Arvillers

Arvillers est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Arvillers

La mairie-école.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Montdidier
Intercommunalité CC Avre Luce Noye
Maire
Mandat
Yves Cottard
2020-2026
Code postal 80910
Code commune 80031
Démographie
Gentilé Arvillois
Population
municipale
770 hab. (2018 )
Densité 61 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 44′ 44″ nord, 2° 38′ 52″ est
Altitude Min. 49 m
Max. 108 m
Superficie 12,68 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Moreuil
Législatives 4e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Arvillers
Géolocalisation sur la carte : Somme
Arvillers
Géolocalisation sur la carte : France
Arvillers
Géolocalisation sur la carte : France
Arvillers
Liens
Site web http://arvillers.fr/

    Géographie

    Arvillers est un bourg rural picard du Santerre est situé à proximité de l'ancienne voie romaine dite Chaussée Brunehault, constituant l'ancienne route nationale 334 (actuelle RD 934). La commune est à 30 km au sud-est d'Amiens et 11 km de Roye.

    En 2019, elle est desservie par les lignes d'autocars du réseau Trans'80, Hauts-de-France, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés (ligne no 40, Roye - Hangest-en-Santerre - Amiens ; ligne no 45, Moreuil - Montdidier)[1].

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Arvillers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,4 %), forêts (7,8 %), zones urbanisées (5,4 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    Les anciennes formes du nom du village sont : Argovillaris (844)[9], Arviler (1167) , Harviller (1184), Ursivillarensis, Ursivilla, Arvileir, Arviller (1223), Arcovillaris (1257), Arcovillaris (1267)[10], Arviler, Arviler en Santers (1394), Arvillier, Arvillers en 1673, Erviller, Arviver et Harvillers.

    Arvili en picard.

    Son étymologie est incertaine, compte tenu des variations du nom. On s'accorde à estimer qu'elle signifierait « Repaire de l'ours » ou « Ville fortifiée[11] ».

    Histoire

    On a découvert dans la commune une hache-marteau en roche dure perforée[réf. nécessaire], ainsi que, au hameau de Prunierval, des sarcophages et une pièce de monnaie à l'effigie de Jules César[12]. Les traces de deux villas gallo-romaines ont été découvertes à côté du cimetière militaire[13]. Le lieu était proche de la via Agrippa, voie romaine reliant Lugdunum (Lyon) à Portus Itius (Boulogne-sur-Mer) par Augusta Suessionum (Soissons) et Samarobriva (dite localement Chaussée Brunehaut).

    Pendant la guerre de Cent Ans, en 1417, le château fut occupé par les Anglais qui ravagèrent le voisinage. Jean de Luxembourg les cerna et les força à se rendre[12].

    La seigneurie a appartenu à partir de 1556 aux ducs de Montmorency et de Bourbon[12].

    Le village et l'église ont été incendiés par les Espagnols en 1653 sous les ordres de Condé, durant la Fronde[12].

    Le village se dota d'une école en 1824[12].

    Lors de la guerre franco-allemande de 1870, les Allemands, marchant sur Amiens, occupèrent Arvillers[12].

    Le village se trouvait dans la zone des combats de la Première Guerre mondiale et a subi des destructions de guerre[14],[15],[16]. Il a été décoré de la croix de guerre 1914-1918 le [17].

    L'ancienne commune de Saulchoy-sur-Davenescourt a été rattachée à Arvillers en 1965[18].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

    Elle fait partie depuis 1801 du canton de Moreuil[18], qui a été modifié et agrandi dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la communauté de communes du canton de Moreuil, créée par un arrêté préfectoral du 4 décembre 1992 et renommée communauté de communes Avre Luce Moreuil (CCALM) par arrêté préfectoral du 6 mai 1996.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du Département.

    Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d’Avre, Luce et Moreuil[19], la préfète dévoile en octobre 2015 son projet qui prévoit la « des communautés de communes d’Avre Luce Moreuil et du Val de Noye », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[20],[21]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[22] et de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[23] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du 22 décembre 2016[24], qui prend effet le .

    La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[25]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981  ? Francis Soilleux    
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 En cours
    (au 17 juillet 2020)
    Yves Cottard   Vice-président de la CC Avre Luce Moreuil (2005[26] → 2016)
    Vice-président de la CC Avre Luce Noye (2017 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[27],[28],[29]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

    En 2018, la commune comptait 770 habitants[Note 3], en diminution de 1,79 % par rapport à 2013 (Somme : −0,18 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0189281 0401 1351 1401 1051 1211 1651 212
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2661 2591 3681 3391 3331 3641 3081 1851 056
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 048989897625720651692637646
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    678634559568634652719729738
    2013 2018 - - - - - - -
    784770-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    En 2020, la commune accueille une école publique de quatre classes qui accueille un peu plus de cent élèves de la maternelle au CM2[28].

