Alcea rosea

Alcea rosea, la Rose trémière, passe-rose, passerose ou encore primerose est une espèce de plantes vivaces de la famille des Malvaceae. Elle est aussi parfois appelée rose papale ou Alcée rose. Toutes les parties de la plante sont comestibles et certaines (fleur notamment) ont des usages médicinaux (depuis l'antiquité).

Description

C'est une plante typique des jardins champêtres, bien que peu d'espèces soient vivaces (la plupart sont bisannuelles). Plantes à croissance rapide, on les classe généralement toutes dans la catégorie des vivaces herbacées en raison de leur grande taille, pouvant atteindre une hauteur de 1,5 à 2,5 m, voire jusqu'à 3,5 m[1] et plus dans certaines régions.

De port érigé, peu ramifiée, la plante a un feuillage caduc, les feuilles orbiculaires et palmatilobées possédant de 5 à 7 lobes, leur base est cordiforme, leur pédoncule pubescent et leurs marges crénelées. La tige vert clair est pubescente[2]. Les oléoplastes contiennent en grande quantité de l'acide ricinoléique[3].

L'inflorescence est une grappe spiciforme et terminale[4]. La floraison basifuge de la fin du printemps à l'été, voire jusqu'au début de l'automne, permet une longue floraison de chaque pied. Les très grandes fleurs (pétales de 3-5 cm, jusqu'à 12 cm lorsqu'elles sont ouvertes) ont l'aspect de gros pompons ou en corolles simples aux teintes très variées : blanc ou jaune, rose, pourpre, violet, orange… riches en nuances.

Il existe même des variétés Nigra (noires, en fait violet très foncé dû une forte concentration d'anthocyanes). Plus elles sont sombres, plus elles contiennent de pigments et de tannins, et présentent davantage de propriétés médicinales[5]. Le calicule est formé de 6 à 9 bractéoles involucrales poilues[6]. Le tube staminal, caractéristique des Malvaceae, a 5 angles marqués. Les fruits sont formés d'un verticille de 15 à 20 akènes marqués (le méricarpes), sur le dos, d'un profond sillon bordé de 2 ailes[7].

Habitats

La rose trémière se rencontre dans les friches, lisières de champs ou tas de terre. C'est une plante ornementale, parfois naturalisée[8].

Biologie

En 2010, des elaioplastes (plastes sans pigments contenant des acides gras ou d'autres lipides et connectés avec des microtubules) ont été identifiés chez cette espèce[9].

Nomenclature et systématique

Phytonymie et origine géographique

Le nom de « rose trémière » ou « rose de trémière » est peut-être une altération de « rose d'Outremer », attesté dès 1500. Cette plante serait originaire du Sud-ouest de la Chine, d'où elle aurait été exportée au moins à partir du XVe siècle[10] vers l'Europe de l'Ouest en passant par le sud de l’Europe, le Moyen-Orient ou l’Asie centrale[11],[8],[12],[13], et aurait été rapportée par les croisés du Moyen Âge, aux XIIe et XIIIe siècles lors de batailles contre les Turcs[11],[12],[14].

Pour d'autres, son introduction daterait de l'expansion ottomane en Europe aux XVe et XVIe siècles[15]. Elle est encore appelée « passe-rose » ou « primerose ». Son origine est inconnue (sans doute proche-orientale ou méditerranéenne), mais c'est peut-être un hybride entre Alcea setosa et Alcea pallida, originaires de l'est de l'Europe et de l'ouest de l'Asie[16], encore nommée Althéa ou Althaea rosea, cousine des hibiscus, lavatère, mauve, guimauve, d'où son autre nom de « guimauve rose ». Son origine (rapportée par les croisés du Moyen Âge de la Terre sainte, pays de saint Jacques), et sa forme élancée (comme le bâton de Jacob) lui valent également le nom de « bourdon de Saint-Jacques » ou « bâton de Jacob »[17]. Elle est aujourd’hui répandue dans de nombreux pays[18].

