Saint-Cyr-les-Champagnes

Saint-Cyr-les-Champagnes est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Cyr.

Saint-Cyr-les-Champagnes

L'église Saint-Cyr-et-Sainte-Juliette.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes Isle-Loue-Auvézère en Périgord
Maire
Mandat
Alain Pierrefitte
2020-2026
Code postal 24270
Code commune 24397
Démographie
Gentilé Saint-Cyriens
Population
municipale
240 hab. (2018 )
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 22′ 47″ nord, 1° 17′ 21″ est
Altitude Min. 274 m
Max. 415 m
Superficie 15,81 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton Isle-Loue-Auvézère
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Cyr-les-Champagnes
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
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Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Cyr-les-Champagnes
Liens
Site web www.saint-cyr-les-champagnes.fr

    Géographie

    Généralités

    Saint-Cyr-les-Champagnes est une commune du nord-est de la Dordogne. Elle est arrosée par le ruisseau des Belles-Dames.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Cyr-les-Champagnes et des communes avoisinantes.

    Saint-Cyr-les-Champagnes est limitrophe de cinq autres communes dont trois dans le département de la Corrèze.

    Communes limitrophes de Saint-Cyr-les-Champagnes
    Payzac Beyssenac
    (Corrèze)
    Concèze
    (Corrèze)
    Saint-Mesmin Juillac
    (Corrèze)

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 1 090 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lubersac », sur la commune de Lubersac, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 152,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 31 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Cyr-les-Champagnes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (62,4 %), prairies (14,6 %), cultures permanentes (13,5 %), forêts (9,5 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    La commune doit pour partie son nom à saint Cyr, jeune martyr chrétien du IVe siècle, fils de sainte Julitte.

    En occitan, la commune porte le nom de Sent Circ las Champanhas[20].

    Histoire

    La première mention connue de Saint-Cyr-les-Champagnes remonte aux alentours de 1315, sous la forme latine Sanctus Ciricus de Campagnia[21].

    Au Moyen Âge, le village fait partie de la vicomté de Limoges, laquelle sera érigée en marquisat par Charles IX en . Saint-Cyr est à ce titre cité dans l'acte de création du marquisat de Limoges[22].

    Pendant la Révolution, une lettre circulaire du du comité permanent de la ville d'Uzerche - dont dépendait alors Saint-Cyr -, destinée aux curés de la sénéchaussée d'Uzerche, rapporte que le village, comme beaucoup d'autres dans la région, a été touché par la Grande Peur : « le vicaire de Saint-Cyr-les-Champagnes avait couru à Lubersac portant la nouvelle que dans son bourg hommes et femmes avaient pris la fuite, qu'on brûlait toutes les maisons et tuait tout le monde, mais il a été avéré qu'on n'avait pas vu un seul brigand ou ennemi à Saint-Cyr-les-Champagnes »[23].

    Lors de la création des départements français en 1790, la commune a d'abord brièvement fait partie de la Corrèze avant d'être rattachée en 1793, ainsi que neuf autres communes, à la Dordogne[24].

    L'église de Saint-Cyr-les-Champagnes fit partie du diocèse de Limoges jusqu'au Concordat de 1801[25].

    Des incidents entre la municipalité et le curé de Saint-Cyr-les-Champagnes sont rapportés par le journal L'ami de la religion en 1835[26].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de Saint-Cyr-les-Champagnes a, dès 1790, fait partie du département de la Corrèze.

    En 1793, elle est rattachée au canton de Paizac qui dépend du district d'Excideuil dans le département de la Dordogne jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Lanouaille nouvellement créé et dépendant de l'arrondissement de Nontron[27].

    Intercommunalité

    Fin 2000, Saint-Cyr-les-Champagnes intègre dès sa création la communauté de communes Auvézère Loue qui prend le nom de communauté de communes du Pays de Lanouaille en 2003. Celle-ci, agrandie en 2017, prend le nom de communauté de communes Isle-Loue-Auvézère en Périgord.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[28],[29].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1962 1990 Jean Pierrefitte PCF Instituteur
    1990 mars 2008 Daniel Pichon Apparenté PCF  
    mars 2008[30]
    (réélu en mai 2020)
    En cours Alain Pierrefitte SE[31] Retraité

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Cyr-les-Champagnes relève[32] :

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[33].

