Rampoux

Rampoux est une commune française, située dans le département du Lot en région Occitanie.

Rampoux

L'église Saint-Pierre-ès-Liens.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Gourdon
Intercommunalité Communauté de communes Cazals-Salviac
Maire
Mandat
Pascal Périé
2020-2026
Code postal 46340
Code commune 46234
Démographie
Population
municipale
99 hab. (2018 )
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 38′ 33″ nord, 1° 18′ 39″ est
Altitude Min. 176 m
Max. 306 m
Superficie 5,83 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Gourdon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gourdon
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Rampoux
Géolocalisation sur la carte : Lot
Rampoux
Géolocalisation sur la carte : France
Rampoux
Géolocalisation sur la carte : France
Rampoux

    Géographie

    Les hameaux des Bouscaillou, Colombier, Repayre et Salapès forment avec le petit bourg de Rampoux une commune de 570 ha de superficie, située à 10 km de Salviac et 20 km de Gourdon. La commune est arrosée par le petit cours d'eau de l'Ourajoux.

    Le village est bâti sur une éminence, à 260 mètres d'altitude, de part et d'autre de la route départementale 25.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Rampoux[1]
    Dégagnac
    Gindou
    Lavercantière

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 922 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cazals - Dde », sur la commune de Cazals, mise en service en 1959[7]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 940,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 12 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[13].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].

    La commune fait partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[16],[17].


    Urbanisme

    Typologie

    Rampoux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[18],[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gourdon, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (52,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,3 %), zones agricoles hétérogènes (39,6 %), prairies (12,1 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le toponyme Rampoux, et autrefois Rampous serait basé sur le diminutif occitan rampa issu du germanique kramp avec le sens de crampe, raideur convulsive. Ernest Nègre propose le nom germanique Rampodus[24].

    Histoire

    La paroisse dépendait, au Moyen Âge, de l'abbaye Saint-Pierre de Marcilhac-sur-Célé et la seigneurie des Gourdon de la famille de Rampoux et des La Grange, au XVIIIe siècle.

    Commune décidée à entrer dans le rythme de la vie moderne, Rampoux manifeste aujourd'hui sa vitalité par l'aménagement de sa place Principale, par la construction de logements locatifs et par sa participation efficace au concours des villages fleuris.

    Liste des consuls

    Les consuls de Rampoux sous l'Ancien Régime sont [25] :

    Année Nom Demeurant
    1734 et 1735 Marc Lafon
    1737 Louis Pechmagré
    1738 Bergues
    1739 Louis Salinier
    1741 Géraud Laville
    1747 Annet Dantony
    1748 Vidilhe
    1750 François Bargues
    1752 Pierre Marty
    1753 Goudal
    1754 Pierre Marty (Martin) Colombié
    Jean Roujol
    1755 Goudal
    1756 Lafon
    1757 et 1758 Pierre Vesiat Monsalvy
    1759 Marty

    Politique et administration

    La mairie
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1802 1803 Antoine Gizard . .
    1803 1807 Antoine Baldy . .
    1807 1811 Antoine Gizard . .
    1811 1812 Charles de Boysson . .
    1812 1817 Antoine Gizard . .
    1820 1833 Antoine Baldy . .
    1833 1834 Antoine Rouquié . .
    1834 1853 Jean Labraude . .
    1853 1879 Jean Labraude . .
    1879 1896 Antoine Maury . .
    1896 1902 Jean Valette . .
    1971 2008 Yves Périé PS  Conseiller général
    2008 2014 Pascal Périé . .
    Les données manquantes sont à compléter.

    Organisation religieuse

    L'église de Rampoux fut longtemps, sur le plan religieux, une annexe du doyenné de Lavercantière, lui même rattaché au prieuré bénédictin de Marcilhac-sur-Célé.

    Il s'y trouvait un recteur qui percevait les dîmes mais c'est le recteur de Lavercantière qui y administrait les sacrements, ce dont eu à se plaindre Bernard de Martinhac : "Vu le nombre des habitants de Rampoux et il serait plus convenable comme aussi plus commode pour eux, que le recteur de Rampoux s'occupa d'eux plutôt que celui de Lavercîantière". Cette supplique, après laquelle le pape chargea les archidiacres de Cahors et le chantre de la cathédrale de faire une enquête, et, si les faits étaient exacts d'arranger les choses comme le demandait le suppléant, n'eût pas d'effet immédiat.

