Noyal-Pontivy

Noyal-Pontivy [nwajal pɔ̃tivi] est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.

Pour les articles homonymes, voir Noyal.

Noyal-Pontivy

Porche de l'église Sainte-Noyale.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Pontivy
Intercommunalité Pontivy Communauté
Maire
Mandat
Lionel Ropert
2020-2026
Code postal 56920
Code commune 56151
Démographie
Gentilé Noyalais, Noyalaise
Population
municipale
3 619 hab. (2018 )
Densité 68 hab./km2
Population
agglomération
42 209 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 04′ 03″ nord, 2° 52′ 51″ ouest
Altitude 120 m
Min. 54 m
Max. 162 m
Superficie 53,45 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Noyal-Pontivy
(ville isolée)
Aire d'attraction Pontivy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pontivy
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Noyal-Pontivy
Géolocalisation sur la carte : Morbihan
Noyal-Pontivy
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Noyal-Pontivy
Géolocalisation sur la carte : France
Noyal-Pontivy
Liens
Site web Site officiel de la commune de Noyal-Pontivy

    Géographie

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 12,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 916 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pontivy », sur la commune de Pontivy, mise en service en 1968[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de précipitations de 968,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Brieuc », sur la commune de Saint-Brieuc, dans le département des Côtes-d'Armor, mise en service en 1997 et à 50 km[10], la température moyenne annuelle évolue de pour 1981-2010[11] à pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Noyal-Pontivy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Noyal-Pontivy, une unité urbaine monocommunale[16] de 3 639 habitants en 2017, constituant une ville isolée[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pontivy, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC). Noyal-Pontivy appartient au bassin agricole de Pontivy, parfois surnommé la « Petite Beauce », un territoire s'étendant au nord, à l'est et au sud de cette ville voué à l'agriculture intensive caractérisé par la présence de grandes parcelles de céréales et la rareté des espaces boisés[21].

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 4,0 % 213
    Zones industrielles ou commerciales et installations publiques 1,2 % 64
    Équipements sportifs et de loisirs 0,8 % 41
    Terres arables hors périmètres d'irrigation 72,9 % 3894
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 2,8 % 147
    Systèmes culturaux et parcellaires complexes 17,3 % 925
    Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 0,3 % 14
    Forêts de feuillus 0,7 % 39
    Plans d'eau 0,1 % 7
    Source : Corine Land Cover[22]

    Toponymie

    Attestations anciennes[23].


    • Nuial en 1082 ;
    • Noal en 1204 ;
    • Noyal en 1219 ;
    • Noiaal en 1221 ;
    • Noial en 1235 ;
    • Noyal en 1249 ;
    • Noeal en 1251 ;
    • Noal en 1255 ;
    • Noyal en 1264 ;
    • Noial en 1270 ;
    • Noual en 1274 ;
    • Noeal en 1278 ;
    • Noial en 1283 ;
    • Noeal en 1288 ;
    • Noial en 1304 ;
    • Noeal en 1369 ;
    • Noualguenac en 1371 ;
    • Noial en 1373 ;
    • Noualguen en 1373 ;
    • Noyalguen en 1387 ;
    • Noyeal en 1433 ;
    • Noyal Pontivi en 1453 ;
    • Noial Pontevey en 1554.

    Noal-Pondi en breton.

    Dès le Ve siècle, il est fait mention de Noala, révélant un peuplement dès le Bas-Empire[24], (Nuial en 1082[25]). Dérive du gaulois Noviios[26] nouveau (devenu nevez (nouveau) en breton contemporain standard et néhué[Quoi ?] en breton morbihannais) et ialon lieu défriché, clairière, village[26],[27],[28]. Noyal-Pontivy pourrait, en son temps, avoir été une ville nouvelle par rapport à un habitat plus ancien situé dans la région, la cité légitimant par la suite son nom par une figue sainte légendaire, sainte Noyale fille d'un prince de Grande-Bretagne, issue de l'émigration bretonne en Armorique au VIe siècle[29]. Le culte de cette sainte y est resté très vivace jusqu'au début du XXe siècle« se déroulait une cérémonie issue d'un vieux culte agraire : les vaches de la paroisse étaient amenées au cours d'une procession jusqu'à la fontaine de Sainte-Noyale, à deux kilomètres du bourg actuel »[30].

    Histoire

    Moyen-Âge et Temps Modernes

    Dès le haut Moyen Âge, Noyal-Pontivy est devenue une foire de première importance et semble avoir joué un rôle notable entre l'Oust et le Blavet[31].

