Amillis

Amillis (prononcé [a.mi.ˈji]) est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Amillis

L'église Saint-Pierre-et-Sainte-Flodoberthe.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie
Maire
Mandat
Muriel Domard
2020-2026
Code postal 77120
Code commune 77002
Démographie
Gentilé Amillissiens
Population
municipale
830 hab. (2018 )
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 44′ 25″ nord, 3° 07′ 50″ est
Altitude Min. 102 m
Max. 163 m
Superficie 20,06 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Coulommiers
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Amillis
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Amillis
Géolocalisation sur la carte : France
Amillis
Géolocalisation sur la carte : France
Amillis
Liens
Site web cc-trois-rivieres.fr

    Géographie

    Localisation

    La commune[Carte 1] est située à environ 10,4 kilomètres au sud de Coulommiers, au cœur de la Brie.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes proches d'Amillis incluent Dagny à 3,97 km, Beautheil à 4,06 km, Chevru à 4,88 km, Marolles-en-Brie à 4,89 km, Chailly-en-Brie à 5,57 km, Vaudoy-en-Brie à 6,8 km et Jouy-le-Châtel à 8,1 km.

    Géologie et relief

    L'altitude varie de 102 mètres à 163 mètres pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ 108 mètres d'altitude (mairie)[2].

    Une prospection a été menée à partir de 1976 par le Bureau de recherches géologiques et minières dans la vallée de l’Aubetin, dans la région d’Amillis, pour définir les zones susceptibles d’être favorables à l’implantation de forages d’exploitation d’eau souterraine[3].

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[4].

    Hydrographie

    Le système hydrographique de la commune se compose de douze cours d'eau référencés :

    • la rivière l’Aubetin, longue de 61,15 km[5], affluent du Grand Morin. Le , l'Aubetin déborde et envahit la plaine ;
      • un bras de l'Aubetin, 0,19 km[6] ;
      • le fossé 01 de la Commune d'Amillis, 1,22 km[7], et ;
      • le fossé 02 de la Commune d'Amillis, 1,03 km[8], et ;
      • le ru de la Baguette, long de 3,15 km[9], affluents de l'Aubetin ;
        • le fossé 01 de Saint-Eloi, long de 1,22 km[10], qui conflue dans le ru de la Baguette ;
      • le ru de Chevru, long de 7,72 km[11], affluent de la Aubetin ;
        • le ru de Beaufour, long de 1,27 km[12], qui conflue dans le ru de Chevru ;
          • le fossé 01 du Petit Beaufour, long de 2,29 km[13], qui conflue dans le ru de Beaufour ;
    • le ru de l'Étang de Beuvron, long de 10,44 km[14], affluent de l’Yerres ;
      • le fossé 01 des Grands Sillons, canal de 1,08 km[15], et ;
      • le fossé 01 de Montauban, long de 1,67 km[16], confluent avec le ru de l'Étang de Beuvron.

    La longueur linéaire globale des cours d'eau[Note 1] sur la commune est de 18,51 km[17].

    Climat

    Amillis, comme tout le département, connaît un régime climatique tempéré, de type atlantique.

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal d'Amillis comprend une ZNIEFF de type 2[Note 2],[18], la « Basse vallée de l'Aubetin » (2 376,41 ha), couvrant 8 communes du département[19].

    Urbanisme

    Typologie

    Amillis est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[20],[21],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[23],[24].

    Logement

    En 2015, le nombre total de logements dans la commune était de 400 (dont 82,1 % de maisons et 6,8 % d’appartements).

    Parmi ces logements, 75,3 % étaient des résidences principales, 16,1 % des résidences secondaires et 8,6 % des logements vacants.

    La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 79,2 % contre 15,1 % de locataires[25].

    Occupation des sols

    Le territoire de la commune se compose de 67 % de terres arables, 27,8 % de forêts, 2,6 % de prairies, 1,4 % de zones agricoles hétérogènes et 1,2 % de zones urbanisées[17],[26].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 124 lieux-dits administratifs répertoriés[27].

    Les plus importants sont : Fontenelle, Courcelles, la Tuilerie, le Petit Beaufour, Planche, Bellevue, les Marnières, les Bordes.

    Voies de communication

    Amillis est située sur la D 112 reliant Chevru à Maison-Meunier (Saints). De Paris, on accède à la commune par l’autoroute A4, sortie No 13.

    Transports

    La commune est desservie par la ligne d’autocars No 10 (Coulommiers - Meilleray) du réseau Transdev-IdF[28].

    La gare SNCF la plus proche est la gare de Coulommiers, desservie par les trains du réseau Transilien Paris-Est (ligne P) située à 10,5 kilomètres (14 minutes).

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Amiliacum en 1112[29], Ecclesia de Almiges en 1135[30], Cella de Emilleriis en 1145.

    Le domaine d'un certain Amelius[31].[source insuffisante]

    Histoire

    Prononcée Amilliacum, la terre seigneuriale de cette localité est signalée dans une charte des comtes de Champagne en date de 1160.

