Xavier Iacovelli

Xavier Iacovelli, né le à Suresnes (Hauts-de-Seine), est un homme politique français.

Xavier Iacovelli
Fonctions
Secrétaire général de Territoires de progrès
En fonction depuis le
(1 an, 7 mois et 17 jours)
Président Gilles Savary
Prédécesseur Parti créé
Sénateur français
En fonction depuis le
(3 ans, 11 mois et 17 jours)
Élection 24 septembre 2017
Circonscription Hauts-de-Seine
Groupe politique SOC (2017-2019)
LREM-RDPI (depuis 2019)
Prédécesseur Philippe Kaltenbach
Conseiller municipal de Suresnes
En fonction depuis le
(13 ans, 6 mois et 9 jours)
Élection
Réélection
Maire Christian Dupuy
Guillaume Boudy
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Suresnes (France)
Nationalité Français
Parti politique PS (2002-2019)
LREM (depuis 2019)
TdP (depuis 2020)
Diplômé de
Profession Attaché territorial contractuel
Résidence Suresnes

Conseiller municipal de Suresnes et président du groupe d'opposition municipale depuis 2008, il est élu sénateur des Hauts-de-Seine en 2017 sous l'étiquette du PS, avant de rejoindre en le groupe La République en marche (renommé RDPI l'année suivante), dont il est nommé vice-président.

En 2020, il est nommé secrétaire général de Territoires de progrès (parti politique fondé par Olivier Dussopt et Jean-Yves Le Drian).

Vie familiale et formation

Xavier Iacovelli est né à Suresnes à l'hôpital Foch en [réf. souhaitée]. Fils aîné d'une famille de quatre enfants, il est marié et père de deux garçons nés en 2012 et 2017[réf. souhaitée].

Il est titulaire d’un bac hôtellerie restauration en 1999 et d’un BTS à l’école hôtelière de Paris-Jean Drouant (17e arrondissement de Paris) en 2001.

Athlète national sur 400 mètres haies, il fait partie des trente sportifs de haut niveau sélectionnés à travers l’Europe et envoyés dans un gymnase antique reconstitué (une palestre) dans la ville d’Olympie, à l’occasion des Jeux olympiques d'été de 2004 à Athènes. Le documentaire-réalité Les Champions d’Olympie, produit par Arte, a ressuscité la compétition telle qu’elle se déroulait dans la Grèce antique[1].

Parallèlement à son activité professionnelle, il reprend ses études pour obtenir en 2006 une licence en management du sport à l'université de Nanterre. Il commence un master de management du sport mais abandonne quelques mois après le début.

En 2013, il obtient un diplôme d'étude supérieure universitaire (DESU) en droit et gestion des collectivités territoriales à l'université Paris-VIII[réf. souhaitée] .

Carrière professionnelle

Il fait sa première expérience professionnelle de 2001 à 2002 à New-York, comme manager de restaurant au Sofitel New York Hotel[2].

De 2002 à 2016, il est chef d'entreprise à Suresnes, dans l'organisation de réceptions et de traiteur[3]. Cette société a fait l'objet d'une liquidation judiciaire, laissant par ailleurs plus de 38 000  de loyers impayés[4].

En 2016, il rejoint la mairie d’Alfortville, alors dirigée par Luc Carvounas, en tant que chargé de mission « commerces et le développement économique »[5]. Il est mis en disponibilité de la mairie d'Alfortville à la suite de son élection au Sénat, en [réf. souhaitée].

Carrière politique

Au Parti socialiste

Xavier Iacovelli à la convention du Parti socialiste de 2016.

Il s'engage au Parti socialiste à 21 ans, à la suite de l'arrivée du Front national au second tour de l'élection présidentielle[réf. souhaitée].

Secrétaire de section de Suresnes de 2008 à 2012, il intègre la direction de la fédération dirigée par Philippe Sarre en 2012, en qualité de secrétaire fédéral, responsable des 36 villes et des 33 sections du département.

