Usseau (Vienne)

Usseau est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne (région Nouvelle-Aquitaine).

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Usseau

Le château de la Motte.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Châtellerault
Intercommunalité Communauté d'agglomération Grand Châtellerault
Maire
Mandat
Pascal Rocher
2020-2026
Code postal 86230
Code commune 86275
Démographie
Gentilé Usselois
Population
municipale
604 hab. (2018 )
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 52′ 37″ nord, 0° 30′ 34″ est
Altitude Min. 71 m
Max. 163 m
Superficie 18,95 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Châtellerault
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châtellerault-2
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Usseau
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Usseau
Géolocalisation sur la carte : France
Usseau
Géolocalisation sur la carte : France
Usseau

    Géographie

    Géologie et relief

    La région d'Usseau présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées. Le terroir se compose[1] :

    • de tuffeau jaune pour 45 %, de bornais sableux du Loudunais (ce sont des sols brun clair sur limons, profonds et humides, à tendance siliceuse) pour 16 % et d'argilo pour moins de 1 % sur les collines et les dépressions sableuses des bordures du Bassin parisien ;
    • de champagnes ou d'aubues (ce sont des sols gris clair, argilo-limoneux, sur craie et donc calcaires) pour 38 % sur les autres collines.

    Hydrographie

    La commune est traversée par km de cours d'eau.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 696 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Thure », sur la commune de Thuré, mise en service en 1990[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 670,8 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 37 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Usseau est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chatellerault dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,2 %), forêts (39 %), zones agricoles hétérogènes (18,3 %), zones urbanisées (1,5 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Attestée sous la forme Ussellum en 1090.

    Le nom du village provient de Uxellum qui signifie petite colline ou promontoire[21].

    Histoire

    Usseau accueille favorablement les avancées de la Révolution française. Elle plante ainsi son arbre de la liberté, symbole de la Révolution. Il devient le lieu de ralliement de toutes les fêtes et des principaux événements révolutionnaires, mais est abattu lors de la réaction royaliste[22].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
             
    mars 2001 réélu en 2008[23] Michel Hamoir    

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].

    En 2018, la commune comptait 604 habitants[Note 7], en diminution de 6,79 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    361318300454445480441461436
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    467501522635556531532504520
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    528533503502456443464449446
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    439383383489521573634643657
    2017 2018 - - - - - - -
    607604-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 34 hab./km2, contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    Économie

    Agriculture

    Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[28], il n'y a plus que 14 exploitations agricoles en 2010 contre 15 en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisées ont très légèrement augmenté et sont passées de 1 062 hectares en 2000 à 1 089 hectares en 2010. 55 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre pour plus de la moitié des surfaces céréalières mais aussi orges et maïs), 17 % pour les oléagineux (colza et tournesol) et 27 % pour le fourrage. En 2000 comme en 2010, 2 hectares étaient consacrés à la vigne.

    Industrie

    Carrière de tuffeau, entreprise Maquignon Frères.

    Culture locale et patrimoine

    Le château de la Motte d'Usseau

    C'est un château datant des XVe et XIXe siècles. Il a été bâti en 1452 par Guillaume de Bec, aux confins de la Touraine et du Poitou. Il occupe un site fortifié très ancien où l'on a retrouvé des souterrains aménagés.

    Le château est accolé à une motte, l'actuelle « haute cour » sur laquelle se dressait un premier château au XIIe siècle. Le château se compose d'un corps de bâtiment rectangulaire et d'une petite aile en retour d'équerre. Il est cantonné d'une importante tour circulaire à l'angle sud-ouest et sa façade est, d'une tour d'escalier polygonale et d'une tourelle carrée. Cette construction du XVe siècle est éclairée par de larges fenêtres à meneaux ou de simples baies à traverse. Le château présente un appareil militaire au sommet de la tour circulaire : parapet sur mâchicoulis percé d'archères canonnières.

