Souchez

Souchez (prononcer [suʃe]) est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais, en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Souchez (homonymie).

Souchez

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Lens
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Lens-Liévin
Maire
Mandat
Jean-Marie Alexandre
2020-2026
Code postal 62153
Code commune 62801
Démographie
Gentilé Souchézois
Population
municipale
2 545 hab. (2018 )
Densité 377 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 23′ 29″ nord, 2° 44′ 37″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 157 m
Superficie 6,75 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Douai-Lens
(banlieue)
Aire d'attraction Lens - Liévin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bully-les-Mines
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Souchez
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Souchez
Géolocalisation sur la carte : France
Souchez
Géolocalisation sur la carte : France
Souchez
Liens
Site web http://www.mairie-souchez.fr/

    Entièrement détruite en 1915, lors de la deuxième bataille de l'Artois, la ville est reconstruite après la guerre. Souchez est citée à l'ordre de la Nation en 1920 et reçoit la Croix de guerre en 1924.

    Géographie

    Localisation

    Souchez est une commune située dans l'est du département du Pas-de-Calais, au cœur du pays de l'Artois.

    La commune est située à une distance orthodromique de 7,44 km au sud-ouest de Lens[1], de 11,5 km au nord de la préfecture du département, Arras[2], de 33,9 km au sud-ouest de la capitale régionale, Lille[3], et de 172,4 km au nord-est de la capitale, Paris[4].

    Communes limitrophes

    Relief et géologie

    Vue de Souchez depuis la crête de Vimy. À l'arrière-plan, la colline de Notre-Dame-de-Lorette.

    Souchez se situe au nord de la plaine d’Arras, au pied des collines de l'Artois. La ville est dominée au nord-est et à l'est par une ligne de collines nommée « crête de Vimy » et au nord-ouest par la colline de Notre-Dame-de-Lorette.

    La superficie de la commune est de 675 hectares ; son altitude varie entre 62 et 157 mètres[5]. L’altitude minimale est au nord-est de la commune, au niveau de la rivière Souchez lorsqu'elle quitte le territoire de la commune, et l'altitude maximale sur les hauteurs de la colline de Notre-Dame-de-Lorette.

    La majeure partie des terrains affleurants de la commune sont issus de l'ère Cénozoïque (plaine de l'Artois et rives de la rivière) alors que ceux des collines sont issus de l'ère Mésozoïque (crête de Vimy et colline de Notre-Dame-de-Lorette)[6],[7].

    Le sol du lit et des rives de la Souchez est constitué d'alluvions récentes argileuses ou sableuses de l'époque Holocène. La plaine d'Arras, occupant toute la partie sud de la commune, est recouverte de limon argilo-sableux du Pléistocène. Les sols des collines situées à l'est et au nord-ouest de la commune sont constitués de marnes Craiecrayeuses datant du Turonien.

    Hydrographie

    La Souchez dans le centre de la ville.

    La rivière Souchez, qui constitue le cours amont de la Deûle, traverse le territoire de la commune du sud-ouest au nord-est.

    Climat

    Le climat est de type océanique tempéré dans ce département ayant une façade maritime, située à un peu moins de 100 km de Souchez. Du fait de cette distance, le climat local est légèrement plus continental que celui de la côte. Les amplitudes thermiques sont modérées (un peu plus grandes que sur le littoral) et les hivers sont doux avec un temps instable. Il pleut en moyenne environ 600 à 650 mm de pluie par an[8].

    Voies de communication et transports

    Entrée sud de Souchez par la D 937.

    Voies routières

    Souchez est desservie par l'autoroute A26 (sortie no 6.1, Liévin-Lens, située à km au nord, et sortie no 7, Arras, située à km au sud-est) qui traverse le territoire de la commune à l'est.

    Des routes départementales relient Souchez aux communes voisines : Aix-Noulette au nord et Neuville-saint-Vaast au sud par la D 937 (ancienne route nationale 37 d'Arras à Saint-Venant), Ablain-Saint-Nazaire à l'ouest par la D 57, Carency au sud-ouest par la D 58 et Angres au nord-est par la D 58E2.

