Santé

«La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité» et elle représente «l’un des droits fondamentaux de tout être humain, quelles que soit sa race, sa religion, ses opinions politiques, sa condition économique ou sociale»[1].

Cet article concerne le concept général. Pour la prison située à Paris, voir prison de la Santé.
La « Star of Life » désignant la santé générale.

Cette définition est inscrite au préambule[2] de 1946 à la constitution de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et n'a pas été modifiée depuis. Elle implique que tous les besoins fondamentaux de la personne soient satisfaits, qu'ils soient affectifs, sanitaires, nutritionnels, sociaux ou culturels et du stade de l'embryon.

Au XIXe siècle, c'est celui donné pour la santé dans l'environnement[3], avec une mise en réseau social. Cet objectif d'ensemble lié à l'espérance de vie humaine[4], certains le jugeront utopique puisqu'il classe, selon le pays étudié, 70 à 99 % des gens comme n'étant pas en bonne santé ou étant malade [réf. nécessaire]. Selon René Dubos, l'« État physique et mental relativement exempt de gênes et de souffrances qui permet à l'individu de fonctionner aussi longtemps que possible dans le milieu où le hasard ou le choix l'ont placé », qui présente la santé comme la convergence des notions d'autonomie et de bien-être[pas clair]

Enfin, «la santé résulte d’une interaction constante entre l’individu et son milieu» et représente donc cette «capacité physique, psychique et sociale des personnes d’agir dans leur milieu et d’accomplir les rôles qu’elles entendent assumer d’une manière acceptable pour elles-mêmes et pour les groupes dont elles font partie» [5].

Notion relative

La santé est une notion relative, parfois non présentée comme corollaire de l'absence de maladie : des personnes porteuses d'affections diverses sont parfois jugées « en bonne santé » si leur maladie est contrôlée par un traitement. Dès le milieu du XXe siècle, des spécialistes du diabète ont ainsi parlé de « santé insulinienne ». Aujourd'hui, cet état de fait est même majoritaire dans les pays développés : il devient exceptionnel à partir d'un certain âge de ne pas avoir par exemple un trouble de la réfraction oculaire ou des problèmes d'hypertension. A contrario, certaines maladies peuvent être longtemps asymptomatiques, ce qui fait que des personnes qui se sentent en bonne santé peuvent ne pas l'être réellement.

« État de santé ressentie » : c'est l'un des indicateurs d'état de santé. Il est publié tous les deux ans depuis 2002, pour les pays de l'OCDE. Après une tendance à la hausse de 2002 à 2008, il a chuté de plusieurs points en 2010 « Quelles que soient les tranches d’âge, le pourcentage des femmes et des hommes s’estimant en bonne ou très bonne santé baisse en 2010. Et lorsque l’on considère l’ensemble des sexes, il en est de même pour le quintile de revenu le plus élevé »[6]. En 2008, 74,9 % des hommes se jugeaient en bonne ou très bonne santé, contre 70,6 % en 2010. Pour les femmes ce taux est passé de 70,1 % à 66,5 %[6].

Définition

La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, qui ne consiste pas seulement en l'absence de maladies ou d'infirmité.

Santé reproductive

Pour l'ONU, la santé reproductive est un droit, comme les autres droits de l'Homme.

Cette notion récente évoque la bonne transmission du patrimoine génétique d'une génération à l'autre. Elle passe par la qualité du génome, des spermatozoïdes et des ovules, mais aussi par une maternité sans risque, l'absence de violences sexuelles et sexistes, l'absence de maladies sexuellement transmissibles (MST), la planification familiale, l'éducation sexuelle, l'accès aux soins, la diminution de l'exposition aux perturbateurs endocriniens, etc.

Un certain nombre de polluants (dioxines, pesticides, radiations, leurres hormonaux, etc.) sont suspectés d'être, éventuellement à faibles ou très faibles doses, responsables d'une délétion de la spermatogenèse ou d'altération des ovaires ou des processus de fécondation puis de développement de l'embryon. Certains sont également cancérigènes ou mutagènes (ils contribuent à l'augmentation du risque de malformation et d'avortement spontané).

