Arnoul de Metz

Arnoul de Metz, Arnould, Arnoulf, Arnulf, Arnulfus, Arnulphe, dit saint Arnoul (né vers 582 à Lay-Saint-Christophe et mort probablement en 640 ou 641 au Saint-Mont de Saint-Amé) est le 29e évêque de Metz (613 à 628). Il gouverna dans les faits avec Pépin de Landen le royaume d’Austrasie, puis devint ermite à proximité du monastère du mont Habend (Saint-Mont), fondé par son ami Romaric.

Pour les articles homonymes, voir Saint Arnoul et Arnoul.

Arnoul de Metz
Saint catholique

Saint Arnoul, chapelle Sainte-Glossinde à Metz
évêque de Metz
Naissance vers 582
Lay-Saint-Christophe
Décès ou 641 
Saint-Mont, Saint-Amé
Vénéré par l'Église catholique
Fête 18 juillet
Saint patron des brasseurs lorrains

Il est le fondateur de la dynastie des Arnulfiens, alliée des Pippinides. Père d’Ansegisel, le père de Pépin de Herstal et trisaïeul de l’empereur Charlemagne, il est un des ancêtres de la dynastie carolingienne.

L'Église le fête comme saint localement le [1],[2].

Arnoul apparaît comme une des personnalités les plus attrayantes du royaume mérovingien d’Austrasie : homme politique très influent, nommé évêque de Metz malgré lui, sa réputation était immense. À l'accession au trône de Dagobert en 629, il résolut de quitter le monde. Avec son ami Romaric, il se retira dans la forêt d'Abend (Remiremont) et y établit son ermitage. Il vécut là onze années et mourut en 641 en odeur de sainteté. Cette vie si bien remplie, à « trois temps » à peu près d’égale longueur, très intense, est donc très intéressante pour l’historien, puisqu’elle recouvre trois dimensions essentielles de l’époque : la puissance dans la société, dans l’Église et le choix érémitique. En dépit de la difficulté des sources à produire des récits historiques précis et fiables, nous pouvons rester attentifs à ce que sa vie veut nous dire même dans les temps actuels[3],[4].

Biographie

L’ascendance d’Arnoul fait débat depuis le IXe siècle. Les documents contemporains le disent de la plus haute noblesse franque, tandis que des généalogies ultérieures lui attribuent pour père soit Arnoald évêque de Metz, soit Bodogisel, ambassadeur franc à Constantinople.

Il appartient donc à une grande famille de la noblesse franque située dans la Woëvre et dont les biens s’étendaient entre Metz et Verdun. On possède sur Arnoul deux Vita Arnulfi, la première écrite peu de temps après sa mort par un moine, la seconde par un certain Ummo au Xe siècle. D’après ce second texte, il est né sous Maurice Ier, dans la villa Layum probablement Lay-Saint-Christophe près de Nancy. Sa naissance remonterait donc entre 582 et 590. Il reçut l’enseignement qui était alors en vigueur dans les familles aisées[5].

Notable influent, leude à la cour royale

Possédant naturellement les aptitudes à encadrer, commander, diriger, protéger, décider[6], qualités que l’on reconnaît aux nobles dans le monde franc, Arnoul devient ainsi « le plus illustre représentant de l'autorité royale en Austrasie »[7], au point que le roi lui confie l’administration de six provinces[8].

Le résistant et l'intrigant

Tous les historiens anciens et modernes soulignent le rôle important que tint Arnoul (avec Pépin et Romaric) dans le mouvement de résistance et d’opposition à la célèbre reine Brunehaut (parfois dénommée Brunehilde), mêlant le goût de la tactique et de la stratégie souterraine, des intrigues de palais, autant pour se maintenir aux meilleures places que par un fort sentiment identitaire austrasien[9].

Il travaille ensuite au palais d’Austrasie auprès de Gundulf, son grand-oncle, qui exerçait au poste de chef du palais et de conseiller du roi[10]. Puis il entre, pendant une douzaine d’années, au service du roi Thibert II dont il est un temps intendant des domaines royaux[5],[11],[12].

Il songe à se retirer pour mener une vie ascétique, mais sa famille parvient à le marier vers 610 à Dode avec qui il aura deux fils Chlodulf ( 697) et Ansegisel ( av. 679)[11],[12].