Lors du congrès du Parti socialiste de , il est élu premier secrétaire fédéral des Hauts-de-Seine à 59 %[6], face au candidat soutenu par Jean-Marc Germain[réf. nécessaire]

Il soutient la motion majoritaire (motion A) menée par Jean-Christophe Cambadélis, tout en engageant un rassemblement de toutes les motions dans l’exécutif de la fédération PS des Hauts-de-Seine, allant des proches de Benoît Hamon à ceux de Manuel Valls.

Considéré comme proche du Premier ministre Manuel Valls, il quitte son courant au moment de la polémique sur la déchéance de nationalité[réf. nécessaire].

Lors des primaires socialistes de 2017[7],[8], il ne prend officiellement parti pour aucun candidat, restant sur la simple neutralité des primaires dont il a la charge dans les Hauts-de-Seine.

En , alors président de la fédération PS des Hauts-de-Seine, il est interpellé par le Mouvement des jeunes socialistes pour faire stopper les ralliements des personnalités socialistes à Emmanuel Macron. Xavier Iacovelli répond qu'il ne « souhaitait pas une chasse aux sorcières, au même titre que lors de l'épisode des frondeurs contre le gouvernement »[9].

En , il est officiellement investi pour conduire la liste du « rassemblement progressiste » (PS, Écologistes, DVG, Démocrates) à l’occasion des élections sénatoriales de 2017, affirmant : « « Nous sommes la force centrale face à la droite du département. Nous avons la base électorale la plus forte »[10]. Le , la liste menée par Xavier Iacovelli comptabilise 199 voix des grands électeurs, permettant à celui-ci d’être élu sénateur des Hauts-de-Seine[11],[12]. Il s'inscrit au sein du groupe socialiste et républicain, présidé par Didier Guillaume puis Patrick Kanner.

Lors du congrès de 2018, sa motion arrive en tête du département (40 %), lui permettant d'être réélu à la tête de la fédération PS des Hauts-de-Seine le [13],[14] .

Départ du PS et rapprochement avec La République en marche

Xavier Iacovelli (2016)

En , Xavier Iacovelli reproche au premier secrétaire du PS Olivier Faure sa décision de placer l'essayiste Raphaël Glucksmann à la tête de la liste PS pour les élections européennes. Il menace, dans ces conditions, de ne pas voter pour cette liste aux européennes. « Je ne vois pas pourquoi je voterai pour une liste qui ne me convient pas. Je n’exclus pas de voter blanc »[15],[16].

Le , il fait partie des dix sénateurs socialistes qui s'abstiennent sur le discours de politique générale d'Édouard Philippe, contre l'avis du groupe PS[17].

Le , au micro du Talk du Figaro, il déclare au sujet de la question des alliances avec la majorité présidentielle : « Je souhaite que ma famille politique sorte du sectarisme »[18].

En rupture avec la ligne politique du Parti socialiste, il indique qu'il se sent « libre » depuis sa démission en de la tête de la fédération des Hauts-de-Seine[19].

Le , il quitte le PS et le groupe SOC du Sénat, à la suite de la parution dans le Journal du dimanche du « manifeste pour un pôle de gauche dans la majorité » LaREM[20],[21],[22],[23].

Il est nommé secrétaire général du parti Territoires de progrès[24] et délégué d'Île-de-France en [25]. Ce parti, fondé par Jean-Yves Le Drian et Olivier Dussopt, se veut incarner l'« aile gauche » de la majorité présidentielle[26].

Le , il est investi par LaREM pour les élections municipales de 2020 à Suresnes[27],[28].

Le , il rejoint le groupe sénatorial LaREM[29],[30].

Lors du renouvellement de 2020, il est nommé vice-président du groupe RDPI - Majorité présidentielle[31].

Au Sénat

Élu le , Xavier Iacovelli est le plus jeune sénateur tête de liste de la mandature et le troisième plus jeune du Sénat. À ce titre, il fait partie du « bureau d'âge » lors de la première séance, lors de laquelle Gérard Larcher est élu président[32].