    Transport en commun

    Souchez est desservie par les bus de la ligne 57 (ligne Ablain-Saint-Nazaire ↔ Lens) du réseau de bus Tadao[9] et par les cars de la ligne 534 (ligne Arras ↔ Liévin) du réseau interurbain du Pas-de-Calais (réseau Oscar)[10].

    La gare la plus proche est celle de Lens située à 10 km au-nord est de Souchez. La gare est desservie par les trains TER Nord-Pas-de-Calais et TGV en provenance ou à destination de Paris.

    Urbanisme

    Typologie

    Souchez est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes[14] et 503 966 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lens - Liévin dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

    Une zone pavillonnaire à l'entrée de la ville.

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,6 %), prairies (15,7 %), zones urbanisées (15,6 %), zones agricoles hétérogènes (5,6 %), forêts (4,5 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Morphologie urbaine

    L'habitat est essentiellement constitué de maisons individuelles, de pavillons et de quelques immeubles d'habitation de petites hauteurs.

    Logements

    En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 1 012, alors qu'il était de 796 en 1999[a 1].

    Parmi ces logements, 95 % étaient des résidences principales (962 logements), 0,5 % des résidences secondaires (5 logements) et 4,5 % des logements vacants (46 logements). Ces logements étaient pour 89,3 % d'entre eux des maisons individuelles (904 logements) et pour 10,5 % des appartements (106 logements)[a 2].

    La proportion des résidences principales propriétés de leurs occupants était de 78,3 % (753 logements), alors que la proportion des logements loués étaient de 20,3 % (195 logements dont 118 logements HLM loués vides)[a 3].

    Toponymie

    Le village de Souchez est mentionné en 540 sous le nom de Sabucetum dans le testament de saint Remi. Puis, au XIIIe siècle, sous le nom de d'Oppidulum Sabuceti. Mais aussi Villa Successi en 1088, Soces en 1104, Souces en 1119, Socez en 1213, Souches en 1259, Souchies en 1339, Souchetz en 1525 et finalement, Souchez en 1663[21],[M 1].

    Histoire

    Antiquité

    Des vestiges d'habitations gallo-romaines témoignent de l'occupation du territoire au début de notre ère.

    Le testament de l'archevêque de Reims mentionne Souchez sous le nom de Sabucetum en 540. Mais l'authenticité de ce document est réfutée par certains historiens[M 1].

    Le Moyen Âge

    En 1213, Souchez est dévastée par les troupes du comte Ferrand de Flandre alors en guerre contre Philippe Auguste[21].

    Le village est de nouveau détruit en 1303 par les Flamands, puis en 1380 par les Anglais au cours de la guerre de Cent Ans[21],[M 1].

    Époque moderne

    Souchez sert de lieu de garnison à deux reprises : en 1648, pour les troupes du prince de Condé pendant la bataille de Lens, ainsi qu'en 1654 pour les troupes espagnoles durant le siège d'Arras[21].

    La Grande Guerre

    Le front de l'Artois en janvier 1915. Zone allemande à droite du trait rouge.
    Ruines de la sucrerie de Souchez.
    Paysage dévasté par la guerre, peint par un soldat canadien (A.Y. Jackson) en 1917.

    De par sa situation, entre les collines de Lorette au nord et de Vimy à l'est, Souchez est située au cœur des batailles de l'Artois de la Première Guerre mondiale.

    Dès le , les Allemands prennent possession de la colline de Lorette et occupent la base occidentale de la crête de Vimy ; Souchez est alors située zone allemande et le reste une année durant[22].

    L'offensive des armées britanniques et françaises du printemps et de l’automne 1915, pour reprendre les hauteurs des collines, entraînent la destruction totale de la ville comme en témoigne Jean Galtier-Boissière dans son livre Un hiver à Souchez (1915-1916)[M 1] :

    «  Soudain, derrière un boqueteau sinistre dont les arbres étêtés par la mitraille raturent le ciel comme une armée de grotesques manches à balais, Souchez nous apparaît... Le paysage est si hideux, si hors nature que je me demande si je ne rêve pas : c'est une vision d'infernal cauchemar, le lugubre décor de quelque conte fantastique d'Edgar Poë.