Par sa position de leude à la cour, il entre dans l’opposition contre Brunehilde et, associé à Pépin de Landen, fait appel au roi de Neustrie Clotaire II, qui vainc et fait exécuter la vieille reine. Arnoul et Pépin marient ensemble leurs enfants respectifs Ansegisel et Begga, donnant ainsi naissance à la dynastie carolingienne[12].

L'évêque célèbre

Hôtel de Ville de Sarrebruck (Rathaus St. Johann), Peinture de Wilhelm Wrage dans la salle de banquet (Rathausfestsaal): Saint Arnoul de Metz inaugure la première chapelle de St. Jean

Dans une recherche d'unité et de restructuration, le roi Clotaire II voulut contrôler la structure hiérarchique du clergé, et dans ce mouvement, Arnoul fut élu puisqu'il appartenait à l'élite austrasienne[13]. Sa nomination pouvait aussi être considérée comme une récompense à la fidélité au roi dans le renversement de la reine Brunehaut[14]. Arnoul cumula ainsi les fonctions administratives et religieuses, l'évêque étant à cette époque un personnage très important pour l'Église et la cité, prestigieux et influent. Jean Euclin précise dans son ouvrage op. cit., à la page 18 qu'« il était normal de se disputer le poste d'évêque, car une fois parvenu, on jouissait d'une fortune assurée ».

Toute la tradition hagiographique a insisté sur la sainteté et la conduite irréprochable de cet homme de pouvoir et de gloire, équilibrant la vie mondaine superficielle de la Cour de Metz par des séjours en ermitage, empli de nostalgie de solitude et de méditations... Elle nous montre la vocation d'Arnoul à la vie érémitique dès sa jeunesse, démontrant une grande charité et une attention aux plus pauvres, et les « miracles » du saint évêque tendent à protéger et édifier la Cité dont il a la lourde responsabilité[15].

En 613, Clotaire II devient maître de tout le royaume et récompense ses fidèles. Le roi Clothaire II l’invite expressément à accepter le siège épiscopal de l’évêché de Metz qui est la capitale du royaume d’Austrasie. Il est ainsi le 29e évêque de Metz de 613 à 628, et fait preuve d’un dévouement dans l’accomplissement de ses attributions. Il est pour cela très apprécié et Clotaire II continue à l’associer au gouvernement de l’Austrasie. Il a donc tenu un rôle très important, tant dans la vie de l’église que dans la gestion du royaume d’Austrasie[12].

Clotaire II le nomme précepteur de son fils Dagobert Ier, dernier grand roi mérovingien. Il est domesticus, c’est-à-dire conseiller de celui-ci. Lorsque Clotaire II nomma Arnoul évêque de Metz, son épouse Dode entra au couvent puisqu’un évêque ne peut être marié[12].

Selon l’historiographie en 629, lorsque meurt Clotaire II, il se retire et entre dans les ordres, malgré la détermination de Dagobert Ier qui menaçait de faire tuer ses fils pour le forcer à rester à son poste. Quand on sait que Dagobert écarte Pépin de Landen de la mairie du palais, les menaces de Dagobert avaient plus probablement pour objet de faire partir Arnulf de ses charges, afin d’éloigner des deux principaux chefs de l’aristocratie austrasienne[11].

Le saint ermite

Le Saint Arnoul après la renonciation de ses bureaux, vers 1680

Il put enfin répondre à cet appel si puissant vers la sainte solitude en se retirant sur le versant d'une montagne boisée (le Morthomme) à proximité du mont Habend, lieu de la fondation d'un monastère de femmes par Romaric son ami de toujours, et dont le premier abbé fut saint Amé après un passage à Luxeuil, monastère fondé par saint Colomban). Arnoul bâtit alors son propre ermitage, accompagné de quelques moines-serviteurs, à l'écart cependant de la vie monastique communautaire traditionnelle, œuvrant dans un saint dévouement pour soigner les lépreux de cette époque qui cherchaient un refuge. Cette vie de prière et de méditation, de charité et d'abnégation, dura une dizaine d'années environ. Il eut sans doute de forts échanges avec son ami Romaric, qui entre-temps était devenu l'abbé du monastère du mont Habend (et son arrivée dans la montagne voisine coïncide avec la date de la mort de saint Amé : ainsi Romaric a-t-il été toujours assisté spirituellement dans sa tâche par deux personnalités attirées par la solitude absolue). Cette vie d'ermite effacé et discret, à l'opposé de sa vie antérieure, se termina vers l'an 640. Son corps fut transporté et déposé au monastère du mont Habend.

