Sanâa (musique)

La sanâa ou çanâa ou bien sanâa d'Alger (arabe : الصّنعة, ə-Ṣan'a -œuvre élaborée-) ou simplement l'Andalou[1], désigne le répertoire de musique savante arabo-andalouse algérienne (classique) de l'école d'Alger et dont la tradition rattache à la ville de Cordoue en Espagne musulmane.

Sanâa
École d'Alger
(ara) الصّنعة ə-Ṣan'a
Transcription d'un extrait d'un Mseddar (premier mouvement) de la Nuba Mdjenba -Qum yā ḥabībī-, d'après Alexandre Christianowitsch, 1863.
Origines stylistiques École de musique de Cordoue (Espagne musulmane)
Origines culturelles Algérie (Alger)
Instruments typiques
Popularité
Scènes régionales

Echelle nationale :

Echelle internationale :

Voir aussi corpus de l'école d'Alger (répertoire du maître Sid Ahmed SERRI)

Sous-genres


Nuba
Inqilab
Qadriyya

Genres dérivés


Chaâbi
Aroubi
Hawzi
Medih (Rahawi)

Genres associés


École de Tlemcen (Sanâa de Tlemcen, Gharnata ou Gharnati)
École de Constantine (malouf)

Origine et signification

Sanâa signifie « maîtrise musicale »[2]. C'est le nom spécifique attribué en Algérie, à la Nouba de l'école d'Alger, à coté du gharnati de l'école de Tlemcen et du malouf de l'école de Constantine. Toutefois, selon Taoufik Bestandji, « école » est un terme impropre et flou, il n'y a pas de différences structurelles entre les spécificités de ces « Écoles »[2]. Par ailleurs, le terme sanâa désignant le répertoire algérois a été introduit assez tardivement et il demeure peu utilisé par les musiciens[3]. Le mot sanâa est également utilisé par les autres écoles[4].

La tradition rattache cette école à la ville de Cordoue en Espagne musulmane[5], elle englobe Alger, et ses environs, notamment les villes de Koléa, Blida et Cherchell[6], et les villes de Mostaganem[2], de Miliana[7], Médéa[8] et de Béjaia[9]. La sanâa d'Alger a beaucoup de similitudes avec le gharnati de Tlemcen, ce n'est que avec la création de l'orchestre classique arabo-andalou de Radio d'Alger en 1946 qu'a eu véritablement la dissociation entre les deux écoles[10].

Structure

Modes

Il existe seize modes (الطبع: Ṭabʿ, الطبوع : tūbūb' au pluriel) répartis en sept modes fondamentaux (définis sur la base de sept Istiḥbār[11]) et neuf dérivés[12].

Modes de la Çanâa d'Alger:
Istiḥbār de référence Modes fondamentaux Modes dérivés
Istiḥbār Mawwāl Mawwāl (الموال)

Dīl (الذيل)
Raṣd ə-Dīl (رصد الذيل)
Māya (الماية)

Istiḥbār Zīdān Zīdān (الزيدان)

Raml (الرمل)
Mǧənba (المجنبة)

Istiḥbār Raml əl-Māya Raml əl-Māya (رمل الماية)

Raṣd (الرصد)

Istiḥbār 'Iraq 'Iraq (العراق)

Ḥsīn (الحسين)
Ġrīb (الغريب)
Ġrībat əl-Ḥsīn (غريبة الحسين)

Istiḥbār Ǧārkā Ǧārkā (الجاركاه)
Istiḥbār Ṣīkā Ṣīkā (السيكاه)
Istiḥbār Məzmūm Məzmūm (المزموم)

D'autres modes auraient été perdus[13];

  • Asbaʿayn (الاصبعين)
  • Ḥsīn Aṣīl (الحسين الاصيل)
  • Ḥsīn Ṣabā (الحسين صبا)
  • Ḥsīn ʿUšəyrān (الحسين عشيران)
  • Iṣbahān Kabīr (الاصبهان الكبير)
  • Iṣbahān Ṣaġir (الاصبهان الصغير)
  • Rahāwi (الرهاوي)
  • Raml əl-ʿAšiyya (رمل العشية)
  • Māya Fāriġ (الماية الفارغ)
  • ʿUššāq (العشّاق)

Notons que chaque mode était joué à un moment particulier de la journée[14]:

