Noyelles-sur-Mer

Noyelles-sur-Mer est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Noyelles-sur-Mer

La vallée de la Somme vue de Noyelles.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Abbeville
Intercommunalité Communauté de communes Ponthieu-Marquenterre
Maire
Mandat
Jean-Louis Demarest
2020-2026
Code postal 80860
Code commune 80600
Démographie
Gentilé Noyellois
Population
municipale
708 hab. (2018 )
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 11′ 04″ nord, 1° 42′ 35″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 42 m
Superficie 20,01 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Abbeville
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Abbeville-1
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Noyelles-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : Somme
Noyelles-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : France
Noyelles-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : France
Noyelles-sur-Mer

    Depuis le , la commune fait partie du parc naturel régional Baie de Somme - Picardie maritime.

    Géographie

    La commune fait partie de la région naturelle du Marquenterre.

    Géomorphologie

    Des alluvions se sont déposées dans les Salines. En plaine, le sol est composé de silice mêlée à plus ou moins d'argile. Du côté de Sailly-Bray, il est plutôt marécageux. Dans les bas-champs, il est soumis au dessèchement[1].

    Relief, paysage, végétation

    Côté sud, vers la baie, l'altitude n'excède pas trois mètres. En allant vers l'est, les terres s'élèvent jusqu'à 12 mètres. Un point de vue intéressant se dévoile alors vers Saint-Valery-sur-Somme, Le Hourdel et Le Crotoy[1].

    Hydrographie

    Le Riot qui prend sa source à Nolette se jette dans le Dien. La vallée du Dien rejoint la baie de Somme. Fin XIXe siècle, le Dien qui prend sa source à Nouvion, alimente encore deux moulins : un à Bonnelle, l'autre à Noyelles[1].

    La nappe phréatique affleure et en cas de fortes pluies, des caves peuvent être inondées.

    Climat

    Le climat de la commune est tempéré océanique.

    Urbanisme et aménagement du territoire

    Vers 1890, la commune comprend six dépendances ou hameaux[1] :

    • la Comterie,
    • Nolette,
    • les Salines et les Carrières,
    • le Pont à brebis,
    • Sailly-Bray,
    • Bonnelle dont une partie, au-delà du Dien, relève de Ponthoile.

    Une digue protège la commune du danger présenté par les hautes marées pouvant provenir de la baie.

    Communes limitrophes

    Transports en commun routiers

    La localité est desservie par les lignes d'autocars du réseau Trans'80, Hauts-de-France, chaque jour de la semaine sauf le dimanche et les jours fériés[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Noyelles-sur-Mer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Abbeville, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[6],[7].

    La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[8]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[9],[10].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (68,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50,6 %), zones humides intérieures (21,9 %), prairies (20,6 %), zones urbanisées (4,1 %), zones humides côtières (2,8 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Toponymie

    Du IVe au XIVe siècle, on trouve Nigella, Noella supra summum[1].

    Histoire

    Noyelles-sur-Mer est desservie par le chemin de fer depuis 1847, avec la ligne de Longueau à Boulogne-Ville qui traverse sa gare.
    Elle était également desservie par les chemins de fer départementaux de la Somme, dont les lignes Noyelles - Le Crotoy et Noyelles - Saint-Valery sont désormais exploitées par un chemin de fer touristique, le chemin de fer de la baie de Somme.
    Le cimetière chinois de Nolette : son porche d'entrée, d'un style typique, visible au fond, comporte des inscriptions en mandarin.

    Antiquité

    Nigella est d'origine ancienne. À Sailly-Bray, on a trouvé des haches celtiques, des tuiles plates à rebords et des tessons de poterie rouge et noire, des figurines égyptiennes qui peuvent faire présumer que les Phéniciens, vinrent sur ses bords[1].

    Moyen Âge

    Lorsque les comtes du Ponthieu eurent fortifié Abbeville et que celle-ci prit de l'importance comme havre maritime[Note 3], ils élevèrent une forteresse à Noyelles à l'embouchure de la Somme. C'était une citadelle avancée contre les incursions et les invasions des pirates.