C'est au bout d'une année environ que son corps fut ramené à Metz, et cette translation fut entourée et accompagnée de signes et de prodiges que la tradition hagiographique aime à détailler pour démontrer la sainteté éclatante de l'ancien évêque de Metz[16],[17].

Ses restes sont transférés à Metz dans l’église des Saints-Apôtres, qui prit le nom de Saint-Arnoul en 717. Celui-ci fut largement célébré au cours des siècles suivants dans la ville qu'il avait servie avec tant de dévouement, et qui conserva ses reliques et entretint sa légende.

On peut ici citer le mot de l'historien P. Riche dans son ouvrage les Carolingiens, une famille qui fit l'Europe[18] : « à sa mort, déjà considéré comme un saint, ce qui n'est pas sans importance pour le prestige futur de sa famille […] ». Ainsi par sa vie, Arnoul put-il donner des lettres de noblesse à toute la dynastie mérovingienne et carolingienne, davantage qu'en s'accrochant à une plus haute distinction humaine et une place riche et éphémère… En effet, par la référence à sa sainteté et à la vénération de ses reliques, il demeura en pleine gloire dans sa ville, bien plus que s'il était resté un seigneur actif dans le politique et le gouvernement éphémère du Royaume d'Austrasie[19].

Les chanoinesses de Remiremont ont eu quelques dévotions en célébrant la date de sa mort et de la translation de ses reliques. Charlemagne lui-même serait venu à Remiremont en sa mémoire, et il subsista quelque temps un pèlerinage et une chapelle au massif du Morthomme (l'ermitage de Saint-Arnoul au XVIIe siècle était encore malgré tout honoré et perpétuait son souvenir, entretenu par les chanoines de Remiremont[20].

Si on conserve encore sa mémoire vive à Metz, sur la montagne qui l'accueillit pour la dernière période de sa vie, il ne reste plus rien de l'ermitage, et seules y subsistent une croix de fer et une pancarte de métal qui indique avec éloquence aux rares passants et randonneurs : « Cette croix rappelle la chapelle dédiée à saint Arnould, ancêtre de Charlemagne, précepteur du roi Dagobert Ier, maire du palais d'Austrasie, évêque de Metz. Après avoir abandonné sa charge, est venu rejoindre saint Romaric au Saint-Mont, puis s'est retiré ici soigner les lépreux jusqu'à sa mort le . »[21].

Légende et culte

Patron des brasseurs.
L'anneau d'or de saint Arnoul dans le trésor de la cathédrale de Metz.

Son nom reste associé à un trésor de la cathédrale de Metz qui a miraculeusement échappé à la Révolution française : un anneau, en or fin massif, d'un travail assez grossier, comportant une agate onyx sur laquelle est gravée un poisson engagé dans une nasse autour de laquelle se noient deux autres poissons[22].

Cette scène n'est pas sans rappeler le fait historique ou anecdotique lié à cet anneau et rapporté par l'écrivain Paul Diacre, qui le tenait de la bouche même de Charlemagne. Selon cet auteur, saint Arnoul passant sur un pont de la Moselle jeta dans le fleuve ledit anneau en priant Dieu de le lui rendre en témoignage du pardon de ses fautes. Quelque temps après, on retrouva dans les entrailles d'un poisson l'anneau épiscopal.

« Saint Arnoul décida un beau jour de jeter son anneau dans la Moselle. Son geste est une preuve d'humilité. En le jetant, il dit : “Je croirai que Dieu m'a pardonné mes péchés quand je retrouverai cet anneau”. De là est née cette fameuse légende qui laisse penser qu'un poisson avala l'anneau et fut servi peu de temps après à la table épiscopale. À en croire la légende, Dieu est entré indirectement en contact avec Arnoul qui fut lavé de ses péchés et fit de lui un représentant légitime de Dieu sur terre. »

L'histoire est très similaire à la légende qui entoure la fondation de l'abbaye d'Orval. C'est en souvenir de ce fait que depuis on le portait en procession à l'église de Saint-Arnoul le jour de la fête du saint évêque. Enlevé en 1793 avec les vases sacrés de la cathédrale, il fut racheté par un des officiers de la monnaie. Il fut rendu au trésor en 1846.

