Équipe de France espoirs de football
L'équipe de France espoirs de football est une sélection des meilleurs jeunes footballeurs français, constituée sous l'égide de la Fédération française de football. Elle prend part au championnat d'Europe espoirs, organisé tous les deux ans par l'UEFA.
Confédération | UEFA |
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Emblème | Le coq gaulois |
Couleurs | Bleu, blanc, rouge |
Surnom | Les Bleuets |
Sélectionneur | Sylvain Ripoll |
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Capitaine | Mattéo Guendouzi |
Plus sélectionné | Mickaël Landreau : 43 |
Meilleur buteur | Odsonne Édouard : 17 |
Premier match |
France 7 - 1 Angleterre () |
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Plus large victoire |
France 7 - 0 Yougoslavie () |
Plus large défaite |
Angleterre 6 - 1 France () |
Euro espoir |
Phases finales : 10 Vainqueur en 1988. |
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Tournoi de Toulon | Vainqueur en 1977, 1984, 1985, 1987, 1988, 1989, 1997, 2004, 2005, 2006, 2007, 2015 |
Jeux olympiques | Quarts de finale en 1996 |
Maillots
Domicile
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Extérieur
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L'âge limite pour participer au tournoi est de 21 ans au début de la phase de qualification. Depuis la réforme du tournoi olympique de football en 1992, la formation espoirs remplace l'équipe de France olympique.
Les « Bleuets » de 1952 à aujourd'hui
1952-1976
L'équipe de France espoirs est créée en 1952, elle rassemble alors les joueurs âgés de moins de 23 ans. En 1976, la limite d'âge pour participer au championnat d'Europe passe de 23 à 21 ans[1].
À Alger, le lors des 7e Jeux Méditerranéens elle parvient à se hisser en finale pour affronter l'Algérie qui a aligné la sélection nationale militaire pour la représenter dans cette épreuve. Les bleuets avaient déjà rencontré le pays organisateur durant la phase de poules mais la sélection tricolore composée notamment de Michel Platini, Dominique Rocheteau, Jean Fernandez, Éric Pécout et Olivier Rouyer ne pourra éviter une seconde défaite à la France : score final 3-2 à la suite d'un but de Rabah Menguelti dans les arrêts de jeu. La France repartira avec la médaille d'argent et beaucoup de regrets.
1976-1988
L'équipe de France est éliminée lors du tour de qualification du premier championnat d'Europe espoirs ouvert aux moins de 21 ans, disputé en 1978[2]. Elle manque également la qualification lors de l'édition suivante, en 1980[3]. En 1982, les Français se qualifient pour le tournoi et sont battus en quart de finale par l'URSS. Le match aller se termine sur le score de 0-0 et les Soviétiques s'imposent 4-2 au retour[4]. La France est à nouveau quart de finaliste en 1984. Opposés au futur vainqueur de l'épreuve, l'Angleterre, les espoirs français s'inclinent lourdement au match aller sur le score de 6-1. L'Anglais Mark Hateley inscrit quatre buts au cours de la rencontre, et marque de nouveau au match retour, remporté 1-0 par l'Angleterre[5]. Les « Bleuets » atteignent une nouvelle fois les quarts de finale lors de l'édition suivante, en 1986. Ils s'inclinent par deux fois sur le score de 3-1 devant l'Espagne, qui par la suite remporte le tournoi[6].
Ère Marc Bourrier (1988-1993)
Marc Bourrier est nommé sélectionneur en 1988 et reste en poste jusqu'en 1993. Il permet aux « Bleuets » de remporter leur premier trophée, le championnat d'Europe espoirs 1988, seule et unique génération à avoir été championne d'Europe des moins de 21 ans à ce jour.
L'équipe prenant part à ce tournoi est composée de joueurs nés en 1965-1966, qui pour certains sont ensuite sélectionnés en équipe de France A : Bruno Martini, Laurent Blanc, Jocelyn Angloma, Alain Roche, Franck Silvestre, Franck Sauzée, Vincent Guérin, Éric Cantona, Jean-Luc Dogon, Stéphane Paille, Pascal Despeyroux[7]. Elle se qualifie en terminant en tête de son groupe devant la RDA durant les éliminatoires. Pour atteindre la finale, ils battent en quart de finale l'Italie 2-1 à Nancy et 2-2 en Italie, en demi finale l'Angleterre. En demi-finale, face aux Anglais, la France l'emporte 4-2 au match aller. Lors du match retour (2-2) disputé au stade d'Highbury, un doublé de Cantona, répond à l'ouverture du score par Paul Gascoigne, permettant aux espoirs français d'obtenir un match nul et la qualification[8]. La finale les oppose à la Grèce. Après avoir concédé un match nul 0-0 à l'aller à Athènes, les « Bleuets » s'imposent au retour à Besançon sur le score de 3-0, grâce à un but de Franck Silvestre et à un doublé de Sauzée[7]. Lors des deux éditions suivantes, en 1990 et 1992, la France est devancée respectivement par la Yougoslavie et la Tchécoslovaquie au cours des éliminatoires, et ne peut prendre part au tournoi final[9],[10].