    Ce ne sont pas des ruines : il n'y a plus de mur, plus de rue, plus de forme. Tout a été pulvérisé, nivelé par le pilon. Souchez n'est plus qu'une dégoûtante bouillie de bois, de pierres, d'ossements, concassés et pétris dans la boue. Comme sur la mer après un naufrage, quelques épaves gisent éparses sur un tapis de boue luisante. Ces décombres puent la mort. Lorsque Souchez cessa d'être le théâtre d'une guérilla journalière, l'eau acheva l'œuvre du feu : la petite rivière, qui certains soirs coula rouge, se révolta et, sortant de son lit, s'efforça de submerger les décombres.

    Quelques flots de ruines émergent seuls de la boue ; néanmoins les obus ennemis s'acharnent à fouiller sans pitié les entrailles du bourg assassiné... »

     Jean Galtier-Boissière, Un hiver à Souchez (1915-1916)

    Le chapitre XII du roman d'Henri Barbusse, Le Feu, offre une description similaire de Souchez rasé :

    «  Le village a disparu. Jamais je n’ai vu une pareille disparition de village. Ablain-Saint-Nazaire et Carency gardent encore une forme de localité, avec leurs maisons défoncées et tronquées, leurs cours comblées de plâtras et de tuiles. Ici, dans le cadre des arbres massacrés — qui nous entourent, au milieu du brouillard, d’un spectre de décor — plus rien n’a de forme : il n’y a pas même un pan de mur, de grille, de portail, qui soit dressé, et on est étonné de constater qu’à travers l’enchevêtrement de poutres, de pierres et de ferraille, sont des pavés : c’était ici, une rue !

    On dirait un terrain vague et sale, marécageux, à proximité d’une ville, et sur lequel celle-ci aurait déversé pendant des années régulièrement, sans laisser de place vide, ses décombres, ses gravats, ses matériaux de démolitions et ses vieux ustensiles : une couche uniforme d’ordures et de débris parmi laquelle on plonge et l’on avance avec beaucoup de difficulté, de lenteur. Le bombardement a tellement modifié les choses qu’il a détourné le cours du ruisseau du moulin et que le ruisseau court au hasard et forme un étang sur les restes de la petite place où il y avait la croix.  »

     Henri Barbusse, Le Feu

    Le président du conseil Georges Clémenceau visite Béthune, Souchez, Ablain-Saint-Nazaire, Vimy, Roclincourt, communes non tenues par les Allemands, le [23].

    La ville est citée à l'ordre de la Nation le [24] et reçoit la croix de Guerre en 1924[25], aujourd'hui encore visible sur le fronton de la mairie.

    À la suite de la guerre, Souchez est parrainée par le quartier londonien de Kensington qui soutint la reconstruction par de nombreux dons. La place principale de Souchez porte à cet effet le nom de place Kensington et une rue environnante celle de Rice Oxley, alors maire de Kensington[réf. nécessaire].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Souchez dans l'ancien canton de Vimy et dans l'arrondissement d'Arras.

    La commune se trouvait depuis 1801 dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais. Par arrêté préfectoral du , la commune en est détachée le pour intégrer l'arrondissement de Lens[26].

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription du Pas-de-Calais.

    La commune faisait partie depuis 1801 du canton de Vimy[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Bully-les-Mines.

    Souchez relève du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour administrative d'appel de Douai, de la cour d'appel de Douai, de la cour d'assises du Pas-de-Calais, du tribunal administratif de Lille, du tribunal d'instance d'Arras, du tribunal de grande instance d'Arras, du tribunal de commerce d'Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[28].

    Intercommunalité

    Souchez est membre de la Communaupole de Lens-Liévin (communauté d'agglomération), créée en 2000..