    Santé

    Les deux médecins généralistes qui y avaient leur cabinet ont quitté la commune en 2015. Une ostéopathe a rouvert le cabinet médical en 2017[33].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Chapelle Notre-Dame de la Délivrance. Reconstruite en 1829[38].
    • Chapelle Sainte-Margareth à Saulchoy-sous-Davenescourt, datée de 1840[38].
    • Le monument aux morts, financé par une souscription publique vers 1923. Il s'agit d'un modèle-type de l'époque, le numéro 2139 du catalogue Gourdon, nommé soldat au drapeau[39],[40].

    Personnalités liées à la commune

    Madeleine Riffaud (née en 1924 à Arvillers), héroïne de la résistance, poétesse, journaliste et correspondante de guerre française[41],[42].

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    • Carte spéciale des régions dévastées : 21 NE, Montdidier [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 976 - (ISBN 2600001336).
    10. Dans le cartulaire de l'abbaye de Corbie
    11. « Les origines du nom », Histoire, Mairie d'Arvillers (consulté le ).
    12. « Résumé », Histoire, Mairie d'Arvillers (consulté le ).
    13. « Photo aérienne de Roger Agache : Probable villa à cour rectangulaire orientée à l'Est. Les prospections, effectuées à l'est de la villa, ont livré un peu de mobilier gallo-romain (1982) », notice no ARR22_8280399ZA, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    14. Section photographique de l'armée, « Photo : Arvillers. L'église et ses abords », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    15. Section photographique de l'armée, « Photo : Arvillers. Un coin du village », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    16. Section photographique de l'armée, « Photo : Arvillers. Ruines autour de l'église », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    17. Journal officiel du 7 novembre 1920, p. 17721.
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Cécile Latinovic, « HAUTE-SOMME Moreuil exclue des projets de fusions intercommunaux? », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
    20. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    21. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard, (lire en ligne).
    22. Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l’idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l’idée d’un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
    23. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région, (lire en ligne).
    24. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Avre Luce Noye issue de la fusion de la communauté de communes Avre Luce Moreuil et de la communauté de communes du Val de Noye à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
    25. « Les maires de Arvillers », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    26. « Extrait du registre des délibérations du conseil communautaire de la communauté de communes Avre Luce Moreuil » [PDF], (consulté le ), p. 6.
    27. Cécile Latinovic, « Le mot d’ordre moreuillois est passé : Seize communes sur les 23 que compte le secteur de Moreuil ont mis le FN en tête », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Par exemple, dimanche 18 juin, après le scrutin, le maire d’Arvillers, Yves Cottard, ne cachait pas sa satisfaction. Ses administrés ont boudé le candidat REM. Pour autant, le maire n’est pas connu comme être un sympathisant du Front national. Ce qui lui donnait cette satisfaction était davantage l’échec électoral de l’ancien président de feu la Communauté de communes du Val de Noye que l’échec du candidat La République en marche ».
    28. « C’est décidé, Yves Cottard veut rester maire d’Arvillers », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « À 72 ans, l’élu n’est pas un novice. Connu pour ne pas avoir sa langue dans sa poche, il fait partie du paysage de la commune de plus de 800 habitants depuis 1977, comme conseiller municipal et depuis près de vingt ans comme maire de la commune. Il est aussi vice-président de la Communauté de communes Avre Luce Noye en charge de l’environnement ».
    29. « Jour 1 du 4e et dernier mandat d’Yves Cottard à Arvillers », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    33. « Le cabinet d’Arvillers rouvre deux ans après : Une ostéopathe a décidé de reprendre le cabinet laissé vacant par les médecins généralistes en 2015 », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    34. « A) Aquarelle d'Oswald Macqueron : Église d'Arvillers, d'après nature, 17 juin 1876 B) Carte postale : La grande guerre 1914-15-16 - Arvillers (Somme) - L'église après bombardement. A.R. (1916) », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
    35. Section photographique de l'armée, « Photo : Arvillers. L'église : intérieur », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    36. Section photographique de l'armée, « Photo : Arvillers. L'église : le chœur », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    37. Section photographique de l'armée, « Photo : Arvillers. L'église », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    38. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 217 (ASIN B000WR15W8).
    39. « Monument aux morts de la Guerre de 1914-1918 », notice no IA80000019, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. « Monument aux morts d'Arvillers », Région Hauts-de-France - Inventaire général (consulté le ).
    41. Virginie Guennec, « Ils racontent la jeune « Rainer » : Deux réalisateurs se penchent sur la jeunesse de Madeleine Riffaud. La Résistante, surnommée « lieutenant Rainer », est une enfant du pays, dont beaucoup se souviennent dans le Santerre. », Le Courrier picard, .
    42. Alain Ruscio, « Tous les combats de Madeleine Riffaud », L'Humanité, (lire en ligne, consulté le ).
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