Montamisé

Montamisé est une commune du Centre-Ouest de la France située au nord-est de Poitiers, dans le département de la Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Montamisé

L'église Notre-Dame.

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Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Poitiers
Intercommunalité Communauté urbaine du Grand Poitiers
Maire
Mandat
Corine Sauvage
2020-2026
Code postal 86360
Code commune 86163
Démographie
Gentilé Montamiséens
Population
municipale
3 665 hab. (2018 )
Densité 116 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 37′ 18″ nord, 0° 25′ 29″ est
Altitude Min. 66 m
Max. 144 m
Superficie 31,71 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Montamisé
(ville isolée)
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chasseneuil-du-Poitou
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Montamisé
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Montamisé
Géolocalisation sur la carte : France
Montamisé
Géolocalisation sur la carte : France
Montamisé
Liens
Site web montamise.fr

    Ses habitants sont les Montamiséens et les Montamiséennes.

    Géographie

    Localisation

    La commune est située en plein cœur du département de la Vienne, à km au nord de Poitiers et à km du Futuroscope.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 699 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Buxerolles », sur la commune de Buxerolles, mise en service en 1948[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 733,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 10 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[13].

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par le réseau Vitalis.

    La commune est desservie par les lignes 8, 84, 85 et 86 du réseau de transports en commun Vitalis.

    Urbanisme

    Typologie

    Montamisé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montamisé, une unité urbaine monocommunale[17] de 3 630 habitants en 2017, constituant une ville isolée[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (35,9 %), forêts (34,8 %), zones agricoles hétérogènes (15,2 %), zones urbanisées (8,6 %), prairies (5,6 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Hameaux, lieux-dits et écarts

    Elle fait partie du Grand Poitiers.

    Montamisé est constituée d’un bourg, situé sur une hauteur et de neuf hameaux principaux dispersés aux quatre coins de la commune : Charassé, Ensoulesse, Fontaine, la Germonière, la Richardière, le Petit Nieul, Mortiers, Sarzec et Tronc.

    Toponymie

    La légende de l’origine du nom Montamisé

    On raconte qu’autrefois, le village était entouré d’une riche rivière large et profonde. Le pays, bien arrosé, comptait nombre de cultures riches de prairies. Le village dominait la vallée riante et les habitants vivaient heureux dans la prospérité.

    Mais il existe toujours de « méchantes gens » et la rivière lésait leurs intérêts, d’autres étaient jaloux de leurs voisins dont les terres leur paraissaient mieux placées et plus aptes aux cultures.

    Tant et si bien qu’un jour, un groupe de mécontents se mit en marche vers la source de la rivière. L’eau jaillissait claire et abondante entre des rochers. Ils jetèrent du « vif argent » au pied de ces rochers et bientôt, ceux-ci se creusèrent. L’eau, peu à peu, s’enfonça dans les cavités. La rivière s’assécha et disparut complètement pour devenir souterraine.

    Cette action néfaste entraîna la ruine du village. Les cultures demandant de l’humidité devinrent impossible à pratiquer à cause de la sécheresse qui désormais régnait partout. Le soleil brûlait les récoltes, les fermiers vendirent leurs bêtes. Beaucoup quittèrent le village abandonnant leur maison. Seuls quelques-uns demeurèrent réfugiés sur la colline aride à laquelle on accédait par une côte rude. Le hameau fut appelé « Monte à la misère », nom qui paraît-il se déforma au cours des siècles pour devenir « Montamisé ».

    Aujourd’hui la rivière coule toujours, sous terre, et au fil des temps, on a creusé de nombreux puits le long de son cours.

    L'approche scientifique du nom

    Le nom proviendrait de Montamiserius qui signifie la butte de Tamiserius, un anthroponyme gallo-romain[23].

    Histoire

    Révolution française

    La commune de Montamisé est créée en 1790 dans le département de la Vienne, le district de Poitiers et le canton de Dissay. En 1801 elle passe dans l'arrondissement de Civray pour revenir dans celui de Poitiers avant 1806. En 1801 écrite Montamiser elle fait partie du canton de Saint-Georges qui devient en 1961 Saint-Georges-lès-Baillargeaux puis en 1973 du canton de Poitiers-2 et à la suite d'un nouveau découpage en 1982 du canton de Poitiers-7[24].

    Montamisé accueille favorablement les avancées de la Révolution française. Elle plante ainsi son arbre de la liberté, symbole de la Révolution. Il devient le lieu de ralliement de toutes les fêtes et des principaux événements révolutionnaires, comme le brûlement des titres féodaux[25].

    Époque contemporaine

    Avec la révolution de février 1848 et le retour de la République, un arbre de la liberté (un cèdre du Liban) est planté[26].

