Massérac

Massérac est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Massérac

Église de Massérac.

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Châteaubriant-Ancenis
Intercommunalité Redon Agglomération
Maire
Mandat
Fabrice Sanchez
2020-2026
Code postal 44290
Code commune 44092
Démographie
Gentilé Masséracéens
Population
municipale
691 hab. (2018 )
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 40′ 25″ nord, 1° 54′ 48″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 55 m
Superficie 18,78 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Redon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Guémené-Penfao
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Massérac
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Massérac
Géolocalisation sur la carte : France
Massérac
Géolocalisation sur la carte : France
Massérac
Liens
Site web mairie-masserac.fr

    Très liée à l'histoire de la Bretagne, et limitrophe de la région administrative qui porte ce nom, la commune est située à la confluence du Don et la Vilaine. Massérac est couverte de marais, au sein desquels se situent le lac de Murin. Le village est empreint du souvenir de son fondateur, saint Benoît, comme en témoigne la chapelle qui porte son nom. La vocation agricole de Massérac s'atténue progressivement, l'activité économique se diversifiant, notamment dans le tourisme. La tendance au déclin démographique entamé au début du XXe siècle s'est inversée depuis 2006.

    Géographie

    Situation

    La Chapelle-de-Brain
    N Guémené-Penfao
    O    Massérac    E
    S
    Avessac
    Situation de la commune de Massérac dans le département de la Loire-Atlantique.

    Massérac est située à 15 km à l'est de Redon, à 49 km au nord-est de Saint-Nazaire, à 51 km sud-ouest de Rennes, à 57 km au nord-ouest de Nantes et à 63 km à l'est de Vannes[1]. Les communes limitrophes sont Avessac et Guémené-Penfao en Loire-Atlantique, La Chapelle-de-Brain en Ille-et-Vilaine.

    Relief

    Le territoire de la commune est divisé en deux parties : le sud-est de la commune est un plateau en pente descendante de sud-est vers le nord-ouest ; le nord et une étroite bande à l'ouest sont des zones alluvionnaires très plates et humides[2].

    Hydrographie

    Le lac de Murin (confluence du Don et de la Vilaine)

    La Vilaine traverse le nord de la commune d'est en ouest. Son lit est bordée d'une zone large et plate, abritant des zones marécageuses. Cette zone est parcourue de « bras » : bras de Via, bras du Cerné, bras Tortu, bras du Moulinet, bras des Travéniaux. Le Don coule du sud vers le nord à la limite de Massérac avec Avessac. Au niveau de l'embouchure du Don dans la Vilaine se trouve le lac de Murin. Il s'agit d'une grande cuvette aquatique et marécageuse colonisée par des roselières, ou par des prairies-roselières fauchées ou pâturées en bordure[3]. En 1999, les marais couvrent 800 hectares, soit 64 % du territoire de la commune[F 1].

    Climat

    Avec sa façade océanique orientée vers l'Ouest et un relief peu accentué, le climat de la Loire-Atlantique est de type tempéré océanique. Les hivers y sont doux (5 °C en moyenne), les étés faiblement chauds (18 °C en moyenne). Les précipitations sont fréquentes (surtout en hiver et au printemps) mais rarement violentes.

    Les données qui suivent concernant le climat de cette zone sont extraites des relevés effectués à la station météorologique de Saint-Nazaire[4].

    Climatologie de Saint-Nazaire sur la période 1961 - 1990 :
    Températures moyennes
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2,6 2,9 4,2 5,9 8,8 11,5 13,4 13,1 11,2 8,5 5,1 3,3 7,5
    Température moyenne (°C) 5,6 6,2 8 10,2 13,2 16,4 18,6 18,2 16,3 12,8 8,6 6,3 11,7
    Température maximale moyenne (°C) 8,6 9,5 11,9 14,5 17,7 21,4 23,9 23,4 21,3 17,1 12,2 9,3 15,9
    Précipitations (mm) 81,3 68,3 59,3 48,9 65,3 42,6 38 39,6 58 78,6 81,9 79,5 741,3
    Source : Infoclimat, relevés 1961-1990[4]

    Voies de communication et transports

    Gare de Massérac.