    • Les cercueils de pierre découverts à Sailly-Bray appartiennent à l'époque gallo-romaine et aux premiers siècles de la monarchie française[13].
    • En 1194, Noyelles obtint une charte communale copiée sur celle d'Abbeville.
    • En 1217, naissance d'une collégiale dédiée à Notre-Dame : Guillaume III, comte de Ponthieu, établit dans l'église un chapitre composé de douze chanoines et d'un doyen[14].
    • En 1346, Édouard III d'Angleterre, passa le gué de Blanquetaque, se présenta et somma le château de se rendre.
    • Jacques d'Harcourt, seigneur de Noyelles et gouverneur du Crotoy attaque les villes et les châteaux occupés par les Anglo-bourguignons et ramène à Noyelles un butin important.
    • En 1423, Jacques d'Harcourt finit par succomber sous le nombre des Anglo-Bourguignons de Philippe III de Bourgogne.

    Première Guerre mondiale

    • Pendant la Première Guerre mondiale, Noyelles abritera une importante base arrière britannique dont un grand camp de travailleurs immigrés chinois. Près de 12 000 coolies furent recrutés par l'armée britannique entre 1917 et 1919 dans le cadre du Corps de travailleurs chinois, pour des tâches civiles à l'arrière du front mais certains connaitront les zones de combat. À ce titre, ils représentent l'une des premières immigrations chinoises en France. Ils avaient l'interdiction de se mêler à la population civile du lieu et étaient affectés à des tâches ingrates et rudes. Beaucoup sont morts d'une épidémie de choléra qui a sévi dans le camp, de tuberculose et surtout de la grippe espagnole en 1918-1919, certains furent tués au combat. Le cimetière chinois de Nolette regroupe 849 stèles de marbre blanc ornées d'inscriptions en anglais ("Faithful unto Death" ou " Though death he still liveth" ou encore "A good reputation endures for ever") ainsi que d'idéogrammes en chinois et sur quelques-unes, très rares, le nom du défunt. La Commonwealth War Graves Commission entretient ici le plus grand cimetière chinois d'Europe.

    Deuxième Guerre mondiale

    Le , au début de la Bataille de France les chars allemands atteignent pour la première fois le littoral à Noyelles-sur-Mer vers 22h00[réf. nécessaire][15] .

    Dans la nuit du 28 au 29 août 1944, Marguerite Duflos, résistante domiciliée à Nolette, est massacrée par les Allemands. Son corps sera retrouvé dans le bois de Gentelles[16].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[17]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1876 1881 Frédéric Cordier    
    1881 1884 Henry Morel    
    1884 1892 Frédéric Cordier    
    1892 1910 Paul Mautort    
    1910 1919 Etienne Gourlin    
    1919 1925 Paul Mautort    
    1925 1929 Henry de Witasse Thézy    
    1929 1947 Pierre de Franssu    
    1947 1977 Gilbert Dercourt    
    1977 1983 Bernard Grenu    
    1983 1989 Claude de Valicourt    
    1989 avril 2014[18] Michel Letocart    
    avril 2014[19] octobre 2016[20] Jean-Michel Gay[21]   Démissionnaire.
    7 octobre 2016[22] En cours
    (au 8 octobre 2020)
    Jean-Louis Desmarest   Retraité de la fonction publique
    Réélu pour le mandat 2020-2026[23]

    Jumelages

    •  Tungkang (Taïwan) depuis le . Noyelles-sur-Mer a conclu un accord de jumelage avec la commune de Tungkang (Taiwan).

    Un calendrier perpétuel a été remis à cette occasion par le maire de Tungkang, M. Chu-i Hsu, au conseil municipal de Noyelles-sur-Mer.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

    En 2018, la commune comptait 708 habitants[Note 4], en diminution de 5,98 % par rapport à 2013 (Somme : −0,18 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    590515512639615565675726754
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    733751780790802807851837883
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    930938936918963904939901905
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    984939908813802742834773725
    2018 - - - - - - - -
    708--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune gère une école primaire relevant de l'académie d'Amiens, en zone B pour les vacances scolaires.

    Pour l'année scolaire 2018-2019, 45 élèves sont inscrits dans l'établissement[28].

    La compétence scolaire est du ressort de la communauté de communes.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église de l'Assomption de la Vierge : édifice en brique qui conserve plusieurs œuvres protégées comme monuments historiques[29].
    • Le Chemin de fer de la baie de Somme (CFBS), un chemin de fer touristique sur voie métrique qui circule de mars à décembre entre Le Crotoy et Cayeux-sur-Mer via Noyelles-sur-Mer et Saint-Valery-sur-Somme.
    • Le cimetière chinois de Nolette[30], où sont inhumés 849 des travailleurs chinois, est le plus grand cimetière chinois de France. La plupart travaillait au camp chinois de l'armée britannique situé sur la commune entre 1917 et 1919[31].
    • Le gué de Blanquetaque (« Blanche tache »), un passage historique de l’embouchure de la Somme. Il n’est plus utilisé depuis la construction du canal de Saint-Valery-sur-Somme à Abbeville en 1786.
    • Dans le marais de Sailly-Bray, la commune possède la  « Hutte des 400 coups », construite en 1905 pour le vicomte. Son nom serait dû aux 400 coups de fusil tirés par les garde-chasse, lors de l'inauguration.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

