Le Quesnel

Le Quesnel est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Le Quesnel
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Montdidier
Intercommunalité Communauté de communes Avre Luce Noye
Maire
Mandat
Brice Chantrelle
2020-2026
Code postal 80118
Code commune 80652
Démographie
Gentilé Quesnellois
Population
municipale
786 hab. (2018 )
Densité 69 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 46′ 37″ nord, 2° 37′ 32″ est
Altitude Min. 72 m
Max. 104 m
Superficie 11,38 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Moreuil
Législatives 4e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Le Quesnel
Géolocalisation sur la carte : Somme
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Le Quesnel
Liens
Site web http://www.ccalm.fr/lequesnel/

    Géographie

    Nature du sol et du sous-sol

    Le sol de la commune est constitué pour une large part par le limon des plateaux reposant sur un terrain du crétacé affleurant à l'ouest et au nord-ouest de la commune dans la vallée se dirigeant vers la Luce[1].

    Relief, paysage, végétation

    Le relief de la commune est celui d'un plateau, le Santerre, culminant à 95 m d'altitude, traversé par un vallon qui se termine a Cayeux-en-Santerre. Un autre vallon au nord-est se termine à Caix[1].

    Hydrographie

    Aucun cours d'eau ne traverse la commune.

    A la fin du XIXe siècle, la nappe phréatique se situait à 25 m en dessous du niveau du sol[1].

    Climat

    Le climat de la commune est tempéré océanique.

    Urbanisme et aménagement du territoire

    La commune présente un habitat groupé.

    Activité économique et de services

    L'activité dominante de la commune reste l'agriculture.

    Voies de communication et transports

    Le bourg rural du Quesnel est situé à proximité de l'ex-route nationale 334 (actuelle RD 934) (Amiens - Noyon) donnant accès à Roye à l'autoroute A1. L'A29best accessible à Villers-Bretonneux ou Estrées-Deniécourt.

    En 2019, la localité est desservie par les lignes d'autocars du réseau Trans'80, Hauts-de-France, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés (ligne no 40, Roye - Hangest-en-Santerre - Amiens)[2].

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Le Quesnel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[6],[7].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (88,5 %), zones urbanisées (5,7 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,4 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Toponymie

    Le village est attesté avec la graphie Caisnel en 1150.

    On trouve plusieurs forme pour désigner Le Quesnel dans les textes anciens : Cisnetel (1105), Kaisnoi, Kaisniax, Caisneel (1301), Kaisnel, Le Quesnel (1384), Quesnel-en-Sangters (1395)[1].

    Il s'agit de la forme normando-picarde d'un diminutif en -el(lu) du nom du chêne, quesne en picard / normand, soit « jeune chêne[10] ». C'est l'équivalent du français Chesneau, porté comme patronyme.

    La graphie Caisn- est conforme à l'étymologie du mot *CASSANU > *CASSINU, terme d'origine gauloise, peut-être basé sur un thème cassi- « enchevêtré » (cf. irlandais cas) sans certitude cependant. Le mot n'a pas de correspondant en celtique insulaire ni dans les autres langues indo-européennes[11],[12],[13].

    Les gens du pays appelaient leur village en picard Tchiny[14].

    Homonymie avec le Quesnel-Aubry (Oise, Kesneel 1133, Caisneel 1164).

    Histoire

    L'existence de muches (souterrains-refuges) rend probable une installation humaine in situ, dès l'époque gauloise, avant l'invasion romaine[14].

    Antiquité

    Dans le voisinage du château, des pièces romaines (l'une d'elles représente Antonin le Pieux, empereur en 138) et une statue en bronze de Constantin ont été retrouvées, permettant de supposer l'existence d'une présence humaine à l'époque gallo-romaine[14], ce qui est rendu probable par la situation du lieu près de la voie romaine (via Agrippa de l'Océan) reliant Lugdunum (Lyon) à Gesoriacum (Boulogne-sur-Mer) qui correspond à l'ex-route nationale 334.