    La commune est desservie par la gare de Massérac située sur la ligne Rennes - Redon.

    Urbanisme

    Typologie

    Massérac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Redon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (89,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,6 %), prairies (28,7 %), zones agricoles hétérogènes (16,7 %), zones humides intérieures (6,2 %), zones urbanisées (1,7 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Marzerac en 869, Macerac en 888[12] et 1062, Marserac en 1630[13],[14].

    Massérac vient de[style à revoir] l'anthroponyme latin Massinius et du Suffixe -acum.[réf. nécessaire]

    Massérac possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale : Macérac (écriture ELG, prononcé [ma.se.ʁɑk])[15]. En breton, son nom est Merzhereg[13].

    Histoire

    Monastère.

    La légende attribue la fondation du monastère à l'origine de la paroisse de Massérac à saint Benoît, moine originaire de Patras en Grèce. Le bâtiment est situé sur les rives du lac de Murin, au lieu-dit Paimbu. Benoît meurt en 845, la paroisse est remise en 897 par Alain le Grand, roi de Bretagne, à l'abbaye Saint-Sauveur de Redon. Ce don octroie aux religieux le pouvoir seigneurial, aucun seigneur laïc n'ayant jamais régné sur ce fief. Le bourg de la paroisse s'édifie à l'écart de Paimbu, dans une zone moins soumise aux inondations. En 1710, Massérac subit une épidémie de peste causant une forte mortalité. Les habitants vivent principalement de l'agriculture et de la pêche sur le lac de Murin jusqu'au XXe siècle, période à partir de laquelle le tourisme prend une place importante[F 2].

    Politique et administration

    Massérac est située dans le canton de Guémené-Penfao, arrondissement de Châteaubriant, dans le département de la Loire-Atlantique (région Pays de la Loire)[16]. Comme pour toutes les communes françaises comptant entre 500 et 1 500 habitants, le Conseil municipal est constitué de quinze membres en 2014[17].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
        Panhéleux    
        Hadet-Pierre de Penbu    
        Tailland    
      1834 Pierre Menand    
        Ricordel    
    1863   Pierre Heuzé    
    1888   François Taillandier    
        Maillet    
        Julien Frèrejouan    
    mars 2001 En cours Fabrice Sanchez[Note 3] CPNT directeur d'établissement supérieur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Jusqu’au , Massérac faisait partie de l’ancienne communauté de communes du pays de Guémené-Penfao et a adhéré le à la communauté de communes du pays de Redon, qui est constituée de vingt-quatre communes du Morbihan, d'Ille-et-Vilaine, de la Loire-Atlantique, regroupées autour de Redon, et devenue en 2018 Redon Agglomération. La commune est représentée au conseil intercommunal par le maire et un élu communautaire[18].

    Démographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Massérac est une commune multipolarisée. Elle fait partie de la zone d'emploi de Nantes et du bassin de vie de Guémené-Penfao. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[19]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 94 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 6 % dans des zones « très peu denses »[20].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].

    En 2018, la commune comptait 691 habitants[Note 4], en diminution de 1,14 % par rapport à 2013 (Loire-Atlantique : +6,31 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7658106717741 174783715721784
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    8058729309409541 0241 0191 0171 063
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1041 1401 049900904828846758631
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    603571509507510454573667691
    2018 - - - - - - - -
    691--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Les données suivantes concernent l'année 2013. La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (25,5 %) est en effet supérieur au taux national (22,6 %) et au taux départemental (22,5 %)[25],[26],[27]. Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (51,4 % contre 48,4 % au niveau national et 48,7 % au niveau départemental)[25],[26],[27].

