Escoire

Escoire est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Escoire

Le château d'Escoire.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Le Grand Périgueux
Maire
Mandat
Joël Laguionie
2020-2026
Code postal 24420
Code commune 24162
Démographie
Gentilé Escoirais
Population
municipale
415 hab. (2018 )
Densité 105 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 12′ 41″ nord, 0° 51′ 01″ est
Altitude Min. 92 m
Max. 213 m
Superficie 3,94 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Périgueux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Trélissac
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Escoire
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Escoire
Géolocalisation sur la carte : France
Escoire
Géolocalisation sur la carte : France
Escoire
Liens
Site web www.escoire.fr

    Géographie

    Généralités

    À une dizaine de kilomètres à l'est-nord-est de Périgueux, incluse dans l'aire urbaine de Périgueux[1], et faisant partie du canton de Savignac-les-Églises, la commune d'Escoire est bordée au nord et à l'ouest par l'Isle, et au sud-ouest par son affluent l'Auvézère qui confluent en limite du territoire communal.

    Communes limitrophes

    Escoire est limitrophe de trois autres communes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 927 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Tour Blanche », sur la commune de La Tour-Blanche-Cercles, mise en service en 1967[8] et qui se trouve à 36 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 964,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 49 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Escoire est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (52,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,4 %), zones agricoles hétérogènes (14,7 %), zones urbanisées (12,3 %), prairies (11,4 %), terres arables (7,2 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Prévention des risques

    Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2016 pour l'Isle en amont de Trélissac, ainsi que son affluent l'Auvézère, impactant les rives de ces deux cours d'eau, jusqu'à 600 mètres de large dans la plaine à l'ouest du château[21],[22].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom d'Escoira[23].

    Histoire

    La découverte de pierres taillées démontre une occupation du site depuis le néolithique.

    En 1403, le village s'appelait Escoyra, puis vers 1670 Excoire avant que soit créée en 1677 la paroisse d'Escoire[24]. On retrouve encore la graphie Excroire en 1793[25].

    En 1941, le château d'Escoire est au centre d'un fait divers retentissant, trois personnes y étant assassinées.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune d'Escoire (appelée dans un premier temps « Excroire ») a été rattachée, dès 1790, au canton d'Antonne qui dépendait du district de Perigueux. Les districts sont supprimés en 1795 et le canton d'Antonne en 1800. La commune est alors rattachée au canton de Savignac-les-Églises dépendant de l'arrondissement de Périgueux[25].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[26]. La commune est alors rattachée au canton de Trélissac.

    Intercommunalité

    Le 27 décembre 2002, Escoire rejoint la communauté d'agglomération périgourdine. Celle-ci disparaît le 31 décembre 2013, remplacée au 1er janvier 2014 par une nouvelle intercommunalité élargie : Le Grand Périgueux.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[27],[28].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1793 1838 Maly    
    1838 1861 François Bussy    
    1861 1870 François Bonhomme    
    1870 1876 François Maly    
    1876 1881 Antoine Girard    
    1881 1888 Estourneau de Lafaye    
    1888 1895 Jacques Barredy    
    1895 1909 Antoine Leynie    
    1909 1909 Conil[Note 6]    
    1909 mai 1925 François Maly    
    mai 1925 juin 1943[Note 7] Alphonse Palem    
    juin 1943 octobre 1944 Roger Laborie   Ingénieur SNCF
    Président de la délégation spéciale
    octobre 1944 mai 1945 Émile Roubenne    
    mai 1945 1951 Fernand Lavaud[Note 8]    
    mai 1951 mars 1959 Fernand Tassaux    
    mars 1959 mars 1971 Pierre Mougnaud    
    mars 1971 février 1981 Léon Groux[Note 8]   Enseignant retraité
    avril 1981 mars 1983 Jacques Palus    
    mars 1983 mars 1989 Christian Montagut    
    mars 1989 mai 2020 Bernard Geoffroy DVG[29] Retraité de l'Éducation nationale
    mai 2020[30] En cours Joël Laguionie    

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Escoire relève[31] :

    Population et société

    Démographie

    Les habitants d'Escoire se nomment les Escoirais[32].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].