Synonymes

Noms vernaculaires

Ils font souvent référence à la rose ou à la mauve :

  • en allemand : Bauerneibisch, Baummalve, Baumrose, Chinesische Stockrose, etc. ;
  • en anglais : common hollyhock ;
  • en arabe : khatmae ;
  • en portugais : malva da Índia ;
  • en chinois : shi kui, zhu kui ;
  • en danois : almindelig stokrose, have-stokrose, stokrose ;
  • en espéranto : aed-tokkroos, alceo, alteo alta, rozalteo ;
  • en estonien : harilik tokkroos ;
  • en finlandais : salkoruusu, tarhasalkoruusu ;
  • en français : rose trémière, passe rose, rose papale, alcée rose, bourdon de Saint-Jacques[17] ou encore bâton de Jacob[17] ;
  • en néerlandais : Stokroos ;
  • en tchèque : Proskurník Růžový, Topolovka Růžová.

Culture

Les fleurs sont simples pour l'espèce botanique, demi-doubles, doubles ou triples chez certaines obtentions agricoles.

  • Plantation : automne si climat chaud ou printemps.
  • Multiplication : semis en été (se ressème souvent spontanément). Les semis sont sensibles aux limaces et aux escargots. Les graines semées ne donnent pas forcément des fleurs de la même couleur que la plante d'origine ; la culture invitro par callogenèse est possible[19], mais conduit à une homogénéité génétique qui rend la culture vulnérable à des attaques de parasites et maladies diverses.
  • Sol : riche et bien drainé. Affectionne des sols différents selon les couleurs des fleurs : les variétés sombres (rouge, noir) préfèrent les sols sableux, alors que les sols argileux semblent favoriser les plus claires.
  • Emplacement : soleil, mi-ombre, pas trop venté.

Maladies

La rose trémière est très vulnérable à un microchampignon de la famille des rouilles : Puccinia malvacearum, un Basidiomycota du sous-phylum des Pucciniomycotina (classe des Pucciniomycetes, ordre des Pucciniales (ex-Urédinales3), famille des Pucciniaceae) qui cause la Rouille de la rose trémière ; et on a montré en 2006, en Turquie qu'un autre champignon (Leveillula_taurica) cause aussi une maladie fongique qui blanchit les feuilles de cette plante[20] (et qui semble pouvoir être traitée, en début d'infection, par une pulvérisation d'un mélange de une part de lait pour 8 part d'eau[21]). Le champignon microscopique Puccinia malvacearum a été décrit en 1852 au Chili, puis repérée en 1857 en Australie avant qu'elle ne se répande à partir de 1869 en Europe. De 1869 à 1886, les jardiniers et botanistes la signalent dans presque tous les pays d’Europe et d’Afrique ; Il semble aujourd'hui répandu sur la rose trémière dans le monde entier.
La maladie est caractérisée par l'apparition de constellations de petites dépressions circulaires (1 mm de diamètre environ), jaune-orangées à jaune brunâtre, correspondant sur la face inférieure de la feuille à des pustules en demi-sphère (brun rougeâtre mat, de 1 à 1,5 mm de diamètre), qui peuvent ensuite se réunir pour former des croûtes et/ou envahir la tiges et toutes les parties vertes de la plante (pédoncules, calices). Rarement la graine est aussi touchée. Les feuilles les plus touchées finissent par se flétrir et mourir[22].

La contamination se fait dès l'apparition des feuilles, via des basidiospores haploïdes, aérotransportées par le vent ou apportés par des insectes. Certaines de ces spores germeront en produisant des hyphes qui formeront des appressoria se plaquant sur la surface des cellules foliaires proches de stomates en tenant de pénétrer entre les cellules ostiolaires (qui de contractent ou non pour fermer ou ouvrir les stomates ; le mycélium (à hyphes septées sans boucles) peut alors se développer entre les cellules de la feuille et produire (toujours sur la face inférieure) des hyphes hypophylles sporogènes. Ces derniers produisent des télies (ou téleutospores) globuleuses.