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de Saint-Cyr-les-Champagnes se nomment les Saint-Cyriens[34].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].

    En 2018, la commune comptait 240 habitants[Note 5], en diminution de 13,67 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    642584524687672749793807836
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    810730766750800850893896855
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    832877834778751681676614557
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    519457380339313295276282247
    2018 - - - - - - - -
    240--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Au printemps, concours de labour par des vieux tracteurs ou des mécaniques anciennes (56e édition en )[38].

    Économie

    Plantation de pommiers en limites de Saint-Cyr-les-Champagnes (à gauche) et Juillac (à droite).

    Emploi

    En 2015[39], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 97 personnes, soit 37,7 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (trois) a diminué par rapport à 2010 (cinq) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 3,2 %.

    Établissements

    Au , la commune compte trente-neuf établissements[40], dont vingt dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, dix au niveau des commerces, transports ou services, cinq dans l'industrie, trois dans la construction, et un relatif au secteur administratif[41].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Cyr-et-Sainte-Juliette, romane des XIe et XIIe siècles, inscrite aux monuments historiques depuis 1970[42]. Le site de l'église et de ses abords est inscrit[43] depuis 1944. L'église honore saint Cyr et sa mère sainte Julitte, martyrs chrétiens du IVe siècle.
    • Comme dans d'autres communes voisines, des épis de faîtage décoratifs ornent le toit des maisons.
    • Le puy des Ages, arête rocheuse à cheval sur les communes de Saint-Cyr-les-Champagnes et de Saint-Mesmin, domine les plateaux alentour[44]. Couvert de landes à bruyères, il culmine à 415 mètres d'altitude. Sur le site, la chapelle Notre-Dame de Partout a été construite à l'initiative de l'abbé Galice, curé de Payzac, après un incendie de la lande en 1956. Une croix de bois cerclée a été élevée à côté de la chapelle. Une table d'orientation soulignant le tracé de l'Auvézère a été édifiée au puy des Ages en 1993[45].
    • Le château d'eau haut de 30 mètres situé au point le plus élevé du Puy des Ages est, depuis , décoré sur ses deux faces par un visuel représentant deux espèces de bruyère, la flore principale du site, création de l'artiste Frédéric Gracia[46].

    Héraldique

    Blason
    Coupé: au 1er écartelé aux I et IV de gueules au lion d'or, aux II et III d'argent plain, au 2e d'or au sanglier d'azur.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Lubersac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Cyr-les-Champagnes et Lubersac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Lubersac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Cyr-les-Champagnes et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 24 mars 2014.
    21. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 1, p. 1613, Librairie Droz, 1990 : Consulter en ligne.
    22. François Marvaud, Histoire des comtes et vicomtes de Limoges, p. 213, J.B. Dumoulin, 1873 : en ligne.
    23. Revue d'histoire moderne et contemporaine, Volume 2, Société nouvelle de librairie et d'édition, 1901, p. 287: en ligne.
    24. Archives Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, Volumes 98 à 99, 1971, p. 167: en ligne.
    25. Convention nationale, Archives parlementaires de 1787 à 1860, recueil complet des débats, 23 août 1793, p. 664: en ligne.
    26. L'ami de la religion, Volume 87, 1835, p. 582 : en ligne.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 10 septembre 2020.
    29. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 12 novembre 2020.
    30. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 27 août 2014.
    31. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 13.
    32. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    33. Site des villes et villages fleuris, consulté le 16 décembre 2020.
    34. Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 24 novembre 2016.
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    38. « 53 participants au concours de labour du comité des fêtes », Sud Ouest édition Périgueux, 20 mai 2019, p. 20.
    39. Dossier complet - Commune de Saint-Cyr-les-Champagnes (24397) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 25 décembre 2018.
    40. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    41. Dossier complet - Commune de Saint-Cyr-les-Champagnes (24397) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 25 décembre 2018.
    42. « Eglise Saint-Cyr-et-Sainte-Juliette », notice no PA00082826, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 28 juillet 2017.
    43. [PDF] Site de la DIREN Aquitaine
    44. Site de l'office de tourisme de Lanouaille
    45. Portail du Périgord vert
    46. Pierre Thibaud, Les fresques du Puy des Ages inaugurées, Sud Ouest du 23 mai 2014, consulté le 22 février 2015.
    • Portail de la Dordogne
    • Portail des communes de France
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