  • L'après-midi: Raṣd (الرصد), Məzmūm (المزموم) et Ṣīkā (السيكاه).
  • Entre 18h et 20h: Raml (الرمل).
  • Entre 20h et 22h: Raml əl-Māya (رمل الماية).
  • Entre 22h et minuit: Ḥsīn (الحسين).
  • Entre 23h et 01h: Dīl (الذيل) et Mǧənba (المجنبة).
  • Entre minuit et 02h30: Ġrīb (الغريب) et Zīdān (الزيدان).
  • Entre 02h30 et 03h30: Raṣd ə-Dīl (رصد الذيل).
  • Entre 03h30 et 05h: Māya (الماية).

Système rythmique : Mizân

La notion de rythme dans la nûba algéroise, combine le rythme de la percussion, celui de la mélodie et celui de la prosodie, ce qui la distingue du muwashshah andalou dont le rythme est imposé exclusivement par la musique[1].

Le rythme de la percussion est relativement simple[1] :

  • Mizân al-Bašraf (DTT) : une mesure à
    ou
    pour les trois premières phases de la nûba (Mṣeddar, Bṭāyḥī et Derǧ) et leurs kûrsi.
  • Mizân al-Inṣirāf (DTD TTT) : une mesure à
    pour accompagner la quatrième phase (Inṣirāf), tūšiyyet al-inṣirāfāt et les qadriyyət ə-ṣan'a.
  • Mizân al-H̱alās (D–D–TT) : une mesure à
    qui dérive du mizân al-Inṣirāf par la substitution des deuxième et quatrième Tak par des silences et par une accélération du tempo. Il sert à accompagner la cinquième phase (H̱alās).
  • Mîzān a-Sufyān : une mesure à
    , aussi appelé mîzān əl-Inqilābāt à Alger[15].

Formes

La Nuba

Une Nuba est une suite ordonnée de pièces vocales et instrumentales qui s’articule autour de cinq mouvements dont le rythme progresse du très lent au très léger et qui sont réparties en deux phases théoriques, la première comportant les trois premiers mouvements (Mṣeddar, Bṭāyḥī et Derǧ) et la seconde, les deux derniers (Inṣirāf et H̱alās). Enfin, le nom de chaque mouvement est tiré du rythme cyclique qui le soutient.[16].

Structure d’une Nouba[16],[1]:
Pièce Description Rythme
Première phase
Dāyrā Pièce vocale (prélude) non mesurée consistant en la vocalisation de syllabes vides (tlāliyāt) composées des consonnes L et N, ainsi, les musiciens chanteront en chœur « Len yā lālān ! » en passant en revue, toutes les notes caractéristiques du mode considéré.

Sur les seize modes connus, deux uniquement, conservent leur Dāyrā ; le Dil et le Gherib.

Məstəẖbar ə-Ṣan'a Egalement connue par Tūšiyyet e-taqʿīda ou Mšālyā, est une pièce instrumentale (prélude) non mesurée servant à l’exposition du mode (principal et des modes voisins utilisés dans son développement) –exposition des notes caractéristiques- et à introduire l’auditoire dans son atmosphère, elle sert également à l’accord des instruments et joue le rôle d’une pré-introduction rythmique (à la Tūšiyya).
Tūšiyya Ouverture instrumentale mesurée et composée de plusieurs phrases (chacune se répétant une fois) dans lesquelles se succèdent une série de signatures rythmiques rappelant les cinq mouvements qui constituent la Nuba (du mode considéré), il s’agit donc d’une ouverture à programme.

Dans la pratique, d'autres pièces peuvent se substituer à la tūšiyya, à l'instar de l'inqilāb[1], notamment dans les enregistrements actuels[17].

  • Mesure à 2 temps
  • Mesure à 4 temps
Krîsi al-Mṣeddar Assise mélodico-rythmique du premier mouvement.

kūrsi (ou Krîsi) signifie littéralement "chaise".