    Tendances politiques et résultats

    L’analyse des derniers résultats électoraux de Souchez montrent une tendance au vote à gauche des électeurs avec des victoires quasiment systématiques des candidats du parti socialiste ou du Mouvement républicain et citoyen aux élections locales et nationales.

    Élections présidentielles

    Résultats des deuxièmes tours

    Élections législatives

    Résultats des deuxièmes tours

    Élections cantonales et départementales

    Résultats des deuxièmes tours

    Élections municipales

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants de la commune étant compris entre 2 500 et 3 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 23[30].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[réf. nécessaire].
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1838 1848 Pierre Philippe Delabre    
    1848 1871 Achmet d'Hericourt    
    1871 1881 Georges Morel    
    1881 1907 Guislain-Philippe Cayet    
    1907 1919 Jean-Philippe Cayet    
    1919 1925 Jean Leflon    
    1925 1929 Joseph Verdière    
    1929 1944 Edmond Pruvost    
    1944 mars 1959 Eugène Flandrin    
    mars 1959 décembre 1959 Roger Verdière    
    décembre 1959 1971 Onésime Brassart    
    1971 octobre 1995 Émile Verdière PS Ajusteur
    Décédé en fonction.
    octobre 1995 En cours
    (au 19 novembre 2018)
    Jean-Marie Alexandre MRC[31] Instituteur
    Président du Communaupole de Lens-Liévin (1998 → 2001)
    Député européen (1989 → 1994)
    Vice-président du conseil régional du Nord-Pas-de-Calais (1998 → 2015)
    Réélu pour le mandat 2014-2020[32],[33],[34],[35]

    Comptes de la commune

    En 2013, la commune disposait d’un budget de 2 621 000  dont 1 880 000  de fonctionnement et 741 000  d’investissement[36], financés à 57,42 % par les impôts locaux avec des taux d’imposition fixés à 20,87 % pour la taxe d'habitation et 33,67 % et 100,39 % pour la taxe foncière sur le bâti et le non-bâti[37]. Cette même année, la dette cumulée de la commune s’élevait à 528 000 [38].

    Population et société

    Les habitants sont appelés les Souchézois[39].

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[41].

    En 2018, la commune comptait 2 545 habitants[Note 5], en diminution de 1,01 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    638632764737812817843833814
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    8509059049349589751 0311 1211 231
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4001 4751 5267819601 0331 0571 1611 244
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    1 6521 8001 8621 8722 0312 1762 2962 5232 539
    2018 - - - - - - - -
    2 545--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (21 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois supérieur au taux départemental (19,8 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,5 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 48,5 % d'hommes (0 à 14 ans = 18,7 %, 15 à 29 ans = 17 %, 30 à 44 ans = 23 %, 45 à 59 ans = 23,2 %, plus de 60 ans = 18,1 %) ;
    • 51,5 % de femmes (0 à 14 ans = 17,8 %, 15 à 29 ans = 14,2 %, 30 à 44 ans = 22,1 %, 45 à 59 ans = 22,2 %, plus de 60 ans = 23,7 %).
    Pyramide des âges à Souchez en 2007 en pourcentage[43]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ans ou +
    0,6 
    6,3 
    75 à 89 ans
    8,0 
    11,8 
    60 à 74 ans
    15,1 
    23,2 
    45 à 59 ans
    22,2 
    23,0 
    30 à 44 ans
    22,1 
    17,0 
    15 à 29 ans
    14,2 
    18,7 
    0 à 14 ans
    17,8 
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2007 en pourcentage[44]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,8 
    5,1 
    75 à 89 ans
    9,1 
    11,1 
    60 à 74 ans
    12,9 
    21,0 
    45 à 59 ans
    20,1 
    20,9 
    30 à 44 ans
    19,6 
    20,4 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Enseignement

    Souchez est située dans l'académie de Lille. En 2014, la ville administre une école maternelle, l'école Onesime-Brassart, et une école élémentaire, l'école Anatole-France[45].

