Saint-Mesmin (Dordogne)

Saint-Mesmin est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Mesmin.

Saint-Mesmin

Le bourg de Saint-Mesmin.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes Isle-Loue-Auvézère en Périgord
Maire
Mandat
Guy Bouchaud
2020-2026
Code postal 24270
Code commune 24464
Démographie
Gentilé Saint-Mesminois
Population
municipale
322 hab. (2018 )
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 21′ 11″ nord, 1° 12′ 22″ est
Altitude Min. 182 m
Max. 415 m
Superficie 29,58 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton Isle-Loue-Auvézère
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Mesmin
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Saint-Mesmin
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Mesmin
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Mesmin
Liens
Site web saint-mesmin.fr

    Géographie

    Généralités

    Saint-Mesmin est une commune de 2 958 hectares[1] et 280 habitants située au nord-est du département de la Dordogne à 55 km de Périgueux.

    Limitrophe avec le département de la Corrèze auquel elle a appartenu avant la fin du XVIIIe siècle, la commune est arrosée au nord-ouest par l'Auvézère qui y a creusé des gorges.

    Son territoire est composé pour un tiers de forêts.

    L'agriculture se répartit entre l'élevage des bovins, la culture des céréales (pour nourrir le bétail principalement), et les vergers de pommiers.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Mesmin et des communes avoisinantes.

    Saint-Mesmin est limitrophe de six autres communes dont une dans le département de la Corrèze.

    Communes limitrophes de Saint-Mesmin
    Savignac-LédrierPayzac Saint-Cyr-les-Champagnes
    Génis
    Salagnac Juillac
    (Corrèze)

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 1 048 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Yrieix la Pe », sur la commune de Saint-Yrieix-la-Perche, mise en service en 1994[8] et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 1 164,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 33 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Mesmin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (39,8 %), zones agricoles hétérogènes (31 %), prairies (27,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %), cultures permanentes (0,6 %), zones urbanisées (0,1 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de la commune fait référence à saint Maximin, évêque de Trèves au IVe siècle[21].

    En occitan, la commune porte le nom de Sent Maimin[22].

    Histoire

    L'église Saint-Maximin a été bâtie au XVe siècle[21].

    Lors de la création des départements français en 1790, la commune a d'abord brièvement fait partie de la Corrèze avant d'être rattachée en 1793, ainsi que neuf autres communes, à la Dordogne.

    La commune porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le nom de « Mont-Mémin »[23] ou « Mont Mesmin »[21].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune de Saint-Mesmin a, dès 1790, fait partie du département de la Corrèze.

    En 1793, elle est rattachée au canton de Genis qui dépend du district d'Excideuil dans le département de la Dordogne. En 1801, le canton de Genis est supprimé, de même que les districts, et la commune est rattachée au canton d'Excideuil dépendant de l'arrondissement de Périgueux[23].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[24]. La commune est alors rattachée au canton Isle-Loue-Auvézère.

    En 2017, Saint-Mesmin est rattachée à l'arrondissement de Nontron[25],[26].

    Intercommunalité

    En 2009, Saint-Mesmin rejoint la communauté de communes Causses et Rivières en Périgord. Celle-ci est dissoute le et ses communes  hormis Savignac-les-Églises qui rejoint Le Grand Périgueux  sont rattachées à la communauté de communes du Pays de Lanouaille qui la même année prend le nom de communauté de communes Isle-Loue-Auvézère en Périgord.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[27],[28].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1965 1989 Charles Bourbon PS  
    1989 mars 2008 René Lasternas    
    mars 2008[29]
    (réélu en mai 2020[30])
    En cours Guy Bouchaud SE[31] Général retraité de l'armée

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Mesmin relève[32] :

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

    En 2018, la commune comptait 322 habitants[Note 5], en augmentation de 9,9 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0339618641 1021 0071 0541 0981 1221 159
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0801 1401 1431 0751 0821 0881 1681 1071 122
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1061 1241 115951889808792708633
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    607534455393324284278264311
    2018 - - - - - - - -
    322--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[36], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 130 personnes, soit 41,4 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (21) a augmenté par rapport à 2010 (14) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 16,2 %.

    Établissements

    Au , la commune compte trente-sept établissements[37], dont seize au niveau des commerces, transports ou services, quinze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, trois dans l'industrie, deux dans la construction, et un relatif au secteur administratif[38].

    Culture locale et patrimoine

    Les gorges de l'Auvézère

    Ayant pris sa source à proximité du plateau de Millevaches, l'Auvézère arrive en Périgord vert. Sa puissance lui a permis de creuser une profonde vallée (plus de 100 mètres) dans les roches calcaires. Elle offre un paysage de cascades et de tourbillons. Vous pouvez suivre son cours sur les sentiers qui la longent, et découvrir ses chutes au Saut Ruban. Fin 2018, afin de permettre le cheminement vers les différents sites touristiques des gorges et l'accès aux gîtes du village, la communauté de communes a fait installer deux passerelles[39] qui donnent accès à la rive droite de l'Auvézère : une longue de 47 m au niveau de la confluence avec le ruisseau de Porte-Étoupe, l'autre de 22 m en aval du Saut Ruban.