Ère Raymond Domenech (1993-2004)
Raymond Domenech succède à Marc Bourrier en 1993 et exerce la fonction de sélectionneur des espoirs jusqu'en 2004. Resté en poste durant onze ans, il a dirigé tous les espoirs français nés entre 1971 et 1981.
Sous sa direction, les « Bleuets » atteignent les demi-finales du Championnat d'Europe espoirs 1994. Cette génération, dont les joueurs sont nés en 1971-1972, compte dans ses rangs les futurs champions du monde Christophe Dugarry, Lilian Thuram et Zinédine Zidane. Claude Makelele, bien que né en 1973, est surclassé pour jouer en espoirs[11]. Après un match nul 0-0, ils sont éliminés par l'équipe d'Italie, le futur vainqueur de l'épreuve, lors de la séance de tirs au but[12].
Les deux équipes se retrouvent au même stade de la compétition au cours de l'édition 1996. La sélection française est composée de joueurs nés en 1973-1974, notamment les futurs champions du monde ou d'Europe Vincent Candela, Robert Pirès et Sylvain Wiltord. Patrick Vieira, né en 1976, les accompagne[11]. l'Italie s'impose de nouveau grâce à un but de Francesco Totti, puis remporte la finale face à l'Espagne[13]. Les espoirs français sont néanmoins qualifiés pour le tournoi de football des Jeux olympiques de 1996. Alors porté par le jeune Florian Maurice qui finira meilleur buteur de l'équipe tricolore, Ils font match nul en quarts de finale contre le Portugal, et sont éliminés durant les prolongations[14].
En 1998, la France termine 2e de son groupe lors des éliminatoires de l'Euro et manque la qualification pour le tournoi final[15]. La génération 1975-1976 compte plusieurs futurs internationaux, dont Ludovic Giuly, Laurent Robert et Patrick Vieira. Thierry Henry et David Trezeguet, nés en 1977, ainsi que le gardien Mickaël Landreau, né en 1979, sont surclassés pour évoluer à leurs côtés[11].
Durant le tour de qualification de l'édition 2000, l'équipe de France termine première de son groupe et est opposée à l'équipe d'Italie en barrage. Les espoirs nés en 1977-1978 comptent dans leurs rangs les futurs champions du monde Henry et Trezeguet, ainsi que Willy Sagnol et Mikaël Silvestre. Nicolas Anelka et Zoumana Camara, nés en 1979, font partie des joueurs surclassés[11]. Les espoirs italiens l'emportent en prolongation lors du match retour, disputé à Tarente, et se qualifient pour la phase finale aux dépens des « Bleuets »[16].
En 2002, l'équipe de France devance l'Espagne au cours des éliminatoires, et se qualifie face à la Roumanie lors des barrages. Parmi les joueurs nés en 1979-1980 participant à l'édition 2002, figurent notamment les futurs internationaux Jean-Alain Boumsong, Julien Escudé et Sidney Govou. Djibril Cissé et Philippe Mexès, nés respectivement en 1981 et 1982, apparaissent en tant que joueurs surclassés[11],[17]. Vainqueurs de la Suisse en demi-finale, les « Bleuets » sont ensuite opposés à la République tchèque. Après un match nul 0-0 en finale, les espoirs tchèques remportent l'épreuve lors de la séance de tirs au but[18].
La génération 1981-1982 dispute les éliminatoires de l'Euro 2004. L'équipe est composée des futurs internationaux Djibril Cissé, Patrice Évra et Philippe Mexès. Anthony Le Tallec et Florent Sinama-Pongolle, nés en 1984, font partie des joueurs surclassés[19],[20]. La France termine en tête de son groupe de qualification devant Chypre et est éliminée en barrages par le Portugal. Les espoirs français l'emportent 2-1 au match aller, mais s'inclinent sur le même score au retour, après l'expulsion de Djibril Cissé. Aucun but n'est inscrit en prolongation et le Portugal de Cristiano Ronaldo s'impose finalement aux tirs au but[19].
Ère René Girard (2004-2008)
Raymond Domenech est nommé sélectionneur de l'équipe de France en , René Girard lui succède alors à la tête des espoirs, qu'il dirige jusqu'en 2008.