Les téleutospores dont in fine 2 loges assimilables à deux probasides, chacune ayant deux noyaux non fusionnés (la cellules est dite dicaryotiques). Ces téleutospores (mesurant 35-75 x 12-26 μm), dotés d'un long pédoncule hyalin (jusqu'à 150 μm de long) résistent parfaitement à l'hiver (sur ce qui reste de la plante-hôte ou au sol[22]. Tout le cycle de vie de Puccinia malvacearum peut s'effectuer sur une unique plante (la rose trémière ou de nombreuses autres espèces de Malvaceae dont il a appris à contourner l'immunité (ex : Hibiscus, Lavatera, espèces sauvages de Mauves (Malva moschata, M. neglecta, M. sylvestris...) ; sur sa plante-mère cette rouille est donc dite autoxène (ou autoïque) par rapport aux rouilles hétéroxènes ou hétéroïques qui ont besoin d'au moins deux plante-hôtes. Son cycle est incomplet (dit « microcyclique ») pour certains stades (S, I et II) absent (un cycle complet de développement serait dit « macrocyclique »)[22]. Il se pourrait, selon certains auteurs, que le mycélium puisse aussi survivre (sous forme de mycoplasme) dans les graines[22].

Parasitoses : les graines peuvent être infestées d'apions des roses trémières, des charançons qui au gré des échanges de semences entre jardiniers migrent vers de nouvelles régions. La plante peut aussi être parasitée par des acariens, dont par une espèce d' Aceria nouvellement décrite (en 2015, en Hongrie) : Aceria bendeguzi[23].

Utilisations (anciennes, actuelles ou possibles)

Boutons floraux.

Utilisations alimentaires

Comme toutes les Malvaceae, cette espèce est comestible[24].

Les feuilles très tendres, mucilagineuses, sont comestibles crues, comme les jeunes pousses, ou cuites comme des plantes potagères. La plante est parfois encore cultivée comme légume en Égypte. Les boutons floraux et les fleurs, également comestibles, sont consommés en salade mais aussi en tisane, à partir de pétales séchés[25]. La fleur contient des substances pectiniques identifiées en 2007[26].

Les pétales d'Alcea rosea nigra étaient jadis utilisés pour colorer les tisanes et les vins fraudés (coupage avec des vins teinturiers obtenus avec de la tisane de rose trémière)[27].

On peut obtenir de l'amidon à partir de la racine broyée et lavée à l'eau.

Utilisations médicinales

Cette plante présente plusieurs propriétés médicinales intéressantes[28] dont certaines connues depuis l’antiquité : Pline l’Ancien, au premier siècle, a dit d’elle : « Quiconque prendra une cuillère de Mauve sera ce jour-là exempt de toutes les maladies qui pourraient venir à lui ». Ses mucilages sont réputés faire un adoucissant et émollient calmant certaines irritations[29];

Traditionnellement la rose trémière était considérée comme présentant des vertus médicinales similaires à celles de la guimauve officinale (peut-être moins importantes) : action adoucissante, émolliente et antiglaireuse, et diurétique.
Ses fleurs sont dans divers pays séchées pour être utilisées en infusion, réputée soigner la toux, les enrouements, la bronchite, et calmer les douleurs de l’estomac. En collyre elle calmerait les yeux irrités[29]. En Inde, les fleurs d'Alcea roses L. (vendues sous le nom commercial «Gulkhairo») sont utilisées pour leurs propriétés expectorantes, rafraîchissantes et diurétiques, notamment dans de nombreux mélanges destinés à soigner la toux[28].

