Savignac-Lédrier

Savignac-Lédrier est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Savignac.

Savignac-Lédrier

L'Auvézère au pied du château de la Forge
et des bâtiments de la forge.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes Isle-Loue-Auvézère en Périgord
(siège)
Maire
Mandat
Christian André Laguyonie
2020-2026
Code postal 24270
Code commune 24526
Démographie
Gentilé Savignacois
Population
municipale
715 hab. (2018 )
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 21′ 53″ nord, 1° 13′ 17″ est
Altitude Min. 214 m
Max. 374 m
Superficie 26,90 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton Isle-Loue-Auvézère
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Savignac-Lédrier
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Savignac-Lédrier
Géolocalisation sur la carte : France
Savignac-Lédrier
Géolocalisation sur la carte : France
Savignac-Lédrier
Liens
Site web savignac-ledrier.fr

    Géographie

    Généralités

    L'Auvézère au site de la forge.

    Au sud-est, la commune est traversée par la rivière Auvézère qui y forme des gorges. Au nord-est, elle est arrosée par la Haute Loue en aval de l'étang de Rouffiac.

    La commune est desservie par les routes départementales 4, 75 et 75E.

    Son bourg principal n'est pas celui qui porte le nom de Savignac-Lédrier mais celui de La Chapelle. Ce dernier et deux autres villages (La Garanne et La Croix-Merle) sont étroitement imbriqués avec le bourg de Payzac. Les deux mairies sont de ce fait distantes d'environ 700 mètres.

    Communes limitrophes

    Carte de Savignac-Lédrier et des communes avoisinantes.

    Savignac-Lédrier est limitrophe de cinq autres communes.

    Communes limitrophes de Savignac-Lédrier
    Angoisse Payzac
    Lanouaille
    Génis Saint-Mesmin

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 1 076 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Yrieix la Pe », sur la commune de Saint-Yrieix-la-Perche, mise en service en 1994[7] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 1 164,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 33 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Savignac-Lédrier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (72,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (57,5 %), forêts (27,1 %), prairies (9,8 %), terres arables (4,7 %), zones urbanisées (1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de la commune provient du nom d'un personnage d'origine gallo-romane, Sabinius, suivi du suffixe -acum[20], indiquant le « domaine de Sabinius ». Pour Bénédicte Fénié, la seconde partie du nom signifierait « couvert de lierre », d'après l'occitan ledrier[21]. Selon Chantal Tanet et Tristan Hordé, l'origine serait plus obscure. Elle pourrait avoir un rapport avec le ladre, autre nom du lépreux, ou avec le sorbier qui, en ancien occitan, se dit drulho ou drulhé[20].

    En occitan, la commune porte le nom de Savinhac l'Edrier ou Savinhac Ledrier[21].

    Histoire

    En 1110 ou 1111, Hugues de La Certa fonde un prieuré de l'ordre de Grandmont au lieu-dit La Plaigne, à 5 kilomètres de Lanouaille. C'était un prieuré important de l'ordre. En 1317, il est uni au prieuré de La Faye de Jumilhac. Il en reste un corps de logis du XVIIe siècle[22]. Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Savignac[23].

    Lors de la création des départements français en 1790, la commune a d'abord brièvement fait partie de la Corrèze avant d'être rattachée en 1793, ainsi que neuf autres communes, à la Dordogne[20].

    À la fin du XIXe siècle, le village portait le nom de Savignac-les-Drier[20].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de Savignac-Lédrier a, dès 1790, fait partie du département de la Corrèze.

    En 1793, elle est rattachée au canton de Paizac qui dépend du district d'Excideuil dans le département de la Dordogne jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Lanouaille nouvellement créé et dépendant de l'arrondissement de Nontron[24].

    Intercommunalité

    Fin 2000, Savignac-Lédrier intègre dès sa création la communauté de communes Auvézère Loue qui, quelques mois plus tard, prend le nom de communauté de communes du Pays de Lanouaille. Celle-ci, agrandie en 2017, prend le nom de communauté de communes Isle-Loue-Auvézère en Périgord.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[25],[26].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1792 1794 Léonard Barutel    
    1794 1795 Élie Boisset    
    1795 1799 (il n'y eut que des officiers d'état civil)    
    1799 1800 Léonard Barutel    
    1800 1804 Barutel (maire ou adjoint ?)    
    1794 23 septembre 1812 Mesmin Élie Boisset[Note 5]    
    23 septembre 1812 1821 J-F Peyramaure-Debord [Note 6]    
    12 juin 1821 1831[Information douteuse] Élie Boisset Boucharel fils    
    octobre 1840[Information douteuse] novembre 1840[Information douteuse] Léonard Bon    
    12 juin 1821[Information douteuse] 14 novembre 1844[Information douteuse] Élie Boisset    
    14 novembre 1844 20 mars 1848 Hypolyte Bon    
    20 mars 1848 1851 Léo Combescot    
    1851 8 février 1871 H. Peyramaure-Debord    
    8 février 1871 29 novembre 1885 Léonard Joussein    
    1885 1888[Information douteuse] Jean Dupinet    
    29 novembre 1885[Information douteuse] juin 1892 Dr Prosper Dupinet    
    10 juillet 1892 17 mai 1896 Victor Joussain    
    17 mai 1896 17 mai 1908 Jean Escaravage    
    17 mai 1908 18 mai 1929 Jean Pichon    
    18 mai 1929 21 mars 1971 Fernand Devaud SFIO Conseiller général (1945-1949)
    21 mars 1971 25 septembre 1997 Amédée-Roger Pironon[Note 6] PS puis DVG Conseiller général (1973-1985)
    25 octobre 1997 mars 2001 Jean Roubinet    
    mars 2001 mars 2014 Marguerite Cubertafon SE[27] Retraitée du commerce
    mars 2014[28]
    (réélu en mai 2020)
    En cours Christian André Laguyonie    

