Liverdy-en-Brie

Liverdy-en-Brie est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Liverdy-en-Brie

La mairie.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes Val Briard
Maire
Mandat
Hugues Marcelot
2020-2026
Code postal 77220
Code commune 77254
Démographie
Gentilé Liverdois
Population
municipale
1 300 hab. (2018 )
Densité 143 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 42′ 01″ nord, 2° 46′ 34″ est
Altitude Min. 73 m
Max. 109 m
Superficie 9,12 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fontenay-Trésigny
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Liverdy-en-Brie
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Liverdy-en-Brie
Géolocalisation sur la carte : France
Liverdy-en-Brie
Géolocalisation sur la carte : France
Liverdy-en-Brie
Liens
Site web

    Géographie

    Localisation

    Liverdy-en-Brie est situé à 40 kilomètres à l'est de Paris et 15 kilomètres au sud de Disneyland Paris.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont :

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Liverdy-en-Brie.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de six cours d'eau référencés :

    • la Marsange, longue de 30,4 km[1], affluent de l'Yerres en rive droite ;
      • le ru de Feneuse, 3,6 km[2], affluent de la Marsange ;
      • le ru de la Berthélerie (cours d'eau naturel et chenal non navigable), km[3], affluent de la Marsange ;
        • le canal de la Berthélerie, 2,3 km[4], qui conflue avec le ru de la Berthélerie ;
        • le fossé 01 de l'Étang de Tizard, 1,1 km[5], qui conflue avec le ru de la Berthélerie ;
    • le canal 01 des Garennes, 2,4 km[6], qui conflue avec le ru de Chevry.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 9,98 km[7].

    L'étang de Tizard se trouve au nord-ouest de la commune. Il est malheureusement fermé à la pêche depuis à la suite d'une pollution de l'eau[8].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[9].

    La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le . Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[10]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[11].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,4 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,4 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,3 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 725 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 0,7 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 1 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[12].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[13]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[12]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[14]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[15], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[16] à 11,6 °C pour 1991-2020[17].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Liverdy-en-Brie comprend une ZNIEFF de type 2[Note 2],[18],[Carte 1], la « forêt de la Léchelle et de Coubert » (2 069,22 ha), couvrant 9 communes du département[19].

    Urbanisme

    Typologie

    Liverdy-en-Brie est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[20],[21],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[23],[24].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 64 lieux-dits administratifs répertoriés[25].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (45,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,1% ), forêts (39,9% ), zones agricoles hétérogènes (8,9% ), zones urbanisées (6% ), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,1 %)[26].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[27],[28],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

    Planification

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[29]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 509 dont 90,7 % de maisons et 9,1 % d’appartements.

    Parmi ces logements, 94,4 % étaient des résidences principales, 1,4 % des résidences secondaires et 4,2 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 86 % contre 12,5 % de locataires et x1,5 % logés gratuitement[30].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Livergiae vers 1150[31] ; Liverdies au XIIIe siècle[32] ; Liverdis en 1347[33] ; Livardis en 1377[34] ; Liverdie en 1506[35] ; Liverdy en Brye en 1540[36] ; Liverdye en 1641[37] ; Liverdis au XVIIIe siècle (Lebeuf)[38] ; Liverdy-en-Brie (Décret du ).

    Le toponyme serait d'origine gallo-romane et viendrait de Livius, nom de personne latin (porté par une indigène)[Note 5], suivi du suffixe -acum, d'origine gauloise.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Liverdy-en-Brie se trouve dans le département de Seine-et-Marne. Rattachée depuis la Révolution française à l'arrondissement de Melun[39], elle intègre le l'arrondissement de Provins afin de faire coïncider les limites d'arrondissement et celles des intercommunalités[40].

    Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la neuvième circonscription de Seine-et-Marne.

    Liverdy-en-Brie appartenait depuis 1793 du canton de Tournan-en-Brie[39]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est désormais rattachée au canton de Fontenay-Trésigny[41].