Selon des études récentes, la rose trémière a d'autres propriétés intéressantes :

  • en 1985, on découvre dans la plante des polysaccharides ayant des propriétés anti-ulcéreuses[30].
  • en 2001, Papiez observe des changements histologiques révélant une influence de l'extrait de rose trémière sur le métabolisme des stéroïdes au sein des cellules de Leydig de rats de laboratoire ayant bu (durant 30 jours pour un groupe et durant 180 jours pour un autre groupe) une solution aqueuse d'extraits de rose trémière à fleur noire (Althaea rosea Cav. var. nigra) : « L'élévation statistiquement significative du niveau d'androgènes accompagnée d'une diminution de la teneur en œstrogènes dans les homogénats de testicules du groupe A2 a indiqué un faible effet anti-œstrogénique de l'extrait »[31].
    Il poursuit ses études, cette fois, avec un extrait méthanolique de rose trémière (toujours la variété nigra). Il observe alors aussi (publication en 2004) des changements morphologiques et histoenzymatiques dans les cellules de Leydig, qui indiquent « une influence directe mais faible sur les testicules de rat. Les changements insignifiants de la testostérone testiculaire et de la teneur en estradiol suggèrent que l'extrait ne perturbe pas la stéroïdogenèse »[32].
  • en 2010, Mert & al. (2010) découvrent dans des extraits de la plante des activités antimicrobiennes, mais aussi cytotoxiques[33] ;
  • en 2012, des effets contre la lithiase urinaire sont démontrés à partir d'extraits d'A. rosea (en Inde, chez le rat de laboratoire)[34]) ;
  • en 2013, on montre que les extraits méthanoliques des parties aériennes et des fleurs d'A. Rosea Cav. sont riches en composés phénoliques, qui lui confèrent une activité antioxydante importante[35] ;
  • en 2014, ses polysaccharides montrent des effets immunomodulateur[36] ;
  • en 2017, il est aussi proposé de s'en servir pour produire une nouvelle génération d'antimicrobiens (nanoparticules sphériques de nanoargent, de 7,2 nm, produit par une réaction biochimique au sein même de la fleur, à partir d'apport de AgNO3 sous température contrôlée)[37]. La CMI (concentration minimale inhibitrice) de ce nanoargent, expérimentalement évaluée sur une bactérie Gram-positive (Staphylococcus aureus) et sur une bactérie Gram-negative (Escherichia coli) était de 37,5 μg / mL[37].

Colorant

De travaux récents (2019) laissent penser que ses fleurs pourraient être utilisées pour produire des colorants de la laine et du coton[38].

Phytoremédiation

Selon une étude datée de 2008, cette plante est hyper-accumulatrice de cadmium (Cd) en présence d'agents chélateurs ; elle peut donc être utilisée pour certains types de phytoremédiation[39] ; Il convient donc de ne pas consommer de roses trémières ayant poussé sur des sols pollués.

Caractère expansionniste

La rose trémière n'est, à l'heure actuelle, pas considérée comme une espèce invasive. Cependant, elle s'acclimate sans problème et elle s'est assez bien naturalisée en milieu urbain, en raison de l’intérêt du public pour sa culture[40],[41].

Langage des fleurs

Dans le langage des fleurs, la rose trémière symbolise l'amour simple[42].

Exemples de coloration des fleurs de rose trémière

Un pied de roses trémières peut donner des fleurs de couleurs différentes selon la saison :

Art

Roses trémières, par Berthe Morisot (1880).
Une façade d'Hollyhock house

La maison des roses trémières Hollyhock house a été construite par Frank Lloyd Wright à l'est d' Hollywood pour l'héritière pétrolière Aline Barnsdall (en).

Les moulures et les vitraux représentent des tiges de roses trémières avec les feuilles en bas et les boutons floraux en haut.

Le bâtiment est inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO.