    Cette tour crénelée qui faisait office de donjon a été réaménagée au XVIIIe siècle. Elle possède un bel escalier de chêne. Une superbe voûte hémisphérique est coiffée par une salle pourvue d'une cheminée du XVe siècle. Dans le corps principal du château, un escalier à vis à crémaillère permet d'accéder aux étages supérieurs et à la salle du guet.

    On accède au château par une allée bordée de cerisiers menant à un petit parc de tilleuls plusieurs fois centenaires.

    Le château abrite un beau jardin pédagogique d'inspiration médiévale qui présente sous les aspects historiques et ethnobotaniques, une grande variété de plantes vivrières du Moyen Âge et quelques curiosités botaniques.

    Le jardin a été créé progressivement de 2001 à 2006. Il constitue un écrin mettant en valeur le château médiéval. La structure même du jardin reprend l'esthétique et la fonctionnalité des jardins de la fin du Moyen Âge avec ses plans géométriques. Le jardin présente des espaces appelés Les Vergers, Le Jardinet des Baies, Le Petit Bois, différents parterres et massifs et un jardin clos ou Hortus Conclusus qui contient en priorité les espèces vivaces de l'époque médiévale: herbes fraiches, herbes aromatiques et condimentaires, herbes médicinales et certains petits fruits oubliés de nos jours.

    Les espèces toxiques employées pour la magie et la sorcellerie sont éloignées de ces jardins centrés sur sa fontaine, également d'inspiration médiévale.

    Un autre espace ordonné, nommé Jardin de Lumière, présente une collection de plantes annuelles qui répondaient à une utilisation vivrière et nourricière mais aussi artisanale pour la confection de textile et leur teinture.

    Le château est inscrit comme monument historique depuis 2004 pour le logis,la galerie, l'escalier en vis et le site archéologique.

    Le château de Remeneuil

    Château datant du XIVe – XVe siècle mais remanié ensuite tout au long de son histoire jusqu'au XIXe siècle.

    Remeneuil doit son nom au toponyme « Romanoculus » Une légende rurale rapporte que Remeneuil doit son nom au toponyme "Romanoculus" en raison de la présence des troupes romaines dirigées par César lui-même, ce dernier aurait alors établi un camp d'étape quelque part aux alentours de la vallée de la Veude Ier siècle av. J.-C.

    Les principaux seigneurs de Remeneuil ont été :
    - Pierre de Remeneuil en 1258.
    - Guillaume de Remeneuil, chevalier mort le à la bataille de Poitiers.
    - un autre Guillaume de Remeneuil, gouverneur de Touraine, capitaine du château de Chinon.
    - Pierre de Brizay en 1400.
    - Jean de Fougères en 1430.
    - Louis de Fougères 1494
    - François De Gain en 1668.
    - Taveau en 1724.
    - Jean-François Antoine de la Haye Moutbault en 1753
    - Joseph-François Dumont Acquet comte d'Ozée, maréchal de camp en 1786, mort en émigration.
    - De Cougny-Prefeln en 1863. Bourgeoisie d'Empire
    - Abandonné depuis 1962, il a finalement été acheté en 2018. Propriété privée.
    Philippe-Armand du Vergier, marquis de la Rochejaquelin, propriétaire de Remeneuil en 1716, est le grand-père de celui qui deviendra en 1793 le général en chef des armées catholiques et royales de Vendée.

    Catherine Radegonde-Amable de la Haye-Montbault, fut la propriétaire de Remeneuil. Son frère aîné fut prisonnier à la tête d'une armée d'insurgés, lors de l'insurrection vendéenne. Il fut pris les armes à la main et exécuté en en criant : « Je meurs pour mon Dieu et mon Roy ».

    Les autres monuments d'Usseau

    • L'église de Remeneuil, reconstruite au XVe siècle par la puissante famille de Fougères, patron de la paroisse. Le prieuré-cure de Remeneuil remonte à l'an 1037. Paroisse crée en 1789 et rattachée à la paroisse d'Usseau en 1818 par décret, elle est aujourd'hui devenue une propriété privée. Inscrite comme monument historique depuis 2002.