    Le collège de proximité est le collège Jean-Vilar à Angres[46]. Les lycées de proximité sont : le lycée général et professionnel Henri-Darras et le lycée des métiers du bâtiment François-Hennebique à Liévin[47].

    Équipements culturels

    Lens' 14 - 18 Centre d'Histoire Guerre et Paix, le centre d'interprétation dédié aux événements de la Première Guerre mondiale en Artois et en Flandres française, est établi à Souchez. Ce musée gratuit, ouvert depuis le , présente les événements de la Grande Guerre grâce à des photographies parfois inédites, des films d'archives ou encore des cartes dynamiques.

    Souchez dispose d'une médiathèque[M 2].

    Santé

    Aucun établissement de santé n’est implanté dans la commune. Les hôpitaux les plus proches sont ceux d'Arras et de Lens[48].

    Trois médecins[49], un chirurgien-dentiste[50] et une pharmacie[51] sont installés dans la commune en 2014.

    Sports

    Souchez dispose en 2014 d'une salle de sports[M 3] et d'un terrain de sport.

    Autres services publics

    Le bureau de poste de Souchez.

    La commune dispose en 2014 d’un bureau de poste[52].

    La sécurité de la commune est assurée en 2014 par la brigade territoriale autonome de gendarmerie de Vimy[53],[54]. Le centre d'incendie et de secours (CIS) le plus proche est celui de Lièvin[55].

    Manifestations culturelles et festivités

    La commune dispose d'une salle des fêtes[M 4]. Diverses associations participent à l'animation culturelle de la commune[M 5].

    Plusieurs manifestations locales sont organisées à Souchez dont : le « Festival country » au début du mois d'août, « Il était une fois le Pas-de-Calais libéré » en septembre[56],[57], les marchés aux puces en mai et en septembre et le Marché de Noël en décembre[M 6].

    Médias

    Le quotidien régional La Voix du Nord, dans son édition locale Arras, ainsi que l’hebdomadaire L'Avenir de l'Artois, relatent les informations locales. La ville est couverte par les programmes de France 3 Nord-Pas-de-Calais et les chaînes nationales de la TNT. Elle reçoit également la chaîne régionale Wéo.

    L’information institutionnelle est assurée par plusieurs publications périodiques : L'info de l'agglo, le journal diffusé par la Communauté d'agglomération de Lens-Liévin[58] et Mon Nord-Pas-de-Calais, bimestriel diffusé par le conseil régional du Nord-Pas-de-Calais[59].

    Cultes

    Le territoire de la commune de Souchez fait partie de la paroisse catholique « Notre-Dame des collines d'Artois » dans le secteur paroissial de Lens - Liévin du diocèse d'Arras[60]. Le lieu de culte est l'église Saint-Nicolas.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 32 559 , ce qui plaçait Maubourguet au 11 443e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[61].

    En 2009, 54,5 % des foyers fiscaux étaient imposables[a 4].

    Emplois, revenus et niveau de vie

    En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 1 632 personnes, parmi lesquelles on comptait 72 % d'actifs dont 65 % ayant un emploi et 7 % de chômeurs[a 5].

    Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2009[a 5].
    Nb. Personnes Pourcentage
    Ensemble 1632 100,0%
    Actifs 1176 72 %
    Actifs ayant un emploi 1061 65 %
    Chômeurs 115 7 %
    Inactifs 456 28 %
    Élèves, étudiants 165 10,10 %
    Retraités ou préretraités 173 10,60 %
    Autres inactifs 118 7,20 %

    Toujours en 2009, on comptait 401 emplois dans la zone d'emploi, contre 359 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 1 066, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 6] est de 37,6 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre environ un emploi pour trois habitants actifs[a 6].

    Entreprises et commerces

    Au 31 décembre 2010, Souchez comptait 120 établissements : 14 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 7 dans l'industrie, 13 dans la construction, 60 dans le commerce-transports-services divers et 26 étaient relatifs au secteur administratif[a 7].