Mṣeddar

Premier mouvement

Pièce vocale et instrumentale (une ou plusieurs), lente et solennelle, elle est considérée comme la pièce maîtresse de la Nuba.
  • Mesure à 4/4 (Mîzān Mṣeddar) (adagio)
Krîsi al-Bṭāyḥī Assise mélodico-rythmique du second mouvement.
Bṭāyḥī

Second mouvement

Seconde pièce vocale et instrumentale (une ou plusieurs).
  • Mesure à 4/4 (Mîzān Bṭāyḥī) (Andante)
Istiḥbār Prélude vocal non mesuré où le musicien fait étalage de son inspiration et de sa virtuosité.

Il existe des Istiḥbārāt dans les modes fondamentaux : Mawwāl, Zîdān, Ğārka; Raml al-Māya, ‘Irāq, Sîka et Mazmûm.

Krîsi ad-Derǧ Assise mélodico-rythmique du troisième mouvement.
Derǧ

Troisième mouvement

Troisième pièce vocale et instrumentale (une ou plusieurs).
  • Mesure à 4/4 (Mîzān Derǧ) (entre Andantino et Allegretto)
Seconde phase
Tūšiyyet al-inṣirāfāt Long interlude instrumental servant à introduire le quatrième mouvement (Inṣirāf) et permet aux musiciens de reposer leur voix.

NB Il n’en reste que deux pièces, celle du mode Gherîb et celle du mode Hsîn. NB2 En son absence, un Krîsi al-inṣirāf le remplace.

Inṣirāf

Quatrième mouvement

Quatrième pièce vocale et instrumentale (une ou plusieurs).
  • Mesure à 6/8 (DûmTekDûm TekTekTek) (Mîzān Inṣirāf)
Dlīdla Pièce vocale issue du répertoire populaire consistant en un court poème de deux vers en arabe dialectal. Elle s'intercale entre deux Inṣirāf. Mesure à 6/8 (Mîzān Inṣirāf)
H̱alās

Cinquième mouvement

Cinquième pièce vocale et instrumentale (une ou plusieurs).

NB contrairement au quatre autres mouvements, le H̱alās suit directement l'Inṣirāf sans kūrsi.

  • Mesure à 6/8 (Dûm_Dûm _TekTek) (Mîzān H̱alās)
Qadriyya Pièce vocale issue du répertoire populaire féminin d'Alger consistant en un court poème de deux vers en arabe dialectal (voir plus bas).

Outre al-Qadriyya al-Mqenṭra, les Qadriyyat existent dans les modes Iraq, Raml əl-Māya, Zīdān, Ṣīkā, Mawwāl et Mǧənba.

Mesure à 6/8 (Mîzān Inṣirāf)

Nuba Mezdj

Il s'agit d'un jumelage (مزج, Mazǧ) savant entre deux modes et repose sur des critères particuliers[18].

On en connaît cinq Nuba Mezdj : (NB l'ordre indiqué des modes est inchangé (premier mode & deuxième mode):

  • Dīl & Mǧənba
  • Raml əl-Māya & Raml
  • Ġrīb & Zīdān
  • Raṣd & Məzmūm
  • Māya & Raṣd ə-Dīl

La Nuba Mezdj suit des règles strictes et se caractérise par[18]:

  • Ouverture instrumentale (Tūšiyya) : premier mode.
  • Mṣeddar : le premier Mṣeddar doit être dans le premier mode.
  • Bṭāyḥī : deuxième mode.
  • Derǧ : le dernier Derǧ doit être dans le même mode que le premier Inṣirāf.
  • Inṣirāf :
    • le premier Inṣirāf doit être dans le même mode que le dernier Derǧ.
    • le dernier Inṣirāf doit être dans le deuxième mode.
  • H̱alās :
    • le premier H̱alās doit être dans le deuxième mode.
    • le dernier H̱alās doit être dans le premier mode (comme l'ouverture instrumentale).

Nubat əl-Inqilābāt

Il s'agit d'une suite de pièces vocales (Mouachah et Zedjel) nommées Inqilābāt (الانقلابات (ara), Inqilāb (انقلاب) au singulier, , litt. inversion) et instrumentales (ouvertures (Tšambar) & assises mélodico-rythmiques (Krîsi əl-Inqilāb)) où se succèdent les sept modes fondamentaux contrairement à la Nuba classique qui s'articule principalement, autour d'un seul mode et différentes structures rythmiques (2/4, 4/4, 6/4, 7/4, 8/8))[19].