Les « Bleuets » de la génération 1983-1984 disputent le championnat d'Europe espoirs 2006. Ils comptent dans leurs rangs les internationaux Rio Mavuba et Jérémy Toulalan, ainsi que Franck Ribéry, Lassana Diarra, Gaël Clichy et Bacary Sagna, appelés par la suite en équipe de France A. Jimmy Briand et Steve Mandanda, nés en 1985, intègrent le groupe en tant que joueurs surclassés. L'équipe de France atteint les demi-finales en battant le Portugal, l'Allemagne et la Serbie[21]. Malgré des buts de Julien Faubert et Bryan Bergougnoux, les « Bleuets » sont éliminés par les Pays-Bas sur le score de 3-2 après prolongations. Les néerlandais s'imposent ensuite en finale face à l'Ukraine[22].
Parmi les joueurs nés à partir de 1984, engagés dans la campagne qualificative pour l'Euro espoirs 2007[23], figurent notamment Jimmy Briand, Yoan Gouffran et Steve Mandanda. Karim Benzema et Samir Nasri, nés en 1987, intègrent le groupe en tant que joueurs surclassés[24]. Durant les éliminatoires, les Français remportent leur groupe en s'imposant face à l'Écosse et la Slovénie. Lors des barrages, disputés en face à l'équipe d'Israël, ils concèdent un match nul 1-1 à l'aller et sont battus sur le score de 1-0 au retour. Ce revers les empêche de prendre part à l'Euro, ainsi qu'au tournoi de football des JO de Pékin[25].
Les joueurs nés à partir de 1986 prennent part aux éliminatoires de l'Euro espoirs 2009. La sélection compte dans ses rangs Abou Diaby, Yoann Gourcuff et Hugo Lloris[26]. La qualification pour l'Euro 2009 est hypothéquée par une défaite concédée face au Pays de Galles[27], et en la FFF annonce le remplacement de René Girard par Erick Mombaerts[28].
Ère Erick Mombaerts (2008-2012)
Le nouveau sélectionneur prend ses fonctions en , alors que la phase de qualification pour l'Euro 2009 n'est pas terminée. Selon le directeur technique national, Gérard Houllier : « l'objectif est de démarrer un nouveau cycle dès le mois d'août pour nous qualifier pour l'Euro 2011. »[28] Finalement, la France se qualifie pour les barrages grâce à des circonstances favorables. Elle perd en barrage 2-1 contre l'Allemagne qui deviendra championne d'Europe espoirs, neuf mois plus tard. Par la suite, Erick Mombaerts est démis de ses fonctions le [29], à la suite de la non-qualification des Bleuets a l'Euro espoirs de 2013, ternie par la virée nocturne de cinq d'entre eux : Yann M'Vila, Antoine Griezmann, Chris Mavinga, M'Baye Niang et Wissam Ben Yedder[30],[31].
Année Willy Sagnol (2013-2014)
Durant l'été 2013, Willy Sagnol est nommé sélectionneur des espoirs[32]. La sélection joue son premier match en amical le face à l'Allemagne à Fribourg (0-0). Elle entame sa campagne de qualifications à l'Euro 2015 le contre le Kazakhstan.
Le , le 1er groupe convoqué par Sagnol s'appuie notamment sur les M20, champions du Monde, et les M19, vice-champions d'Europe mais aussi sur certains joueurs qu'il a emmené en juin dernier au Tournoi de Toulon[33].
Très vite, Willy Sagnol est sollicité par de nombreux clubs français. Il signe finalement aux Girondins de Bordeaux.
Ère Pierre Mankowski (2014-2016)
Pierre Mankowski, reprend la sélection à l'été 2014. Ayant été sélectionneur de toutes les sélections de catégories plus jeunes, il connait bien la génération actuelle. Son mandat commence sous la pression, puisque l'équipe doit disputer en les barrages de qualification pour l'Euro 2015 en République tchèque.
Opposés à la Suède, les Bleuets s'imposent 2-0 au Mans à l'aller grâce à Florian Thauvin et Geoffrey Kondogbia mais s'inclinent 4-1 au retour malgré une réduction du score de Layvin Kurzawa à la 87e minute qui les qualifiait. Mais sur l'engagement qui suit Oscar Lewicki marque un ultime but qui prive les Bleuets de l'Euro 2015 et des Jeux olympiques de 2016. Une polémique éclate après que le buteur français chambre vivement ses adversaires par un salut militaire.
Un temps sur le départ, Pierre Mankowski est finalement maintenu dans ses fonctions. Le , en match amical, les espoirs sont tenus en échec en Italie (1-1) avant de s'imposer le face à l'Angleterre (3-2) grâce notamment à un doublé de Yaya Sanogo.