    En 2011, 19 entreprises ont été créées à Souchez[a 8], dont 15 par des auto-entrepreneurs[a 9].

    La ville dispose de nombreux commerces alimentaires et autres, des magasins d'habillement, des restaurants, des banques, des agences d'assurances, des agences immobilières, des salons de coiffure, une pharmacie et de nombreux artisans[M 7].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La commune compte un lieu répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel[62] et un objet répertorié à l'inventaire des monuments historiques[63] :

    • le jardin du cimetière militaire de Lorette[64] ;
    • le bénitier en pierre, daté de 1765, situé dans l'église Saint-Aignan, classé au titre objet depuis le 18 mai 1908[65].
    L'église Saint-Nicolas.

    On peut également citer :

    • Le socle de la croix de grès, datant du Moyen Âge, partiellement détruite pendant la Première Guerre mondiale et exhumée lors de la reconstruction de la ville[66] ;
    • l'église Saint-Nicolas, détruite au cours de la Première Guerre mondiale et reconstruite entre 1928 et 1931[M 8] ;
    • le cimetière militaire du Commonwealth Zouave Valley Cemetery, au pied de la crête de Vimy, du nom d'un régiment de zouaves de l'armée française qui prirent pied sur la crête en , regroupe les tombes de 250 soldats[22],[67] ;
    • le cimetière militaire du Cabaret-Rouge, du nom d'un cabaret qui existait à l'entrée sud de Souchez avant la guerre, regroupe 7 665 tombes de soldats britanniques[66],[22],[68] ;
    • le cimetière canadien de Givenchy-en-Gohelle, situé sur le territoire de la commune de Souchez, sur le versant ouest de la crête de Vimy, regroupe les tombes de 109 soldats canadiens[69] ;
    • le monument aux morts, sur la place de la mairie ;
    • le monument à la mémoire du général Barbot, mort à Souchez le [66],[22],[70] ;
    • Le Centre européen de la Paix, situé au pied de la nécropole nationale de Notre-Dame-de-Lorette, contient une collection d’objets de la Première Guerre mondiale, propose des expositions et présente des films constitués d’images d’archive qui retrace les grandes étapes du conflit.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :
    d'azur au chevron d'or accompagné de trois têtes de loup arrachées du même, lampassées de gueules, les deux du chef affrontées.

    Souchez dans les arts et la culture

    • Dans son livre un hiver à Souchez, l'écrivain Jean Galtier-Boissière décrit le quotidien des soldats de la Première Guerre mondiale sur le front de l'Artois dans les tranchées de Souchez[71] ;
    • Le nom de la commune est utilisé pour la dénomination d'une aire de service de l'autoroute A26 au nord-est de son territoire[72].

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Scrutin majoritaire plurinominal à deux tours, avec panachage en 2008 pour la commune de Souchez.
    4. Scrutin de liste à deux tours avec représentation proportionnelle en 2014 pour la commune de Souchez.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    6. L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.

    Insee

    1. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
    2. LOG T2 - Catégories et types de logements.
    3. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
    4. REV T1 - Impôts sur le revenu des foyers fiscaux.
    5. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
    6. EMP T5 - Emploi et activité.
    7. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.
    8. DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
    9. DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.

    Site de la mairie

    1. « Histoire » (consulté le ).
    2. « Découvrir la ville : la médiathèque » (consulté le ).
    3. « Découvrir la ville : la salle des sports » (consulté le ).
    4. « Découvrir la ville : la salle des fêtes » (consulté le ).
    5. « Les associations de Souchez » (consulté le ).
    6. « L'agenda des manifestations » (consulté le ).
    7. « Vie pratique : artisans et commerçants » (consulté le ).
    8. « Découvrir la ville : l’église Saint-Nicolas » (consulté le ).