Il intègre la commission des affaires économiques[33]. Il devient vice-président de la délégation sénatoriale aux entreprises[34] et du groupe d'étude « Économie sociale et solidaire », présidé par le sénateur Marc Daunis[35].

Il est également membre des groupes d’amitié interparlementaires suivants : France-Mauritanie (président délégué), France-Liban (vice-président)[36], France-Afrique Centrale (vice-président) [37], France-Jordanie (vice-président)[38], France-Algérie (vice-président)[39], France-Israël (secrétaire)[40], France-Pays du Golfe (secrétaire)[41], France-Italie et France-Yémen.

  • Le , Xavier Iacovelli organise un colloque sur « l’origine du commerce parallèle de tabac et les solutions pour y mettre fin », au cours duquel Seita-Imperial Tobacco a « reconnu pour la première fois que l’immense part du commerce parallèle de tabac est composé de leurs cigarettes »[42],[43],[44]. À l’occasion de la Journée mondiale sans tabac, il lance un appel à une meilleure coordination entre parlementaires nationaux et européens dans la lutte contre le commerce parallèle de tabac. Par ailleurs, il saisit le le Conseil d’État et la Cour de Justice européenne pour non-conformité au protocole de l’OMS[45],[46].
  • Le , il annonce la création d’un groupe de travail informel et transpartisan sur la protection de l’enfance, qui a pour vocation « d’associer des sénatrices et des sénateurs de tous bords politiques »[47].
  • Fin , il dépose avec la sénatrice centriste Nassimah Dindar une proposition de loi visant à moderniser le système de protection de l'enfance[48].
  • Il est membre du conseil d'administration de l'établissement public national d'aménagement et de restructuration des espaces commerciaux et artisanaux (EPARECA)[49].

En , il rejoint la commission des affaires sociales du Sénat et devient chef de file du groupe LaREM pour l'enfance et le handicap[50].

  • Le 30 octobre 2020, après 6 mois d'auditions organisées conjointement avec le député du Val de Marne Jean François Mbaye, ils déposent une proposition de loi identique, à l'Assemblée et au Sénat, pour une reconnaissance de l'activité des intermittents du travail de la restauration, de l'hôtellerie et de l'évènementiel[51],[52]
  • Le 5 novembre 2020, il dépose une proposition de loi visant à autoriser le vote par correspondance[53],[54]

Nominations

  • Le , il est nommé membre titulaire de la commission nationale chargée de l'examen du respect des obligations de logements sociaux[55].
  • Le , par arrêté du ministre auprès de la ministre de la Cohésion des territoires, il est nommé membre du conseil d'administration du Fonds national des aides à la pierre (FNAP)[56].
  • Le , il est nommé vice-président de la Commission d'enquête sur les problèmes sanitaires et écologiques liés aux pollutions des sols qui ont accueilli des activités industrielles ou minières, et sur les politiques publiques et industrielles de réhabilitation de ces sols[57].
  • Le , il est nommé membre de la Mission d'information sur la lutte contre l'illectronisme et inclusion numérique[58].
  • Le 17 février 2021, il est nommé vice-président de la mission d’information « Conditions de la vie étudiante en France »[59]
  • Le 21 février 2021, il est chargé par le Premier ministre Jean Castex d'une mission temporaire ayant pour objet les conditions de développement des diverses formes d'organisation de l'emploi des travailleurs en mission courte[60],[61].

Prises de positions et déclarations

  • En pleine pandémie de Covid-19, il se félicite que le principal bailleur social du département dont il est sénateur, Hauts-de-Seine Habitat, a décidé de suspendre l'envoi de la lettre de relance du paiement du loyer[63],[64].
  • Lors du mouvement des Gilets jaunes, il invite les Alto-Séquanais à intégrer le conseil sénatorial qu'il a créé lors son élection, jusque-là réservé aux élus locaux[65].
  • En réaction au refus de la présidence du Sénat et de la Commission des affaires sociales de créer une délégation aux droits des enfants, il s'emporte au micro de Public Sénat : « On crée des groupes d’études sur la truffe, mais pas sur la protection de l’enfance ! » [66]

À Suresnes

Lors des élections municipales de 2008, il mène la liste PS-Les Verts « Suresnes Terre d’Avenir ». Il échoue à conquérir la mairie, obtenant 33 % des voix face au maire sortant Christian Dupuy (UMP), qui est réélu. Il devient ensuite président du groupe d'opposition PS.