Sa vie, où il a laissé le souvenir d'un grand d'Austrasie, malgré son opposition à Brunehaut, mais aussi surtout sa légende, dite Légende de saint Arnoul a marqué profondément la mémoire des régions de l'est de la France.

Saint Arnoul est le saint patron des brasseurs lorrains. Peu de temps après sa mort, ses reliques furent rapportées de Remiremont à Metz. Arrivées près de Champigneulles (ou de Nossoncourt selon d'autres versions de la légende[23]), les personnes qui les rapportaient manquèrent de bière et prièrent saint Arnoul afin d’avoir de quoi se restaurer. Leurs prières furent exaucées lorsqu’ils retrouvèrent miraculeusement de la bière dans leurs tonneaux vides[24]. Ce sujet rare a été représenté par Jean-Baptiste de Champaigne.

Célébrations

Le festival messin de bière intitulé "Metz Beer Fest"[25] célébrant la bière artisanale internationale depuis 2019 a rendu hommage à St Arnoul dans sa 2e édition, en 2020. Durant cette année marquée par la pandémie de Covid-19, l'association Brassage de Culture(s)[26] a mis en place 4 animations adaptées sur 3 mois, dont un jeu de piste créé par les Francs Limiers Escape Game "A la santé de Saint Arnoul"[27]. Ce jeu de piste a permis de mettre en lumière l'histoire méconnue de cette figure messine, les sites historiques de Metz, et le patrimoine brassicole de la ville.

Généalogie

Statue de Saint Arnoul de Metz sur le portail de l´Église Saint-Jean de Sarrebruck à Sarrebruck-St. Jean
 
Bodogisel
ambassadeur à Byzance
( 589)
 
Chrodoara
abbesse d’Amay
( 611 ?)
 
Arnoald
évêque de Metz
( 601)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Arnoul
évêque de Metz
( 641)
 
 
 
Dode
 
Pépin l'Ancien
maire du palais
( 640)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Clodulf
évêque de Metz
( 697)
 
 
 
 
Ansegisel
dux et domesticus
( 662)
 
Begga
( 693)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Aunulf
( 697/714)
 
Martin
comte
( 680)
 
Clotilde Dode
x Thierry III
roi des Francs
 
 
Pépin de Herstal
maire du palais
( 714)

Le nom de Doda n'apparaît qu'au Xe siècle, mentionné par Ummo dans la seconde Vita Arnulfi[28].

Des généalogies présentent parfois un troisième fils Walchisus qui est le père de Wandregisil, connu par la postérité sous le nom de Saint Wandrille[29]. C’est en contradiction avec plusieurs autres textes, la première Vita Arnulfi, Paul Diacre, qui précise que saint Arnoul ne laisse que deux fils. En fait, cet ajout généalogique est le résultat d’une mauvaise interprétation de la Vita Ansberti qui nomme « princeps Pipinus Ansegisili filius » comme « consobrinus…beati patris Wandragisili » le prince Pépin fils d'Ansegisel est le cousin du saint père Wandrille »). consobrinus a été pris au sens de « cousin germain » et les historiens on déduit une fraternité entre Ansegisel et Waldegisel, le père de saint Wandrille. En fait, le cousinage, un peu plus éloigné, s'explique autrement : saint Wandrille est petit-fils de Waldrade, sœur de Pépin l'ancien[30].