    Intercommunalité

    Liverdy-en-Brie faisait partie de la communauté de communes du Val Bréon, créée en 1995.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (et 5 000 habitants en zone de montagnes), le préfet de Seine-et-Marne a approuvé un nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit notamment la fusion de la communauté de communes de la Brie boisée, de la communauté de communes du Val Bréon et de la communauté de communes les Sources de l'Yerres, avec rattachement de la commune de Courtomer[42]. Cette fusion entraîne d'importantes tensions entre les présidents de la CCVB et la CCCB[43].

    Par arrêté préfectoral du [44], le Val Bréon fusionne le avec d'autres communautés de communes pour former la nouvelle intercommunalité du Val Briard, dont la commune est désormais membre.

    Liste des maires

    Liste des maires successif
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    février 1790   Pierre Gilles Damien Girault    
    novembre 1791   Marc Jean Baptiste Bournon    
    décembre 1792   Jean Pierre Daguin    
    1800 1808 Pierre Gilles Damien Girault    
    mai 1816   Louis André Bourbon   Adjoint ayant fonction de maire
    août 1819   Désiré Besnard    
    juin 1823   Jean Gavet    
    décembre 1825   Henry Thomas Duhamel    
    mai 1826   M. Godet de Marson    
    novembre 1828   Hubert Alaine    
    1835 1837 Jean Gavet    
    1837 1848 M. Bazille    
    1848 1849 M. Peaucellier    
    1849 1852 François Bardeau    
    1852 1856 Claude Hyppolite Vimont    
    1856 1860 Denis Germain Tetreau    
    1860 1870 Capitaine Memmy    
    1870 1877 Henri Fleau    
    1878 1879 Xavier Tetreau    
    1879 1881 Louis Athanase Darnay    
    1881 1882 Félix Alexandre Gonnet    
    1882 1884 Noël Théodore Bardeaut    
    1884 1892 Henri Fleau    
    1892 1901 Xavier Tetreau    
    1902 1907 Amédée Rebstock    
    1907 1914 Louis Auguste Hure    
    1914 1925 Léopold Joubin    
    1925 1928 Georges Wbaldboque    
    1929 1942 Henri Chereau    
    1942 1944 Samuel Chereau    
    1944 1953 Étienne Biberon    
    1953 1965 Samuel Chereau    
    1965 1969 François Bertrand    
    1969 1977 Samuel Chereau    
    1977 1983 Anne-Marie Nivol    
    1983 1991 Raymond Voisin    
    1991 1995 Jacques Smith    
    1995 2001 Aldo Botto    
    2001 2014 Jean-Paul Coche    
    2014[45] mai 2020 Dominique Cauchie    
    mai 2020 En cours Hugues Marcelot    

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [46],[47].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la commune de Liverdy-en-Brie gère le service d’assainissement collectif (collecte et transport) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels[48].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[49]. Le Syndicat mixte Centre Brie pour l'ANC (SMCBANC) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[48],[50].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SMAEP de la région de Tournan-en-Brie qui en a délégué la gestion à l'entreprise Suez, dont le contrat expire le [48],[51],[52].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[54].

    En 2018, la commune comptait 1 300 habitants[Note 6], en diminution de 0,76 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    390450462405507468501517484
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    513482520477462553514555570
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    584537508401434433403328366
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    4694346366528221 0311 1241 2711 316
    2018 - - - - - - - -
    1 300--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[55].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    L'événement majeur du village est la fête de l'équitation le quatrième dimanche du mois de mai[réf. nécessaire].

    Également la fête du village qui se produit courant mai en même temps que la fête foraine[réf. nécessaire].

    Les vendanges, par une trentaine de viticulteurs amateurs, du clos planté en 2000 et qui comprend 333 ceps de vigne (chardonnay, pinot noir et sauvignon) ont lieu chaque automne[56],[57].

    Économie

    Liverdy est connu pour son élevage de chevaux de race et pour ses nombreux haras[réf. nécessaire].

