Remouillé

Remouillé est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Remouillé

Panorama de la commune de Remouillé.

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Nantes
Intercommunalité Clisson Sèvre et Maine Agglo
Maire
Mandat
Jérôme Letourneau
2020-2026
Code postal 44140
Code commune 44142
Démographie
Gentilé Remouilléens
Population
municipale
1 934 hab. (2018 )
Densité 90 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 03′ 23″ nord, 1° 22′ 33″ ouest
Altitude Min. 17 m
Max. 61 m
Superficie 21,38 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Clisson
Législatives Dixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Remouillé
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Remouillé
Géolocalisation sur la carte : France
Remouillé
Géolocalisation sur la carte : France
Remouillé
Liens
Site web http://www.remouille.fr/

    Commune d'environ 1 850 habitants, Remouillé est située aux limites du vignoble sèvre-et-maine, pays du muscadet, à 25 km au sud-est de Nantes.

    Cette localité avait sous l'Ancien Régime une position frontalière sur les marches Bretagne-Poitou où elle disposait du statut d'avantagère au Poitou, tout en dépendant de la Bretagne sur le plan spirituel (diocèse de Nantes). Son paysage est caractérisé par le coteau surplombant la rivière Maine où la partie historique du bourg s'est développée.

    Les habitants de la commune s'appellent les Remouilléens et les Remouilléennes.

    Géographie

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Localisation

    Remouillé est située dans la vallée de la Maine, aux limites du vignoble de Sèvre-et-Maine, pays du Muscadet, à 25 km au sud-est de Nantes et 10 km au nord de Montaigu.

    Situation de la commune de Remouillé dans le département de la Loire-Atlantique.

    Communes limitrophes

    Dans le département de la Loire-Atlantique (44) :

    Dans le département de la Vendée (85) :

    Écarts et lieux-dits

    Liste exhaustive des hameaux :

    • Ardrère (L')
    • Basse Meilleraie (La), Bauche (La), Bel Air, Boulay (Le), Boulette (La), Bourmalière (La)
    • Caffinière (La), Chalénie (La), Châtelier (Le), Chaumière (La), Chêne (Le), Cheverrière (La), Chez Gachet, Chez Génicot, Chez Jamouillon
    • Dabinière (La)
    • Écomard, Ermitage (L')
    • Fételière (La), Fonderie (La), Forêt (La)
    • Gagnerie (La), Garnerie (La), Grande Bauche, Grand Champ, Grande Métairie (La), Guillonnière (La)
    • Hauture (La), Hucheloup
    • Jarry (Le), Jubinerie (La)
    • Loge (La)
    • Maison Neuve (La), Ménantière (La), Morinière (La), Mortier (Le), Mortier Garnier (Le)
    • Pédroillon (Le), Petite Meilleraie (La), Pénotière (La), Perche (La), Pierre Blanche (La), Pironnière (La), Pontreau (Le), Porterie (La), Prépasse (La), Pré de la Rivière (Le)
    • Richebourg, Ronchère (La)
    • Tinardière (La)

    Accès et transport

    Réseau routier de Remouillé.

    Transports d'autrefois

    Le , fut ouverte une ligne de chemin de fer allant des Sorinières à Vieillevigne (puis Rocheservière à partir de 1908). La Compagnie française de chemins de fer à voie étroite disposait d'une concession de 50 ans pour exploiter la ligne. En 1935, en raison de la concurrence de l'automobile et l'autobus, le service ferroviaire fut définitivement arrêté[1].

    Aujourd'hui

    La commune est traversée dans le sens nord-sud par la route départementale 137 entre Aigrefeuille-sur-Maine et Saint-Hilaire-de-Loulay. L'autoroute 83 (européenne 03) passe à l'ouest de la commune. Une aire de repos (dans chaque sens de circulation) se trouve dans la commune. Les lignes de car 70, 90 et 304 du réseau Aléop (réseau des Pays de la Loire) passent à Remouillé.