Notes et références

  1. Nominis : Saint Arnoul de Metz
  2. Forum orthodoxe.com : saints pour le du calendrier ecclésiastique
  3. Jean Euclin, Hommes de Dieu et fonctionnaires du Roi en Gaule du nord du Ve au IXe siècle, édition Septention, 1998.
  4. Pour les sources hagiographiques : G. Nauroy, « La vita anonyme de saint Arnoul et ses modèles antiques. La figure du saint évêque entre vérité historique et motifs hagiographiques. » dans Mémoires de l’académie nationale de Metz, 183e année, série VII, t. 15, Metz, 2003, p. 293-322.
  5. Fustel de Coulanges, Histoire des institutions politiques de l’ancienne France, vol. 6, livre II, Paris, Hachette, (lire en ligne), p. 149
  6. Pas si influent que certains l’ont prétendu cependant : voir p. 176 La France avant la France 481/888 tome 1, Belin, 2010.
  7. Pour une définition de la noblesse franque, cf. La France avant la France, op. cit., p. 466 et A. Huguenin, Histoire d'Austrasie, Paraiges, Metz, 2011, p. 198
  8. cf. Vita Anonyme de saint Arnoul, op. cit., p. 302.
  9. (cf. l’avis de Brunon Dumézil, par exemple dans son ouvrage La Reine Brunehaut, Fayard, 2008, p. 379.
  10. Vita Gundulfi (Settipani 2000, p. 203).
  11. Settipani 1993, p. 148-7.
  12. Riché 1983, p. 25-27.
  13. Jean Heuclin, Hommes de Dieu et Fonctionnaires du Roi, op. cit., p. 367.
  14. J. Euclin, Hommes de Dieu…, op. cit., p. 154.
  15. La France avant la France, op. cit., p. 422/424.
  16. cf. M.-H. Collin, Les Saints lorrains, édition Stanislas, 2010, p. 246. Voir aussi sur le pont des fées pp. 100-101 "le pays de Remiremont", numéro 7, société d'histoire de Remiremont. On pourrait consulter également le petit livret édité par Les Lutrins de la cour dor 1989 : saint Arnoul ancêtre de Charlemagne et des européens
  17. La vita anonyme de saint Arnoul, op. cit., p. 316.
  18. Réédition édition Pluriel, format poche, 2012, p. 28.
  19. La France avant la France, op. cit., p. 179.
  20. Le Pays de Remiremont, société d'histoire locale, no 15, p. 180 à 188.
  21. Sur le culte de saint Arnoul, cf. Les saints Lorrains, op. cit., p. 205/206. Sur les reliques, J. Euclin, Hommes de Dieu…, op. cit., p. 158, 204-205.
  22. Croix et ermitage de Saint-Arnould, Saint-Étienne-lès-Remiremont
  23. Daniel Bigerel, Saint Goëric, Cercle d’études locales de Houdemont (lire en ligne)
  24. « Le miracle brassicole de saint Arnould »
  25. « Metz Beer Fest », sur www.facebook.com (consulté le )
  26. « Asso Brassage De Cultures », sur www.facebook.com (consulté le )
  27. « Jeu de piste Metz Beer Fest - Un projet Les Francs Limiers escape game », sur Les Francs Limiers - Escape Game Metz Semécourt, (consulté le )
  28. .Settipani 1993, p. 47
  29. Foundation for Medieval Genealogy.
  30. Toujours d'après Ummo et sa seconde Vita Arnulfi (Settipani 1993, p. 47).

Annexes

Bibliographie

  • Pierre Riché, Les Carolingiens, une famille qui fit l'Europe, Paris, Hachette, coll. « Pluriel », (réimpr. 1997), 490 p. (ISBN 2-01-278851-3, présentation en ligne)
  • Christian Settipani, La Préhistoire des Capétiens (Nouvelle histoire généalogique de l'auguste maison de France, vol. 1), Villeneuve-d'Ascq, éd. Patrick van Kerrebrouck, , 545 p. (ISBN 978-2-95015-093-6)
  • Christian Settipani, « L'apport de l'onomastique dans l'étude des généalogies carolingiennes », dans Onomastique et Parenté dans l'Occident médiéval, Oxford, Linacre College, Unit for Prosopographical Research, coll. « Prosopographica et Genealogica / 3 », , 310 p. (ISBN 1-900934-01-9), p. 185-229
  • Jean-Charles Volkmann, Bien connaître les généalogies des rois de France, Éditions Gisserot, , 127 p. (ISBN 978-2-87747-208-1)
  • Michel Mourre, Le Petit Mourre. Dictionnaire d'Histoire universelle, Éditions Bordas, (ISBN 978-2-04-732194-2)
  • André Laurent, « Saint Arnould », dans André Laurent, Ils sont nos aïeux : les saints de chez nous, Saint-Dié, La Vie diocésaine de Saint-Dié, , 284 p. (lire en ligne)

Articles connexes

Liens externes

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