    Site du ministère de l'Intérieur

    Autres sources

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    2. « Orthodromie entre Souchez et Arras », sur le site lion1906.com de Lionel Delvarre (consulté le ).
    3. « Orthodromie entre Souchez et Lille », sur le site lion1906.com de Lionel Delvarre (consulté le ).
    4. « Orthodromie entre Souchez et Paris », sur le site lion1906.com de Lionel Delvarre (consulté le ).
    5. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    6. « Carte géologique du BRGM », sur le site internet du BRGM (consulté le ).
    7. [PDF]« Notice explicative de la carte géologique de la région d'Arras (carte 1006N) », sur le site internet du BRGM (consulté le ).
    8. source : Météofrance, « Les collines de l'Artois, climatologie », sur le site de la direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt du Nord Pas de Calais (consulté le ), p. 2.
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    10. « Les dessertes et horaires des transports interurbains et scolaires du Pas-de-Calais », sur le site internet du réseau des transports du Pas-de-Calais (consulté le ).
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    21. Daniel Haigneré et commission départementale des monuments historiques, Dictionnaire historique et archéologique du Pas-de-Calais, t. II, Arras, Sueur-Charrey, (notice BnF no FRBNF34107100, lire en ligne), p. 264-265.
    22. Les champs de bataille : Flandres, Artois, Michelin, (ISBN 978-2-06-718624-8 et 2-06-718624-8), p. 241-242.
    23. Cent ans de vie dans la région, Tome II : 1914-1939, La Voix du Nord éditions, n° hors série du 17 février 1999, p. 41
    24. Journal officiel du 13 août 1920, p. 11820.
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    26. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements du Pas-de-Calais - Recueil des actes administratifs », sur http://www.pas-de-calais.gouv.fr/, (consulté le ).
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    30. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales sur Légifrance.
    31. « Actualités de nos élus », sur le site du MRC62 (consulté le ).
    32. Camille Raad, « Jean-Marie Alexandre maire de Souchez: «Un mandat de confirmation qui indique que les choix du passé étaient justes» : Suite de notre série sur les bilans des maires avec Jean-Marie Alexandre. L’élu, qui a d’abord endossé la fonction de maire « par un malheureux hasard », assure ne pas en laisser à la maîtrise budgétaire depuis trois mandats. Celui qui vient de s’écouler conforte le premier édile dans ses choix, malgré son indécision quant à repartir pour un quatrième tour à la tête de la commune », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ) « Au départ, il ne souhaitait pourtant même pas occuper un poste d’adjoint, pris par d’autres fonctions (député européen, conseiller technique au cabinet du ministre de la Défense, conseiller régional et municipal). Jusqu’en juin 1995, où il finit par accepter de devenir le premier adjoint du maire d’alors, Émile Verdière, « décédé dans (ses bras) » quelques mois plus tard, en septembre précisément ».
    33. « Souchez : J.-M. Alexandre, conseiller dès 1983, élu maire en 1995, entame un nouveau mandat : Les Souchézois ayant voté dimanche dernier pour une liste unique, se sont retrouvés ce dimanche matin pour l’élection du maire », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    34. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    35. Emmanuelle Crépelle, « Projet du maire de Souchez : « Nous devons être en capacité d’accueillir le monde entier » explique Jean-Marie Alexandre : À moins d’un mois de l’inauguration de l’anneau de la mémoire, la commune vit plus que jamais à l’heure du centenaire. Accueillir touristes et visiteurs sera le fil rouge du mandat pour le maire, Jean-Marie Alexandre », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
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    65. « Bénitier », notice no PM62001536, base Palissy, ministère français de la Culture.
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    69. « Cimetière canadien de Givenchy-en-Gohelle », sur le site internet Anciens Combattants Canada (consulté le ).
    70. « Monument à la gloire de la Division Barbot - Souchez », sur le site internet des Chemins de mémoire du Pas-de-Calais (consulté le ).
    71. Jean Galtier-Boissière, Un hiver à Souchez, Tusson, Editions du Lérot, (1re éd. 1917 (éditions Berget Levrault)).
    72. [PDF]« Les aires de services de l'A26 », sur le site internet de la SANEF (consulté le ).
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