Champigneulles

Champigneulles est une commune française située près de Nancy, dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.

Ne doit pas être confondu avec Champigneulle ou Champigneul.

Cet article concerne la commune de Meurthe-et-Moselle. Pour la brasserie et la bière, voir Brasserie de Champigneulles.

Champigneulles

Église Saint-Epvre.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Nancy
Intercommunalité Communauté de communes du Bassin de Pompey
Maire
Mandat
Valentin Dethou
2020-2026
Code postal 54250
Code commune 54115
Démographie
Gentilé Champigneullais, Champigneullaises [1]
Population
municipale
6 708 hab. (2018 )
Densité 280 hab./km2
Population
agglomération
286 041 hab. (2017)
Géographie
Coordonnées 48° 44′ 03″ nord, 6° 09′ 55″ est
Altitude Min. 186 m
Max. 364 m
Superficie 23,99 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Nancy
(banlieue)
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton Val de Lorraine Sud
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Champigneulles
Géolocalisation sur la carte : France
Champigneulles
Liens
Site web champigneulles.fr

    Champigneulles est célèbre pour sa brasserie.

    Géographie

    Localisation

    Champigneulles est située dans la vallée de la Meurthe à quatre kilomètres au nord de Nancy sur l'ancienne route nationale 57.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Champigneulles est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nancy, une agglomération intra-départementale regroupant 28 communes[5] et 286 041 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (78,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (78,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (74,8 %), zones urbanisées (10,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4 %), cultures permanentes (1,3 %), mines, décharges et chantiers (1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,9 %), prairies (0,7 %), terres arables (0,1 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le nom du village est attesté sous les formes :

    • Villa Campineola (935)[a 1]
    • Villa nuncupata Champeigneules (v. 940)[a 2],[12]
    • Amalwinus de Campeniulis (v. 1070)[a 3]
    • Ecclesia apud Campaniolas (1130)[a 4]
    • In Champegneulle (1156)[a 5]
    • Molendinum de Campagneio de novo constructum (1188)[a 6]
    • Campaneola (1192)[a 7]
    • Campinoles (1196)[a 8]
    • Finis de Champigneulle (1206)[a 9]
    • Champeignola (1225)[a 10]
    • Champegnueles (1349)[a 11]
    • Champignolæ (1386)[a 12]
    • Champegneulle (1420)[a 13]
    • Champegnelle (1424)[a 13]
    • Champegneulles (1492)[a 14]
    • Champgneulles (1526)[a 13]
    • Champigneul (1594)[a 15]
    • Champigneulle (1600)[a 13].

    Étymologie

    Le nom est issu du bas latin campineola qui signifie[13],[14],[15] « petite campagne, dans le sens de champ ou terre fertile »[15] ou, d'après Ernest Nègre, « petite étendue de plaine », étant composé du bas latin campania « vaste plaine » et du suffixe diminutif féminin singulier -eola (ensuite au pluriel)[16]. Ce genre de formation toponymique est médiéval.

    Homonymie avec les nombreux Champigneul(le)(s), Champagnolles, Champignolles, Campagnolles, Campigneulles, etc.

    Histoire

    Les fouilles ont révélé des traces de peuplement dès la Préhistoire (deux stations néolithiques sont signalées)[15].

    Des vestiges gallo-romains furent trouvés en 1869 dans le secteur de Noirval, notamment une stèle du dieu Mars[17]. Par ailleurs, le site d'une villa gallo-romaine fit l'objet, en 1969/1970, d'une fouille de sauvetage au lieu-dit Au Sarrasin. On y découvrit notamment une cave contenant un dépôt d'objets en bronze, plus ou moins cassés, qui étaient sans doute destinés à la fonte (dont une statue de Dionysos)[18],[19].

    Une population dispersée dans le vallon de Bellefontaine forma progressivement un hameau, nommé Saint-Barthélémy, relié à Bouxières-aux-Dames[15].