La structure d’une Nuba Inqilābāt est:

  • Tšambar : ouverture instrumentale typique des Nubat əl-Inqilābāt, il en existe cinq pièces:
    • Tšambar Ṣīkā (تشمبار السيكاه)
    • Tšambar 'Iraq (تشمبار العراق)
    • Tšambar Raml əl-Māya ou Nubat e-Sultān (تشمبار رمل الماية او نوبة السلطان)
    • Tšambar Zīdān (تشمبار الزيدان)
    • Tšambar ʿAǧamī (تشمبار عَجَمي)
  • Istiḥbār : Prélude vocal non mesuré consistant en un court poème de deux à trois vers en arabe classique, chaque Istiḥbār annonce le mode dans lequel seront jouées les Inqilābāt à venir:
    • Istiḥbār Mawwāl : annonce les Inqilābāt du mode Mawwāl.
    • Istiḥbār Ǧārkā : annonce les Inqilābāt du mode Ǧārkā.
    • Istiḥbār Raml əl-Māya : annonce les Inqilābāt du mode Mawwāl.
    • Istiḥbār Zīdān : annonce les Inqilābāt du mode Zīdān.
    • Istiḥbār 'Iraq : annonce les Inqilābāt du mode 'Iraq.
    • Istiḥbār Ṣīkā : annonce les Inqilābāt du mode Ṣīkā.
    • Istiḥbār Məzmūm : annonce les Inqilābāt du mode Məzmūm.
  • Krîsi əl-Inqilāb : assises mélodico-rythmiques (Mīzān) ou courte introduction musicale précédant une pièce Inqilāb.
  • Inqilābāt : pièces vocales (Mouachah et Zedjel) de différentes structures rythmiques (2/4, 4/4, 6/4, 7/4, 8/8):
    • Inqilābāt Mawwāl.
    • Inqilābāt Ǧārkā.
    • Inqilābāt Raml əl-Māya.
    • Inqilābāt Zīdān.
    • Inqilābāt 'Iraq.
    • Inqilābāt Ṣīkā.
    • Inqilābāt Məzmūm.
  • Inṣirāfāt Məzmūm
  • H̱alāsāt Məzmūm

Slisla

Slisla (سليسلة), litt. petite chaîne (diminutif de سلسلة Silsila : chaîne), désigne une Nubat əl-Inqilābāt dont les pièces Inqilābāt évoluent dans la même structure rythmique (Mīzān), e.g. Slisla Mīzān Ṣofyān & Slisla Mīzān Bašraf.

Qadriyya

Une qadriyya ((ara) القادرية) correspond à des quatrains de poésie légère ayant pour thème général, l'amour. Ils sont très goûtées par les femmes, ce qui leur a valu le qualificatif de ghena nessouani ((ara) الغناء النسواني) (chants des dames) et sont par conséquent, la spécialité des chanteuses professionnelles (messemaat)[20].

On en distingue deux genres[20] :

  • Qadriyyət ə-ṣan'a ((ara) قادرية الصنعة) dont les mélodies se rapprochent des mélodies sérieuses et classiques. Elle s'exécute après une nuba classique par des hommes en guise de diversion ou si l'auditoire est composé de femmes.

On l'introduit par un petit prélude pour prendre le mouvement (mîzān), le chanteur exécute le premier distique en répétant le second vers, le motif mélodique est repris par les instruments, puis le chanteur exécute le second distique en répétant le second vers comme au début. Les instruments terminent par une reprise de la mélodie.

  • Qadriyyət ə-zendānī ((ara) قادرية الزنداني) dont les mélodies sont moins distinguées (par rapport au premier genre).

Quand plusieurs qadriyya-s de différents modes se succèdent, l'enchaînement se fait comme pour les inqilabat[20].

