Maxéville

Maxéville (prononcer [maksevil][2],[3],[4] ou [maʃevil][5]) est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est.

Ne doit pas être confondu avec Macheville.

Maxéville

Tour panoramique Les Aulnes.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Métropole Métropole du Grand Nancy
Arrondissement Nancy
Maire
Mandat
Christophe Choserot
2020-2026
Code postal 54320
Code commune 54357
Démographie
Gentilé Maxévillois, Maxévilloises [1]
Population
municipale
9 740 hab. (2018 )
Densité 1 730 hab./km2
Population
agglomération
286 041 hab. (2017)
Géographie
Coordonnées 48° 42′ 44″ nord, 6° 09′ 50″ est
Altitude Min. 189 m
Max. 365 m
Superficie 5,63 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Nancy
(banlieue)
Aire d'attraction Nancy
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton Val de Lorraine Sud
(bureau centralisateur)
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Maxéville
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Maxéville
Géolocalisation sur la carte : France
Maxéville
Géolocalisation sur la carte : France
Maxéville
Liens
Site web www.mairie-maxeville.fr

    Géographie

    Localisation

    Maxéville est une commune limitrophe de Nancy, longée à l'est par la Meurthe et traversée par l'autoroute A31 en direction de Metz. On distingue globalement trois quartiers traditionnels : Meurthe-Canal, le Centre et Champ-le-Bœuf, ce dernier, à l'extrême-ouest, partagé avec Laxou. Un quatrième quartier a vu le jour sur le Haut de Lesse, dominant la vieille ville de ses 320 mètres, les Aulnes, en bordure du Haut-du-Lièvre nancéien.

    Communes limitrophes de Maxéville
    Champigneulles Malzeville
    Laxou Nancy

    Transports en commun

    Maxéville est reliée au Grand Nancy grâce aux lignes du réseau de transport de l'agglomération nancéienne appelé Réseau Stan :

    • Tempo 2 : Laxou Sapinière - Laneuveville Centre
    • Ligne 13 : Maxéville St. Jacques - Dommartemont
    • Ligne 32 : Maxéville Jean Lamour - Essey La Fallée
    • Ligne 10 Sub : Chaligny / Neuves-Maisons / Vandœuvre CHU Brabois - Villers Campus Sciences / Pompey
    • Ligne Corol (ligne circulaire desservant Vandœuvre, Jarville, Nancy, Laxou, Villers)

    Urbanisme

    Typologie

    Maxéville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nancy, une agglomération intra-départementale regroupant 28 communes[9] et 286 041 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[10],[11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (76,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (62,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (36,7 %), forêts (23,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (23,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (11,5 %), mines, décharges et chantiers (4,7 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

    Toponymie

    La commune est appelée dans les anciens titres Marchainville (village du marquis, ou aux marches, aux limites de la ville) et en patois Mahinville[16].

    Autrefois Maxéville s'écrivait Machéville[17] et jusqu'au XXe siècle, les habitants ont appelé leur ville ainsi[18]. On peut toutefois voir sur la gravure de Melchior Tavernier sur le siège de Nancy durant la guerre de Trente Ans le nom de Marchinville[19].

    Vocables : Marcheville (1224), Marcinvilla (1402), Maxéville (1600).

    Histoire

    Présences préhistorique et gallo-romaine. Seigneurie en 1210.

    Le chemin vicinal de Maxéville à Champigneulles, passe au dire de quelques personnes, pour une ancienne voie romaine. Cette tradition pourrait être appuyée par la découverte de vestiges d'un camp romain dans le bois qui domine ce chemin et le vallon de Champigneulles. Ce chemin s'appelle Chemin de la Justice, à cause des fourches patibulaires qui se trouvaient à son extrémité[16].

    Maxéville, village de l'ancien duché de Lorraine, qui a dépendu de la prévôté et du bailliage de Nancy, remonte à une époque assez éloignée : il en est parlé dans des titres du XIIe siècle. La maison de Lénoncourt y possédait des terres qu'elle tenait de la générosité des ducs de Lorraine. Cette seigneurie, après lui avoir appartenu, fut ensuite partagée à titre d'héritage, d'où vient qu'il y eut plusieurs châteaux[16].

    Vers l'an 1298, pendant la guerre qui eut lieu entre le duc Thiébaut II et le comte de Vaudémont, celui-ci étant entré en Lorraine avec 600 hommes, brula le village de Maxéville. C'est dix ans à peu près avant cet événement que Ferry III, qui par les affranchissements donnés aux serfs de ses Etats, s'était attiré la haine des seigneurs, fut enlevé par ces derniers dans les bois de Heys et amené prisonnier dans la tour de Maxéville[16].

