Gurcy-le-Châtel

Gurcy-le-Châtel est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Chatel.

Gurcy-le-Châtel

La mairie.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes de la Bassée - Montois
Maire
Mandat
Nadine Villiers
2020-2026
Code postal 77520
Code commune 77223
Démographie
Gentilé Gurcyssois
Population
municipale
568 hab. (2018 )
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 28′ 13″ nord, 3° 05′ 31″ est
Altitude Min. 94 m
Max. 149 m
Superficie 12,59 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Provins
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Gurcy-le-Châtel
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Gurcy-le-Châtel
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Gurcy-le-Châtel
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Gurcy-le-Châtel

    Géographie

    Localisation

    Localisation de la commune de Gurcy-le-Châtel dans le département de Seine-et-Marne

    Gurcy-le-Châtel se situe à la limite du plateau de la Brie aux confins du pays du Montois à 16 km au nord-est de Montereau-Fault-Yonne et à 12 km au sud-est de Nangis.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Gurcy-le-Châtel
    Villeneuve-les-Bordes
    km
    Meigneux 4,7 km[1] Donnemarie-Dontilly
    2,7 km
    Montigny-Lencoup
    2,8 km
    Égligny
    5,3 km

    Relief et géologie

    Bocage vallonné, forêts.

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Gurcy-le-Châtel.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau référencés :

    • le fossé 01 de Champabon ou ru du Moulin d'en haut, 5,92 km[2], et ;
    • le cours d'eau 01 de Becherelles, 2,85 km[3] qui confluent avec l’Auxence ;

    Par ailleurs, son territoire est également traversé par l’aqueduc de la Voulzie, alimentant en eau, Paris et sa région[Note 1].

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 6,5 km[4].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[5].

    La commune fait partie du SAGE « Bassée Voulzie », en cours d'élaboration en décembre 2020. Le territoire de ce SAGE concerne 144 communes dont 73 en Seine-et-Marne, 50 dans l'Aube, 15 dans la Marne et 6 dans l'Yonne, pour une superficie de 1 710 km2[6],. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par Syndicat Mixte Ouvert de l’eau potable, de l’assainissement collectif, de l’assainissement non collectif, des milieux aquatiques et de la démoustication (SDDEA), qualifié de « structure porteuse »[7].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,3 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,4 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,4 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 729 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 0,5 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -5,4 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[9]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[8]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[10]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 33 km à vol d'oiseau[11], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[12] à 11,6 °C pour 1991-2020[13].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[14],[15],[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Gurcy-le-Châtel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[17],[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[20],[21].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 88 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés[22] dont Chalautre-la-Reposte (ancienne commune), la Boissière.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58% ), terres arables (36% ), zones urbanisées (3,8% ), zones agricoles hétérogènes (2,2 %)[23].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[24],[25],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    Planification

    La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Grand Provinois, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) du Grand Provinois, qui regroupe les Communautés de Communes du Provinois et de Bassée-Montois, soit 82 communes[26].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[27]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 253 dont 96,8 % de maisons et 2,8 % d’appartements.

    Parmi ces logements, 85,4 % étaient des résidences principales, 10,7 % des résidences secondaires et 4 % des logements vacants.

    La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 81,5 % contre 13,9 % de locataires et 4,6 % logés gratuitement[28].

    Transports

    La gare SNCF la plus proche est la Gare de Nangis, située à 12,7 kilomètres, (19 minutes). Elle est desservie par les trains du réseau Transilien Paris-Est (ligne P) à partir de la gare de l'Est à Paris.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Gurci en 1227[29].

    Du latin gurritiacum, « domaine de Gurritius, Gurrius ou curius (soigneux) » d'après Jean-Marie Ricolfis[Note 6],[30].

    Histoire

    Gurcy-le-Châtel absorbe, en 1968, l'ancienne commune de Chalautre-la-Reposte[31].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2008 Jean-Pierre Cellier    
    mars 2008 En cours Nadine Villiers[32]   Enseignante

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [33],[34].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la commune de Gurcy-le-Châtel gère le service d’assainissement collectif (collecte, transport et dépollution) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels[35].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[36]. La communauté de communes de la Bassée - Montois (CCBM) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[35],[37].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui gère le service en régie[35],[38].

    Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Nangis[39].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[41].

    En 2018, la commune comptait 568 habitants[Note 7], en diminution de 1,05 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    249254243259276276278280289
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    296274277234256219210205237
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    239228208161135135119306513
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    376328409393352384487581576
    2018 - - - - - - - -
    568--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    • École maternelle et élémentaire.

    Centre de formation

    Cette commune bordée par les bois, à quelques kilomètres de Donnemarie-Dontilly a été marquée par la présence sur son territoire d'une école de métiers d'Électricité de France (EDF), dans laquelle étaient formés des ouvriers et des techniciens dans les domaines de la distribution et de la production d'énergie électrique. Certaines rues portent d'ailleurs les noms de personnes qui ont notamment marqué l'épopée électrique ou l'esprit des scientifiques (Branly, Ampère, Edison, Descartes, Curie).

    Ce centre de formation Électricité de France est né de la nationalisation des industries électriques et gazières, au lendemain de la guerre. Le système éducatif traditionnel était loin de pouvoir fournir tous les besoins en compétences pour relever les infrastructures de l'énergie électrique nécessaires au redressement de l'économie nationale. Cette école faisait d'ailleurs l'objet d'une convention avec l'Éducation nationale.