    d'argent à la fasce d'azur, accompagné en chef de trois fleurs de lys de gueules et en pointe d'une molette de sable.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Anciennement, on appelait havre un port de mer.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Notice historique et géographique de l'instituteur, M. Warin, fin du XIXe siècle, Archives départementales de la Somme, Amiens
    2. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Abbeville », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    9. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. François-César Louandre, Histoire d'Abbeville et du comté de Ponthieu jusqu'en 1789, vol. reprise de 1883, t. Tome 1, 67, rue Saint-Jacques - 75005 Paris, Lorisse éditeur-diffuseur, , 14e éd., 439 p. (ISBN 2-84435-013-5), p. 13.
    14. François-César Louandre, Histoire d'Abbeville et du comté du Ponthieu jusqu'en 1789, Le Livre d'histoire, Paris, réédit., 1988
    15. Jacques-Benoist Méchin, 60 jours qui ébranlèrent l'Occident, t. 1, (ISBN 978-2221132111).
    16. Lire en ligne.
    17. L'écho du canton, communauté de communes du canton de Nouvion, 4e trim. 2000, édit. Norsud S.A. Saleux - 80480.
    18. Johann Rauch, « Noyelles-sur-Mer : Michel Létocart maire honoraire prépare une liste aux municipales : Le maire honoraire noyellois, Michel Létocart perdant aux municipales de 2014, est sur les rangs pour les prochaines municipales », Le Journal d'Abbeville, (lire en ligne, consulté le ) « Pour mémoire, Michel Létocart fut élu maire pour la première fois en 1989. Lors des municipales de 2014 la liste d’opposition alors menée par Jean-Michel Gay fait une véritable razzia sur le conseil, et la liste conduite par le maire sortant pour un quatrième mandat est totalement balayée ».
    19. Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 9 avril 2014, p. 13.
    20. Johann Rauch, « Pourquoi la démission du maire et pourquoi les Noyellois devront revoter... : Jean-Michel Gay livre les raisons qui ont motivé sa démission du poste de maire et du conseil municipal... Les Noyellois seront rappelés aux urnes », Le Journal d'Abbeville, (lire en ligne, consulté le ).
    21. « NOYELLES-SUR-MER Le maire mis en minorité sur le compte administratif : Le dernier conseil municipal a été marqué par le rejet du compte administratif, marquant un nouveau désaveu du maire Jean-Michel Gay par son équipe », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Pour Jean-Michel Gay, cette prise de position s’inscrit dans la continuité du camouflet subi en septembre, quand ses adjoints lui avaient retiré plusieurs de ses délégations (voir notre édition du 25 septembre). « Ils remettent ça, ils veulent que je parte » , constate-t-il ».
    22. « Noyelles-sur-Mer - Un nouveau maire élu ce vendredi soir : Jean-Louis Demarest, premier adjoint jusqu’alors, a été élu nouveau maire de Noyelles, ce vendredi soir, en remplacement de Jean-Michel Gay. Il était le seule candidat. Noyelles passe de quatre à trois adjoints », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Jean-Louis Demarest, 62 ans, retraité de la fonction publique, a été élu nouveau maire de Noyelles-sur-Mer, ce vendredi soir 7 octobre (...) Celui qui était jusqu’alors premier adjoint succède à Jean-Michel Gay, qui a démissionné cet été, à la suite de divergences de vue avec une partie de son conseil municipal, notamment trois de ses adjoint ».
    23. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. « L'école sur le site du ministère de l'Éducation nationale » (consulté le ).
    29. « Protection des œuvres de l'église comme monuments historiques ».
    30. « Le cimetière chinois de Nolette ».
    31. Benoît Hopquin, « 14-18 Noyelles n’oublie pas ses coolies : A partir de 1916, alors que l’effort de guerre nécessitait toujours plus de bras, 40 000 hommes venus de l’empire du Milieu furent exploités derrière la ligne de front. La communauté chinoise leur rend hommage chaque année, en avril, dans la Somme. », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
    32. Commonwealth War Graves Commission référence erronée dans la base du CWGC: Cheng Hang Tzu
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