    Elle dépendit successivement de l'abbaye de Notre-Dame de Fontenay et de celle de Sainte-Geneviève-du-Mont, jusqu'au XVIe siècle. La seigneurie échut à François d'Anglure qui en rendit hommage au seigneur de Coulommiers[32]. Il avait épousé, en 1523, Marie de Vères, veuve de Louis de Brichanteau-Nangis. Elle lui apportait en dot la terre seigneuriale de Dagny. François d'Anglure mourut au château d'Amillis, en 1554. Leur fille, Marie d'Anglure, héritière d'Amillis et de Dagny, épousa Claude de Bauffremont, baron de Seneçay, capitaine de cent hommes d'armes, gouverneur d'Anglure et conseiller d'État. Elle lui donna deux fils : Henri et Philippe et deux filles, mesdames de Vieupont et de Vergy[32].

    Henri de Bauffremont fut tenu sur les fonts baptismaux, en 1577, par le duc de Guise dont les troupes campaient dans les environs. Henri fut marquis de Seneçay et seigneur d'Amillis et de Dagny. Chevalier des ordres du roi, il présida la noblesse aux États de Bourgogne, en 1614, fut chargé de l'ambassade d'Espagne pour le mariage de Louis XIII avec Anne d'Autriche. Lié au cardinal de La Rochefoucauld dont il avait épousé la nièce, il eut beaucoup d'influence sur la reine et s'en servit. Il mourut en 1622 des suites des blessures qu'il avait reçues au siège de Rozan[32]. Il laissait une fille, Marie-Claire de Bauffremont, comtesse de Flaix, sa femme et sa mère. Celle-ci, veuve, abandonna, en 1610, le château d'Amillis à son second fils, Philippe, qui renonça à la donation. Dès lors, la baronne de Seneçay fit don à ses deux filles de ses biens de la Brie en 1628, sous réserve d'usufruit.

    La marquise, Henri de Bauffremont, née Marie-Catherine de La Rochefoucauld, duchesse de Randan, nièce du cardinal de La Rochefoucauld, protégea Bossuet qu'elle présenta à Anne d'Autriche, dont elle était dame d'honneur. Elle était aussi gouvernante des enfants de France. Elle obtint pour sa fille, la comtesse de Flaix, la survivance de la charge de dame d'honneur[32].

    Les seigneuries d'Amillis et de Dagny passèrent ensuite à la famille des comtes de la Martellière, originaire de Perche, qui les conserva jusqu'à la Révolution.

    Durant la Révolution française, Jérôme-Joseph-François-Bernard, comte de la Martellière, fut déclaré émigré en 1803 et ses propriétés, devenues biens nationaux, furent confisqués et vendus[32].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune était intégrée à l'arrondissement de Provins du département de Seine-et-Marne.

    Afin de faire coïncider les limites d'arrondissement et celles des intercommunalités, elle intègre le l'arrondissement de Meaux[33].

    Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la cinquième circonscription de Seine-et-Marne.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de La Ferté-Gaucher[34]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle intègre le canton de Coulommiers.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la communauté de communes Avenir et développement du secteur des Trois Rivières, créée fin 1993.

    Le , celle-ci fusionne avec la communauté de communes de la Brie des Templiers pour former la communauté de communes du Pays de Coulommiers.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (et 5 000 habitants en zone de montagnes), le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) de Seine-et-Marne prescrit sa fusion avec la communauté de communes de la Brie des moulins.

    La communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie est ainsi créée le , dont la commune est désormais membre.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1924 1933 Émile Paul Victor Olivier    
    1933 1944 Émile Alexandre Perrin    
    1944 1966 Paul Olivier    
    1966 1971 Albert Lallement    
    1971 1981 Lucien Couillet    
    1981 juin 1995 Gaston Vidaillac    
    1995 2014 André Olivier    
    2014 En cours Muriel Domard    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].

    En 2018, la commune comptait 830 habitants[Note 5], en augmentation de 2,09 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    559696658727838863881922904
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    920968960850846891855804769
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    748724748608664603610702661
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    562537555507609685753762770
    2013 2018 - - - - - - -
    813830-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Amillis dispose d’une école primaire publique, comprenant une section maternelle et une école élémentaire, située rue Georges Renard[38].

    Cet établissement public comprend 81 élèves (chiffre du Ministère de l'Éducation nationale) en 2018.

    La commune dépend de l'Académie de Créteil : pour le calendrier des vacances scolaires, Amillis est en zone C.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2016, le nombre de ménages fiscaux était de 293 représentant 758 personnes et le médiane du revenu disponible par unité de consommation de 22 877 [25].

    Emploi

    En 2016, le nombre total d'emplois dans la zone était de 237, occupant 360 actifs résidants.

    Le taux d’activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 69,8 % contre un taux de chômage de 6,4 %. Les inactifs se répartissent de la façon suivante : 8,7 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 8,9 % de retraités ou préretraités et 6,1 % pour les autres inactifs[25].

