Ambérac

Ambérac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Cet article possède un paronyme, voir Ambernac.

Pour l’article ayant un titre homophone, voir Ambeyrac.

Ambérac

Pigeonnier.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Charente
Maire
Mandat
Alain Combaud
2020-2026
Code postal 16140
Code commune 16008
Démographie
Gentilé Ambéracois
Population
municipale
315 hab. (2018 )
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 51′ 14″ nord, 0° 04′ 00″ est
Altitude Min. 46 m
Max. 101 m
Superficie 12,10 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Boixe-et-Manslois
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Ambérac
Géolocalisation sur la carte : Charente
Ambérac
Géolocalisation sur la carte : France
Ambérac
Géolocalisation sur la carte : France
Ambérac

    Ses habitants sont appelés les Ambéracois et les Ambéracoises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Ambérac est une commune située au nord-ouest de la Charente, à 24 km au nord d'Angoulême et à km au sud-est d'Aigre.

    Le bourg est situé au bord de la Charente, sur sa rive droite, en aval de Mansle et en amont d'Angoulême.

    Il est aussi à km au nord-ouest de Saint-Amant-de-Boixe, chef-lieu de son canton dont il est la commune la plus au nord, et km à l'ouest de Mansle[2].

    À l'écart des routes importantes, la commune est traversée par la D 69 de Marcillac-Lanville à Mansle, route qui franchit la Charente par un pont au bourg. La D 88 relie le bourg à Aigre au nord-ouest et à Xambes au sud-est. La D 737, route d'Angoulême à Aigre et Chef-Boutonne, passe à km au sud-ouest du bourg où elle franchit aussi la Charente au pont de Marcillac-Lanville[3].

    La gare la plus proche est celle de Luxé à km, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Poitiers et Bordeaux.

    Hameaux et lieux-dits

    Au nord-ouest du bourg, le long de l'Aume et de la route d'Aigre, on trouve quelques hameaux alignés comme les Picots, les Citres, les Marais et quelques fermes : le Cambouil, les Thibauds et le Goyaud. À l'est, sur la route de Mansle, on trouve les Granges[3].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes d’Ambérac
    Fouqueure Villognon
    Marcillac-Lanville
    La Chapelle Coulonges

    Géologie et relief

    La commune est sur un socle calcaire datant du Jurassique supérieur (Kimméridgien). Des alluvions datant du Quaternaire couvrent les vallées alluviales de l'Aume et de la Charente, les plus récentes étant dans la partie inondable. On trouve aussi sur certains versants quelques zones de grèzes datant des glaciations du Quaternaire[4],[5],[6].

    Le relief de la commune est celui d'un bas plateau et d'un confluent entre deux vallées. Le point culminant de la commune est à une altitude de 101 m, situé sur la limite ouest. Le point le plus bas est à 46 m, situé le long de la Charente sur la limite sud-ouest. Le bourg, construit au bord du fleuve, est à 62 m d'altitude[3].

    Hydrographie

    La Charente à Ambérac.

    La Charente en aval de Mansle et en amont d'Angoulême traverse la commune. Le bourg est construit sur sa rive droite, et en aval du confluent de l'Aume, qui arrose le nord de la commune. L'Aume prend sa source à Bouin (Deux-Sèvres) et arrose Aigre[3].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Ambérac est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,9 %), zones agricoles hétérogènes (10,9 %), prairies (7,7 %), zones urbanisées (4,5 %), forêts (1 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le lieu est attesté sous les formes Ambairiaco en 1080[13], Amberaco en 1110[14], Ambariaco en 1274[13], Ambelaco, Amberaco, Ambeyrac, Anbeyrac, Emberaco, Embeyraco au XIIIe siècle[15],[16],[17].

    Il s'agit d'une formation toponymique gauloise ou gallo-romane, basée sur le nom d'un homme gaulois Ambarrius, et du suffixe -acum indiquant la propriété[18],[19].