    M. Beaupré, après avoir établi l'authenticité de l'emprisonnement de Ferry III, a cherché à déterminer l'emplacement qu'occupait la fameuse tour où le duc fut détenu par Andrian des Armoises, et que les bourgeois de Nancy rasèrent complètement. D'autre part, deux seigneuries distinctes, dit-il, se partageaient au XVIIIe siècle le village de Maxéville[16].

    Sous l'ancien régime, ce village était pour l'époque considérable : on estime qu'avant la peste de 1630, il y avait plus de 900 habitants. Et il y existait, au XVIIe siècle, quelques usages religieux assez inhabituels[16].

    Un lieu-dit de Maxéville porte le nom de Côte-le-Prêtre : c'était, dit-on, sur cette montagne voisine du village, que l'on déposait les pestiférés en attendant leur mort, et que le prêtre venait leur apporter les derniers secours[16].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
     ?  ? André Vautrin[20]   Directeur d'école
             
    mars 1983 mars 2014 Henri Bégorre PR Professeur à l'Université Henri Poincaré (ESSTIN)
    mars 2014 En cours
    (au 28 mai 2020)
    Christophe Choserot[21],[22]
    Réélu pour le mandat 2020-2026
    DVG puis proche de LREM Professeur, profession scientifique

    Justice

    • 2009 : construction d’un centre pénitentiaire de 690 places.

    Politique environnementale

    Jumelages

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

    En 2018, la commune comptait 9 740 habitants[Note 3], en diminution de 0,57 % par rapport à 2013 (Meurthe-et-Moselle : +0,34 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    391351370458458477512577523
    1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    5125221 2501 6001 9662 0542 3532 3662 611
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    2 7153 1323 0574 0814 4824 4464 4815 2245 094
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013
    6 3549 4258 9108 6678 9788 9448 9198 8939 796
    2018 - - - - - - - -
    9 740--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La grande brasserie viennoise de Maxéville a été construite en 1869 par Nicolas Galland (1816-1886), célèbre pour ses travaux de recherche sur le maltage; mais la société fut mise en liquidation en 1877 et vendue aux enchères. Elle devient alors la « Grande Brasserie de l'Est », qui produit 67 000 hectolitres en 1885. Elle fusionne en 1898 avec la brasserie Betting, sous le nom de « Grandes Brasseries réunies de Maxéville ». Elle a été remplacée par l'usine B2 et a disparu[28].

    Deux mines de fer ont été exploitées au XXe siècle à Maxéville :

    • la mine de Boudonville débouchant à côté de l'église Saint Martin (le train de la mine passe sous l'église) et dont le minerai alimentait les hauts-fourneaux de Maxéville ;
    • la mine Arbed débouchant près du cimetière, qui a fermé en 1967 et dont le minerai était envoyé par transport fluvial pour alimenter les hauts-fourneaux du nord de la Lorraine[29].

    D'autre part, sur les hauteurs, Maxéville possède un important gisement de calcaire oolithique qui a été exploité d'abord par la Société des Carrières de Maxéville, puis à partir de 1914 par la société Solvay. En 1927, Solvay a mis en service le TP Max pour acheminer le bâlin depuis la carrière jusqu'à son usine de Dombasle-sur-Meurthe. La carrière cessant son activité, le transporteur a été démonté en 1984.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Martin.
    Chapelle à l'institution Jean-Baptiste Thiery.

    Édifices civils

    • Château de Gentilly construit en 1620 pour Henri Philippe argentier du duc Henri II de Lorraine, remanié au XVIIIe et fortement, dans sa décoration et sa distribution intérieures, dans la seconde moitié du XIXe. C'est également à cette époque que sont construits les dépendances, le pavillon du gardien et l'imposant jardin d'hiver ovale. Gentilly fut acheté par l'industriel lorrain Camille Cavallier en 1921 et il y mourut en 1926[30]. Ce château est aujourd'hui la maison de retraite N.-D. du Bon Repos, tenue par les Sœurs de Saint Charles. De nombreux bâtiments ont été construits dans le parc à la fin du XXe et au début du XXIe pour les besoins de l'établissement.
    • Château-Bas XVIIIe, remanié XIXe, actuellement mairie. Il possède un rare plafond peint à rapprocher de celui de l'Hôtel Ferraris à Nancy.
    • Château-Haut (a existé, mais il ne reste plus rien).
    • Château Le Sauvoy, dit la « Grande-Maison », d'origine XVIe, remanié XIXe.
    • Vieilles maisons de vignerons.
    • Canal de la Marne-au-Rhin : port.
    • Caves de la Craffe (ancien établissement viticole)
    • Complexe Marie Marvingt (Dojo handball volley)
    • Tour panoramique Les Aulnes
    • Zénith de Nancy
    • Chêne du Bon Dieu
    • École supérieure du professorat et de l'éducation, équipée d'un planétarium numérique.