    D'après Henri Lepage, le village de Champigneulles était autrefois un franc-alleu qu'une dame, nommée Hérisende (Hersende), avait donné à saint Gauzelin, évêque de Toul, lequel en fit don à son tour, en 935, à l'abbaye de Bouxières-aux-Dames, qu'il venait de fonder[13]. Le même auteur indique dans un autre ouvrage que c'est le comte Alborfe (ou Albolfe[20] ou Albolfus[21]), qui donna au monastère de Saint-Arnoul, vers 940, sa ville de Champigneulles[22], composée de « l'église avec le ban, tant en manses qu'en maisons, terres cultes et incultes, prés, champs, moulins, etc. »[14]. Cette apparente contradiction n'en est peut-être pas une[23].

    En 1130, Henri de Lorraine, évêque de Toul, confirma à Bertram, abbé de Saint-Arnoul, et au prieur de Lay-Saint-Christophe, la possession des trois églises de Saint-Christophe, de Saint-Epvre de Champigneulles et de Saint-Barthelémy, situées en un vallon dans les bois de Haye[14],[13]. Cette église de Saint-Barthélemy et le village du même nom n'existent plus, l'église ayant subsisté avec un ermitage jusque après 1636, mais qui furent l'un et l'autre détruits par les guerres dans les décennies qui suivirent[24],[14],[13].

    En 1156, les dîmes du village de Champigneulles, avec celles de Frouard, furent données à l'abbaye de Bouxières par le duc Mathieu 1er de Lorraine[13], et, en 1206, le duc Ferry II de Lorraine donna à celle-ci le droit de vaine pâture dans tout le ban de Champigneulles et de Frouard[14]. En 1225, le duc Mathieu II de Lorraine donna une partie de la forêt de Haye à l'église de Toul par un acte où le village de Champigneulles était appelé « Champeignole »[14].

    Après l'annexion de l'Alsace-Lorraine en 1871, le fort de Frouard fut construit de 1879 à 1883 sur la commune afin de servir de point d'arrêt dans la « trouée de Charmes », entre la place forte de Toul et celle d'Épinal[25].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve depuis 2015 dans l'arrondissement de Nancy du département de Meurthe-et-Moselle. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la sixième circonscription de Meurthe-et-Moselle .

    Elle faisait partie de 1801 à 1973 du canton de Nancy-Est. En 1973, les cantons de Nancy sont remaniés et la commune intègre le canton de Pompey créé à cette occasion[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Val de Lorraine Sud.

    Intercommunalité

    La commune fait partie de la communauté de communes du Bassin de Pompey, créée en 1995.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    Février 1848 octobre 1848 Marc Brice Républicain Cultivateur de pommes de terre et de betterave
    Les données manquantes sont à compléter.
    1962 1968      
    1968 1989 Charles Kaufmann PRG Médecin
    1989 mars 2001 Jean-Marie Uhlrich PS Conseiller général de Pompey (1994 → 2015)
    mars 2001 novembre 2016[27] Claude Hartmann UMP puis UDI Avocat
    Décédé en cours de mandat
    février 2017[28] juillet 2020 Bernard Vergance [29] DVD Informaticien retraité
    4 juillet 2020 En cours Valentin Dethou [30] LR Collaborateur parlementaire

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].

    En 2018, la commune comptait 6 708 habitants[Note 3], en diminution de 2,57 % par rapport à 2013 (Meurthe-et-Moselle : +0,34 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7106536386827428639519591 020
    1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 0621 2371 5282 0412 3502 5732 8723 0883 378
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    3 5444 2834 1254 5315 0705 3105 0065 4175 854
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018
    5 4845 9927 9197 5417 1726 9746 7696 8866 708
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Brasserie de Champigneulles

    La Brasserie de Champigneulles a été fondée le par Antoine Trampitsch et Victor Hinzelin[34]. Après avoir appartenu aux Brasseries Kronenbourg de 1986 à 2006, elle est désormais une filiale du groupe allemand TCB Beverages.