    Après l'abolition de la royauté () « sont élus par un conseil d'électeurs les officiers d'état civil » chargés de dresser les actes destinés à constater les naissances, mariages et décès des citoyens. Ces « officiers » sont pris parmi les membres du Conseil Général de la commune. Il semblerait que ces officiers d'état civil aient été appelés « Maires ».

    Furent officiers d'état civils :

       Avant 1792 les archives de la commune sont à Tulle
       En 1794 et 1795 : Boisset Élie
       Entre  et  : on trouve les signatures de Boisser Élie et Barutel Léonard.
       Entre  et  : Barutel Léonard et Fournier
       De  à  : Barutel (adjoint)

    À partir de 1800 (consulat) ou 1804 (empire), les Maires et Adjoints sont nommés par le préfet.

       Lors de ces premières nominations : Barutel fut adjoint ou maire
        , à la suite d'un décret impérial du , le préfet nomme aux fonctions de : 
                Maire : Monsieur Boisset Mesmin Élie
                Adjoint : Monsieur Barutel Léonard
        , le préfet de la Dordogne, en vertu de la loi du 28 Pluviôse an 8 (), nomme : 
                Maire : Sieur J. F. Peyramaure Debord en remplacement de Boisset Mesmin - démissionnaire.
          le préfet nomme aux fonctions de :
                Maire : Sieur Peyramaure Debord
                Adjoint: Sieur Lafarge Combescot
         le préfet nomme :
                Maire : sieur Boisset Boucharel Élie fils, en remplacement de sieur Peyramaure Debord décédé.
                Adjoint : Sieur Bon Bernard (maître de forge) en remplacement de sieur Lafarge Combescot décédé.

    1re élection des maires en 1826 ? Mais pour Savignac-Lédrier, il n'a été trouvé aucune nomination de 1822 à 1831

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Savignac-Lédrier relève[29] :

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

    En 2018, la commune comptait 715 habitants[Note 7], en diminution de 0,97 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1681491501 2441 2291 4741 4601 5741 453
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3781 3111 4671 3201 3711 4921 4991 6971 708
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6911 6791 6011 5141 5031 2561 2761 169993
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    952809681738737746754741720
    2018 - - - - - - - -
    715--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[33], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 302 personnes, soit 42,2 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (trente-six) a augmenté par rapport à 2010 (vingt-deux) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 11,8 %.

    Établissements

    Au , la commune compte soixante-deux établissements[34], dont vingt-sept au niveau des commerces, transports ou services, quatorze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, onze dans la construction, cinq dans l'industrie, et cinq relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[35].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Chapelle Notre-Dame-de-Pitié[38] du XIXe siècle, au bourg de La Chapelle
    • Église Notre-Dame-de-l'Assomption, romane, au village de Savignac-Lédrier. Elle comporte deux dalles funéraires du XVIIe siècle classées monument historique depuis 1951 au titre d'objets[39]

    Patrimoine naturel

    La Haute Loue à Miremont, en limite de Lanouaille.

    Deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II à dominante boisée sont constituées sur le territoire communal :

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Démissionnaire.
    6. Décédé en fonctions.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Saint-Yrieix la Pe - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Savignac-Lédrier et Saint-Yrieix-la-Perche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Saint-Yrieix la Pe - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Savignac-Lédrier et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 391-392.
    21. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 12 avril 2014.
    22. Histoire du prieuré de La Plaigne
    23. « Savignac » sur Géoportail (consulté le 18 décembre 2013)..
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 14 septembre 2020.
    26. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 25 novembre 2020.
    27. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 13.
    28. À Savignac-Lédrier, Sud Ouest édition Périgueux du 3 avril 2014, p. 20c.
    29. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    33. Dossier complet - Commune de Savignac-Lédrier (24526) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 30 janvier 2019.
    34. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    35. Dossier complet - Commune de Savignac-Lédrier (24526) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 30 janvier 2019.
    36. « Château de la Forge », notice no PA00082991, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 29 mai 2011.
    37. Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet et Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, page 351, Éditions Ouest France, 1987, (ISBN 2-85882-842-3).
    38. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 234.
    39. « Dalles funéraires », notice no PM24000397, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 29 mai 2011.
    40. « Vallées du réseau hydrographique de la Loue an amont d'Excideuil sur le site de la DIREN Aquitaine »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
    41. [PDF] Gorges de l'Auvézère, INPN, consulté le 17 mars 2019.
    42. Carte de la ZNIEFF 720000937, INPN, consultée le 17 mars 2019.
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