    Pyramide des âges à Massérac en 2013 en pourcentage[25]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ans ou +
    0,6 
    5,5 
    75 à 89 ans
    9,6 
    17,2 
    60 à 74 ans
    17,6 
    18,7 
    45 à 59 ans
    21,3 
    20,1 
    30 à 44 ans
    20,1 
    12,2 
    15 à 29 ans
    12,3 
    25,7 
    0 à 14 ans
    18,5 
    Pyramide des âges de la Loire-Atlantique en 2013 en pourcentage[26]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ans ou +
    1,3 
    5,8 
    75 à 89 ans
    9,1 
    13,5 
    60 à 74 ans
    14,6 
    19,6 
    45 à 59 ans
    19,2 
    20,8 
    30 à 44 ans
    19,6 
    19,4 
    15 à 29 ans
    17,7 
    20,5 
    0 à 14 ans
    18,5 

    Économie

    Selon l'Insee, au , la commune comptait 60 entreprises : 8 dans l'agriculture, 4 dans l'industrie, 9 dans la construction, 30 dans le commerce, le transport et les services, et 9 dans l'administration, la santé et l'éducation. Ces entreprises sont petites et procurent 24 emplois salariés. Aucune d'entre elles n'emploie plus de neuf salariés, 54 n'en emploie aucun[28].

    L'agriculture a vu sa superficie exploitée diminuer de 30 % entre 1988 et 2000 (de 906 à 608 hectares), tandis que l'élevage de volaille passait sur cette période de 3 594 unités à 544, le nombre de bovins passant de 1 100 à 1 008.

    Équipements et services

    Santé

    Il n'y a pas de médecin à Massérac, les plus proches sont situés à La Chapelle-de-Brain et Beslé-sur-Vilaine (Guémené-Penfao). Les infirmiers les plus proches se trouvent à Avessac et à Langon[29]. Un centre hospitalier est installé à Redon[30].

    Enseignement

    Massérac dépend de l'académie de Nantes. La commune gère l'école primaire publique Robert-Deschamps[31]. Le collège le plus proche se trouve à Guémené-Penfao, et le lycée se situe à Redon[32],[33],[34],[35],[36],[37].

    Patrimoine

    Lieux et monuments

    • Chapelle Saint-Benoit (IXe – XVIIe siècle). La chapelle Saint-Benoit est le vestige de l'ancienne église paroissiale de Massérac. Elle est bâtie en grès, quartz et schiste. Selon la tradition, l'agglomération a pour origine un monastère fondé au IXe siècle par saint Benoît. Venu de Grèce, il arrive avec 9 compagnons à Nantes où Gondebaud, comte de Nantes, leur donne le territoire de Massérac. La communauté, d'abord établie à Paimbu, se déplace jusqu'au site de la chapelle. À sa mort en 845, Benoit est enterré dans l’oratoire du monastère. Lorsque la paroisse est donnée aux moines de Saint-Sauveur de Redon en 897, ceux-ci translatent le corps du saint dans leurs murs[38]. Certaines parties de l'édifice actuel paraissent remonter au IXe siècle : on trouve un petit appareil cubique lié par un mortier de sable très jaune qui correspond aux constructions de l’époque carolingienne à la base du mur de la nef nord et à celle du mur sud du chœur[39]. L'édifice semble avoir été rebâtie au XIIe siècle[40]. Il ne comprend à l'origine qu'une nef prolongée par un chœur plus étroit. En 1615, Julien Regnard ou Regnaud, recteur de Massérac, obtient des moines de Redon le retour d’un partie des reliques de Saint Benoit (des vertèbres et des côtes) ainsi qu’une portion du crâne de Sainte Avénie, sa sœur. L'église menaçant ruine, le recteur est également le maître d’œuvre de sa restauration, qui s'accompagne de la construction de deux chapelles latérales, d'un clocher, et de l'allongement du chœur. Trois pierres datées de 1601, 1609 et 1627 témoignent de cette campagne de travaux du XVIIe siècle[41]. Délabrée, l'édifice est abandonné en 1870 au profit d'une nouvelle église paroissiale.  La chapelle est restaurée en 1993. Elle contient le tombeau de saint Benoit dont le couvercle, fêlé, est orné d’une croix de saint André et d’une étole[40]. À 250 mètres de là se trouve la fontaine Saint-Benoît, qui porte ce nom non pas en raison d'un caractère miraculeux, mais parce que c'est là que les moines venaient s'approvisionner en eau[F 3].
    • Le village de Paimbu, site originel d'habitation, conserve des vieilles maisons traditionnelles en schiste ardoisier, certaines cours sont entourées d'une clôture en pierres de schiste plates. Le village conserve un four à pain du XVIIIe siècle, encore utilisé jusqu'à la Seconde Guerre mondiale. En bordure de marais est érigé l'oratoire Saint-Benoît (1859), également appelé chaire de saint-Benoît[F 4].