    Patrimoine naturel

    La commune abrite une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[29]qui couvre 7 % de la surface communale. Il s'agit du bois de la Bonde - brandes de Corbery.

    Le bois de la Bonde et les brandes de la Corbery se situent dans l’extrême nord du département de la Vienne, aux confins des régions Nouvelle-Aquitaine et Pays de la Loire, sur les territoires des communes de Antran, Usseau, Vaux-sur-Vienne et Vellèches. Ces deux sites sont recouverts de bois et de landes. Ils occupent un haut plateau siliceux qui domine la rive gauche de la Vienne.

    Sur ce territoire, comme dans tout le nord-ouest du département actuel de la Vienne, entre les villes de Châtellerault et de Loudun, les formations crétacées sont recouvertes de sols sableux ou limoneux, acides et hydromorphes, riches en cailloux et blocs siliceux, dénommés : les "bornais". Sur ces terres de médiocre qualité, la forêt et la lande ont longtemps dominé. La végétation était, autrefois, périodiquement incendiée afin de régénérer la production herbacée et offrir, ainsi, un pâturage aux animaux. Les cultures céréalières étaient plutôt réservées aux plaines calcaires.

    De nos jours, la moitié du site a été planté de résineux et a perdu, ainsi, une partie de sa spécificité. Toutefois, la zone a quand même pu conserver un certain nombre des habitats typiques hérités de ces anciennes activités agro-sylvo-pastorales. Ainsi, la chênaie calcifuge composée de chênes sessiles et de chênes pédonculés existe toujours. Elle est mêlée avec des sorbiers, des trembles et des châtaigniers. La chênaie alterne avec des landes atlantiques à «brande» ou bruyère à balais et ajoncs. En outre, le bois de la Bonde a été morcellé par le passage de l’autoroute A10. Malgré ces modifications récentes, le site offre encore un fort intérêt biologique qui se manifeste notamment dans sa richesse ornithologique et qui a justifié son classement comme zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) .

    Parmi les quelque 50 espèces d’oiseaux répertoriées sur ce territoire, onze sont particulièrement rares et font l’objet d’une protection au niveau national (Bouvreuil pivoine Huppe fasciée, Locustelle tachetée, Mésange huppée, Moineau friquet, Pipit rousseline). Le Busard Saint-Martin et le Busard cendré, deux élégants rapaces gris pâle au vol onduleux et bas nichent sur la zone. En revanche, le Circaète Jean-le-Blanc, un grand rapace méridional, vient des boisements alentour pour capturer dans la lande les serpents et autres reptiles qui représentent l’essentiel de son régime alimentaire. Parmi les passereaux, on remarque surtout la présence de la Fauvette pitchou, qui a trouvé dans les étendues de bruyère à balais, un milieu de substitution aux maquis méditerranéens qui constituent son biotope d’origine. L ’Engoulevent d’Europe chasse, à la nuit tombée, au-dessus de la lande et dans les clairières de la forêt, les gros insectes nocturnes qui constituent l'essentiel de sa nourriture. Le Faucon hobereau, un petit rapace sombre, amateur lui aussi de gros insectes et de petits passereaux, chasse aussi à la tombée de la nuit mais juste avant l'Engoulevent d’Europe.

    Personnalités liées à la commune

    • Armand-Théophile de Cougny (1832-1915), propriétaire du château de Remeneuil, maire de Orches
    • Monsieur Roy, l'assiégé de Usseau

    Voir aussi

    Articles de Wikipédia

    Liens externes

    Sources

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charente - 2007
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Thure - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Usseau et Thuré », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Thure - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Usseau et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Châtellerault », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Edition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
    22. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 153
    23. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    29. Secrétariat scientifique de l'inventaire des ZNIEFF, DREAL Poitou-Charentes , 2011
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