Artistes représentatifs

  • Abdelkrim DALI [1914-1978]
  • Abdelkrim Mehamsadji [1904-1999]
  • Abderrahmane BELHOCINE [1909-1983]
  • Abderrahmane MENEMMECHE [1820-1891]
  • Abderrahmane REGHAÏ dit "Cheikh SAÏDI" [XIXe-1931]
  • Abderrahmane SAÏDI
  • AbderRezaq FAKHARDJI [1911-1984]
  • Ahmad ben El Hadj Brahim (musicien d'Hussein Dey)[21]
  • Ahmed Sebti
  • Alfred LEBRATI dit "Mâalem Sassi" [1885-1971]
  • Beihdja RAHAL [1962-]
  • Boudjemaa FERGUENE [1916-2002]
  • Cheikh Brihmat
  • Dahmane BEN ACHOUR [1912-1976]
  • Edmond Nathan Yafil [1874-1928]
  • El Hadj Bakir MESSEKDJI [1923-2000]
  • El Hadj Hamidou Djaïdir [1923-2004]
  • El Hadj Mamed BENCHAOUCH [1930-2016]
  • Fadhéla Dziria
  • Farid KHODJA [1964-]
  • Fayçal BENKRIZI
  • Hadj Omar Bensemane [1906-1972]
  • Hadj Mouley Ahmed BENKRIZI [1931-2017]
  • Lamia MAADINI [1967-]
  • Mâalem Ben Farachou [1833-1904]
  • Mâalma Yamna Bent El Hadj El Mahdi [1859-1933]
  • Mahieddine BACHTARZI [1897-1986]
  • Mahieddine LAKEHAL [1885-1945]
  • Mahmoud MESSEKDJI [1928-2005]
  • Mahmoud Ould Sidi Saïd [XIXe-1932]
  • Makhlouf BOUCHARA
  • Meriem Fekkaï
  • Mohammed BAHAR [1920-2000]
  • Mohamed Ben Ali SFINDJA [1844-1908]
  • Mohamed Ben Teffahi [1870-1944]
  • Mohammed FAKHARDJI [1896-1956]
  • Mohamed KHAZNADJI [1929-]
  • Mustapha BOUTRICHE
  • Mustapha KECHKOUL [1913-1991]
  • Nacereddine BEN MERABET
  • Nadia OULD MOUSSA
  • Nassima Châabane
  • Nourredine SAOUDI
  • Rachid GUERBAS
  • Sadek BOUYAHIA dit "Cheikh Sadek El Béjaoui" [1907-1995]
  • Saül DURAND dit "Mâalem Mouzinou" [1865-1928]
  • Sid-Ahmed SERRI [1926-2015]
  • Sid-Ali LAKEHAL
  • Sultana DAOUD dite "Reinette l'Oranaise" [1915-1998]
  • Zakia KARA-TERKI
  • Zerrouk MOKDAD
  • Zoubir KAKACHI

Festivals

  • Festival culturel national de la musique Andalouse SANAA[22]
  • Festival International De Musique Andalouse Et Des Musiques Anciennes[23]
  • Rencontre de musique andalouse «Senâa» [24]