Les soins de santé reproductive recouvrent un ensemble de services, définis dans le Programme d’action de la Conférence internationale sur la population et le développement (CIPD) tenue au Caire (Égypte) en septembre 1994 : conseils, information, éducation, communication et services de planification familiale ; consultations pré et postnatales, accouchements en toute sécurité et soins prodigués à la mère et à l’enfant; prévention et traitement approprié de la stérilité ; prévention de l’avortement et prise en charge de ses conséquences ; traitement des infections génitales, maladies sexuellement transmissibles y compris le VIH/SIDA ; le cancer du sein et les cancers génitaux, ainsi que tout autre trouble de santé reproductive ; et dissuasion active de pratiques dangereuses telles que les mutilations sexuelles féminines.

Santé mentale

Article détaillé : Santé mentale.

La santé mentale peut être considérée comme un facteur très important de la santé physique pour les effets qu'elle produit sur les fonctions corporelles. Ce type de santé concerne le bien-être émotionnel et cognitif ou une absence de trouble mental[7]. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) définit la santé mentale en tant qu'« état de bien être dans lequel l'individu réalise ses propres capacités, peut faire face aux tensions ordinaires de la vie, et est capable de contribuer à sa communauté »[8]. Il n'existe aucune définition officielle de la santé mentale. Il existe différents types de problèmes sur la santé mentale, dont certains sont communément partageables, comme la dépression et les troubles de l'anxiété, et d'autres non-communs, comme la schizophrénie ou le trouble bipolaire.

Facteurs déterminants

Un déterminant de santé est un facteur qui influence l’état de santé d'une population soit isolément, soit en association avec d’autres facteurs.

Hygiène

L'hygiène est l'ensemble des comportements concourant à maintenir les individus en bonne santé. Ils demandent de pouvoir notamment faire la part entre les « bons microbes » et ceux qui sont pathogènes ou peuvent le devenir dans certaines circonstances. Ces circonstances l'hygiène cherche à les rendre moins probables, moins fréquentes ou supprimées. Après une phase hygiéniste, dont l'efficacité de court terme est indiscutable, sont apparus une augmentation des allergies, des maladies auto-immunes, des antibiorésistances et des maladies nosocomiales jugées préoccupantes. La recherche de juste équilibre entre exposition au risque et solution médicale usuelle est rendue difficile dans un contexte d'exposition accrue à des cocktails de polluants complexes (pesticides en particulier) et perturbateurs hormonaux, de modifications sociétales et climatiques planétaires (cf. maladies émergentes, risque pandémique, zoonoses, risque de bioterrorisme, etc.).

La lutte contre les infections nosocomiales à l'hôpital, ou contre les toxi-infections alimentaires par exemple, est née après la découverte de l'asepsie sous l'influence par exemple de Ignàc Semmelweiss ou Louis Pasteur. Les comportements individuels et collectifs sont de toute première importance dans la lutte contre les épidémies ou les pandémies.

Cette discipline de l'hygiène vise donc à maîtriser les facteurs environnementaux pouvant contribuer à une altération de la santé, comme la pollution par exemple, avec des problèmes paradoxaux à gérer : par exemple, l'amélioration des conditions d'hygiène semble avoir paradoxalement pu favoriser la réapparition de maladies comme la poliomyélite et diverses maladies auto-immunes et allergies.

Alimentation et mode de vie

De nombreux facteurs de risque sont intrinsèquement liés au mode de vie. Les soins corporels, l'activité physique, l'alimentation, le travail, les problèmes de toxicomanie, notamment, ont un impact global sur la santé des individus.

De nombreux risques et dangers sont liés au domaine de la santé[9], l'évolution de l'Homme et également les changements de son mode de vie ne sont pas sans conséquences. L'alimentation et les nouvelles technologies sont également des facteurs de risques en France et dans le reste du monde. Les rythmes, les cadences de travail ; les gestes inadaptés sont des facteurs très importants sur la santé. Ils entraînent des troubles psychosomatiques et parfois des handicaps pour la vie.

Quatre facteurs permettraient d'allonger considérablement la durée de la vie[10] : absence de tabac, consommation d'alcool égale ou inférieure à un demi verre par jour, consommation de 5 fruits et légumes par jour, exercice physique d'une demi-heure par jour. Le tout donnerait une majoration de l'espérance de vie de 14 ans par rapport au non-respect de ces facteurs[11].

Du strict point de vue de l'alimentation, de nombreuses études concordantes concluent qu'une alimentation exclusivement végétarienne permet de limiter les risques de cancer et de maladies cardio-vasculaires, et donc d'avoir une espérance de vie en bonne santé plus longue[12]. Les études mettent à la fois en évidence les bénéfices d'une alimentation riche en légumes et fruits et les risques relatifs liés à la consommation de viande, poisson et produits laitiers[13],[14],[15],[16]. Les compléments alimentaires synthétiques ne seraient absolument pas nécessaires[17],[18].