    En 2018, la commune comptait 415 habitants[Note 9], en diminution de 6,32 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    207220233199201204178186170
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    189181208173174203183187191
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    16113416012112512612997126
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    148168177234367429457461465
    2013 2018 - - - - - - -
    443415-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête de la Cagouille le troisième week-end de mai avec un trail 10 et 15 km.

    Économie

    Emploi

    En 2015[36], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 232 personnes, soit 54,7 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (onze) a diminué par rapport à 2010 (treize) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 4,9 %.

    Établissements

    Au , la commune compte vingt-six établissements[37], dont treize au niveau des commerces, transports ou services, six dans la construction, quatre relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, deux dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et un dans l'industrie[38].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • La petite église Saint Joseph, XVIIe siècle, avec son clocheton-mur et sa litre funéraire extérieure. En 1534, Monseigneur Foucauld de Bonneval obtient du pape l'autorisation de bâtir la chapelle, le cimetière et les fonts baptismaux, en lieu et place des dépendances de la paroisse de Bassillac. Ce projet fut retardé par les guerres de religion et c'est seulement en décembre 1677 que la paroisse d'Escoire fut créée par Monseigneur François Louis de Ranconnet, Chevalier, Seigneur d'Escoire et Dame Marguerite d'Aydie, son épouse[24].

    Patrimoine naturel

    Deux endroits de la commune sont classés comme zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) :

    • le causse de Cubjac, ZNIEFF de type II[39],[40] sur toute la zone située à l'est et au sud du bourg d'Escoire, soit environ la moitié du territoire communal ;
    • la vallée de l'Isle, ZNIEFF de type I, à l'ouest et au nord de la commune[41],[42], zone de bocage et de prairies humides.

    Personnalités liées à la commune

    • Henri Girard, qui deviendra plus tard le célèbre écrivain Georges Arnaud, fut accusé en octobre 1941 du triple crime d'Escoire, défendu par Maurice Garçon, puis acquitté en 1943. Il vendra le château au père de Michel Peyramaure.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Déclaré maire dans l'acte 10 des délibérations communales de 1909 mais l'acte 11 désigne, aussitôt après, François Maly.
    7. Conseil municipal dissous en juin 1943 par arrêté préfectoral.
    8. Décédé en fonctions.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Insee, zonage en aires urbaines 2010 de Périgueux », Insee (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France La Tour Blanche - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Escoire et La Tour-Blanche-Cercles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France La Tour Blanche - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Escoire et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. PPR inondation - 24DDT20150057 - Isle amont et Auvézère, DREAL Aquitaine, consulté le 23 mars 2019.
    22. [PDF] Rivières Isle-amont - Auvézère – Escoire - Plan de prévention du risque inondation p. 7, DREAL Aquitaine, consulté le 23 mars 2019.
    23. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 25 février 2014.
    24. panneau d'information de la Communauté d'agglomération périgourdine à côté de l'église
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    27. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 2 septembre 2020.
    28. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 28 octobre 2020.
    29. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 25.
    30. « L'installation des maire se poursuit », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 13.
    31. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    32. Fiche commune Escoire, Union des maires de la Dordogne, consultée le 17 novembre 2016.
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    36. Dossier complet - Commune d'Escoire (24162) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 10 octobre 2018.
    37. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    38. Dossier complet - Commune d'Escoire (24162) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 10 octobre 2018.
    39. [PDF] Causse de Cubjac sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 4 août 2013.
    40. Carte du causse de Cubjac sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 4 août 2013.
    41. [PDF] Vallée de l'Isle en amont de Périgueux sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 5 août 2013.
    42. Carte de la vallée de l'Isle en amont de Périgueux sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 5 août 2013.
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