    Héraldique

    Au premier, de gueules à la crosse d'abbé d'argent ; au second, d'or à la bécassine passante de sable ; au chef d'argent chargé de cinq mouchetures d'hermine de sable.

    La crosse évoque le monastère fondé par saint Benoît. La bécassine symbolise les marais. Les mouchetures d'hermine évoquent le blasonnement d'hermine plain de la Bretagne, rappelant l'appartenance passée de la ville au duché de Bretagne. Blason conçu par Pierre Defoix (délibération municipale du ), enregistré le .

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

     : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

    • Jean-Luc Flohic (dir.) et Carole Georgelain, Le Patrimoine des communes de la Loire-Atlantique, vol. 1, Charenton-le-Pont, Flohic éditions, , 1383 p. (ISBN 2-84234-040-X), p. 408-410. 

    Article connexe

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Réélu en 2008 et 2014.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    • Jean-Luc Flohic (dir.) et Gilbert Massard, Le Patrimoine des communes de la Loire-Atlantique, (voir en bibliographie).
    1. p. 408.
    2. p. 408-409.
    3. p. 409.
    4. p. 410.
    • Autres références.
    1. « Massérac », sur Localisation interactive, orthodromie et navigation (consulté le ).
    2. « Carte IGN de Massérac » sur Géoportail..
    3. « Lac de Murin », sur ministère de l'Écologie (consulté le ).
    4. « Normale et records - Saint-Nazaire, Loire-Atlantique (44), 3 m - 1961-1990 », sur site infoclimat (consulté le ).
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. Jean-Yves Le Moing, Les noms de lieux bretons de Haute-Bretagne, Coop Breizh, (ISBN 2-903708-04-5 et 978-2-903708-04-7, OCLC 236056804), p. 371
    13. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    14. (br) Erwan Vallerie, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez = Traité de toponymie historique de la Bretagne, Le Relecq-Kerhuon, An Here, (ISBN 2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC 63764620, lire en ligne), p. 113
    15. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
    16. « Fiche de la commune de Massérac », sur insee.fr (consulté le ).
    17. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    18. « Les maires et les délégués », sur Communauté de commune du Pays de Redon (consulté le ).
    19. « Commune de Massérac (44092) », Insee (consulté le ).
    20. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    25. « Chiffres clés Évolution et structure de la population - Massérac - POP T0-T3 - Population par sexe et âge en 2013 », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
    26. « Résultats du recensement de la population de la Loire-Atlantique - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
    27. « Résultats du recensement de la population française - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
    28. « Massérac - CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2014 », Insee, (consulté le ).
    29. « Recherche », sur Les pages jaunes (consulté le ).
    30. « Liste des hôpitaux et cliniques de la Loire-Atlantique », sur Annuaire sanitaire et social (consulté le ).
    31. « Les écoles de l'académie », sur Académie de Nantes (consulté le ).
    32. « Les collèges publics de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
    33. « Les collèges privés de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
    34. « Les lycées publics de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
    35. « Les lycées privés de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
    36. « Les lycées publics professionnels publics de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
    37. « Les lycées professionnels privés de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
    38. Régis de l’Estourbeillon, « Saint Benoît de Massérac, sa vie, sa légende (1883) », sur bibliotheque.idbe-bzh.org (consulté le ).
    39. « Patrimoine du Pays de Guémené-Penfao », sur tresorsdupaysdechateaubriant.fr (consulté le ).
    40. « Histoire, Patrimoine et Monuments », sur mairie-masserac.fr (consulté le ).
    41. « Massérac », sur www.infobretagne.com (consulté le ).
    42. « Saint Benoît de Masserac », sur Nominis (consulté le ).
    43. « Saints pour le 22 octobre du calendrier ecclésiastique », sur forum-orthodoxe.com (consulté le ).
    • Portail de la Loire-Atlantique
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.