    En 2014, la brasserie a produit 2,65 millions d'hectolitres de bière[35], avec une part importante d'export dans les pays de l'Union européenne.

    La légende de Saint-Arnoul, patron des brasseurs, veut qu'un miracle se soit produit à Champigneulles, sur le site de l'actuelle brasserie (voir plus bas).

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    Le château de bas.
    Le château de haut, actuellement la mairie, masquant l'église.
    • Enceinte préhistorique de la Fourasse, datant de la préhistoire et de l'âge du fer, classée monument historique[36].
    • Forêt de Haye : Champigneulles bénéficie des richesses de la nature toute proche qui offre un site idéal à la pratique de la course à pied ou du VTT.
    •  Site classé Château de Bas[réf. nécessaire] : il fut construit en 1711[37] par François Christophe Le Prud'Homme, comte de Fontenoy, seigneur de Champigneulle en partie[38]. Ce dernier était héritier de la famille de Mengin qui possédait déjà en 1525 à Champigneulles le domaine de la Grande Maison[14], et était elle-même héritière de la famille de Rémerville, déjà seigneur de Champigneulles au XVe siècle. Voltaire voulut acheter ce château en 1758 mais cela lui fut refusé[15]. Autour du château de Bas il y a actuellement un parc public, une école élémentaire et une salle d'activités intergénérationnelles sur l'emplacement du moulin.
    • Château de Haut : c'était une maison forte au Moyen Âge qui fut transformée en château par la suite. On ne sait pas de quand date exactement le bâtiment actuel mais il est flanqué de deux tourelles du XVIe siècle[39]. Au XVIIIe siècle, le château et son immense parc étaient devenus la possession de Claude-Charles de Malvoisin, époux de Marie-Elizabeth Collignon, petite-fille de Georges Collignon, conseiller d'État, seigneur de Silly, de Champigneulles en partie, etc., qui avait acheté en 1628 au duc de Lorraine les rentes et revenus de Champigneulles, Frouard, Faulx et Malleloy[14]. Le parc fut vendu en 1924 et transformé en lotissement, tandis que le château fut racheté par la municipalité, en 1931, et est depuis lors la mairie de Champigneulles[40].
    • Le Bâtiment Administratif des Brasseries, rasé fin 2009[41] malgré un intérêt architectural certain, notamment des sculptures d'Alfred Finot[42].
    • Le monument aux morts, érigé en 1922-1923, déplacé en 1938[43]. Ce monument est réalisé par Jules Cayette et l'entrepreneur Georgel. L'un des principaux mécènes du monument est Saint-Just Péquart.

    Édifice militaire

    Édifice religieux

    • Église Saint-Epvre. S'il ne reste rien de l'église du Moyen Âge, l'édifice actuel est tout de même vieux de près de 400 ans, la première travée du chœur datant de 1618, tandis que la nef date de 1774[44].

    Personnalités liées à la commune

    • Charles Roos, né en 1878, homme politique et indépendantiste alsacien. Accusé d'espionnage, il a été fusillé sur le terrain militaire de Champigneulles le 7 février 1940.
    • Saint-Just Péquart (1881-1944), industriel, archéologue, préhistorien et mécène français, habitat la commune.
    • Jean Scherbeck, portraitiste d'art, né à Champigneulles le 2 juin 1898 et décédé à Nancy le 9 décembre 1989.
    • Georges Vartan, né Champigneulles le 26 août 1912, mort en 1970, il est le père de Sylvie Vartan.
    • Fernande Volral, née à Champigneulles le 7 octobre 1920, résistante belge de la Seconde Guerre mondiale, exécutée à Wolfenbüttel en 1944.
    • Élise Fischer, née le 13 juillet 1948 à Champigneulles, femme de lettres lorraine, journaliste et romancière, ayant écrit plusieurs romans dont l'histoire se situe dans la ville de Champigneulles et ses alentours[réf. nécessaire].
    • Julien Franck, né à Champigneulles le 17 juillet 1879, mort en déportation,a donné son nom au collège
    • Claude Franck, né à Champigneulles le 8 aout 1910, professeur de médecine, recteur des académies de Dakar, Poitiers et Aix en Provence.