    Moyen Âge

    Le nom de Quesnel figure dans la charte de fondation de l'abbaye de Saint-Fuscien de 1105[14]. Les fondations de Robert du Quesnel, en faveur de son pays, ne datent que du XIIIe siècle.

    Époque moderne

    Les muches du Quesnel creusés à une dizaine de mètres en dessous du niveau du sol étaient encore fréquentées au XVIIIe siècle. Elles se composaient de 62 chambres de forme rectangulaire d'une superficie de 4 m2 environ, certaines cellules servant de silo[15].

    XIXe siècle

    La commune est desservie de 1889 à la fin des années 1940 par la ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique des chemins de fer départementaux de la Somme reliant Albert à Montdidier, avec la gare du Quesnel - Beaufort, facilitant les déplacements des voyageurs et le transport des produits agricoles du Santerre.

    Première Guerre mondiale

    Le village s'est trouvé dans la zone des combats de la Première Guerre mondiale[16]. Le château fut occupé dès le par un état-major allemand[17]. Après la bataille de la Marne, Le Quesnel se trouva en arrière du front[18],[19],[20] jusqu'au printemps 1918. Un chemin de fer militaire à voie étroite du système Péchot fut utilisé par l'armée pour alimenter le front, notamment pour les besoins de l'artillerie[21],[22].

    L'armée allemande lance alors l'offensive du printemps sur le front occidental, et notamment l'opération Michael, qui débute , au cours de laquelle elle conquiert en une semaine tout le territoire de la Somme et en particulier le Santerre jusque Montdidier, Villers-Bretonneux et Le Hamel. Le Quesnel est occupée par les Allemands, le . Cette reconquête est stoppée devant Villers-Bretonneux le .

    La bataille d'Amiens débute le et dura jusqu'au . Mené par des bataillons de chars d’assaut, le premier jour de la bataille fut qualifié par le général allemand Ludendorff de « jour de deuil de l’armée allemande » : les Canadiens ont ainsi avancé de treize kilomètres, les Australiens de onze kilomètres, les Français de huit kilomètres, et les Britanniques, de trois kilomètres. Les Canadiens du 75e bataillon d'infanterie canadien libérèrent le village le [23],[24].

    Entre-deux-guerres

    À l'issue de la guerre, Le Quesnel a subi d'importants dommages de guerre. Le village est décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [25].

    Fin du XXe siècle

    Le mercredi a été volée la statue Notre-Dame-Auxiliatrice en bois polychrome et mesurant 108 cm de haut sur 35 cm de large. Elle n'a jamais été retrouvée[26].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

    Elle fait partie depuis 1801 du canton de Moreuil[27], qui a été modifié et agrandi dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la communauté de communes du canton de Moreuil, créée par un arrêté préfectoral du et renommée communauté de communes Avre Luce Moreuil (CCALM) par arrêté préfectoral du .

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

    Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d’Avre, Luce et Moreuil[28], la préfète dévoile en son projet qui prévoit la « des communautés de communes d’Avre Luce Moreuil et du Val de Noye  », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[29],[30]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[31] et de la commission départementale de coopération intercommunale en [32] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du [33], qui prend effet le .

    La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[34]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1989 1995 André Rigolle    
    juin 1995 2014[35] Jean-Marie Pautre[36]   Président du Trait Vert[Quand ?]
    Vice-président de la CCALM ( ? → 2014[37])
    avril 2014[38] mai 2020 Isabelle Wu UMPLR[39] Chef d'entreprise
    mai 2020[40] En cours
    (au 4juin 2020)
    Brice Chantrelle    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[42].

    En 2018, la commune comptait 786 habitants[Note 3], en augmentation de 0,77 % par rapport à 2013 (Somme : −0,18 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2841 3391 3751 2761 2861 2571 2741 2961 313
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2851 3291 2931 2601 2571 2231 2001 2011 128
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    977949926738757684665630642
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    569562480409436540643703792
    2018 - - - - - - - -
    786--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[43].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Les habitants sont appelés Quesnellois[14].

