Gréalou

Gréalou est une commune française située dans le département du Lot, en région Occitanie.

Gréalou

Gréalou - place de l'église.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Figeac
Intercommunalité Communauté de communes Grand-Figeac
Maire
Mandat
Michel Vedrune
2020-2026
Code postal 46160
Code commune 46129
Démographie
Gentilé Gréalois(e)
Population
municipale
286 hab. (2018 )
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 32′ 15″ nord, 1° 53′ 18″ est
Altitude Min. 197 m
Max. 402 m
Superficie 17,5 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Figeac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Causse et Vallées
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Gréalou
Géolocalisation sur la carte : Lot
Gréalou
Géolocalisation sur la carte : France
Gréalou
Géolocalisation sur la carte : France
Gréalou

    Géographie

    Commune située dans le Quercy, sur le causse de Saint-Chels. Gréalou fait partie du parc naturel régional des Causses du Quercy.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Gréalou[1]
    Brengues Béduer
    Saint-Chels Carayac
    Cajarc Cadrieu Montbrun

    Pèlerinage de Compostelle

    Sur la via Podiensis du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. On vient de Béduer, la prochaine commune est Cajarc et sa chapelle Sainte-Marguerite.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 985 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villeneuve », sur la commune de Villeneuve, mise en service en 1984[7]et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 941,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 46 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[13].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].

    La commune fait partie du parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[16]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[17],[18]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination « géoparc des causses du Quercy », faisant dès lors partie du réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[19],[20].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[21] : les « combe de Bazos, bois de Mars, Camp du Verdier et pech de Fourès » (590 ha), couvrant 4 communes du département[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Gréalou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[23],[24],[25].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Figeac, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[26],[27].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (87,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (87,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (55,3 %), forêts (32,5 %), zones agricoles hétérogènes (10,4 %), zones urbanisées (1,4 %), prairies (0,3 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom Gréalou est dérivé du germanique griot, greot ou grés. Ces mots désignent sur le causse un lieu dont le sol pauvre est constitué de peu de terre et de petits cailloux[29].

    Il pourrait aussi venir du mot occitan "gréal" désignant des grillons.

    Histoire

    Le village a connu une histoire mouvementée, ayant été rasé pendant la guerre de Cent Ans par les Anglais[30], et le château pillé en 1791 pendant la Révolution.

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981  ? Alain Masbou    
    1988 1989 René Francoual    
    1989 1995 Lucien Lafferrairie    
    1995 2001 René Francoual    
    2008 Gabriel Pégourié    
    2014 Christian Agrech[31]    
    2014 En cours Valérie Vedrune    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34]. En 2018, la commune comptait 286 habitants[Note 6], en augmentation de 7,52 % par rapport à 2013 (Lot : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    528514564599659557535604605
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    570548532509542531550528480
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    485474445262238215229209165
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    190175194215201224239241243
    2013 2018 - - - - - - -
    266286-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Gréalou dispose d'une école primaire rassemblant une école maternelle et une école élémentaire[37].

    Vie associative

    La commune de Gréalou compte de nombreuses associations (APE, association de chasse St Hubert, comité de gestion, football club, comité des fêtes). Chacune de ces associations organisent dans l'année des événements qui connaissent de grands succès, notamment la traditionnelle fête votive organisée par le Comité des fêtes qui se déroule autour du 15 août.

    Sports

    Le FC Gréalou est un club de football qui évolue en deuxième division du district du Lot.

    Économie

    Commerce de proximité

    Depuis mai 2019, la commune dispose d'un commerce de proximité.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L’église romane Notre-Dame-de-l'Assomption, très typique de cette région, sur sa place ombragée de platanes, possède une Vierge de Pitié, et un groupe en pierre polychrome du début du XVIe siècle. Bénitier historié en pierre de 1684. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1959[38]. Plusieurs objets sont référencer dans la base Palissy[38].

    Mégalithisme

    La commune comporte de nombreux monuments mégalithiques (dolmens et menhirs).