    Histoire

    La commune a été très habitée à l'époque romaine. C'est attesté par plusieurs découvertes ; dans la plaine d'Ambérac, d'un Mercure en bronze, coiffé du pétase ailé[20] ; dans une rue du bourg, on a retrouvé des dalles en pierres avec oculus et un puits carré ainsi que diverses monnaies datant d'Auguste, d'Agrippa, de Marc-Aurèle, de Maximin[21]. Le bourg a aussi livré des lampes, des bêches, et d'autres objets de fer, ainsi qu'un vase en terre grise, une assiette en terre rouge et une petite amphore en verre. Des fragments de mosaïque ont aussi été découverts[22].

    Le four circulaire de 1,50 m de diamètre situé près des Granges, les poteries, tuiles et briquettes trouvées dans le même terrain datent de la même époque[23].

    Les débris d'une construction antique située au lieu-dit le Four des Fades[Note 2], dont il reste des fragments de murs en petit appareil avec des rangs de briques en cordons et une galerie à voûte cintrée sont cités dans la statistique monumentale de la Charente[24],[25].

    Ambérac, qui aurait été construit près de l'ancienne cité d'Oliba[26], dépendait du fief des La Rochefoucauld et des Marcillac et a été un archiprêtré jusqu'à la Révolution.

    Il est mentionné pour la première fois comme archiprêtré vers 1035 car la paroisse Saint-Étienne d'Ambérac, vicairie perpétuelle, fut donnée par les comtes d’Angoulême à l'abbaye de Saint-Amant-de-Boixe peu après la fondation de celle-ci, qui y eut une obédience en 1080. L'évêque Girard II confirma ce don en 1117, mais en s’attribuant une redevance annuelle de cinq sous, payable en la fête de Saint-Hilaire. En 1146, le prieur de Lanville, qui y possède déjà quelques droits, la réclame et l'obtient moyennant rente de dix sous d'Angoulême par an, au profit de l'abbaye[16],[27].

    Depuis lors, elle est restée constamment dépendante du prieuré conventuel augustin de Lanville.

    Entre le Xe et XVIIIe siècles, Ambérac était aussi le siège d'une viguerie, qui rendait la justice localement. Au nombre de six sous les Carolingiens, le comté d'Angoulême comptera une vingtaine de vigueries après son extension au XIe siècle[28].

    Le hameau de Villebabou aurait été bâti par l'un des deux Babou qui furent évêques d'Angoulême au XVIe siècle[29], et était une ancienne maison noble appartenant aux évêques[27].

    Au XVIIIe siècle, Ambérac, qui dépendait en partie de Marcillac et en partie de Montignac, fut acquis par les La Rochefoucauld[27].

    Un souterrain-refuge a été découvert en 1925[30].

    Politique et administration

    Mairie.

    Créée Embérac dans le canton de Lanville Marcillac en 1793, elle devient Ambeirac dans le canton de Saint-Amand-de-Boixe en 1801 puis Ambérac.

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1988  ? Jean Joumier    
    depuis 2001 En cours Alain Combaud
    Réélu pour le mandat 2020-2026 [31]
    SE Technicien travaux publics
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

    En 2018, la commune comptait 315 habitants[Note 3], en diminution de 7,08 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    585709705780832791759729618
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    613618619647576537522506510
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    490441404399398419386334313
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    317330361338337316314333319
    2018 - - - - - - - -
    315--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Ambérac en 2007 en pourcentage[36].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,0 
    11,8 
    75 à 89 ans
    12,4 
    20,3 
    60 à 74 ans
    18,6 
    19,0 
    45 à 59 ans
    20,5 
    22,2 
    30 à 44 ans
    18,0 
    12,4 
    15 à 29 ans
    13,0 
    14,4 
    0 à 14 ans
    17,4 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[37].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    La population active est de 145 personnes, il y a 11 chômeurs soit un taux de chômage de 7,6 %. Le revenu moyen est de 11 750  / an[38]

    Économie

    Agriculture

    La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole, près des Picots. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[39].