D'autres pistes sont explorées pour allonger la durée de vie en bonne santé : le jeûne[19], le jeûne intermittent[20] et la restriction calorique[21].

Par ailleurs, l'« hygiénisme moral » trans-national débuté au XIXe siècle (à ne pas confondre avec la médecine alternative créée par Herbert Shelton) est une doctrine contre le « relâchement des mœurs », ce qui serait le meilleur moyen de garantir la santé. C'est ce courant qui a par exemple déclaré la lutte contre la syphilis ou l'alcoolisme comme priorité nationale. C'est également lui qui déclare que si les obèses sont gros, c'est qu'ils sont gourmands et paresseux, ou encore que les fumeurs n'ont pas de volonté; Il semble persister dans certaines politiques et campagnes d'information et d'éducation des citoyens à l'hygiène.

Environnement

C'est un domaine (parfois nommé « santé environnementale ») qui se développe depuis la fin du XXe siècle, à la suite de la prise de conscience du fait que l'environnement, notamment lorsqu'il est pollué, est un déterminant majeur de la santé.

La pollution aiguë ou chronique, qu'elle soit biologique, chimique, due aux radiations ionisantes, ou due aux sons ou la lumière (ces facteurs pouvant additionner ou multiplier leurs effets) est une source importante de maladies.

Dans l'Union européenne, la Commission a adopté (11 juin 2003) une « stratégie Communautaire en matière de santé et d'environnement »[22], traduite le 9 juin 2004, en un « Plan d'Action »[23] (2004-2010), qui vise notamment les maladies dites « environnementales ». Cela concerne l'asthme et les allergies respiratoires, en cherchant plus généralement à « mieux prévenir les altérations de la santé dues aux risques environnementaux » (dont l'exposition aux pesticides et à leurs résidus). Des systèmes de veille sanitaire permanente doivent identifier les[24] (dont nanotechnologies, OGM, maladies émergentes, impacts des modifications climatiques, etc.) et en évaluer l'impact sanitaire selon des actions réalisées au niveau communautaire mais aussi national. Un « plan d'action environnement et santé » va être développé afin de mettre en œuvre cette stratégie ; de plus un processus de consultation a été lancé. Le plan d'action vise à faire le point sur les connaissances scientifiques existantes et à évaluer la cohérence et les progrès réalisés dans l'installation du cadre législatif communautaire en matière de santé et d'environnement. Un nouveau système d'information sur la santé est prévu « qui fonctionnera également dans le domaine de l'environnement » et veut devenir « la plus importante source de données fiables pour l'évaluation de l'impact des facteurs environnementaux sur la santé »[25]. Ces aspects seront coordonnés avec les systèmes de réaction rapide et une approche intégrée « visant à juguler les déterminants environnementaux de la santé ».

En ce qui concerne plus spécifiquement la France, un premier Plan national santé-environnement a été lancé en 2004 et un second en 2009, à la suite du Grenelle de l'environnement. Le bilan des actions menées devrait être fait en 2013.

Enjeu collectif

Affiche de promotion de la vaccination contre la variole et la rougeole (1979)

Histoire de la santé publique

La santé publique désigne à la fois l'état sanitaire d'une population apprécié via des indicateurs de santé (quantitatifs et qualitatifs, dont l'accès aux soins) et l'ensemble des moyens collectifs susceptibles de soigner, promouvoir la santé et d'améliorer les conditions de vie.

Dans les sociétés traditionnelles (« primitives »), la santé relève généralement autant de l'individu que du groupe. Elle est intriquée avec les croyances animistes et religieuses, et le rôle des guérisseurs (chamans, sorciers, etc.) qui utilisent à la fois la pharmacopée locale, le toucher et des pratiques relevant de la magie, de la divination, ou de la psychologie.

En Europe, l'organisation des soins est restée jusqu'au XIXe siècle très majoritairement dépendante d'initiatives privées et d'œuvres caritatives : le rôle des institutions religieuses a été longtemps prédominant, l'assistance aux malades étant considérée comme une œuvre de charité.