    • Dolmens de Pech Laglayre :
    • Dolmen du Chenil : la table a disparu mais les deux orthostates latérales assez dégradées sont encore en place ; la chambre sépulcrale mesure 2 mètres de long sur 0,70 mètre de large.
    • Dolmen des Vandourgues (appelé aussi Dolmen du Mas-Mondieu) : le dolmen a échappé à une destruction totale il y a quelques années.
    • Dolmen de Trégodinas : le dolmen est quasiment détruit, il n'en reste qu'une dalle ; le tumulus mesure 16 mètres de diamètre pour 1,10 mètre de haut[39].
    • Dolmens et menhir du Verdier : 3 dolmens sont recensés sur le lieu-dit du Verdier. Le dolmen no 1 est un dolmen double, les dolmens 2 et 3 sont distants d'environ 1 kilomètre. Le menhir du Verdier est une dalle de calcaire de 2,60 mètres de haut retaillée en forme de monolithe rectangulaire et réutilisé en pilier de soutènement dans une grange (son authenticité est sujette à caution).
    • Menhir du Cayre : c'est un monolithe de 2,70 mètres de haut du même type que celui du Verdier et dont l'authenticité pose les mêmes questions.
    • Dolmen de Ganil : il a conservé son tumulus haut de plus de 2 mètres, sa longue table (5,25 mètres) est fracturée mais demeurée en place.  Inscrit MH (2011) Notice no PA46000049 44° 32′ 07″ N, 1° 54′ 12″ E
    • Dolmen de la Combe de l'Ours (appelé aussi Dolmen des Aguals) : Le dolmen de la Combe-de-l'Ours, est situé aux confins des communes de Gréalou et de Montbrun.  Inscrit MH (2001) Notice no PA46000021 44° 31′ 44″ N, 1° 53′ 40″ E

    Personnalités liées à la commune

    Equipements culturels

    Gréalou propose à ses habitants un service de prêt de livre au sein d'une bibliothèque municipale[40].

    Héraldique

    Blason
    De sinople au chêne d'or accompagné en chef de deux coquilles du même et au loup de sable brochant sur le fût de l'arbre ; au chef cousu de gueules au dolmen du lieu [de Pech Laglaire] terrassé d'argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Jean-Pierre Lagasquie, Les Dolmens du Quercy : Trois millénaires d'histoire religieuse, Capdenac-le-Haut, Finangraphic Edition, , 135 p. (EAN 9782955270196)

    Articles connexes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Villeneuve - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Gréalou et Villeneuve », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Villeneuve - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Gréalou et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    15. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    16. « Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    17. [PDF]« Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 - le rapport », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    18. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « le géoparc des Causses du Quercy », sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le )
    20. « Géoparc des Causses du Quercy - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « Liste des ZNIEFF de la commune de Gréalou », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF les « combe de Bazos, bois de Mars, Camp du Verdier et pech de Fourès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    25. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    29. Gaston Bazalgues, « Les noms des communes du Parc », Les cahiers scientifiques du Parc naturel régional des Causses du Quercy, vol. 1, , p. 115 (lire en ligne).
    30. Le repeuplement de Gréalou au XVe siècle par Louis d'Alauzier « Bulletin de la Société des études littéraires, scientifiques et artistiques du Lot » pages 103 à 109
    31. Résultats officiels des élections municipales 2008 à Gréalou sur le site officiel du Ministère de l'Intérieur
    32. Liste des anciens maires de 1792 à 1995 tirée de l'ouvrage "Gréalou en Quercy", par Jean Olivier
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. L'école primaire de Gréalou sur le site du ministère de l'Éducation nationale
    38. « Eglise », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    39. Bruno Marc fait remarquer que le nom de Trégonidas est inhabituel en occitan et qu'il existe par ailleurs dans le Quercy trois autres dolmens se situant à proximité de lieux-dits portant le même nom.
    40. Informations sur la bibliothèque de Gréalou sur le site de l'espace public multimédia du Lot

    Liens externes

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