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Références

  1. Serge Schall, Jardiner en terre argileuse: Comment améliorer le sol, l'entretenir et quelles plantes installer, Larousse, , p. 46
  2. (en) Andy McIndoe, Kevin Hobbs, The Horticulture Gardener's Guides, David & Charles, , p. 43
  3. (en) Maria Kwiatkowska, Dariusz Stępiński, Katarzyna Popłońska, Agnieszka Wojtczak, Justyna Teresa Polit, « 'Elaioplasts' identified as lipotubuloids in Althaea rosea, Funkia sieboldiana and Vanilla planifolia contain lipid bodies connected with microtubules », Acta Societatis Botanicorum Poloniae, vol. 80, no 3, , p. 211-219 (DOI 10.5586/asbp.2011.036)
  4. Li, Q., Ruan, C. J., Teixeira da Silva, J. A., & Wang, X. Y. (2012) Floral morphology and mating system of Alcea rosea (Malvaceae). Plant Ecology and Evolution, 145(2), 176-184. (résumé)
  5. Sophie Lacoste, Les plantes qui guérissent, Leduc.s Éditions, , p. 400
  6. (en) T. K. Lim, Edible Medicinal and Non Medicinal Plants, Springer Science & Business, , p. 293
  7. Philippe Jauzein, Olivier Nawrot, Flore d'Île-de-France. Clés de détermination, taxonomie, statuts, Éditions Quae, , p. 327
  8. « Rose trémière, Alcea rosea - Fleurs - NatureGate », sur www.luontoportti.com (consulté le )
  9. Kwiatkowska M, Stępiński D, Popłońska K, Wojtczak A, Polit JT (2010) ‘Elaioplasts’ identified as lipotubuloids in Althaea rosea, Funkia sieboldiana and Vanilla planifolia contain lipid bodies connected with microtubules. Acta Soc Bot Pol 80(3):211–219
  10. "Flora of China 12: 267–268. 2007" (PDF). Université d'Harvard . consulté le 21 juillet 2011
  11. « Rose trémière », sur viedejardin.pagesperso-orange.fr (consulté le )
  12. nmauric, « Alcea rosea - Rose trémière », sur nature.jardin.free.fr (consulté le )
  13. BETJP, « Rose trémière ou alcea ou althea rosa, fiche technique complète », sur www.homejardin.com (consulté le )
  14. Jean-Baptiste Pujoulx, La botanique des jeunes gens, Briand, (lire en ligne), p. 540
  15. (en) Tang Y, Gilbert MG, Dorr LJ (2007) Tiliaceae. In: Wu ZY, Raven PH, Hong DY (Eds). Flora of China. Vol. 12 (Hippocastanaceae through Theaceae). Science Press, p. 240.
  16. Marjorie Blamey & Christopher Grey-Wilson [2003]. « La flore d'Europe occidentale» p. 244.
  17. Denise Péricard-Méa, Louis Mollaret, Dictionnaire de saint Jacques et Compostelle, Éditions Jean-Paul Gisserot, , p. 88
  18. Kazemi, M., Aran, M., & Zamani, S. (2011). Evaluation of genetic diversity of Iranian wild Alcea rosea population using RAPD. World Applied Sciences Journal, 13(5), 1234-1239 (résumé).
  19. Humaira, M., Athar, H., Mahmood, A., & Shah, F. H. (1994). Growth conditions for callogenesis in Althaea rosea (L.) Cav. Pakistan Journal of Agricultural Research, 15(1), 37-42. (résumé)
  20. Kavak H & Dikilitas M (2006) Powdery mildew caused by Leveillula taurica on Alcea rosea in Turkey. Australasian Plant Disease Notes, 1(1), 7-8)
  21. How To Control Powdery Mildew With Milk, vidéo, sur YouTube, déposée le 6 août 2015
  22. Gavériaux JP (2012) Puccinia malvacearum Montagne (1872) responsable de la rouille de la rose trémière [Althea rosea (L.) Cav.|Bull. Soc. Mycol. Nord Fr. 90