    Géologie et sismologie

    La géologie du secteur peut se diviser en trois types :

    • les formations superficielles, composées de limons de recouvrement de plateaux (à l'ouest du bourg) et de complexe alluvionnaire aux abords de la Maine ;
    • le substratum, constitué des granites dit de Clisson-Mortagne. Il s'agit d'un batholite, porphyroïde à gros grain, plutôt rose clair, contenant muscovites et biotites (mica blanc et mica noir) ;
    • la zone broyée du Sillon de Bretagne. Ce complexe est composé de Mylonites dit de Montaigu et passe à quelques kilomnètres en diagonale sud du bourg (le Boulet, la Viesaire, la Pierre Blanche…).

    La commune de Remouillé est classée selon l'Eurocode 8 (2011) en zone de sismicité 3 (il en existe 5). Le niveau d'aléa est modéré et possède ainsi une accélération agr de 1,1 m/s2[2],[3].

    Hydrographie

    Rivière la Maine.

    Remouillé est traversée par une rivière : la Maine, qui est un affluent de la Sèvre nantaise et donc un sous-affluent de la Loire[4].

    Le débit de la Maine a été observé durant une longue période (1970-2007) dans la localité[5]. Le module de la rivière à Remouillé est de 5,61 m3/s. La Maine présente des fluctuations saisonnières de débit très marquées, comme bien souvent dans la partie occidentale du bassin de la Loire reposant sur le vieux socle armoricain.

    De petits cours d'eau coulent aussi à Remouillé dont les ruisseaux le Blaison[6], le Gorgeat[7] et l'Osée[8].

    Climat

    Le climat de la Loire-Atlantique, est de type tempéré océanique. L'influence de ce climat est largement facilitée par l'estuaire de la Loire et l'absence de relief notable[9]. Les hivers sont doux (min −5 °C / max 10 °C) et pluvieux et les étés relativement beaux et doux également (min 17 °C / max 35 °C). Les pluies sont fréquentes mais peu intenses. Les précipitations annuelles sont d'environ 820 mm[10] et peuvent fortement varier d'une année à l'autre. Les chutes de neige y sont exceptionnelles.

    Climat de Remouillé sur la période 1961 - 1990, selon les données de Nantes (situé à 23,1 km)
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2,4 2,8 4 5,9 9 11,9 13,9 13,5 11,8 8,9 5,1 3 7,7
    Température moyenne (°C) 5,4 6,2 8,1 10,4 13,6 16,9 19,1 18,7 16,8 13,1 8,6 6 11,9
    Température maximale moyenne (°C) 8,4 9,6 12,2 14,9 18,2 21,9 24,4 24 21,8 17,3 12 9 16,1
    Ensoleillement (h) 72 99 148 187 211 239 267 239 191 140 91 70 1 956
    Précipitations (mm) 86,6 70,2 69,1 49,9 64,1 45 46,4 44,8 62,2 79,2 86,9 84,1 788,5
    Nombre de jours avec précipitations 12,8 11 11,1 8,9 11 7,7 6,7 7 8,4 10,4 11,1 11,5 117,6
    dont nombre de jours avec précipitations ≥ 5 mm 6,1 4,8 4,9 3,6 4,5 2,9 2,7 3,1 3,9 5 6,2 6,1 53,7
    Humidité relative (%) 88 84 80 77 78 76 75 76 80 86 88 89 81

    Le tableau suivant permet de comparer la fréquence de phénomènes climatiques régnant dans la région nantaise avec celles de quelques grandes villes françaises aux climats distincts et caractéristiques[9].

    Ville Ensoleillement
    (h/an)
    Pluie
    (mm/an)
    Médiane nationale 1 852835
    Remouillé 1 956789
    Paris 1 662637
    Nice 2 724733
    Strasbourg 1 693665
    Brest 1 5301 210
    Bordeaux 2 035944

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Remouillé dès 1123[11], puis Remoulleyum au XIVe siècle et Remoylé en 1406[12].

    Selon des sources anciennes et non spécialisées en toponymie, ce nom de lieu remonterait à *remoulyum à « ce qui est mouillé, humide » en ancien français[13]. L'ancien français n'a pas de désinence latine en -um et le mot mouiller est régulièrement écrit moiller en ancien français, terme issu d'un bas latin *molliare « attendrir le pain en le trempant », puis « mouiller »[14]. En outre, la forme tardive du XIVe siècle qui sert de base à cette conjecture est une mauvaise latinisation du nom roman en -ei, comme c'est souvent le cas.