Discographie

Notes et références

  1. Youcef TOUAIBIA, "Musique arabo-andalouse d’Alger LA NÛBA ḤSÎN : La Nûba algéroise", livret, collections INEDIT, Maison des Cultures du Monde, France, 2008. [URL: http://www.maisondesculturesdumonde.org/sites/default/files/albums/booklet260133.pdf]
  2. Bestandji, Taoufik,, L'Algérie en musique, Paris, l'Harmattan, 123 p. (ISBN 978-2-343-13494-9, 2-343-13494-4 et 978-2-14-005292-7, OCLC 1062438393, lire en ligne), p. 36
  3. Youcef TOUAIBIA, "Musique arabo-andalouse d’Alger LA NÛBA ḤSÎN : La Nûba algéroise", p.4, livret, collections INEDIT, Maison des Cultures du Monde, France, 2008. [URL: http://www.maisondesculturesdumonde.org/sites/default/files/albums/booklet260133.pdf]
  4. Nadir Marouf, « Le système musical de la San'a ou le paradigme de la norme et de la marge (Hommage à Pierre Bourdieu) », Horizons Maghrébins - Le droit à la mémoire, vol. 47, no 1, , p. 15 (DOI 10.3406/horma.2002.2054, lire en ligne, consulté le )
  5. Manda Tchebwa, L'Afrique en musiques, Paris, L'Harmattan, , 348 p. (ISBN 978-2-296-96409-9, lire en ligne), p. 35
  6. « Une ville, une histoire : Koléa l’andalouse | El Watan », sur www.elwatan.com (consulté le )
  7. « Miliana: Ezyria El Andaloussia au rythme de la nouba - Algerie360 », sur www.algerie360.com, (consulté le )
  8. Maya SAIDANI, Musiques et danses traditionnelles du patrimoine algérien, Http://www.cnrpah.org/pci-bnd/images/livre.pdf, CNRPAH, (lire en ligne), p. 25
  9. Cheurfi, Achour, 1955-, L'encyclopédie maghrébine, Casbah éditions, (ISBN 978-9961-64-641-0 et 9961-64-641-X, OCLC 259710564, lire en ligne), p. 72
  10. Youcef TOUAIBIA, "Musique arabo-andalouse d’Alger LA NÛBA ḤSÎN : La Nûba algéroise", ...op. cit. p.6,
  11. Istiḥbār: Improvisation vocale et instrumentale non mesurée
  12. Le Groupe YAFIL Association, « Les Tubu' dans la Çan'a », sur yafil.free.fr, 2001 / 2003. (consulté le )
  13. Sayyid Aḥmad Sirrī et سري، سيد أحمد., al-Ṭarab al-Andalusī : majmūʻat ashʻār wa-azjāl mūsīqá al-ṣanʻah, Mūfim lil-Nashr, , 23 p. (ISBN 9961-62-266-9 et 978-9961-62-266-7, OCLC 54344871, lire en ligne)
  14. Sayyid Aḥmad Sirrī et سري، سيد أحمد., al-Ṭarab al-Andalusī : majmūʻat ashʻār wa-azjāl mūsīqá al-ṣanʻah, Mūfim lil-Nashr, , 24 p. (ISBN 9961-62-266-9 et 978-9961-62-266-7, OCLC 54344871, lire en ligne)
  15. Dr Yahia GHOUL, Étude des rythmes du patrimoine musical andalou de l'école de Tlemcen, XVe Festival national de la musique andalouse, Tlemcen, Algérie, 1993.
  16. Rachid Guerbas, Chant et musique de la Nawba ou Nûba algérienne (Musiques d'Algérie : mémoire de la culture maghrébine. Algérie : histoire, société, théâtre, arts plastiques), France, Horizons Maghrébins, (doi : https://doi.org/10.3406/horma.2002.2055)
  17. Maya SAIDANI, Musiques et danses traditionnelles du patrimoine algérien, Http://www.cnrpah.org/pci-bnd/images/livre.pdf, CNRPAH, (lire en ligne), p. 210
  18. Le Groupe YAFIL Association, « La Nouba : La Nouba " Mezdj " ou jumelée », sur yafil.free.fr, 2001 / 2002 (consulté le )
  19. Le Groupe YAFIL Association, « LES NIQLABATES », sur http://yafil.free.fr/, 2002 / 2003 (consulté le )
  20. Jules Rouanet, Répertoire de musique arabe et maure : collection de mélodies, ouvertures, noubet, chansons, préludes, etc. : Kadriat Senaa (deuxième recueil), Alger, Yafil & Seror, , 9 p. (lire en ligne), p. 4
  21. (en) Jonathan Glasser, « Edmond Yafil was a key figure in the early 20th-century Algerian revival of Andalusi music », Int. J. Middle East Stud, 44, , p. 671–692 (lire en ligne)
  22. « Le 10e Festival national de la musique andalouse Sanâa s’ouvre à Alger », sur aps.dz, (consulté le )
  23. « 13è festival de la musique andalouse et des musiques anciennes à Alger », sur aps.dz, (consulté le )
  24. « Baisser de rideau, à Alger, sur la Première rencontre de musique andalouse, "Senâa" », sur aps.dz, (consulté le )
  25. Beihdja Rahal : En tournée nationale, Info Soir du 04/03/2013.
  26. Musique/ «Sur un air de nouba» : Nouvel album de Beihdja Rahal, Info Soir du 08/02/2011
  27. « Les CD », sur beihdjarahal.com (consulté le )
  28. Musique : Nouvel album de Beihdja Rahal, Info Soir du 03/11/2004
  29. Musique : Beihdja Rahal en concert, Info Soir du 12/10/2006.
  30. Madame Nouba : Beihdja Rahal, Le Midi Libre du 11/03/2008.
  31. « Double CD édité par l'Institut du monde arabe de Paris : Nouba M'djenba 1 + Nouba Mezmoum 2 », sur beihdjarahal.com (consulté le )

Voir aussi

Articles connexes

Lien externe

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