    Le , le château de la Roche de Bran, qui servait de refuge aux maquisards du groupe Anatole, est incendié par les marins de la Kriegsmarine en garnison aux carrières de Migné-Auxances. Sept résistants meurent sous la torture[27].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[28]
    Période Identité Étiquette Qualité
    novembre 1944 novembre 1947 Auguste Sauvant    
    novembre 1947 mars 1971 Charles Choisie   Charron
    mars 1971 mars 1977 Roger Gault    
    mars 1977 mars 1979
    (démission)
    Odette Garaud SE Institutrice
    mars 1979 mars 2001 Jean-Marie Thomachot[29] DVG Architecte
    Vice-président du district de Poitiers [Quand ?]
    mars 2001 octobre 2013[30]
    (démission)
    Christian Martineau DVG Agriculteur
    Réélu en 2008
    novembre 2013[31],[32] En cours Corine Sauvage DVG Technicienne en ressources humaines
    Réélue en 2014[33] et 2020
    Les données manquantes sont à compléter.

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Services publics

    Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué une fleur à la commune[34].

    Jumelages

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].

    En 2018, la commune comptait 3 665 habitants[Note 7], en augmentation de 4,24 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    738715669726774846900935977
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9831 0341 0028981 0611 1421 1301 030993
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    987984930910880824865779890
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    8869611 3001 7872 1642 6152 9613 2793 562
    2018 - - - - - - - -
    3 665--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 97 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    La commune appartient à la Communauté d’agglomération de Poitiers qui connait un certain dynamisme démographique puisque sa population s’est accrue de 1,32 % par an en moyenne sur la période 1999- 2006 (Ce taux est de 0,7 % pour le département). Ceci illustre le constat démographique suivant : des zones rurales qui perdent de plus en plus d’habitants au profit d’une zone périurbaine autour de Poitiers et de Châtellerault. Cette vaste zone concentre 70 % de la population du département (soit environ 300 000 personnes) et 25 % des moins de 20 ans. En outre, en supposant le maintien des tendances démographiques depuis 1990, entre 2006 et 2020, la population de l’aire urbaine de Poitiers devrait s’accroître de + 16,5 % et celle de Châtellerault de + 5,0 %[38]. La population de la commune devrait donc continuer à croitre.

    Cependant, la population du Grand Poitiers [39] n'a quasiment pas augmenté entre 2007 et 2012 (141 986 habitants en 2007 pour 142 751 habitants en 2012). Le dynamisme démographique concerne surtout les communes limitrophes de la capitale poitevine. Ainsi, c’est un le cas de Montamisé qui profite de sa proximité avec la forêt de Moulière et le Futuroscope. La progression sur 5 ans supérieure à 10 %. Montamisé continue de s'urbaniser rapidement que ce soit dans le bourg ou ses hameaux.

    Économie

    Agriculture

    Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[40], il n'y a plus que 14 exploitations agricoles en 2010 contre 17 en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisées ont paradoxalement augmenté de 24 % et sont passées de 1 262 hectares en 2000 à 1 567 hectares en 2010[40]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares[41].

    53 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 28 % pour les oléagineux (3/4 pour le colza et 1/4 pour le tournesol), 3 % pour le fourrage et 8 % restent en herbes[40].

    L'élevage de volailles a disparu au cours de cette décennie (130 têtes réparties sur cinq fermes)[40].

    Commerce

    Un marché (marché de producteurs locaux) a lieu une fois par semaine, le vendredi après-midi, sur la place des Tamisiers.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles de Wikipédia

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Buxerolles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Montamisé et Buxerolles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Buxerolles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Montamisé et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Montamisé », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur insee.fr (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Édition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 186.
    26. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 216.
    27. Roger Picard, La Vienne dans la guerre 1939/1945 : la vie quotidienne sous l’Occupation, Lyon : Horvath, 1993. 264 pages. (ISBN 2-7171-0838-6), p. 208 et 232
    28. Les maires de Montamisé, sur montamise.fr (consulté le 17 décembre 2018)
    29. « La nouvelle vie de Jean-Marie Thomachot », La Nouvelle République, (lire en ligne).
    30. « Le maire démissionne : "A qui profite le crime?" », Centre Presse, (lire en ligne).
    31. « Corine Sauvage est élue maire », La Nouvelle République, (lire en ligne).
    32. « Corine Sauvage reste maire de Montamisé », sur Le 7, (consulté le ).
    33. « Corine Sauvage réélue maire », La Nouvelle République, (lire en ligne).
    34. Site des villes et villages fleuris, consulté le 3 février 2021.
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    38. Étude de KPMG pour le Conseil Général de la Vienne : FuturS en Vienne – diagnostic – novembre 2009
    39. INSEE 2014 : les chiffres sont ceux des populations totales. C'est-à-dire celles retenues pour établir les subventions que l'État verse aux communes. Pour obtenir la population totale, l'Insee ajoute la population « comptée à part » à la population municipale. Cette population comprend les personnes qui ont conservé une résidence dans une autre commune que celle où ils sont recensés. Ce sont les lycéens ou étudiants qui habitent Poitiers en période scolaire et rentrent chez leurs parents le week-end et/ou pendant les vacances. Ce sont aussi les personnes hospitalisées ou en établissement de convalescence, les militaires, les religieux et les personnes sans domicile fixe
    40. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    41. Agreste – Enquête Structure 2007
    42. Table des Manuscrits de dom Fonteneau, T. 6, p. 103.
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