    Selon Albert Dauzat, Remouillé remonte à un type toponymique gallo-roman *Romuliacum, basé sur le nom d'un propriétaire gallo-romain Romulus[15], suivi du suffixe gaulois de localisation -(i)acum[16],[15]. Cette explication est reprise par Ernest Nègre. De manière régulière, le suffixe -(i)acum a abouti à la terminaison dans cette partie de la France. Une variante de l'anthroponyme latin Romulus, Romilius a donné les nombreux Rémilly, Romilly (ex: Romilly-la-Puthenaye, Eure, Romiliacum vers 1180, Romillei XIIe siècle), plus au nord où -(i)acum est devenu -y.

    Remouillé se trouve dans le domaine linguistique du poitevin, au sud de la limite avec le gallo mais on lui a attribué un nom en gallo : Remólhaé (écriture ELG)[17].

    Histoire

    Néolithique et Antiquité

    La présence de l'homme à Remouillé pendant la période du Néolithique est attestée grâce à des fragments et pièces découvertes dans la commune. Pendant l'Antiquité, la région est habitée par les Ambilatres un peuple gaulois selon l'archéologue José Gomez de Soto[18]. Plus tard, César aurait rattaché ce territoire au pays Pictons dans l'Aquitaine seconde[19],[20]. Des traces de fortifications situées au hameau de la Morinière pourraient dater de cette époque celtique[21].

    Moyen Âge

    Dans l'ancien cimetière qui était situé à côté de l'église, on pouvait observer des pierres tombales datant des époques mérovingienne et templier[13]. Au Moyen Âge, le domaine de l'Ardrère est la propriété de la famille Machecoul[13]. Située à la frontière de la Bretagne et du Poitou, Remouillé fut à partir du XVe siècle une paroisse poitevine faisant partie des Marches avantagères du Poitou sur la Bretagne. Ainsi, grâce à ce positionnement frontalier entre les deux provinces, Remouillé possédait un important poste de garde pour percevoir les impôts[13]. La paroisse fait partie du diocèse de Nantes.

    XVIIIe siècle

    Carte de Remouillé au XVIIIe siècle.

    À la Révolution, cette paroisse poitevine fut incorporée au nouveau département de la Loire-Inférieure « par erreur » selon certains[22], ou en échange de la paroisse bretonne de Saint-André-Treize-Voies selon d'autres[23].

    Remouillé fut touchée par les guerres de Vendée. Le , la Convention décide la levée en masse de trois cent mille hommes. Remouillé, comme beaucoup d’autres paroisses de la région, ne se soumet pas au recrutement. Le , un appel à la rébellion est lancé par quatre habitants[24]. Ainsi au cours du même mois, les insurgés se rassemblent et coupent l'accès de la commune en bloquant le pont de la grande route (aujourd'hui D 137). Le , Jean-Baptiste Kléber déloge de Remouillé quatre cents Vendéens[13]. Le 21, après la Bataille de Montaigu, de Charette poursuit les Républicains de Beysser en déroute jusqu'au pont de Remouillé. Le 25, Kléber reprend son offensive sur la commune[12]. Les colonnes infernales y incendient quatorze maisons en février 1794 lors de la campagne d'« anéantissement de la Vendée[13] ».

    XIXe siècle

    La duchesse de Berry

    Il est dit que l'Empereur Napoléon Ier traverse la commune, lorsqu'il se rend à Nantes en 1808[25].

    La duchesse du Berry se rendit à Nantes durant l'insurrection royaliste de 1832. Partie du château de la Preuille à Saint-Hilaire-de-Loulay, elle fit halte au château du Mortier (aujourd'hui disparu), puis traversa la rivière et séjourna une nuit au hameau d'Écomard. Elle retrouva des légitimistes au hameau de la Fételière appartenant à Benjamin de Goyon[26]. Ensuite elle rallia Montbert[27].

    Ce siècle est aussi celui de Jean-Pierre Garreau, urbaniste et architecte qui après avoir fait fortune en construisant des quartiers à Nantes, s’installe à Remouillé en 1853. Il remodèle le bourg en y améliorant son accès, en transformant les ruelles étroites en rues praticables et en aménageant des places[28]. Il construit aussi de nombreuses folies dans la commune[29].