    Entreprises et commerces

    En 2015, le nombre d’établissements actifs était de 94 dont 16 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 6 dans l’industrie, 13 dans la construction, 47 dans le commerce-transports-services divers et 12 étaient relatifs au secteur administratif[25].

    Ces établissements ont pourvu 199 postes salariés[25].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Pierre-et-Sainte-Flodoberthe, XIe et XVIe siècles. L'église est construite autour de trois nefs. L'existence d'un culte à sainte Flodoberthe est attestée au XIIe siècle. Il s'agirait d'une religieuse de l'abbaye de Faremoutiers ou d'une ermite sous la protection de saint Flobert de Troyes. Au XIe siècle, les reliques de Sainte Flodoberthe (ou Leudeberte ou Floberde) ont été transportés de l'abbaye de Faremoutiers jusqu'à l'église, alors appelé Saint-Pierre d'Amillis. Sainte Flodoberthe devient alors la seconde patronne de la paroisse[39].
    La chapelle qui lui est dédiée, à droite de l'église, abrite un buste en bois doré contenant les reliques de la sainte, et servait de chapelle funéraire aux seigneurs de Grangemenant. Celle de gauche, dédiée à la Vierge, accueillait les restes des seigneurs d'Amillis. Il ne reste que la pierre tombale d'Antoine de Vères, chevalier de Saint Jehan de Jérusalem mort en 1540. Le tabernacle du maître-autel provient du couvent des capucins de Coulommiers, les autels latéraux de la commanderie de Chevru. Les fonts baptismaux ont été offerts par Henri de Guise, parrain du fils aîné du baron de Sénecé, seigneur d'Amillis au XVIe siècle.
    L'atelier des bénédictines de Saint-Benoît-sur-Loire a réalisé les vitraux du chœur en 1961.
    • Grotte Notre Dame de Lourdes, construite en 1958 à l'initiative de l'abbé Fabing. Une messe y est célébrée le .
    • Ancien couvent des Dominicaines, aujourd'hui E.H.P.A.D (Établissement d'Hébergement pour personnes âgées dépendantes).
    • Autel avec croix (qui était l'emplacement de l'ancienne chapelle, près de la route qui mène à Fontenelle) situé près d'une fontaine, dont les fidèles lui attribuaient des vertus curatives, et où les reliques de Sainte Flodoberthe étaient menées en pèlerinage deux fois par an[40].

    Personnalité liée à la commune

    Henri Farré (1871-1934) : peintre connu pour ses dessins et tableaux sur les combats aériens et ses portraits de pilotes de la Première Guerre mondiale tel Guynemer, résida dans une propriété sur la route de Dagny entre 1932 et 1934. Il peignit certainement quelques paysages locaux, comme Scène près de l'Aubetin et fit quelques portraits. Malade, il repartit en 1934 pour Chicago où il mourut.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Hors le ru de la Baguette non référencé par SIGES.
    2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Localisation de Amillis » sur Géoportail (consulté le 17 avril 2018)..

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. « Amillis » sur Géoportail. Carte IGN classique.
    3. Infoterre.brgm.f
    4. « Plan séisme consulté le 11 avril 2018 ».
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - L’ Aubetin (F65-0410) ».
    6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de l'Aubetin (F6570801) ».
    7. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de la Commune d'Amillis (F6571000) ».
    8. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 02 de la Commune d'Amillis (F6572000) ».
    9. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de la Baguette (F6573000) ».
    10. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de Saint-Eloi (F6573200) ».
    11. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Chevru (F6569000) ».
    12. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Beaufour (F6569600) ».
    13. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 du Petit Beaufour (F6569650) ».
    14. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de l'Étang de Beuvron (F4705000) ».
    15. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 des Grands Sillons (F4705100) ».
    16. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de Montauban (F4705300) ».
    17. Site SIGES - Seine-Normandie consulté le 17 juillet 2018
    18. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Amillis », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF la « Basse vallée de l'Aubetin » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. Statistiques officielles de l’Insee.
    26. [PDF]Fiche communale d'occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) sur le site cartoviz.iau-idf.fr
    27. Site territoires-fr.fr consulté le 12 avril 2018
    28. Site Trandev-IDF
    29. Dans une charte de Thibault de Champagne.
    30. Dans le cartulaire de l'abbaye de Molesme.
    31. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 536.
    32. « Commune d'Amillis, partie 'Historique" », sur Site de l'intercommunalité[réf. non conforme] (consulté le ).
    33. « Arrêté du 30 décembre 2016 du préfet de la région d'Île-de-France portant modification des limites territoriales des arrondissements du département de Seine-et-Marne », Recueil des actes administratifs de la préfecture d'Île-de-France, no spécial IDF-001-2017-01, , p. 11-23 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    38. « Ecole primaire d'Amillis », L'annuaire, Ministère de l'éducation nationale (consulté le ).
    39. E. H. Félix Pascal, Histoire topographique, politique, physique et statistique du département de Seine-et-Marne, (lire en ligne).
    40. « Buste reliquaire de sainte Flodoberthe, Amillis », sur Topic-Topos (consulté le ).
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