  23. Ripka G (2015) New Aceria and Acaralox Species (Acari: Prostigmata: Eriophyoidea) from Hungary on Alcea rosea L.(Malvaceae) and Agrimonia eupatoria L.(Rosaceae). Acta Phytopathologica et Entomologica Hungarica, 50(2), 209-221.
  24. Lauderdale C & Evans E (1999) Edible flowers. NC State University Horticulture Information leaflets 1/99 HIL-8513. http://www.ces.ncsu.edu/hil/hil-8513.html
  25. François Couplan, Le régal végétal : plantes sauvages comestibles, Éditions Ellebore, , p. 57.
  26. Rakhimov DA, Atkhamova SK, Khvan AM (2007) Pectinic substances from Alcea rosea flowers. Chem Nat Compd 43(6):685–686
  27. (en) Jo Ann Gardner, Living with Herbs, The Countryman Press, , p. 165.
  28. Mehrotra, S., Rawat, A. K. S., & Shome, U. (1999) Pharmacognostic Evaluation of the Flower of Alcea rosea L. Natural Product Sciences, 5(1), 39-47.
  29. Annie Jeanne, « Cuisine sauvage printanière : La fondante Mauve », sur jardinsdesortilege.fr, (consulté le )
  30. (en) Barnaulov OD, Manicheva OA, Trukhaleva NA, Kozhina IS, Fokina NE, Salikhov SA, « Alcea-rosea a source of polysaccharides with anti-ulcer activity », Rastit Resur, vol. 21, no 3, , p. 329-340
  31. Papiez M (2001) Histochemical changes in the Leydig cells of rats drinking the aqueous hollyhock extract. Folia Histochem Cytobiol 39(2):219–220 (résumé)
  32. Papiez MA (2004) The influence of hollyhock extract administration on testicular function in rats. J Mol Histol 35(8–9):733–740
  33. Mert T, Fafal T, Kıvcak H, Tansel Ozturk H (2010) Antimicrobial and cytotoxic activities of the extracts obtained from the flowers of Alcea rosea L. Hacet Univ J Pharm 30:17–24
  34. Ahmadi, M., Rad, A. K., Rajaei, Z., Hadjzadeh, M. A. R., Mohammadian, N., & Tabasi, N. S. (2012) Alcea rosea root extract as a preventive and curative agent in ethylene glycol-induced urolithiasis in rats. Indian journal of pharmacology, 44(3), 304.
  35. Ammar N.M, El-Kashoury E.S.A., El-Kassem, L.T.A & El-Hakeem R.E.A. (2013). Evaluation of the phenolic content and antioxidant potential of Althaea rosea cultivated in Egypt
  36. (en) T. K. Lim, Edible Medicinal and Non Medicinal Plants, Springer Science & Business, , p. 295
  37. Ebrahiminezhad, A., Barzegar, Y., Ghasemi, Y., & Berenjian, A. (2017). Green synthesis and characterization of silver nanoparticles using Alcea rosea flower extract as a new generation of antimicrobials. Chemical Industry & Chemical Engineering Quarterly, 23(1)
  38. Intelligence, M., Wear, W. S., Fabric, K., Fabric, W., Fabric, N., Yarn, B., ... & Furnishing, B. (2019). Dyeing silk, wool and cotton with Alcea rosea flower. Sat.
  39. Liu JN, Zhou QX, Sun T, Ma LQ, Wang S (2008) Identification and chemical enhancement of two ornamental plants for phytoremediation. | Bull Environ Contam Toxicol 80(3):260–265
  40. Centre France, « Ces plantes invasives qui colonisent tout », www.leberry.fr, (lire en ligne, consulté le ).
  41. « Un refuge pour la biodiversité en région Huttoise », sur rtbf.be, (consulté le ).
  42. Anne Dumas, Les plantes et leurs symboles, Éditions du Chêne, coll. « Les carnets du jardin », , 128 p. (ISBN 2-84277-174-5, notice BnF no FRBNF37189295).
  • Portail de la botanique
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.