    Édifices religieux

    • Église Saint-Martin XIXe : Vierge XIVe, tapisseries, orfèvrerie.
    • Chapelle à l'institution Jean-Baptiste Thiery.

    Personnalités liées à la commune

    • Ferry III, dit le Chauve, duc de Lorraine fut enlevé et emprisonné sur les hauteurs du village[Note 4] par Adrian des Armoises, seigneur de Maxéville. Il parvint à faire parvenir sa bague à la duchesse Marguerite par l'intermédiaire d'un charpentier-couvreur appelé Petit Jean Dethillon. Celui-ci, en réparant le toit du pigeonnier, chantait la chanson de Ferry III, qui se signala à lui. Le couvreur prévint la femme du duc. Celle-ci envoya une troupe de soldats libérer son époux. Adrian des Armoises libéra le duc sans combattre.
      Le duc punit Adrian des Armoises en saisissant terres et châteaux et il proscrivit les armoiries du blason maxévillois. Pendant plusieurs générations les seigneurs maxévillois ont payé par le sang les fautes de leurs ancêtres en envoyant à la guerre les fils de Maxéville. Petit Jean fut retrouvé par les seigneurs maxévillois et assassiné. Cependant le duc anoblit ses fils et sa famille, donnant souche à la famille du Hautoy[31].
    • Camille Cavallier (1854-1926), grand industriel lorrain, acheta le château de Gentilly à Maxéville où il vécut de 1921 à sa mort en 1926[30].
    • Jean Prouvé (1901-1984), architecte, avait ses ateliers à Maxéville.
    • Guy Béart (1930-2015), chanteur français et père de l'actrice Emmanuelle Béart, ingénieur des Ponts et Chaussées de formation, y dirigea la construction d'un pont au-dessus de la route, à travers bois, des carrières SOLVAY.
    • Mgr Jean-Pierre Cattenoz (né en 1945), archevêque d'Avignon, né à Maxéville.
    • Christian Levesque (né en ?), champion senior professionnel de la Dictée des Amériques en 1997, auteur d'un ouvrage sur les mots, Au bout de la langue.
    • La mathématicienne Nicole El Karoui, pionnière des mathématiques financières a fréquenté l'école communale de Maxéville[32],

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'argent au pal engrêlé de gueules.
    Commentaires : Il s'agit du blason de la maison de Maxéville, d'ancienne chevalerie, déjà éteinte au XVIe siècle. Il est utilisé par la commune depuis 1975.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    4. devenues par la suite les carrières Solvay, puis le site du Zénith de Nancy

    Références

    1. https://www.habitants.fr/meurthe-et-moselle-54
    2. « Eurofins à Maxéville analyse les eaux usées à la recherche de traces du Covid 19 » (consulté le )
    3. « Vœux 2021 du Maire de Maxéville Christophe Choserot » (consulté le )
    4. « Brasserie Hoppy Road : une affaire qui mousse à Maxéville » (consulté le )
    5. Jean-Marie Pierret, Phonétique historique du français et notions de phonétique générale, Peeters, Louvain-la-Neuve, 1994, p. 104.
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Unité urbaine 2020 de Nancy », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    10. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    11. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    16. Henri Lepage, Le département de La Meurthe : statistique historique et administrative, deuxième partie, Nancy, 1843
    17. Durival, Mémoire sur la Lorraine et le Barrois, Nancy, Henry Thomas, 1753, p. 479, « Maxéville, vulg. Machéville ».
    18. Le Pays lorrain, Volume 27, 1935
    19. Une guerre de trente ans en Lorraine, de Philippe Martin, professeur d'histoire moderne à l'université de Nancy 2, page 75
    20. Maire dans les années 60.
    21. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
    22. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    23. Source : Villes et Villages Fleuris
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. Le grand livre de la bière en Lorraine, Philippe Voluer, éd. Pl Stanislas. p. 71.
    29. Michel Siméon, Petite histoire de la carrière Solvay de Maxéville et de son transporteur aérien : 1920-1984, Nancy, Mairie de Maxéville, , 1re éd., 251 p. (ISBN 978-2-9531841-0-5), p. 16-17.
    30. Mémoire de Maxéville - Domaine de Gentilly.
    31. références : la tour de Maxéville, Ferry 3
    32. Nicole El Karoui La bosse des maths, Le Monde, mardi 16 mai 2006.
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