En , il devient conseiller à la communauté d'agglomération du Mont-Valérien, qui regroupe les villes de Nanterre, Suresnes et Rueil-Malmaison.

Lors des élections municipales de mars 2014, il mène la liste d’Union de la gauche pour Suresnes (PS, PCF, EELV, Citoyens). Obtenant 29,79 % des voix, elle est battue dès le premier tour par celle du maire sortant UMP, qui est réélu avec 56,02 % des voix.

Il est suppléant sur la liste PS lors des élections départementales de 2015 sur le canton de Suresnes-Nanterre. Il est qualifié au second tour mais échoue face au binôme sortant composé de Christian Dupuy et Camille Bedin (40,75 % contre 59,25 %)[67].

Il est, depuis 2016, conseiller de territoire de Paris Ouest la Défense, à la suite de la création de la Métropole du Grand Paris[68].

Le , il lance sa troisième campagne municipale et sollicite le soutien de LaREM[69], qu'il obtient en novembre. La décision de la commission d'investiture du parti avait jusque là été reportée plusieurs fois, alors que le dauphin du maire sortant Christian Dupuy, Guillaume Boudy, sollicitait lui aussi l'investiture. La députée de Suresnes Isabelle Florennes (MoDem), dont le parti est allié à LaREM au niveau national, juge le choix porté sur Xavier Iacovelli « incompréhensible et regrettable » et ne se sent pas engagée par cette décision en vue du scrutin[70].

Au premier tour du , sa liste obtient 26,84 % des voix, se classant en deuxième position derrière Guillaume Boudy (union de la droite, LR), qui obtient 39,07% des voix, et devant Yohann Corvis (15,75 %, divers droite, LR dissident)[71]. La liste « Suresnes pour seule ambition » qu'il conduit recueille 32,44 % des suffrages au second tour et se classe à nouveau derrière celle de Guillaume Boudy, élu maire. Xavier Iacovelli conserve donc son siège de conseiller municipal[72].

Condamnation et polémiques

En 2014, Xavier Iacovelli est reconnu coupable d'escroquerie et condamné par le tribunal de Nanterre par un jugement définitif à trois mois de prison avec sursis et à verser 1 500  à la municipalité de Suresnes. Il était accusé d'avoir permis en 2009 à une militante socialiste qui était sur la liste municipale de 2008, mais non élue, de bénéficier indûment d'une formation en communication et prise de parole. Il est également condamné à payer une amende de 3 120  solidairement avec cette dernière. La formation, financée par la ville, était en effet strictement réservée aux élus dans le cadre du droit à la formation des élus. La mairie avait porté plainte en 2010. Lors de la campagne électorale de 2014, la municipalité sortante communique sur le sujet[73].

En 2018, alors qu'il louait un logement HLM à Suresnes, et qu'il venait d'être élu sénateur, il tente de bénéficier d'un dispositif d'accession sociale à la propriété d'un pavillon au prix de 471 500 , « à prix cassé » note Le Parisien. Cette demande est rejetée par la direction des affaires foncières et immobilières du bailleur social Hauts-de-Seine Habitat comme 29 autres. Si l'initiative est critiquée par la majorité municipale LR, Xavier Iacovelli précise toutefois que sa démarche n'avait rien d'illégal : « J'ai beau être sénateur, ma femme est sans emploi et notre foyer rentrait parfaitement dans les critères d'endettement et de salaires. Encore, une fois, la démarche n'avait rien d'illégal. D'ailleurs, même si ma demande a été refusée, elle a été étudiée par la commission, mon dossier n'a pas été jugé irrecevable » déclare-t-il[4].