    Héraldique

    Blason
    De gueules à la fasce ondée abaissée d'argent, surmontée d'une hure de sanglier d'or, défendue d'argent, adextrée d'une épée basse d'argent, garnie d'or, posée en bande et senestrée d'un râteau du même posé en barre; au chef d'azur à l'aigle d'argent, ses serres empiétant sur un phylactère du même chargé de inscription « CARITAS PIETAS » en lettres capitales de sable, tenant dans son bec l'anneau d'or de saint Arnould; à la fleur de lis d'or brochant à la fois sur le chef et sur le champ.
    Devise
    « in campo per aquam ignem at que sanguinem ».
    Détails
    Création Pierre Dié Malet. Adopté en 1966.

    Saint Arnoul, patron des Brasseurs

    Et cy est Champigneulles en iceluy ban, qui est à Dieu et à Saint-Arnou

    D'après la légende, Champigneulles est située à l'endroit même où se produisit le miracle de saint Arnoul né vers 580 à Lay-Saint-Christophe. En l'an 641, des pèlerins transportent par la voie romaine les reliques de saint Arnoul du Saint-Mont de Remiremont dans les Vosges à Metz, ville dont il fut évêque en 612 avant de se retirer en ermite dans la forêt vosgienne jusqu'à sa mort en 640. Le 18 juillet, le cortège s'arrête à Champigneulles, exténué, à court de vivres et de cervoise. Un des pèlerins en quête de cervoise implore : « À présent il est temps que le Bienheureux Arnoul vienne, en cette nuit, calmer notre ardente soif : sa puissante intercession nous procurera ce qui nous manque. » Aussitôt, la cervoise se mit à couler à flots d'un cruchon à tel point que tous les pèlerins s'abreuvèrent et qu'il en resta abondamment pour le lendemain.

    Distinctions

    L'astéroïde (18634) Champigneulles, découvert en 1998, a été ainsi baptisé en l'honneur de la commune[45].

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    1. Charte de l'abbaye de Saint-Arnould.
    2. Charte du prieuré de Lay-Saint-Christophe.
    3. Collection Moreau, t. XXX, 1° 78, Manuscrit, Bibliothèque impériale, à Paris.
    4. Histoire ecclésiastique et civile de Lorraine, par Dom Augustin Calmet, 1re édition, 1728 (notice BnF), t. II, preuves 392.
    5. ibid., preuves 349.
    6. ibid, preuves 401.
    7. Histoire générale de Metz, par des religieux bénédictins, 1775 et années suivantes, preuves 155. lire en ligne.
    8. Charte de l'abbaye de Clairlieu.
    9. Histoire ecclésiastique et civile de Lorraine, par Dom Augustin Calmet, 1re édition, 1728 (notice BnF), t. II, preuves 417.
    10. ibid, preuves 426.
    11. Charte de la cure de Dombasle : archives de la Meurthe.
    12. Charte de l'abbaye de Belchamp.
    13. Titres du couvent des Dominicains de Nancy, aux archives de la Meurthe.
    14. Trésor des Chartes de Lorraine, cote B. 7612.
    15. Dénombrement de la Lorraine, par Thierry Alix, président de la Chambre des Comptes, 1594.