    Enseignement

    Les enfants sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal qui regroupe les communes de Bouchoir et du Quesnel. Il accueille dans le village les enfants de maternelle et de primaire[44], soit 150 élèves en 2012[45]. En 2019, le regroupement concerne les communes de Bouchoir, Le Quesnel, Warvillers, Beaufort et Folies, organisées en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) pour la gestion de l'enseignement primaire local[46]. Un service de transport scolaire assure la liaison entre les villages.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Léger, en brique, du XIXe siècle[47], elle mesure 45 m de long, 18 m de large. Son clocher culmine à 50 m.
    L'ancienne église du Quesnel étant devenue trop petite pour la population de la paroisse et nécessitant d'importantes réparations, Élise Blin de Bourdon décida de financer la construction d'une église neuve. Elle fut commencée en 1858 et terminée en 1861. Son architecte fut l'amiénois Victor Delefortrie. Le mobilier[48], essentiellement de Aimé et Louis Duthoit, en fut, pour une grande part, financé par le curé de la paroisse, à l'époque, l'abbé Hurdequint[49]. Cet édifice fut donné ensuite à la commune par sa commanditaire.
    On remarque à l'intérieur un lutrin en fer forgé, de la fin du XVIIIe siècle[50] et une vierge à l'enfant à l'oiseau et au raisin en bois polychrome, du XVIe siècle[51].
    • Chapelle Notre-Dame-l'Auxiliatrice. La chapelle primitive datait de 1811. Une nouvelle chapelle de dévotion est édifiée en 1867[52].
    • Le château, construit tout en pierre, au dessus de souterrains-refuges (appelés localement « muches ») découverts en 1749[53]. Des pierres et une partie des souterrains apparaissent parfois lors d'effondrements dus aux précipitations importantes[54].

    Cet édifice fut élevé en 1753 par Jean Baptiste Barthelemy Le Fort, écuyer, seigneur du Quesnel et Saint Mard, mort en 1767. Il ne comportait alors qu'un étage sur rez-de-chaussée, avec avant-corps central surmonté d'un fronton triangulaire. En 1853, son descendant, Marie Louis Charles Blin de Bourdon (1809-1869), maire du Quesnel, conseiller général du canton de Moreuil, le fit surélever d'un étage. Endommagé pendant la Première Guerre mondiale, le château fut ensuite restauré et dispose d'un parc[55].

    En , le château est ravagé par les flammes[56].
    Le mémorial canadien.
    Le monument porte une plaque ainsi rédigée :
    L'Armée canadienne forte de 100 000 hommes attaqua l'ennemi le entre Domart-sur-la-Luce (hameau d'Hourges) et Villers-Bretonneux et le rejeta vers l'est sur une profondeur de treize kilomètres[57].
    • Cimetière militaire britannique du Quesnel (Le Quesnel Communal cemetery extension), de 66 tombes (54 canadiens et 12 britanniques), dont 6 aviateurs de la RAF tués pendant la Seconde Guerre mondiale. Il a été édifié par les canadiens après la prise du village le par le 75e bataillon d'infanterie canadien[58].
    • Cimetière militaire britannique Hillside cemetery, situé à l'extérieur du village, sur le territoire de la commune Quesnel. Il contient cent huit tombes, principalement des soldats canadiens tombés en , lors de la capture du village, le , par le 75e bataillon d'infanterie canadien[59].

    Personnalités liées à la commune

    Dicton

    Un dicton populaire, tout à l'honneur du bon naturel des habitants, a eu son heure de gloire au début du XXe siècle : « Ché tchiens d'Tchiny aboètent, mais n'mordent point. » (Les chiens du Quesnel aboient, mais ne mordent pas[14].)