En , un audit interne au PS révèle qu'il a fait appel à l'entreprise de sa sœur – qui milite également avec lui à Suresnes – pour désamianter le nouveau siège du PS départemental, à l'époque où il en était le premier secrétaire. Xavier Iacovelli réagit en indiquant que cela n'était pas illégal. Il affirme que « ces travaux ont été effectués en toute transparence, faisant l'objet de deux devis comparatifs, puis l'enveloppe qui leur était consacrée a fait, à son tour, l'objet d'un vote du bureau ». Il dénonce également une « boule puante » lancée « opportunément » à quatre mois des élections municipales[74].

Ses adversaires lui reprochent également un prêt de 7 000  contracté auprès de la fédération départementale du PS, que ses adversaires politiques relient volontiers à l'achat de deux appartements à Lacanau (Gironde), en possédant par ailleurs deux autres à Cabourg (Calvados), biens qu'il loue via Airbnb. Xavier Iacovelli dénonce une attaque « indigne » et malhonnête » selon lui. Il ajoute : « Ce prêt, je l'ai contracté en et je l'ai remboursé neuf mois plus tard », affirme-t-il. « Or j'ai acheté mes studios en , après le renouvellement de mon contrat à la ville d'Alfortville »[74].

Résultats électoraux

Élections sénatoriales

Année Parti Circonscription Voix  % Rang Sièges obtenus
2017[75] PS Hauts-de-Seine 199 8,75 6e
1  /  7

Élections municipales

Année Parti Commune 1er tour 2d tour Sièges (CM)
Voix  % Rang Voix % Rang
2008[76] PS Suresnes 4 287 33,44 2e
6  /  39
2014[77] PS 4 463 29,79 2e
6  /  43
2020[78] LREM 3 334 26,84 2e 3 492 32,44 2e
7  /  45

