (du nom de la commune voisine)[44]. En 1963 il se nomme « Escoire - Antonne » puis « Antonne - Escoire » en 1967 avec la création d'un terrain de football sur le territoire communal, et « Union sportive Antonne » en 1989[44]. En fusionnant avec le club du Change en 2002, il prend le nom d'« Association sportive Antonne Le Change » (ASSAC)[44].
En 2020, il fusionne avec le Trélissac Football Club, formant le Trélissac Antonne Périgord FC (TAP FC) mais qui garde comme nom d'usage TFC[45].
Avant la fusion, son effectif se montait à 105 licenciés pour cinq équipes engagées dans les différents championnats[44].
Économie
Emploi
En 2015[46], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 543 personnes, soit 44,0 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (soixante-deux) a augmenté par rapport à 2010 (cinquante-quatre) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 11,5 %.
Établissements
Au , la commune compte 83 établissements[47], dont quarante-huit au niveau des commerces, transports ou services, quatorze dans la construction, neuf relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, huit dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et quatre dans l'industrie[48].
Entreprises
Sur le territoire communal, en forêt de Lanmary est ouvert depuis 2014 un établissement de camping Huttopia de près de 200 emplacements (cabanes et tentes)[49].
Ressources et productions
- Exploitation du bois
- Produits laitiers
- Élevage
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint Martin
- Château de Trigonant, XVe et XVIe siècles, inscrit aux monuments historiques[50], propriété privée
L'église Saint Martin. Vitrail représentant
Saint Martin.La nef, la chaire et
le portail de l'église.Le château de Trigonant.
- Château des Bories, XVe et XVIe siècles, classé monument historique[51], propriété privée, visitable en juillet/août
- Pigeonnier des Bories
- Château de Lanmary, XVe et XVIIIe siècles, aujourd'hui centre de convalescence et de réadaptation fonctionnelle
- Maison forte du Pot, XVe siècle, propriété privée
Le château des Bories. Le pigeonnier des Bories. Le château de Lanmary. La maison forte du Pot. Le monument aux morts.
ZNIEFF
Plusieurs endroits de la commune sont classés comme zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) :
- la vallée de l'Isle au sud et au sud-est de la commune, zone de bocage et de prairies humides, est une ZNIEFF de type I[52],[53].
Trois autres lieux sont des ZNIEFF de type II :
Sites remarquables
- Le site de Lanmary au nord et au nord-est, sur près de la moitié de la commune, site naturel inscrit depuis 1979[60].
- Les rochers à cupules de Borie-Belet et le coteau du « Roi des Chauzes », sur près de 50 hectares dans une petite zone de la forêt de Lanmary, site naturel classé depuis 1932[60],[61].
- Un Cèdre du Liban, haut de 30 m et vieux d'environ 300 ans, se dresse dans le parc du château de Lanmary[62].
Personnalités liées à la commune
- Antoine-Astier Albéric de Saint-Astier (vers 1811-1891), propriétaire du château des Bories, fit don de sa collection de tableaux à la ville de Périgueux[63].
Vie locale
Voir aussi
Bibliographie
- James Cabirol, Antonne et Trigonant, Éditions la Lauze, 1997, (ISBN 2-912032-03-2)
Articles connexes
Liens externes
- Site d'Antonne-et-Trigonant
- Antonne-et-Trigonant sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Le Périgord insolite (article : le Trône du Roi des Chauzes, observatoire antique du solstice d'hiver)
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Démissionne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Insee, zonage en aires urbaines 2010 de Périgueux », Insee (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France La Tour Blanche - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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- « Orthodromie entre Antonne-et-Trigonant et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- Abbé Farnier, Autour de l'abbaye de Ligueux, tome II, Le livre d'histoire-Lorisse, 2003 (fac-similé de l'édition de 1931), (ISBN 2-84373-342-1), p. 242.
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- « … une nouvelle ère », TFC MAG, 17e édition, , p. 4-6.
- Rafael Dubourg, « Trélissac et Antonne ne font qu'un », Sud Ouest édition Périgueux, , p. 17.
- Dossier complet - Commune d’Antonne-et-Trigonant (24011) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 4 août 2018.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune d’Antonne-et-Trigonant (24011) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 4 août 2018.
- Hervé Chassain, « 1 200 places autour de Périgueux », Sud Ouest édition Périgueux, 10 février 2017, p. 18.
- « Château de Trigonant », notice no PA00082320, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 28 décembre 2009
- « Château des Bories », notice no PA00082319, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 28 décembre 2009
- [PDF] Vallée de l'Isle en amont de Périgueux sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 5 août 2013.
- Carte de la vallée de l'Isle en amont de Périgueux sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 5 août 2013.
- [PDF] Forêt domaniale de Lanmary sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 5 août 2013.
- Carte de la forêt domaniale de Lanmary sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 5 août 2013.
- [PDF] Causse de Savignac sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 4 août 2013.
- Carte du causse de Savignac sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 4 août 2013.
- [PDF] Causse de Cubjac sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 4 août 2013.
- Carte du causse de Cubjac sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 4 août 2013.
- [PDF] Rochers à cupules de Borie-Belet - Site de Lanmary sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 5 août 2013.
- Marquis de Fayolle, « Le Souterrain de Borie-Belet , au lieu-dit le Roi des Chauses, commune d'Antonne », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1878, tome 5, p. 307-315 (lire en ligne)
- Martine Pauchet, Le cèdre de Lanmary, arbre de l'année ?, Sud Ouest édition Périgueux du 7 avril 2014, p. 17.
- Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, p. 822, éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4).
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