    Agriculture

    Liverdy-en-Brie est dans la petite région agricole dénommée la « Brie boisée », une partie de la Brie autour de Tournan-en-Brie[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 7] de l'agriculture sur la commune est la culture de fleurs et horticulture diverse[58].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[59]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 11 en 1988 à 5 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 45 ha en 1988 à 68 ha en 2010[58]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Liverdy-en-Brie, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Liverdy-en-Brie entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[58],[Note 8]
    Nombre d’exploitations (u) 11 7 5
    Travail (UTA) 19 11 10
    Surface agricole utilisée (ha) 490 450 340
    Cultures[60]
    Terres labourables (ha) 450 408 306
    Céréales (ha) 280 224 179
    dont blé tendre (ha) 174 166 s
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 63 s
    Tournesol (ha) 17
    Colza et navette (ha) 28 58 55
    Élevage[58]
    Cheptel (UGBTA[Note 9]) 106 155 83

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Étienne de Liverdy.
    Château du Monceau.
    • Au XIIe siècle est construite la grande église Saint-Étienne à trois nefs, sans ornements. Elle fut d'abord modifiée au XIIIe siècle avec l'ajout du bas-côté nord et du bas-côté sud, puis aux XVe et XVIe siècles, avec l'élaboration d'une porte d'entrée à deux vantaux, sous un auvent porté par deux piliers de grès avec chapiteaux qu'on appelle un caquetoir. Une table sculptée et les fonts baptismaux datent de la fin XVIIe siècle[61].
    Près de l’église, on peut trouver un ancien cimetière avec un mausolée pyramidal et un colombier datant du XIXe siècle. Neuf pierres tombales des châtelains de Liverdy sont restées intactes.
    • château du Monceau et son parc[62]
    • On peut également visiter le plateau boisé, le vallon de la Marsange, et l’étang de Tizard, sur quinze kilomètres de circuits pédestres ainsi que le cynodrome, où tous les lévriers de France et d'Europe viennent courir lors de compétitions, comme en [63].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de la ville se blasonnent ainsi :
    de gueules au chevron d’or chargé de trois cailloux de sable, accompagné, en pointe, d’une coq d’argent crêté, barbé et membré d’or, au chef cousu d’azur chargé de trois gerbes aussi d’or.

    Le gueules est la couleur traditionnelle de la Brie. Le coq, situé dans la partie inférieure, est le symbole de la famille de L'Hospital qui possédait Liverdy pendant le Moyen Âge.

    Le chevron d'or et les trois gerbes sont les symboles de la famille Grangier, seigneur de Liverdy pendant de nombreuses années. Les trois cailloux noirs sur fond jaune représentent le martyre de saint Étienne (saint patron de Liverdy). Le chef bleu fait référence à la Marsange, rivière qui traverse le territoire. Les différents ornements sont des pampres ou vignes qui rappellent l'ancienne culture et du chêne. La couronne de tours est le symbole échu aux communes.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Dossiers scientifiques réalisés par Madame Claire Mabire la Caille Maître de conférence en Archéologie du Moyen Âge Université de Paris I Panthéon-Sorbonne et Présidente de l'Association P.I.E.R.R.E.S. sur l'église paroissiale de Liverdy-en-Brie.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Livie Drusille fut l'épouse d'Auguste.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    7. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    8. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    9. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    10. Résumé de carrière de Marcel Vézinat: marine nationale, entreprises, organisations professionnelles (industrie machinisme et outillage agricole, irrigation) consultant. Actuellement responsable de la société[Quand ?] des membres de la Légion d'honneur en Val-de-marne, président fondateur de l'amicale des anciens dirigeants d'organisations professionnelles
    • Cartes
    1. « Zones ZNIEFF de Liverdy-en-Brie » sur Géoportail (consulté le 14 janvier 2021)..
    2. « Liverdy-en-Brie - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    4. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. Sandre, « La Marsange ».
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Feneuse (F4778000) ».
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de la Berthélerie (F4777700) ».
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canal de la Berthélerie (F4777502) ».
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de l'Étang de Tizard (F4777800) ».
    6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canal 01 des Garennes (F4778002) ».
    7. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 8 octobre 2018
    8. Arrêté municipal 2014-21 réglementant l'accès et la pratique de la pêche aux étangs.
    9. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    10. « SAGE Yerres - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    11. site officiel du Syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE)
    12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
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