    Vers 1780, on dénombrait 8 000 communiants dans la paroisse de Noyal-Pontivy, y compris ses trêves de Gueltas, Kerfourn, Saint-Gérand et Saint-Thuriau. Le terroir est fertile en grains, lin et fruits. Il se tient trois foires par an à Noyal-Pontivy, à savoir celles de Noyal, de la Houssaye et de La Brolade. Elles sont très anciennes, d'autant plus considérables qu'elles sont franches et exemptes de droits d'entrée. La plus célèbre est celle de Noyal, qui s'y tient au mois de Juillet. On y observait jadis des coutumes singulières. Tout marchand qui aurait osé vendre avant que le receveur de la vicomté de Rohan, ou autre commis du vicomte, eut porté le gant levé pour cette foire, aurait perdu toutes ses marchandises qui étaient confisquées au profit du seigneur. On trouvait à cette foire plus de trois mille chevaux mais on ne pouvait en vendre un seul qu'après le gant levé. Les marchands faisaient ensuite passé en revue, devant le vicomte ou son commis, tous les chevaux à vendre et il en prenait le nombre qu'il voulait au prix fixé par son écuyer ou son maître d'hôtel. Pour le bien général de ceux qui étaient à la foire, le seigneur de Rohan y tenait ses plaids généraux et on y jugeait toutes les causes pendantes dans les cours ou siège du ressort de Pontivy, de Corlay, de Loudéac, de Baud. Toutes ces cérémonies se faisaient au lieu accoutumé, nommé Bellechère. [32].

    XIXe siècle

    En 1806, lors de la grande enquête linguistique effectué sous le Premier Empire par Charles Coquebert de Montbret, la paroisse de Noyal-Pontivy est placée en Bretagne bretonnante ainsi que ses trêves de Saint-Thuriau et Kerfourn, tandis que ses trêves de Saint-Gérand et Gueltas sont placées en pays gallo.

    Jusqu'en 1840, la commune de Noyal-Pontivy était la plus grande de Bretagne. Sa superficie était de 135,47 km2. En 1840, la commune de Noyal-Pontivy est démembrée au profit de ses quatre trêves : Gueltas, Kerfourn, Saint-Gérand et Saint-Thuriau, qui sont érigées en commune. Sa superficie n'est plus que de 53,79 km2 dont 2 132 ha de terres labourables, 1 830 ha de landes, 511 ha de prés et pâturages, 359 ha de vergers et jardins, 63 ha de bois[32].

    L'ossuaire et ses boîtes à crânes

    L'ossuaire de Noyal-Pontivy avec ses boîtes à crânes parfaitement alignées (carte postale A. Waron)

    Au début du XXe siècle on pouvait encore voir un curieux spectacle à Noyal-Pontivy. Les habitants avaient l'habitude d'enfermer dans des petites boîtes en bois en forme de chapelle les chefs de leur défunts parents comme s'il s'agissait de saintes reliques. Les caveaux n'étaient pas assez nombreux à l'époque dans le cimetière et les anciens morts étaient exhumés pour faire de la place aux nouveaux. Les ossements ainsi récupérés étaient ensuite placés dans l'ossuaire et finissaient pour certains dans ces étranges boîtes.

    L'Entre-deux-guerres

    Le club de football des "Moutons blancs" est créé en 1926. Son nom original proviendrait du costume traditionnel porté par les paysans dans les grandes occasions, qui était fait de laine de mouton à dominante blanche. Le bagad et cercle celtique local, la "Kerlenn Pondi", issu de la fusion en 1953 entre la "Garde Saint-Ivy" et les "Moutons blancs", porte un costume qui en est inspiré[33].

    Blasonnement

    Les armoiries de Noyal-Pontivy se blasonnent ainsi :

    Taillé : d’azur à la Sainte Noyale d’argent décapitée tenant sa tête entre les mains, mi-taillé de gueules à neuf macles d’or, trois, trois et trois.
    Conc. J.C. Renaud.
    Dessin : D. Venière.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1925 mai 1941 Joseph Cadic FR Agriculteur
    Député du Morbihan (1924-1932 puis 1936-1940)
             
        Pascal Juin RPF puis MRP Conseiller général (1945-1951)
    avril 1953 mars 1965 Joseph Cadic PPUS Agriculteur
    Député du Morbihan (1956-1958)
    mars 1965 mars 1971 Lucien Guillemot DVD  
    mars 1971 mars 2001 Jean-Charles Cavaillé RPR Conseiller juridique
    Député de la 3e circonscription du Morbihan (1978-2002)
    Conseiller général (1976-2004)
    Président du conseil général du Morbihan (1998-2004)
    mars 2001 décembre 2002
    (élection invalidée[34])
    Bernard Delhaye Centriste Bibliothécaire retraité au service de la lecture publique.
    janvier 2003 mars 2014 Michel Houdebine DVD Chef d'entreprise
    mars 2014 28 mai 2020 Marc Kerrien DVD Chargé de mission
    Conseiller régional (1998-2004)
    11e vice-président de Pontivy Communauté
    28 mai 2020 En cours Lionel Ropert[35]    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    En 1839, la commune est scindée pour donner naissance à celles de Gueltas, Kerfourn, Saint-Gérand et Saint-Thuriau.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].