Lors des éliminatoires de l'Euro 2017, l'équipe de France ne parvient pas à se qualifier, terminant 2e derrière la Macédoine.
Ère Sylvain Ripoll (2017-)
Le , Sylvain Ripoll est nommé sélectionneur des Espoirs après le licenciement de Pierre Mankowski. Plusieurs joueurs qui ont été champions d'Europe U19 et qui ont disputé la Coupe du monde U20 ont été appelés. La nouvelle génération de joueurs nés 1996-1997 a été appelée par le nouveau sélectionneur, plusieurs joueurs nés en 1998-1999 comme Yann Karamoh, Kelvin Amian, Malang Sarr et Jonathan Ikoné ont été appelés. Lors du rassemblement, Theo Hernandez n'était pas venu à Clairefontaine car il était parti en vacances à Marbella. L'ancien entraîneur du FC Lorient commence bien son mandat avec une victoire face à l'Albanie en match amical le (3-0) avec un doublé de Lys Mousset et un but de Jordan Siebatcheu. Son objectif principal est de qualifier les Bleuets pour l'Euro, qui aura lieu en Italie en 2019. Les espoirs français ne s'étaient pas qualifiés à un Euro depuis 2006.
Campagne pour l'Euro, une vraie réussite
Pour les éliminatoires, la France hérite d'un groupe composé de la Slovénie, du Kazakhstan, du Luxembourg, de la Bulgarie et du Monténégro. Les Tricolores doivent finir premiers du groupe pour se qualifier. La France débute bien en remportant son match d'entrée face au Kazakhstan (4-1), grâce notamment à un triplé de Martin Terrier, entré en jeu. Les Tricolores enchaînent avec une victoire face au Monténégro(2-1). Au Luxembourg, menés 0-2, ils renversent le match en s'imposant 3-2, avant de battre la Bulgarie (3-0). Quatre jours plus tard, un triplé de Moussa Dembélé donne la victoire aux Bleuets. Ils enchaînent trois victoires consécutives à l'extérieur, au Kazakhstan (3-0), au Monténégro (2-0) et en Bulgarie (1-0). Enfin, la France bat le Luxembourg (2-0) avant de terminer sa campagne de qualification face à la Slovénie (1-1), leur seul match nul après neuf victoires[34]. La France finit donc sur 9 victoires et 1 match nul en 10 matchs, avec une différence de buts de +18. Les meilleurs buteurs de l'équipe auront été Martin Terrier et Moussa Dembélé avec 5 réalisations chacun.
Euro 2019, une déception mais qualification aux JO
La France, qualifiée pour l'Euro grâce à un très beau parcours en qualifications, est placée dans le groupe C. Elle y affronte l'Angleterre, la Roumanie et la Croatie[35]. Les Bleuets débutent par une victoire face à l'Angleterre (2-1). Après avoir manqué deux pénaltys, ils sont menés (0-1) à deux minutes de la fin du temps réglementaire, mais Jonathan Ikoné égalise à la 89e minute (1-1), et Aaron Wan-Bissaka donne la victoire aux Français sur un but contre son camp à la dernière minute du temps additionnel (2-1)[36]. Après une nouvelle victoire contre la Croatie (1-0) et un match nul contre la Roumanie (0-0), la France termine meilleure deuxième et se qualifie pour les demi-finales de l'Euro ainsi que pour les Jeux Olympiques de 2020 à Tokyo. Les Bleuets quittent le tournoi en demi-finale sur une défaite (4-1) face à l'Espagne, futur vainqueur, malgré l'ouverture du score sur un penalty de Jean-Philippe Mateta.
Euro 2021
En raison de la pandémie de COVID-19, l'Euro Espoirs 2021 est joué avant les JO de Tokyo. En raison de la concurrence avec l'Euro 2020, lui aussi reporté, la phase de groupes est jouée en mars et la phase finale début juin. Dans le groupe C, les Bleuets commencent par une défaite face au Danemark, mais s'imposent ensuite face à la Russie et à l'Islande. Ils retrouveront les Pays-Bas le 31 mai en quart de finale face auquel ils perdront 2-1.