    XXe siècle

    Le est ouverte une ligne de chemin de fer Les Sorinières - Rocheservière gérée par la Compagnie française de chemins de fer à voie étroite. Les habitants peuvent alors se rendre à Nantes. Cependant, la ligne est fermée dès 1935, en raison de la concurrence avec les nouveaux transports émergents[1].

    Symboles

    Blasonnement

    Blasonnement :
    Coupé : au 1, d'argent à la croix pattée accostée à dextre d'une étoile, le tout de gueules ; en 2, de gueules au château d'or maçonné et ouvert d'azur, accompagné de deux mouchetures de contre-hermine d’argent.
    Commentaires : La croix rouge symbolise l'Ordre Templier présent sur la commune au Moyen Âge. l'étoile représente la Vierge Marie. On retrouve la position frontalière de Remouillé par les deux hermines, représentant la Bretagne ainsi que la tour présente sur le blason des comtes de Poitou[30]. Ce blason est conçu par l'héraldiste Michel Pressensé et retenu par délibération municipale en 1992 et enregistré en 1993[30].

    Devise

    La devise de Remouillé est Dominari nec minari (Surplomber n'est pas menacer) rappelant la situation géographique de la commune[30].

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    À l'occasion des élections cantonales de 2004, les électeurs remouilléens se sont portés sur Bernard Deniaud (PS), avec 57,42 % des voix contre Martin Legeay (UMP) avec 31,72 %[31].

    Lors des élections législatives de 2002, pour le gain de la dixième circonscription de la Loire-Atlantique, les électeurs remouilléens se sont portés sur Serge Poignant (UMP) avec 57,10 % des voix contre Martine L'Hostis (PS) avec 23,15 %[32]. Lors des législatives de 2007, les électeurs remouilléens se sont portés une nouvelle fois sur Serge Poignant (UMP) avec 52,96 % des voix contre Martine L'Hostis (PS) avec 23,78 %[33].

    À l'occasion de l'élection présidentielle de 2007, Nicolas Sarkozy est arrivé en tête au premier tour avec 31,83 % des voix, contre 26,06 % à Ségolène Royal, 19,94 % à François Bayrou, 6,35 % à Philippe de Villiers et 5,96 % à Jean-Marie Le Pen. Au second tour, les électeurs préfèrent Nicolas Sarkozy 55,09 % à Ségolène Royal 44,91 %. Le taux d'abstention s'élevait à 6,49 % au premier tour et 7,47 % au second[34]

    Administration territoriale

    Remouillé fait partie du canton de Clisson, regroupant 12 communes, et faisant partie de l'arrondissement de Nantes. La commune fait partie de la dixième circonscription de la Loire-Atlantique.

    Les communes du canton sont regroupées dans la communauté de communes de la vallée de Clisson fondée en l'an 2000. Celle-ci intervient dans les domaines de l'urbanisme, des déchets, du sport et des transports scolaires, du logement, de l'emploi et du développement économique. Les autres compétences communales sont gérées directement par la mairie.

    Administration municipale

    Le conseil municipal de la commune de Remouillé est composé de 19 membres : le maire, 5 adjoints et 13 conseillers municipaux. La Mairie se situe au 4 rue Gilles Delahaye, 44140 Remouillé.

    Au 1er janvier 2010, Remouillé n'est jumelée avec aucune ville[35].

    Les maires de Remouillé

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
        Henri-Claude Guignard    
      1853 Jean Guichet    
    1853 1865 Jean Pierre Garreau    
      1983 Henry Gadais    
    1983 1989 Pierre Lemoine    
    1989 2014 Robert Gouraud[Note 1]    
    2014 En cours Jérôme Letourneau DVD entrepreneur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Fiscalité

    L'imposition des ménages et des entreprises à Remouillé en 2008[36]
    Taxepart communalePart départementalePart régionale
    Taxe d'habitation (TH)22,87 %6,96 %0,00 %N1
    Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB)21,00 %6,68 %2,63 %
    Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB)40,71 %16,90 %5,02 %
    Taxe professionnelle (TP)0,00 %N28,50 %2,76 %

    Démographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Remouillé fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Nantes et du bassin de vie d'Aigrefeuille-sur-Maine. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[37]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 82 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 18 % dans des zones « très peu denses »[38].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[40].