    En 2018, la commune comptait 3 619 habitants[Note 6], en diminution de 1,58 % par rapport à 2013 (Morbihan : +2,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7 5027 0847 0497 5697 5697 8033 3203 6603 505
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 3903 3103 3963 2883 3153 2633 2963 3903 545
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 6353 5413 3913 0483 0993 0713 0483 1192 747
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    2 6652 4582 7313 0663 1553 2853 5583 5983 637
    2013 2018 - - - - - - -
    3 6773 619-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune héberge le premier point de « rebours » de gaz naturel de France, installé en 2019 pour permettre le développement d'unités de production de biométhane dans les environs en injectant dans le réseau de transport l'excédent de production locale[40],[41].

    Langue bretonne

    L'adhésion à la charte Ya d’ar brezhoneg a été votée par le conseil municipal le .

    À la rentrée 2013, 21 élèves étaient scolarisés dans la filière bilingue catholique (soit 6,2 % des enfants de la commune inscrits dans le primaire)[42].

    Lieux et monuments

    Églises ou chapelles

    Monuments anciens

    • Plusieurs manoirs (au village de Kerponner, Kerboutier, Kerscomard...)
    • Le Manoir du Verger, bâti en 1639, mairie depuis 1962 [43].
    • Plusieurs calvaires (Sainte-Noyale, Saint-Arnould, les 3 fontaines, Sainte-Barbe, Rescourio, rue de Sainte-Noyale...)

    Autres monuments

    • Groupe de 6 éoliennes de MW à la limite avec Gueltas, depuis 2004, atteignant 116 m de haut
    • L’école Sainte-Noyale

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Pontivy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Noyal-Pontivy et Pontivy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Pontivy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Noyal-Pontivy et Saint-Brieuc », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Unité urbaine 2020 de Noyal-Pontivy », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    17. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pontivy », sur insee.fr (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « Le pays de Pontivy est constitué de 4 unités paysagères » (consulté le )
    22. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    23. « Résultats concernant « Noyal-Pontivy » », sur la base KerOfis, Office public de la langue bretonne (consulté le ).
    24. Noël-Yves Tonnerre, Naissance de la Bretagne : géographie historique et structures sociales de la Bretagne méridionale (Nantais et Vannetais) de la fin du VIIIe à la fin du XIIe siècle, Presses de l'Université d'Angers, , p. 121.
    25. A. Dauzat et Ch. Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, , 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 500.
    26. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise : une approche linguistique du vieux-celtique continental, Paris, Éditions Errance, , 440 p. (ISBN 2-87772-237-6), p. 185.
    27. « Noyal-Pontivy : Histoire, Patrimoine, Noblesse (commune du canton de Pontivy) », sur www.infobretagne.com (consulté le ).
    28. « Noyal — Wiktionnaire », sur fr.wiktionary.org (consulté le ).
    29. Jean-Yves Le Moing, Noms de lieux de Bretagne, Bonneton, , p. 182.
    30. Noël-Yves Tonnerre, Naissance de la Bretagne : géographie historique et structures sociales de la Bretagne méridionale (Nantais et Vannetais) de la fin du VIIIe à la fin du XIIe siècle, Presses de l'Université d'Angers, , p. 122.
    31. Patrick Naas, La Vallée du Blavet à l’époque gallo-romaine : prospection archéologique d’un bassin fluvial, mémoire de DEA, université de Rennes 2, 1988
    32. continuateurs de Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne,tome 2, 1845 page 348
    33. Pierre Bernard, « Drôle de nom pour un club de foot : les Moutons blancs, la bêle équipe », sur Journal Le Télégramme, (consulté le ).
    34. Élection invalidée par une décision du Conseil d’État du 25 octobre 2002 (n°235323)
    35. « Municipales à Noyal-Pontivy. Lionel Ropert a été élu maire », sur Ouest-France, (consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    40. Sophie Fabrégat, « Biométhane : mise en service du premier poste de rebours pour accueillir plus de projets », sur actu-environnement.com, (consulté le ).
    41. Pierre Bernard, « Station de rebours. Marc Kerrien : « Une grande fierté » », sur letelegramme.fr, (consulté le ).
    42. http://www.opab-oplb.org/98-kelenn.htm
    43. Notice no IA00010357, base Mérimée, ministère français de la Culture.

    Voir aussi

    Archives

    Articles connexes

    Liens externes

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