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Abbé Maurice Leroy, Le Quesnel et Saint-Mard-en-Chaussée : Faits de guerre et données historiques, Albi, Imprimerie des Apprentis-Orphelins, 1923 (réédition fac-simile 2001) (ISBN 978-0-543-93703-2 et 0-543-93703-8).
    • Abbé Maurice Leroy, Les origines du Quesnel, .
    • Michel Decalf, Le Quesnel, un sacré patrimoine, , 423 p. (notice BnF no FRBNF40124549).

    Articles connexes

    Liens externes

    • Carte spéciale des régions dévastées : 21 NE, Montdidier [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Notice géographique et historique sur la commune du Quesnel, rédigée par D. Legrand, instituteur », sur Archives départementales de la Somme, .
    2. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duAmiens », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume I Librairie Droz 1991. p. 267.
    11. Pierre-Yves Lambert, La langue gauloise, éditions errance, 1994.
    12. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, éditions Errance, 2003. p. 108.
    13. Henriette Walter, L'aventure des mots français venus d'ailleurs, Robert Laffont, p. 44.
    14. Abbé Leroy, Monographie sur les origines du Quesnel, p. 15, 1911.
    15. Desmaisons, Henri, « Les Souterrains-refuges du Quesnel », Bulletin de la Société préhistorique française, Persée - Portail des revues scientifiques en SHS, vol. 29, no 5, , p. 240–244 (DOI 10.3406/bspf.1932.6003, lire en ligne, consulté le ).
    16. Cliché J. Hengel, Section photographique de l'armée, « Photo : Le Quesnel. Le moulin à vent », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    17. « Le Quesnel », sur Armoiries Samariennes (consulté le ).
    18. Section photographique de l'armée, « Photo : Le Quesnel. Le village et convoi d'ânes de tranchées », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    19. Section photographique de l'armée, « Photo : Le Quesnel. Convoi d'ânes de tranchées », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    20. Section photographique de l'armée, « Photo : Le Quesnel (près). Convoi d'artillerie de tranchée », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    21. Section photographique de l'armée, « Photo : Le Quesnel. Train chargé d'obus de 220 », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    22. Section photographique de l'armée, « Photo : Le Quesnel. Train chargé d'obus de 220 », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    23. « Mémorial canadien du Quesnel », Le circuit du souvenir, sur http://www.somme14-18.com (consulté le ).
    24. « Mémorial canadien à Le Quesnel », Monuments commémoratifs en France, Anciens combattants Canada, (consulté le ).
    25. Journal officiel du 7 novembre 1920, p. 17721.
    26. Michel Decalf, Le Quesnel au XXe siècle, éd. F. Paillart, Abbeville, 2002.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Cécile Latinovic, « HAUTE-SOMME Moreuil exclue des projets de fusions intercommunaux? », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
    29. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    30. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard, (lire en ligne).
    31. Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l’idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l’idée d’un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
    32. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région, (lire en ligne).
    33. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Avre Luce Noye issue de la fusion de la communauté de communes Avre Luce Moreuil et de la communauté de communes du Val de Noye à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
    34. « Les maires de Quesnel (Le) », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    35. « Le Quesnel (80) Cinq choix pour élire un maire », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    36. Réélu pour le mandat 2008-2014 : « Liste des maires de la Somme », sur http://www.somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