    En 2018, la commune comptait 1 934 habitants[Note 2], en augmentation de 8,23 % par rapport à 2013 (Loire-Atlantique : +6,31 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0006337037607919309561 0031 005
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0351 0761 1551 1521 1711 1581 1421 1351 083
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0311 000955834851823861819862
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    8948549391 1361 2311 4431 6131 7171 899
    2018 - - - - - - - -
    1 934--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Les données suivantes concernent l'année 2013. La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (16 %) est en effet inférieur au taux national (22,6 %) et au taux départemental (22,5 %)[43],[44],[45]. À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,1 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %)[43],[44],[45].

    Pyramide des âges à Remouillé en 2013 en pourcentage[43]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,1 
    5,0 
    75 à 89 ans
    7,1 
    9,3 
    60 à 74 ans
    10,1 
    19,2 
    45 à 59 ans
    17,4 
    24,3 
    30 à 44 ans
    24,2 
    18,0 
    15 à 29 ans
    16,4 
    23,9 
    0 à 14 ans
    24,7 
    Pyramide des âges de la Loire-Atlantique en 2013 en pourcentage[44]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ans ou +
    1,3 
    5,8 
    75 à 89 ans
    9,1 
    13,5 
    60 à 74 ans
    14,6 
    19,6 
    45 à 59 ans
    19,2 
    20,8 
    30 à 44 ans
    19,6 
    19,4 
    15 à 29 ans
    17,7 
    20,5 
    0 à 14 ans
    18,5 

    Économie

    Activité

    Population Actifs (15/64 ans) Actifs occupés chômeurs Taux d'activité (%) Taux de chômage (%)
    1613 841 797 44 81.9 5.2
    Source : Données statistique sur l'emploi (Insee 2006)[46]
    Vignoble nantais à Remouillé

    L'économie de Remouillé est essentiellement axée sur l'artisanat, le commerce, l'agriculture et la viticulture[47]. À noter, une entreprise de vitraux (création, restauration, reproduction). On y trouve aussi différentes activités liées à l'agriculture. La polyculture, les élevages (bovins, ovins, porcins, volaille), la viticulture avec la production de muscadet (AOC) ainsi que de gros-plant-du-pays-nantais (AOVDQS)[48],[49].

    Remouillé dispose d'un parc d'activités : le Parc d'activités du Champ Chaunet. Les commerces sont liés aux services de proximité : une boulangerie, une charcuterie-traiteur, deux salons de coiffure, un salon esthétique, un bar, un restaurant.

    Agriculture

    Le nombre d'exploitations est en régression. La commune compte 35 exploitations professionnelles en 1988 contre 20 en 2000[46].

    Superficies agricoles[46]

    Exploitations concernées 2000 Exploitations concernées 1988 Superficie (ha) 2000 Superficie (ha) 1988
    SAU des exploitations sièges 23 43 1 033 1 351
    Terres labourables 16 37 863 912
    - dont céréales 15 32 193 148
    Superficie fourragère principale 16 37 704 1 155
    - dont superficie toujours en herbe 14 35 140 393
    Superficie en fermage 15 34 802 998
    Sources des données : Insee[46]

    Urbanisme

    Typologie

    Remouillé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[50],[51],[52].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[53],[54].

    Remouillé comptait 642 logements en 2006. Entre les deux recensements de 1999 et 2006, la commune compte 94 logements de plus, ce qui représente une augmentation de 17,2 %. En 2006, 17,2 % des résidences principales ont été construites depuis 1990 et 25,4 % achevées avant 1949[46].

    En 2006, les résidences principales représentent 606 logements soit 94,4 % du parc, réparties à 97,0 % en maisons individuelles et à 3,0 % en appartements (respectivement 56,5 % et 42,4 % en France métropolitaine au ). Les propriétaires de leurs logements constituent 80,0 % des habitants contre 19,5 % qui ne sont que locataires (respectivement 57,0 % et 40,0 % en France métropolitaine au ). Seules 10 maisons sont classées en résidences secondaires ou logements occasionnels[46].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (98 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,7 %), zones agricoles hétérogènes (24,8 %), prairies (17,6 %), zones urbanisées (3,7 %), cultures permanentes (2,2 %)[55].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[56].