    L'église

    Église gothique du XVe siècle dédiée à saint Maximin. L'édifice abrite un retable et, autre curiosité, une vierge noire, tous deux du XVIIe siècle.

    Le presbytère

    Bâtisse du XVIIe siècle, aujourd'hui transformée en « Relais nature » où amateurs de canoë-kayak, randonnée, VTT et escalade viennent découvrir sportivement cet endroit.

    Le Puy des Ages

    Montage panoramique depuis le haut du château d'eau du Puy des Ages.

    Le site du Puy des Ages est l'un des deux espaces naturels sensibles de la Dordogne. Le puy est à cheval sur les communes de Saint-Cyr-les-Champagnes et de Saint-Mesmin. C'est une arête rocheuse de 1,5 km qui culmine à 415 mètres d'altitude. Le puy offre un paysage composé de landes à bruyères, de myrtilles... Sur le site est édifiée la chapelle Notre-Dame de Partout, construite par l'abbé Gallice, curé de Payzac, et les jeunes du Foyer Saint-Joseph, après un incendie de la lande en 1956.

    Une table d'orientation a été édifiée en 1993 et guide le paysage avec le tracé de l'Auvézère en support.

    Le château d'eau haut de 30 mètres situé au point le plus élevé du Puy des Ages est, depuis , décoré sur ses deux faces par un visuel représentant deux espèces de bruyère, la flore principale du site, création de l'artiste Frédéric Gracia[40].

    Patrimoine naturel

    Au-delà des sillons formés par les gorges de l'Auvézère et du ruisseau de la Forge, la commune de Saint-Mesmin.

    Deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II à dominante boisée sont constituées sur le territoire communal :

    Pèlerinage

    Début septembre de chaque année, pèlerinage à la chapelle Notre-Dame-de-Partout, au Puy des Ages. En 2014, la cérémonie a attiré environ 200 pèlerins[45].

    Personnalités liées à la commune

    • Charles Sarlandie, chef d'état-major de la Résistance au sein du Bataillon Violette à Saint-Mesmin.

    Héraldique

    Blason
    D'argent au cerf élancé de gueules issant d'une mer d'azur, celle-ci chargée de l'inscription « Périgord Vert » en lettres d'argent ; mantelé de sinople chargé de deux feuilles de chêne d'or, posées en barre à dextre, en bande à senestre et, au-dessus du trait de partition, dans le sens du mantelé, des inscriptions d'argent « Saint » à dextre et « Mesmin » à senestre.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Saint-Mesmin sur le site de l'Institut géographique national.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Saint-Yrieix la Pe - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Mesmin et Saint-Yrieix-la-Perche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Saint-Yrieix la Pe - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Mesmin et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord,éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 350.
    22. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 21 novembre 2013.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    25. [PDF] « Arrêté portant modification des limites territoriales des arrondissements de Bergerac, Nontron, Périgueux et Sarlat-la-Canéda du département de la Dordogne », Préfecture de la Dordogne, 30 décembre 2016.
    26. [PDF] Anciens et nouveaux arrondissements au 1er janvier 2017, Préfecture de la Dordogne, 4 janvier 2017.
    27. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 11 septembre 2020.
    28. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 18 novembre 2020.
    29. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 29 août 2014.
    30. « Bruno Lamonerie a été réélu », Sud Ouest édition Dordogne, 23 juillet 2020, p. 25.
    31. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 8.
    32. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    36. Dossier complet - Commune de Saint-Mesmin (24464) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 21 janvier 2019.
    37. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    38. Dossier complet - Commune de Saint-Mesmin (24464) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 21 janvier 2019.
    39. « La Dordogne rend les gorges de l’Auvézère encore plus accueillantes », sur France 3 Nouvelle-Aquitaine (consulté le ).
    40. Pierre Thibaud, Les fresques du Puy des Ages inaugurées, Sud Ouest du 23 mai 2014, consulté le 22 février 2015.
    41. [PDF] Forêt domaniale de Born sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 23 février 2017.
    42. Carte de localisation de la forêt domaniale de Born sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 23 février 2017.
    43. [PDF] Gorges de l'Auvézère, INPN, consulté le 17 mars 2019.
    44. Carte de la ZNIEFF 720000937, INPN, consultée le 17 mars 2019.
    45. Michel Pitout, 200 pèlerins à Notre-Dame-de-Partout, Sud Ouest édition Périgueux du 13 septembre 2014, p. 24.
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