    37. « Ailly-sur-Noye : Trois délégués gèrent la commune jusqu’à l’élection du prochain maire : Isabelle Briatte, Paul Gérard et Jean-Marie Pautre sont chargés, à la suite de l’annulation des élections municipales, d‘administrer le chef-lieu de canton », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « la sous-préfecture de Montdidier a fait appel à un troisième délégué ayant plutôt un vécu politique avec Jean-Marie Pautre, qui fut maire de Le Quesnel pendant 19 ans, vice-président chargé de la communication au sein de la communauté de communes de Moreuil et président du Trait Vert ».
    38. « Le Quesnel (80) Isabelle Wu élue maire », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    39. « Heureux hasard du calendrier politique? », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    40. Aude Collina, « Brice Chantrelle élu en l’absence de sa prédécesseure, Isabelle Wu, à Le Quesnel », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Certainement échaudée par le résultat sans appel des élections et le recours administratif de ses opposants, Isabelle Wu n’a pas assisté à la cérémonie d’investiture du maire et des adjoints. Les 181 voix récoltées par celle qui tenait les rênes de la commune de 800 habitants depuis mars 2014 n’ont pas suffi à la qualifier au premier, et unique, tour ».
    41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    44. « École élementaire Léon-Sauville ! », sur http://www.ccalm.fr, (consulté le ).
    45. Jean-Marie Pautre., « Vœux de Mr le Maire », sur http://www.ccalm.fr, (consulté le ).
    46. Gaël Rivallain, Anne Kanaan, « Une ultime classe sauvée : L'académie est revenue mardi sur la suppression à Bouchoir, de nouveaux postes sont prévus à Abbeville. », Courrier picard, , p. 11.
    47. André Rigolle, « Le Quesnel : église Saint-Léger, 150 ans plus tard (16 septembre 1862 - 27 octobre 2012) », Le Quesnel infos, , p. 18-20 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
    48. « Église St-Léger du Quesnel-en-Santerre », Aimé et Louis Duthoit, sculpteurs, sur https://www.richesses-en-somme.com (consulté le ).
    49. Abbé Maurice Leroy, Souvenirs de Guerre et données historiques : Le Quesnel et Saint-Mard-en-Chaussée, Albi, , 334 p., p. 166-175.
    50. « Lutrin », notice no PM80001090, base Palissy, ministère français de la Culture.
    51. « Statue : Vierge à l'Enfant à l'oiseau et au raisin », notice no PM80001091, base Palissy, ministère français de la Culture.
    52. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 216 (ASIN B000WR15W8).
    53. Armand Prin, « Le château ravagé par les flammes - Un joyau du patrimoine disparaît : Dans la soirée du lundi 10 décembre, un terrible incendie a ravagé la bâtisse emblématique datant du XVIIIE siècle. Une destruction qui traumatise tout un village », Le Bonhomme picard, édition Montdidier - Roye, no 3529, , p. 2.
    54. « Une cavité de quatre mètres de profondeur : Un trou s'est formé sur la partie engazonnée de l'église », Courrier picard, , p. 27.
    55. « Jardin d'agrément du château du Quesnel », notice no IA80000573, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    56. « La fin du château du Quesnel : Le Château du Quesnel, dans le Santerre (sud-est de la Somme) ne fêtera pas ses 300 ans. Les flammes ont eu raison de lui dans la nuit du lundi 10 au mardi 11 décembre. Faute d’entretien, il mourait déjà à petits feux », Courrier picard, édition Picardie maritime, , p. 6 (lire en ligne).
    57. Alain Pouteau, « Mémorial canadien - Le Quesnel », Mémoriaux, Picardie 14-18, la Grande Guerre aujourd'hui dans l'Aisne, l'Oise et la Somme, (consulté le ).
    58. Alain Pouteau, « Communal cemetery extension - Le Quesnel », Cimetières britanniques & du Commonwealth dans la Somme, Picardie 14-18, la Grande Guerre aujourd'hui dans l'Aisne, l'Oise et la Somme, (consulté le ).
    59. Alain Pouteau, « Hillside cemetery - Le Quesnel », Cimetières britanniques & du Commonwealth dans la Somme, Picardie 14-18, la Grande Guerre aujourd'hui dans l'Aisne, l'Oise et la Somme, (consulté le ).
    60. « Alexis Amand Geoffroy Thory », base Léonore, ministère français de la Culture.
    61. « Harold James Ross, 75th CEF Bn, « B » Coy, 408668 », Santerre 1914-1918 - préserver la mémoire de la Grande Guerre dans le Santerre, (consulté le ).
    62. « Marie Louis Alexandre Blin de Bourdon de », base Léonore, ministère français de la Culture.
    63. « Alexandre, Raoul, Marie Blin de Bourdon (1837 - 1940) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
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