Palmarès
- Jeux olympiques :
- Quart de finaliste en 1996
Sélectionneurs
- 1954 : Alex Thépot
- 1955 : Louis Dugauguez
- 1956-1963 : shelby
- 1964 : Georges Boulogne
- 1965-1966 : non connu
- 1967 : Henri Biancheri
- 1968-1978 : Henri Guérin
- 1979 : non connu
- 1980- : Jack Braun
- : Joseph Mercier
- - : Jack Braun (2de fois)
- -1993 : Marc Bourrier
- 1993-2004 : Raymond Domenech
- 2004-2008 : René Girard
- 2008-2012 : Erick Mombaerts
- 2013-2014 : Willy Sagnol
- 2014-2016 : Pierre Mankowski
- 2017- : Sylvain Ripoll
Parcours à l'Euro et aux JO
Année | Euro espoirs | Jeux olympiques |
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1978 | n.c. | La France est représentée par l'équipe de France olympique avant 1992. |
1980 | n.c. | |
1982 | n.c. | |
1984 | n.c. | |
1986 | n.c. | |
1988 | Vainqueur | |
1990 | n.c. | |
1992 | n.c. | Non qualifiée |
1994 | Demi-finaliste | - |
1996 | Demi-finaliste | Quarts de finale |
1998 | n.c. | - |
2000 | Non qualifiée | Non qualifiée |
2002 | Finaliste | - |
2004 | Non qualifiée | Non qualifiée |
2006 | Demi-finaliste | - |
2007 | Barragiste | - |
2008 | - | Non qualifiée |
2009 | Barragiste | - |
2011 | Non qualifiée | - |
2012 | - | Non qualifiée |
2013 | Barragiste | - |
2015 | Barragiste | - |
2016 | - | Non qualifiée |
2017 | Non qualifiée | - |
2019 | Demi-finaliste | - |
2020 | - | Premier tour |
2021 | Quart de finaliste | - |
2023 | - | |
2024 | Qualifiée d'office |
Effectif actuel
Liste des joueurs sélectionnés par Sylvain Ripoll pour disputer la phase finale de l'Euro espoirs 2021.
Joueurs | Encadrement technique | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Appelés récemment
Les joueurs suivants ne font pas partie du dernier groupe appelé mais ont été retenus en équipe espoirs lors des 12 derniers mois.
Les joueurs qui comportent le signe sont blessés ou malades au moment de la dernière convocation.
Notes et références
- « Le futur au présent », UEFA,
- Euro espoirs 1978 sur le site de l'UEFA
- Euro espoirs 1980 sur le site de l'UEFA
- Euro espoirs 1982 sur le site de l'UEFA
- Euro espoirs 1984 sur le site de l'UEFA
- Euro espoirs 1986 sur le site de l'UEFA
- Euro espoirs 1988 sur le site de l'UEFA
- « Cantona, génie naissant », UEFA,
- Tours de qualification de l'Euro espoirs 1990 sur le site de l'UEFA
- Tours de qualification de l'Euro espoirs 1992 sur le site de l'UEFA
- « Ce difficile passage vers les A », L'Équipe,
- Euro espoirs 1994 sur le site de l'UEFA
- Euro espoirs 1996 sur le site de l'UEFA
- (en) Atlanta 1996 Mens Football Tournament sur le site de la RSSSF
- Tours de qualification de l'Euro espoirs 1998 sur le site de l'UEFA
- Matches de barrage de l'Euro espoirs 2000 sur le site de la FFF
- « « La génération aux deux visages » » (sur l'Internet Archive), L'Équipe,
- Euro espoirs 2002 sur le site de l'UEFA
- « espoirs ruinés », UEFA,
- « France-Portugal avec les cracks », L'Équipe,
- « Les Bleuets passent à l'Oranje », UEFA,
- « Hofs élimine les Bleuets », UEFA,
- L'Euro espoirs est disputé lors d'une année impaire à partir de l'édition 2007.
- « Fin de l'aventure », L'Équipe,
- « Pas d’Euro pour les Bleuets », Football365.fr,
- « Roumanie-France en direct », Football.fr,
- « Les Bleuets craquent sur la fin », Eurosport,
- « Football: René Girard va être remplacé à la tête des espoirs », Reuters,
- Communiqué de la FFF sur fff.fr, le 18 octobre 2012.
- Article "Erick Mombaerts:J’ai été trahi" sur le site Eurosport
- Une virée qui pourrait coûter cher
- Sagnol président de la Commission Fédérale sur fff.fr, le 30 juillet 2013.
- Sagnol pioche chez les U20 sur francefootball.fr, le 08/08/2013.
- https://fr.uefa.com/under21/season=2019/teams/team=200043/matches/index.html
- https://fr.uefa.com/under21/standings/
- https://fr.uefa.com/under21/season=2019/matches/round=2000799/match=2025985/?iv=true
- « Dernière Sélection Equipe de France Espoirs », sur FFF.fr (consulté le )
- « Staff Equipe de France espoirs », sur FFF.fr (consulté le )
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