    Vie locale

    Remouillé dispose d'un point poste, d'une cantine scolaire, d'un espace jeunes, d'une bibliothèque d'un livre à l'autre, d'une maison des associations, d'une salle polyvalente Henri-Claude Guignard et d'une zone de loisirs : l'Espace de la Maine[47].

    Deux sentiers pédestres sont accessibles sur la commune. L'un, Circuit entre Maine et Gorgeat, propose au visiteur de parcourir le vieux bourg, ainsi que les hameaux jalonnant la Maine. L'autre, Circuit de clocher à clocher, permet au visiteur de découvrir le sentier longeant la Maine dans un parcours reliant les églises de Remouillé et Aigrefeuille-sur-Maine[57].

    Sécurité et prévention

    La commune ne dispose pas de services de sécurité et prévention sur son territoire. Une gendarmerie est implantée dans la commune voisine d'Aigrefeuille-sur-Maine. Des centres d'incendie et de secours, faisant partie du groupement de Nantes, sont installés à Aigrefeuille-sur-Maine, La Planche et Vieillevigne[58].

    Sports

    La commune dispose de plusieurs équipements sportifs dont notamment une salle omnisports, deux terrains de football et des jeux de boules[47].

    Santé/social

    Pour les soins, la commune a un pôle médico-social comprenant un médecin généraliste, un ostéopathe, deux infirmières libérales, un psychologue, deux kinésithérapeutes ainsi qu'une antenne ADMR. Un dentiste est aussi présent sur la commune[47].

    Enseignement

    Remouillé est rattachée à l'Académie de Nantes. La commune possède deux écoles (à la fois maternelle et primaire) : l'école publique Jean-de-la-Fontaine et l'école privée Saint-Pierre[47]. Dans le secondaire, les élèves vont soit au collège public d'Aigrefeuille-sur-Maine, soit au collège privé de la Maine situé aussi dans cette commune voisine[59].

    Écologie et recyclage

    La communauté de Communes de la Vallée de Clisson gère la collecte de la commune. Il y a une collecte hebdomadaire des ordures ménagères. Une collecte des ordures issues du tri sélectif a lieu toutes les deux semaines. La déchèterie dont dépend la commune se situe dans la commune même[60].

    Cultes

    Remouillé, rattaché au Diocèse de Nantes, fait partie de la paroisse catholique St Gabriel qui comporte d'autres communautés : Aigrefeuille-sur-Maine, Le Bignon, Geneston, Montbert, La Planche et Vieillevigne[61].

    Médias

    La presse écrite locale est principalement dominée par le Groupe SIPA - Ouest-France et ses éditions de Ouest-France et Presse-Océan. Localement, l'Hebdo de Sèvre et Maine, journal d'information hebdomadaire, est diffusé dans 36 communes[62].

    Une chaîne de télévision locale émet sur la région nantaise[63] : TéléNantes. Pour les informations locales, la chaîne France 3 émet un décrochage local avec France 3 Ouest Estuaire.

    Lieux et monuments

    Demeures et châteaux

    Le Château de l'Ardrère

    Il y a à Remouillé plusieurs demeures bourgeoises. On peut citer le château de l'Ermitage construit au XIXe siècle, dont le domaine avant la Révolution, appartient alors aux Kérémar. Les dépendances du château XVIIe siècle, plus anciennes que le château lui-même, comportent une fuie (un petit colombier) datant du XVIIe – XVIIIe siècle. Des écuries luxueuses sont construites par les Dufour (négociants de Nantes et du Havres) vers 1860[64].

    Le château de l'Ardrère, est bâti au XIXe siècle. Au Moyen Âge, la terre de l'Ardrère appartient à Gilles de Rais. Le bâtiment actuel est édifié par La famille Jaillard de la Maronière[65]. Il existait auparavant une demeure au hameau du Mortier appelée château du Mortier, construit au XIXe siècle. Cet édifice est aujourd'hui disparu. La duchesse du Berry fit halte au château, se rendant à Nantes durant L'insurrection Royaliste de 1832[27].