Cependant, en Flandre par exemple, des mesures de salubrité[26] sont prises par les magistrats (équivalent du maire) de différentes villes : l'Ordonnance de Bruges de 1464 impose le nettoyage des rues une ou deux fois par semaine. Et tous les jours dès 1632, ainsi que l'obligation de dégager les égouts, l'Ordonnance de Lille de 1470 demande que les immondices soient dégagées des chemins encerclant Lille (cette tâche sera prise en charge par la ville en 1668) et le magistrat de Bruges fait démolir des maisons pour cause d'insalubrité en 1485.

Les cimetières étant source de miasmes et d'infection, Louis XVI en France prend un Édit le 10 mars 1776 qui défend d'enterrer dans les églises et les chapelles.

À partir du XVIIIe siècle, la maladie cesse progressivement d'être considérée comme une fatalité et le corps redevient un sujet de préoccupation. Ce mouvement concerne d'abord les élites, puis s'étend progressivement à l'ensemble de la société. La santé devient alors un droit que les États se doivent de garantir.

Le développement de l'industrialisation est un second facteur qui tend à expliquer le développement de la santé publique : d'une part pour de simples critères de productivité des ouvriers (médecine du travail), d'autre part par crainte des émeutes avec la pression des syndicats. Enfin la Première et la Seconde Guerre mondiale contribueront au développement de la prise en charge médicale de masse et à la mise en place de politiques d'assistance sociale : c'est la naissance de la notion d'État-providence. Après la pandémie de grippe espagnole de 1918, la santé publique prend une dimension mondiale avec l'Organisation mondiale de la santé (OMS). L'éco-épidémiologie se développe pour mieux suivre les zoonoses transmissibles à l'homme, via notamment une collaboration avec l'organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture plus connue sous le terme anglais de « Food and Agriculture Organization » (FAO) et de l'Organisation mondiale de la santé animale préalablement créée par l'arrangement international du 25 janvier 1924 sous le nom d'Office international des épizooties (OIE) sous l'égide de l'ONU. L’Europe tend à prendre plus en compte l'importance du domaine de la santé[27].

Domaines de la santé publique

La notion de santé publique regroupe plusieurs champs :

Politiques de santé dans le monde

Article détaillé : Politique de santé.
Articles connexes : Promotion de la santé et Soins de santé.

Les règles en matière de santé font l'objet de textes internationaux édictés par l'OMS ou la FAO (Codex alimentarius pour l'alimentation).

L'Union européenne a produit de nombreuses directives, règlements ou décisions pour protéger la santé des consommateurs ou d'animaux consommés.

La promotion de la santé telle que définie par l'OMS est le « processus qui confère aux populations les moyens d'assurer un plus grand contrôle sur leur propre santé, et d'améliorer celle-ci »[28]. Cette démarche relève d'un concept définissant la « santé » comme la mesure dans laquelle un groupe ou un individu peut d'une part réaliser ses ambitions et satisfaire ses besoins, et d'autre part évoluer avec le milieu ou s'adapter à celui-ci.

La santé est prise en compte par le droit, y compris du point de vue des Conditions de travail.

Crises sanitaires

Article détaillé : Crise sanitaire.

Les crises sanitaires sont des pandémies importantes, qui touchent entre une dizaine de personnes (cas des crises très médiatisées qui touchent les pays développés, comme certaines crises alimentaires) et des millions de personnes. Elles peuvent avoir des coûts économiques, sociaux et politiques considérables.

L'OMS a d'ailleurs été créée pour qu'une pandémie telle que celle produite par la grippe espagnole ne se reproduise pas avec les mêmes effets (30 à 100 millions de morts selon les sources).

Économie

Les sommes en jeu dans le domaine de la santé sont considérables, tant pour les coûts induits par les maladies, les pollutions[29] et l'absentéisme, que par le marché des soins et des médicaments. (En 2002, le marché mondial du médicament a été évalué à 430,3 milliards de dollars, contre 220 milliards en 1992). Le marché pharmaceutique a augmenté de 203 milliards d'euros. Et la consommation médicale progresse plus rapidement que le PIB dans les pays développés.

Des crises sanitaires telles qu'une pandémie peuvent avoir des coûts économiques, sociaux et politiques considérables.

Médias

Différents médias, se sont spécialisés sur les thèmes de la santé.