Notes et références

  1. « Sur Arte, des Jeux antiques pas en toc », sur www.20minutes.fr (consulté le )
  2. « Xavier Iacovelli, 23 ans, dirige la société Paris Events », sur www.lhotellerie-restauration.fr (consulté le )
  3. « Xavier Iacovelli, 23 ans, dirige la société Paris Events », sur lhotellerie-restauration.fr (consulté le )
  4. David Livois, « Le sénateur socialiste des Hauts-de-Seine a tenté d’acheter un logement social », leparisien.fr, 13 septembre 2018.
  5. Agnès Vives, « Alfortville : règlements de comptes à la mairie », leparisien.fr, 31 mars 2017.
  6. « Xavier Iacovelli, nouveau patron du parti socialiste des Hauts-de-Seine », leparisien.fr, 12 juin 2015.
  7. Anne-Sophie Damecour, « Primaire de la gauche : 140 bureaux de vote ouverts dans Hauts-de-Seine », leparisien.fr, 20 janvier 2017.
  8. Anne-Sophie Damecour, « Primaire de la gauche : les socialistes veulent autant de votants qu'en 2011 », leparisien.fr, 9 janvier 2017.
  9. Par Victor TasselLe 17 mars 2017 à 17h10, « Le MJS 92 réclame des sanctions contre les socialistes qui rallient Macron », sur leparisien.fr, (consulté le )
  10. Anthony Lieures, « Sénatoriales dans les Hauts-de-Seine : c’est le grand bazar », leparisien.fr, 8 septembre 2017.
  11. « Résultats des élections sénatoriales 2017 », interieur.gouv.fr, consulté le 9 novembre 2019.
  12. Victor Tassel, « Hauts-de-Seine : la victoire amère de la droite aux sénatoriales », leparisien.fr, 24 septembre 2017.
  13. « Xavier Iacovelli reconduit à la tête de la fédération PS des Hauts-de-Seine », sur leparisien.fr,
  14. Par A.-S. D. Le 2 avril 2018 à 12h59, « PS : les nouveaux secrétaires de sections des Hauts-de-Seine sont… », sur leparisien.fr, (consulté le )
  15. « Européennes : à peine dévoilée, l’opposition raille la liste LREM », sur Public Senat, (consulté le )
  16. « Le sénateur PS Xavier Iacovelli « n’exclut pas de voter blanc » aux européennes - Vidéo Dailymotion », sur Dailymotion (consulté le )
  17. « Règlements de comptes chez les sénateurs socialistes », sur L'Opinion, (consulté le )
  18. « Xavier Iacovelli (PS) : «Je souhaite que ma famille politique sorte du sectarisme» », sur Figaro Live (consulté le )
  19. « Xavier IACOVELLI, en rupture avec le PS se "sent libre" au centre », sur leparisien.fr (consulté le )
  20. « Le sénateur Xavier Iacovelli rejoint le "pôle de gauche" de la majorité présidentielle » (consulté le )
  21. Le JDD, « EXCLUSIF. 75 soutiens de Macron appellent à la création d'un pôle de gauche dans la majorité », sur lejdd.fr (consulté le )
  22. « Le sénateur Xavier Iacovelli quitte le PS », sur Libération.fr (consulté le )
  23. Le Point magazine, « Le sénateur Xavier Iacovelli quitte le PS », sur Le Point, (consulté le )
  24. BFMTV, « Covid-19 en Normandie : alerte au virus à Val d'Oise ? - 20/06 », sur Orange Actualités, (consulté le ).
  25. Territoires de progrès, « Comité Exécutif et Instances », sur https://territoiresdeprogres.com/ (consulté le )
  26. « Territoires de progrès, nouveau parti fondé par d'ex-PS », sur Le Figaro, (consulté le ).
  27. « La République En Marche annonce ce soir 7 nouvelles investitures et 17 nouveaux soutiens pour les élections », sur Marche.fr, En Marche !, (consulté le ).
  28. « Municipales 2020. Le sénateur Xavier Iacovelli se lance à Suresnes, soutenu par LaREM », sur actu.fr (consulté le )
  29. Le senat, « xavier iacovelli sénateur LREM », sur senat.fr (consulté le )
  30. http://www2.senat.fr/senateurs/news.html
  31. « organigramme du bureau du groupe RDPI »
  32. François Vignal, « Présidence du Sénat : Gérard Larcher favori », publicsenat.fr, 2 octobre 2017.
  33. « Commission des affaires économiques », senat.fr, consulté le 9 novembre 2019.
  34. « Délégation sénatoriale aux entreprises », senat.fr, consulté le 9 novembre 2019.
  35. « Groupe d'études Économie sociale et solidaire - Sénat », sur www.senat.fr (consulté le )
  36. « Membres du groupe France-Liban - Sénat », sur www.senat.fr (consulté le )
  37. « Membres du groupe France-Afrique centrale - Sénat », sur www.senat.fr (consulté le )
  38. « Membres du groupe France-Jordanie - Sénat », sur www.senat.fr (consulté le )
  39. « Membres du groupe France-Algérie », senat.fr, consulté le 9 novembre 2019.
  40. « Membres du groupe France-Israël », senat.fr, consulté le 9 novembre 2019.
  41. « Membres du groupe France-Pays du Golfe », senat.fr, consulté le 9 novembre 2019.
  42. « Tabac : un sénateur s'attaque au marché parallèle de cigarettes », sur Public Senat, (consulté le )