    La mairie actuelle est aménagée dans l’ancien presbytère datant du XVIIe siècle. Lors du passage des Colonnes infernales en 1794, une partie de celui-ci est incendiée. Gilles Delahaye, recteur de Remouillé de 1802 à 1829 réunit les fonds pour réhabiliter l’édifice[65].

    Église Saint-Pierre, Remouillé

    Lieux de culte

    Trois édifices religieux sont à remarquer sur le territoire de Remouillé. Tout d'abord, l'église Saint-Pierre (XVe – XIXe siècles) de style néo-roman. Elle est rénovée par Jean-Pierre Garreau vers 1860. Certaines parties de l'ancienne église subsistent encore dont notamment une fenêtre datant du XIVe – XVe siècle[13]. Son clocher est de type clocher à flèche de charpente et sa flèche est octogonale.

    La chapelle Garreau quant à elle est construite au XIXe siècle par l'architecte et urbaniste Jean-Pierre Garreau. De style romantique, cette chapelle-tombeau abrite les corps de M. et Mme Garreau[29].

    Enfin, la chapelle Sainte-Marguerite est édifiée au cours du XVe siècle. À noter, l’autel de la chapelle (XVIIIe et XIXe siècles) en bois peint imitation pierre. Elle est utilisée comme chapelle ardente après la catastrophe aérienne du 5 mars 1973 à La Planche[65].

    Les folies Garreau

    La chapelle Garreau

    Les folies Garreau sont une particularité liant Remouillé à l'un de ses maires : Jean-Pierre Garreau. Cet entrepreneur originaire de Nantes a créé au XIXe siècle un patrimoine unique composé de folies dont la plus représentative est la chapelle Garreau. Construite en granite et ardoise, cette chapelle-tombeau est de style romantique[29]. Elle abrite les corps de M. et Mme Garreau dans « deux châsses en chêne, recouvertes d'un marbre blanc.[…] Un lion d'Afrique (statue) garde ce précieux dépôt[28] ». Cinq salles complètent la chapelle : la salle Garreau, la salle de l'Abbé, la salle de l'Architecte, la salle des Évêques et le Musée de la chapelle.

    Jean-Pierre Garreau vers 1860.

    Le reste de ce patrimoine se compose à l'origine d'un musée de 300 objets, un lavoir débarcadère situé sur les bords de la Maine, un chemin de croix composé de 14 bas-reliefs (nacre/peinture/dorure)[66], un minaret musulman (la tour Saint-Georges), un musée de mannequins de cire, une serre pour plantes exotiques ainsi que des jardins suspendus. Aujourd'hui, il ne reste presque plus rien de ces « folies Garreau » à cause des pillages et de l'absence d'entretien des édifices. Un certain nombre d'objets sont cependant conservés au musée Dobrée à Nantes.

    Autre patrimoine

    • Un ancien moulin à eau.
    • Pierres tombales paléochrétiennes.
    • Rives de la Maine.
    • Petits étangs.
    • Ancien « marais de Barbe-Bleue ».

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Réélu en 1995, 2001 et 2008.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