    Équipements, services et vie locale

    La poste.

    Enseignement

    L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre Ambérac et Marcillac-Lanville. Marcillac-Lanville accueille l'école élémentaire et Ambérac l'école primaire[40].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    L'église Saint-Étienne.

    L'église paroissiale Saint-Étienne est située au bourg. Elle était un des 13 archiprêtrés de l'Angoumois[41]. Ses parties les plus anciennes remontent au XIe siècle. Remaniée au cours de son histoire, elle a été restaurée aux XVIIIe et XIXe siècles, principalement à la suite de l'effondrement de son clocher en 1724[42].

    Elle comporte quatre bas-reliefs remarquables du XIIe siècle, classés monument historique au titre objet depuis 1927, qui représentent l'Annonciation, la Visitation, la Nativité et les Rois mages[43]. Elle possède également un moule à hosties du XIVe siècle classé depuis 1911[44]. La cloche en bronze datant de 1773 est inscrite monument historique depuis 2004[45]

    L'église possède aussi un harmonium rénové en .

    Patrimoine civil

    Les vestiges gallo-romains, les souterrains mais aussi tout un patrimoine rural de fontaines, maisons, certaines très anciennes.

    Des nombreux moulins sur la commune reste le moulin de Brissac qui fonctionne et date du XVIIIe siècle.

    Patrimoine environnemental

    Les berges de la Charente et de l'Aume sont en zone Natura 2000.

    Personnalités liées à la commune

    • André Savignon, né à Tarbes le , journaliste et un écrivain français, épouse Berthe Desgranges le à Ambérac.
    • Louis Vatrican, né à Monaco le , ingénieur agricole, directeur du Jardin Exotique de Monaco, épouse Suzanne Magnant le à Ambérac.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Four des fées en occitan. D'après la description de Michon, ce serait dans la combe des Versennes Torses, au nord du bourg.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    5. Carte du BRGM sous Géoportail
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le )
    7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p., p. 80
    14. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 125
    15. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 278, 284
    16. René Fontroubade, « L'Archiprêtré d'Ambérac »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), Histoires du Pays d'Aigre, (consulté le )
    17. Catillus Carol, « Ambérac », (consulté le )
    18. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 13.
    19. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne), p. 481.
    20. BSAHC 1870, p. XXVIII
    21. BSAHC 1884-85, p. XXXVII
    22. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 189-191
    23. Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente, 1886, p. XLVII
    24. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 172
    25. Joseph Piveteau, Inventaire Archéologique de la Charente Gallo-Romaine, MSAHC, 1958, p. 92.
    26. Société archéologique et historique de la Charente, Bulletins et mémoires, Constantin, (lire en ligne), p. 78
    27. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 40
    28. André Debord in Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll. « L'histoire par les documents », , 429 p. (ISBN 2-903504-21-0, notice BnF no FRBNF34901024, présentation en ligne), p. 88
    29. BSAHC, 1878-79, p. 179
    30. MSAHC, 1953, p. 13
    31. https://reader.cafeyn.co/fr/1980733/21598706
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    36. « Evolution et structure de la population à Ambérac en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    37. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    38. Ambérac sur le site l'internaute
    39. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    40. Site de l'inspection d'académie
    41. Vigier de la Pile, Histoire de l'Angoumois, Paris, Derache (1846, Laffite reprint 2002), , 160 p. (ISBN 2-86276-384-5, lire en ligne), p. 5
    42. Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 16
    43. « Bas-reliefs de l'église », notice no PM16000005, base Palissy, ministère français de la Culture
    44. « Fer à hosties », notice no PM16000004, base Palissy, ministère français de la Culture
    45. « Cloche de l'église », notice no PM16000426, base Palissy, ministère français de la Culture

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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