  43. « « Commerce parallèle du tabac » : un communiqué du sénateur Xavier Iacovelli | Le Monde du Tabac », sur www.lemondedutabac.com (consulté le )
  44. Par Marc LomazziLe 26 décembre 2018 à 17h54, « Cigarettes de contrebande : un sénateur en guerre contre le lobby du tabac », sur leparisien.fr, (consulté le )
  45. « Les paquets de cigarettes vont porter un étiquetage unique pour lutter contre la contrebande », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
  46. Xavier Iacovelli, « Commerce parallèle du tabac : saisine du Conseil d'État et de la CJUE », sur XAVIER IACOVELLI, (consulté le )
  47. « Enfants placés : un sénateur va créer un groupe de travail sur la protection de l’enfance », francetvinfo.fr, 17 janvier 2019.
  48. « Modernisation du système de protection de l'enfance - Sénat », sur www.senat.fr (consulté le )
  49. « epareca »
  50. « La commission des affaires sociales - Sénat », sur www.senat.fr (consulté le )
  51. « Reconnaissance de l'activité des intermittents - Sénat », sur www.senat.fr (consulté le )
  52. « Guides, extras de l’événementiel, saisonniers : « Vous cherchez quelqu’un qui a touché les 900 euros ? Bon courage ! » », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
  53. « Autoriser le vote par correspondance - Sénat », sur www.senat.fr (consulté le )
  54. « Vote par anticipation pour la présidentielle : le "problème", c'est "l'utilisation des machines à voter" affirme le sénateur LREM Xavier Iacovelli », sur Franceinfo, (consulté le )
  55. « Commission nationale chargée de l'examen du respect des obligations de logements sociaux - Sénat », sur www.senat.fr (consulté le )
  56. Arrêté du 3 décembre 2019 portant nomination au conseil d'administration du Fonds national des aides à la pierre (FNAP) (lire en ligne)
  57. « Pollution des sols - Sénat », sur www.senat.fr (consulté le )
  58. « Lutte contre l'illectronisme - Sénat », sur www.senat.fr (consulté le )
  59. « Conditions de la vie étudiante en France - Sénat », sur www.senat.fr (consulté le )
  60. Décret du 12 février 2021 chargeant un sénateur d'une mission temporaire (lire en ligne)
  61. « Liste des sénateurs chargés par le gouvernement d'une mission temporaire - Sénat », sur www.senat.fr (consulté le )
  62. « Coronavirus: l'Assemblée s'attelle au nouveau budget, la gauche réclame l'ISF », sur LEntreprise.com, (consulté le )
  63. Louis-Valentin Lopez, « Paiement des loyers : les bailleurs sociaux vont-ils faire un geste ? », sur www.franceinter.fr, (consulté le )
  64. Xavier IACOVELLI, « J'ai interpellé le président de Hauts-de-Seine Habitat, pour demander le report partiel ou total du paiement des loyers pour les locataires les plus fragiles, durant la période de confinement et de chômage. Face à la crise sanitaire, protégeons nos concitoyens. #COVID19pic.twitter.com/xpYDLSizqd », sur @iacovellixavier, 2020t06:24 (consulté le )
  65. Par A.-S. D. Le 14 janvier 2019 à 17h02, « Hauts-de-Seine : Xavier Iacovelli ouvre son conseil sénatorial à tous les habitants », sur leparisien.fr, (consulté le )
  66. « Xavier Iacovelli : « La protection de l’enfance est une priorité » », sur Public Senat, (consulté le )
  67. Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections départementales 2015 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Departementales/elecresult__departementales-2015 (consulté le )
  68. « POLD », sur parisouestladefense.fr (consulté le )
  69. « Municipales à Suresnes : en rupture avec le PS, Iacovelli « se sent libre » au centre », sur leparisien.fr, (consulté le )
  70. Florence Hubin, « Municipales à Suresnes : le sénateur Iacovelli, ex-PS, obtient le soutien de LREM », leparisien.fr, 7 novembre 2019.
  71. « Résultats municipales 2020 à Suresnes », sur Le Monde.fr (consulté le )
  72. « Résultats Municipales 2020 à Suresnes », sur lemonde.fr (consulté le )
  73. « Suresnes : Xavier Iacovelli (PS) condamné pour escroquerie », leparisien.fr, 2014-04-10cest16:30:00+02:00 (lire en ligne, consulté le )
  74. David Livois, « Suresnes : le sénateur épinglé pour avoir fait travailler ses proches », leparisien.fr, 14 novembre 2019.
  75. Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections sénatoriales 2017 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  76. Ministère de l'Intérieur, « Élections municipales et communautaires 2008 », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  77. Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  78. Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).

Lien externe

  • Portail de la politique française
  • Portail des Hauts-de-Seine
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.