    Ce prieuré qui n'avait initialement pas charge d'âmes, obtint une telle charge en 1556, exercée par un vicaire perpétuel de Lavercantière.

    En 1582, la rente attachée au prieuré était de 4 écus[26].

    Liste des Prieurs
    Date Nom Observations
    1515 Gui des Mas (sans doute des Mas de Peyrille) le prieuré de Rampoux lui fut donné
    1516 Guillaume de Martinhac Meurt cette année là, laissant le prieuré vacant. Jean de Crahibus assure le double service de Lavercantière et Rampoux.
    1534 Jean du Broc
    1544 Antoine de la Garde pronotaire du St Siège, également recteur de Reilhac.
    1593 Johan Lafont
    1647 et 1654 Jean de Guiscard (-1663) futur grand aumonier du roi, conseiller d'Etat
    1698 Autre Jean de Giscard
    début du XVIIIe siècle (et avant 1751) Monsieur Baudus[27]

    En 1773 au moins, Rampoux possède ensuite le statut de paroisse autonome.

    Liste des Curés
    Date Nom Observations
    Vers 1900 abbé Gizard redécouvre les fresques murales de l'église
    avant 1935 Fernand Carrayrou

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

    En 2018, la commune comptait 99 habitants[Note 5], en augmentation de 1,02 % par rapport à 2013 (Lot : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    335680730296334272282273269
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    270255249250226231231227215
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    211210183162160152150128113
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    121112918081889799100
    2013 2018 - - - - - - -
    9899-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Vie locale

    Le mise en souterrain des réseaux électriques et téléphonique, la réfection de l'éclairage public contribuent à l'embellissement du bourg. La poursuite de la réhabilitation des bâtiments privés et communaux apportera, à l'avenir, une note de coquetterie supplémentaire.

    Pêche à la truite dans l'Ourajoux, sentier de randonnée équestre, autant de loisirs pour les amateurs de nature paisible et vivifiante.

    Lieux et monuments

    Église Saint-Pierre-ès-Liens

    Dans l'église Saint-Pierre-ès-Liens de Rampoux on a découvert sous une affreuse couche de chaux des peintures anciennes et remarquables.

    L'édifice a été classé au titre des monuments historiques en 1914[32]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy[32].

    Le style de l'église de Rampoux est partie style roman et partie ogival ; aussi peut-on faire remonter son origine au XIIIe ou au commencement du XIVe siècle. À l'origine, prieuré bénédictin dépendant de l'abbaye Saint-Pierre de Marcilhac-sur-Célé.

    Ces peintures se trouvent dans une chapelle, à droite de l'église, elles se composent de quatre panneaux, plus la voûte divisée en quatre par deux arceaux la soutenant.

    L'église Saint-Germain-et-Saint-Victor

    L'église Saint-Germain-et-Saint-Victor est un édifice des XIIIe et XVe siècles, à la belle patine ocre, construit sur un plan en forme de croix. Elle présente une nef de deux travées, plus haute que le chœur terminé par une abside en cul de four, et un clocher carré à tourelle d'angle. La chapelle latérale sud est décorée de peintures murales évoquant la vie du Christ : à l'est, l'Annonciation, le Père Éternel et la Crucifixion ; à l'ouest, la Mise au tombeau ; au sud, la Flagellation, tandis que l'arc d'entrée figure les anges portant les instruments de la Passion. La voûte, d'un joli coloris gris bleu et rouge sur fond blanc représente les symboles des quatre Évangélistes. Cet ensemble est intéressant par son aisance, sa grandeur et l'exactitude de physionomies.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Cazals - Dde - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Rampoux et Cazals », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Cazals - Dde - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Rampoux et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    15. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    16. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le )
    17. « Bassin de la Dordogne - zone de transition - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 119.
    25. Famille de Boysson, Livre de raison (1732-1789).
    26. scientifiques et artistiques du Lot Auteur du texte Société des études littéraires, « Bulletin de la Société des études littéraires, scientifiques et artistiques du Lot », sur gallica.bnf.fr, (consulté le ).
    27. Abbé de Marsis, Portrait du saint prêtre, et du sage et zélé vicaire-général, dans l'histoire de la vie de M. Baudus, chanoine de l'église cathédrale de Caors, & vicaire-général de ce diocèse. Par M. l'Abbé de Marsis,..., chez Vedeilhié, (lire en ligne), Page 128.
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    32. « Eglise Saint-Pierre-ès-Liens », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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