Télévision

  • Le Magazine de la santé, sur France 5
  • 36.9, sur la Radio télévision suisse
  • Quoi de neuf doc ?, sur TV5 Monde[30]

Radio

  • Radio Public Santé
  • Radio France internationale, émission Priorité santé[31]
  • Radio Canada première chaîne, émission RDI Santé[32]
  • Place à la santé[33]

Magazine

  • Santé Magazine
  • Alternative santé
  • Environnement, Risques et Santé

Internet

  • Health On the Net Foundation est fondation qui indique aux internautes dans quels sites internet, ils peuvent obtenir des informations justes et sérieuses dans le domaine de la santé.
  • lasantesurtout.com - site gratuit d'info santé permettant de poser des questions à des médecins
  • PubMed
  • Santepratique
  • Portail Santé-UE
  • Doctissimo
  • Fasosante.net
  • Carenity (réseau social santé sur internet destiné aux malades et à leurs proches).

Notes et références

  1. « Constitution de l’OMS: ses principes », sur Organisation mondiale de la Santé (consulté le 7 juin 2018)
  2. Préambule adopté par la Conférence internationale sur la Santé, New York, 19-22 juin 1946; signé le 22 juillet 1946 par les représentants de 61 États. 1946 ; (Actes officiels de l'Organisation mondiale de la Santé, n°. 2, p. 100) et entré en vigueur le 7 avril 1948. à la Constitution de l'Organisation mondiale de la Santé.
  3. En France, pour la santé publique inpes (consulté le 03/07/2017).
  4. Un aperçu de la santé dans le monde (consulté le 03/07/2017).
  5. Hervé Anctil, La santé et ses déterminants : mieux comprendre pour mieux agir, [Québec] : Ministère de la santé et des services sociaux, Direction des communications, La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux, , 26 p. (ISBN 9782550639572, lire en ligne [www.msss.gouv.qc.ca section Documentation, rubrique Publications.]), p. 6 sur 26
  6. Morbidité : Etat de santé ressentie ; Pourcentage de la population s’estimant en bonne ou très bonne santé Source : www.OECD Health Data 2012, Données : Irdes, enquête ESPS).
  7. (en) « What is Mental Health? », sur About.com, (consulté le 21 mai 2011).
  8. « OMS » (consulté le 26 mars 2011).
  9. Danger Santé - Effet Santé - Risque Santé - Cause conséquence Santé - Sante FR.
  10. Public Library of Medecine, n°de la semaine du 9 janvier 2008, cité dans Le Figaro, 9 janvier 2008, page 12.
  11. Une vie saine peut accroître la longévité de 14 ans, dans Le Figaro, 9 janvier 2008, page 12.
  12. Vegetarian diet linked to longer lifespan,Does low meat consumption increase life expectancy in humans?.
  13. Dietary fat and protein in relation to risk of non-Hodgkin's lymphoma among women.
  14. Meat and fat intake as risk factors for pancreatic cancer: the multiethnic cohort study.
  15. Intake of fat, meat, and fiber in relation to risk of colon cancer in men.
  16. Prospective studies of dairy product and calcium intakes and prostate cancer risk: a meta-analysis.
  17. High dose vitamin supplements may reduce lifespan by up to a quarter: Animal data.
  18. Antioxidant vitamins and mineral supplementation, life span expansion and cancer incidence: a critical commentary.
  19. Why Fast: Longevity.
  20. Signalling through RHEB-1 mediates intermittent fasting-induced longevity in C. elegans.
  21. Temporal linkage between the phenotypic and genomic responses to caloric restriction.
  22. Communication de la commission européenne [PDF].
  23. Plan d'action (8 pages, [PDF]).
  24. menaces émergentes.
  25. Page d'information de la commission sur la santé et ses déterminants environnementaux.
  26. Alexandre Faidherbe fils, Les médecins des pauvres et la santé publique en Flandre, et particulièrement à Roubaix, 1889.
  27. Livre blanc de l'UE sur les stratégies pour la santé (11 p.).
  28. Définition donnée en 1986, à l'occasion de charte d'Ottawa pour la promotion de la santé.
  29. En France, l’Afsset a lancé en 2007 une étude sur les coûts pour l’assurance maladie de certaines pathologies liées à la pollution.
  30. Site internet Quoi de neuf doc ?.
  31. Site internet Priorité santé.
  32. Site Internet RDI Santé.
  33. Site Internet Place à la santé.

Annexes

Bibliographie

  • André Rauch, Histoire de la santé, PUF, Que-sais-je ?, 1995
  • Georges Canguilhem, La santé, concept vulgaire et question philosophique, Sables, Pin-Balma, 1990

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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