    Notes

      Références

      1. Pierre Lemoine, « Notre page d'histoire », Bulletin communal Remouillé 1987 pp.5-11
      2. Spectre de réponse élastique horizontal, consulté le .
      3. , sur loire-atlantique.pref.gouv.fr, consulté le .
      4. Service d’Administration Nationale des Données et Référentiels sur l’Eau, « Cours d'eau : rivière la Maine (M74-030-) » (consulté le ).
      5. Banque Hydro - Station M7453010 - La Maine à Remouillé (Synthèse)
      6. Service d’Administration Nationale des Données et Référentiels sur l’Eau, « Cours d'eau : ruisseau du Blaison (M744610A) » (consulté le ).
      7. Service d’Administration Nationale des Données et Référentiels sur l’Eau, « Cours d'eau : ruisseau du Gorgeat (M745500A) » (consulté le ).
      8. Service d’Administration Nationale des Données et Référentiels sur l’Eau, « Cours d'eau : ruisseau de l'Osée (M745420A) » (consulté le ).
      9. climat de la Loire-Atlantique
      10. nantes.fr Climat
      11. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 562b.
      12. Jean-Anne Chalet 1981, p. 31.
      13. Collectif 1999, p. 60.
      14. Site du CNRTL : étymologie de "mouiller"
      15. Cassagne et Korsak 2002, p. 225.
      16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
      17. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
      18. José Gomez de Soto, in Jean Combes (dir.), Histoire du Poitou et des Pays charentais : Deux-Sèvres, Vienne, Charente, Charente-Maritime, Clermont-Ferrand, éditions Gérard Tisserand, , 334 p. (ISBN 2-84494-084-6, lire en ligne), p. 90.
      19. P.R. Giot, J. Briard, L. Pape, Protohistoire de la Bretagne, Ouest-France Université, 1995, p. 370.
      20. Louis Pape, La Bretagne romaine, Ouest-France Université, 1995, p. 16.
      21. Jean-Anne Chalet 1981, p. 30.
      22. E. Vallerie : « […] C'est le seul endroit dans la Loire-Atlantique d'aujourd'hui où l'on puisse légitimement dire que l'on est pas en Bretagne… (p. 114)
      23. De la Bretagne aux départements, histoire d'un découpage Skol Vreizh no 14, 1989, p. 35.
      24. Charles-Louis Chassin 1892, p. 549.
      25. Paul de Berthou, Clisson et ses monuments : étude historique et archéologique, Nantes, Ed. Boutin et Cosso, 1900 (rééd. clisson, 1990), p. 403 citant J.-C. Renoul « Passage à Nantes de S. M. l'Empereur Napoléon 1er, 9-11 août 1808 », Nantes, Mellinet. 1859
      26. Aurélien de Courson 1909, p. 77.
      27. Histoire de la Vendée du Bas Poitou en France - Madame la Duchesse de Berry à la Preuille (1832), consulté le .
      28. Jean-Pierre Garreau 1887.
      29. Collectif 1999, p. 63.
      30. « Blason », Bulletin d'information municipale 1994 p.2
      31. Ministère de l'intérieur, « Les résultats des élections - LOIRE ATLANTIQUE (44) - Remouillé - Canton de AIGREFEUILLE-SUR-MAINE (01) », (consulté le ).
      32. Ministère de l'intérieur, « LOIRE ATLANTIQUE (44) -- Remouillé - 10e circonscription (résultats officiels) », (consulté le ).
      33. Ministère de l'intérieur, « LOIRE ATLANTIQUE (44) -- Remouillé - 10e circonscription (résultats officiels) », (consulté le ).
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      39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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      64. Collectif 1999, p. 64.
      65. Collectif 1999, p. 61.
      66. Notice no PM44000868, base Palissy, ministère français de la Culture.
      67. École française d’Extrême-Orient, « Yves Hervouet » (consulté le ).

      Annexes

      Bibliographie

      • Audouin, Brongniart et Dumas, Annales des sciences naturelles, Masson, . 
      • Jean-Marie Cassagne et Mariol Korsak, Origine des noms de villes et de villages de la Loire-Atlantique, Saint-Jean-d'Angély, Éditions Jean-Michel Bordessoules, , 287 p. (ISBN 2-913471-45-5). 
      • Jean-Anne Chalet, Les Belles heures du comté nantais : Deux mille ans d'histoire des 220 communes de la Loire-Atlantique, Saint-Étienne, Éditions Serge Godin, . 
      • Collectif, Le Patrimoine des Communes de la Loire-Atlantique, Flohic, (ISBN 978-2-84234-040-7). 
      • Jean-Pierre Garreau, Simple Notice sur les Monuments édifiés à Remouillé, Nantes, Imprimerie du Commerce, . 
      • Charles-Louis Chassin, La préparation de la guerre de Vendée, 1789-1793. Tome 3, Paris, impr. de P. Dupont, (lire en ligne). 
      • Aurélien de Courson, Dernier effort de la Vendée (1832), Paris, E. Paul, (lire en ligne). 

      Articles connexes

      Liens externes

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