    Les jeunes gens de 16 ou 17 ans étaient recrutés au sortir de 3e ou d'une classe de Certificat d'aptitude professionnelle (CAP), par voie de concours et suivaient une formation technique intensive et accélérée sur 12 ou 18 mois.

    Cette formation de base était accompagnée d'un style de fonctionnement assez révolutionnaire pour l'époque, l'autodiscipline. Il y avait un système de démocratie interne, avec élections des responsables choisis parmi les élèves ayant déjà passé leurs premiers six mois dans l'école.

    L'école de métiers de Gurcy-le-Châtel a évolué au rythme de l'évolution d'EDF. Partant de la prépondérance de la formation dans les métiers de la distribution et de la production d'électricité hydraulique elle a évolué vers les métiers de la production thermique (charbon et fuel), puis de l'énergie nucléaire.

    Cette évolution s'est traduite également dans un changement du profil de ceux qui venaient apprendre et se perfectionner. Ce furent d'abord des jeunes issus de l'enseignement technique de base, puis des jeunes ayant un plus grand potentiel d'évolution pour devenir rapidement des techniciens, ce fut aussi, un temps en parallèle pour devenir complètement, un centre de perfectionnement pour des agents EDF en poste.

    Gurcy est aussi devenu un centre mondial d'activités de coopération technique et pédagogique avec des actions sur tous les continents, ce centre était dénommé Centre d'études et d'applications pédagogiques. On peut aussi citer les actions très spécifiques, formation et perfectionnement des enseignants, une sorte d'IUFM EDF en quelque sorte, et les formations aux travaux sous tension, techniques enviées par les professionnels du monde entier.

    Fin des années 1990, l'activité a fortement décru pour cesser définitivement à l'automne 2004.

    Racheté par le Service départemental d'incendie et de secours de Seine-et-Marne, il connait une deuxième vie comme centre de formation départemental des sapeurs-pompiers, qui nécessite la réalisation de travaux d'envergure.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    Le nombre de ménages fiscaux en 2016 était de 207 représentant 560 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 22 721 [28].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 131, occupant 266 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 71,1 % contre un taux de chômage de 6,7 %. Les 22,2 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 11,3 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 7,9 % de retraités ou préretraités et 2,9 % pour les autres inactifs[43].

    Entreprises et commerces

    En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 28 dont 5 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 3 dans la construction, 6 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 1 dans l’Information et communication, 2 dans les activités financières et d'assurance, 6 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 1 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 4 étaient relatifs aux autres activités de services[44].

    En 2019, 2 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 1 individuelle.

    Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[45].

    Agriculture

    Gurcy-le-Châtel est dans la petite région agricole dénommée le « Montois », une petite région à l'est du département, en limite sud de la Brie[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 8] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[46].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[47]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 6 en 1988 à 4 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 103 ha en 1988 à 149 ha en 2010[46]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Gurcy-le-Châtel, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Gurcy-le-Châtel entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[46],[Note 9]
    Nombre d’exploitations (u) 6 6 4
    Travail (UTA) 13 10 6
    Surface agricole utilisée (ha) 615 623 596
    Cultures[48]
    Terres labourables (ha) 587 598 576
    Céréales (ha) 454 401 368
    dont blé tendre (ha) 247 274 215
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 149 34 s
    Tournesol (ha) 43
    Colza et navette (ha) 43 81 82
    Élevage[46]
    Cheptel (UGBTA[Note 10]) 60 27 16

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Jacques-le-Majeur.
    Le château.
    Lavoir de Chalautre-la-Reposte.

    À Gurcy-le-Châtel

    • Les vestiges de l'ancienne église Saint-Jacques-le-Majeur (XIIIe siècle), IMH en 1931.
    • La nouvelle église Saint-Jacques-le-Majeur (XIXe siècle).
    • La fontaine de dévotion Saint-Jacques, qui sourd sous une voûte médiévale.
    • Le château du XIXe siècle rebâti par le comte d'Haussonville, à l'emplacement du château XVe siècle qu'il fit démolir en 1840-1841.

    À Chalautre-la-Reposte

    • L'église Saint-Pancrace.
    • Les ruines du château féodal de la Motte.
    • Le lavoir récemment restauré.

    Personnalités liées à la commune

    Dans le domaine du sport, Gurcy a notamment été une pépinière rugbystique tant pour le Racing que pour l'Équipe de France. De grands noms s'y sont croisés comme ceux de Michel Crauste et François Moncla.

    Ses équipes sportives étaient aussi réputées dans les domaines de l'athlétisme, du football, du handball, du judo, de l'escrime…

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Le réservoir de Montsouris reçoit les eaux de la Vanne, du Loing et du Lunain, puis celles de la Voulzie, du Durteint et du Dragon.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    6. Professeur agrégé des Universités. - Docteur d'état ès lettres. - Spécialiste de la langue et de la culture gauloises.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    8. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    9. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    10. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Gurcy-le-Châtel - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. distances en orthodromie
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de Champabon (F2412000) » (consulté le ).
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Cours d'eau 01 de Becherelles (F2411000) » (consulté le ).
    4. 77223 Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 7 mars 2019
    5. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    6. « SAGE Bassée Voulzie - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
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    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
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    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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