    Références

    1. https://www.habitants.fr/meurthe-et-moselle-54
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Nancy », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. Le latin « Villa nuncupata ... » signifie en français « villa appelée ... ».
    13. Henri Lepage, Le département de La Meurthe: statistique historique et administrative, volume 2, chez Peiffer, Nancy, 1843, article Champigneules, p. 104-105 (version html de cet article).
    14. Henri Lepage, Les communes de la Meurthe, journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département, volume 1, Nancy, 1853, article Champigneulles, p. 220-223.
    15. Champigneulles, une cité vieille de 5000 ans..., sur le site de la ville de Champigneulles.
    16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, paragraphe 5202.
    17. Chez vous à Champigneulles, no 5, juin 2003, article Un site historique peu connu dans l'étonnant passé du val de Bellefontaine., p. 8.
    18. Voir Lucien Geindre et Philippe Scheinder, « La villa gallo-romaine du Sarrazin à Champigneulles », Le Pays lorrain, 1972, en ligne sur Gallica.
    19. « Quid, article Champigneulles »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
    20. Archives généalogiques et historiques de la noblesse de France, tome 9, 1844, p. 104
    21. Mémoires de la Société d'archéologie lorraine et du Musée historique lorrain, volume 29, 1879, p. 98-99.
    22. villam nuncupatam Champeigneules
    23. Par exemple la dénommée Hérisende peut avoir fait le don en commun avec le comte Albolfe, dont elle était peut-être la femme ou une parente, et/ou il y avait peut-être plusieurs parties de Champigneulles qui ont été données séparément.
    24. Henri Lepage, Les communes de la Meurthe, journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département, volume 2, Nancy, 1853, article Saint-Barthélémy, p. 445
    25. Cédric et Julie Vaubourg, « Le fort de Frouard ou fort Drouot », sur http://fortiffsere.fr/.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. « Décès du maire Claude Hartmann », L'Est républicain, (lire en ligne, consulté le ) « Champigneullais pur jus, doté d’un fort tempérament, l’homme était aussi attaché à sa commune que celle-ci l’était à son maire. Comme le montre le score de sa réélection pour un troisième mandat en 2014. Claude Hartmann avait été plébiscité dès le premier tour avec 81 % des suffrages. La conquête du pouvoir n’avait toutefois pas été un long fleuve tranquille. Entré au conseil municipal en 1983 comme adjoint au sport, il n’avait pas hésité à se dresser contre le maire de l’époque, le docteur Charles Kaufman, sur une délibération. Ce qui lui avait valu de perdre sa délégation au sport et de basculer dans l’opposition. Il y est resté durant des années, perdant à deux reprises les municipales. (…). Engagé au centre droit, cet éternel perdant s’est métamorphosé en vainqueur en 2001, année où il prend la mairie, à la surprise générale. Il est alors devenu un personnage à la fois indéboulonnable et incontournable du paysage politique local. ».
    28. S.L., « Bernard Vergance élu maire », L'Est républicain, édition de Nancy agglomération, (lire en ligne, consulté le ).
    29. Christophe Gobin, « L’ascension de Bernard Vergance, un homme de dossier : Sauf cataclysme, Bernard Vergance sera élu maire de Champigneulles dans quelques jours. Portrait d’un homme de l’ombre qui se retrouve en pleine lumière », L'Est républicain, édition de Nancy agglomération, (lire en ligne, consulté le ).
    30. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. Histoire des grandes brasseries et malteries de Champigneulles
    35. « Le retour de la Grande Blonde », Brasserie de Champigneulles
    36. « Enceinte préhistorique de la Fourasse », notice no PA00106007, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. Parc de Champigneulles.
    38. Le Château de Bas sur le site de la mairie de Champigneulles.
    39. Voir photos sur D'hier à aujourd'hui, l'évolution du paysage urbain, Le Château du Haut (Mairie), sur le site LEs paysages de Meurthe-et-Moselle.
    40. Le Château de Haut (Hôtel de Ville), sur le site de la ville de Champigneulles.
    41. « Lorraine Tourisme », sur Lorraine Tourisme (consulté le ).
    42. « Lorraine Tourisme », sur Lorraine Tourisme (consulté le ).
    43. Étienne Martin, Jules Cayette, 1882-1953, créateur d’art à Nancy, Metz, éditions Serpenoise, 2011, p.88-90.
    44. L'Église St-Epvre, sur le site de la ville de Champigneulles.
    45. Dictionary of Minor Planet Names p.954, Lutz D. Schmadel
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