Béduer

Béduer est une commune française, située dans le département du Lot en région Occitanie.

Béduer

Église de Béduer.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Figeac
Intercommunalité Communauté de communes Grand-Figeac
Maire
Mandat
Benoît Normand
2020-2026
Code postal 46100
Code commune 46021
Démographie
Population
municipale
709 hab. (2018 )
Densité 29 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 34′ 54″ nord, 1° 57′ 01″ est
Altitude Min. 176 m
Max. 405 m
Superficie 24,78 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Figeac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Figeac-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Béduer
Géolocalisation sur la carte : Lot
Béduer
Géolocalisation sur la carte : France
Béduer
Géolocalisation sur la carte : France
Béduer

    Les habitants de Béduer s'appellent les Béduérois et les Béduéroises.

    Géographie

    Bastide de l'aire urbaine de Figeac située dans le Quercy, sur le Célé.

    Communes limitrophes

    Géologie

    Le relief de la commune de Béduer est mamelonné. Il présente, le long du Célé, une plaine d'alluvions fertile ; viennent ensuite des coteaux à l'exposition du nord, recouverts d'une couche argilo-marneuse où la végétation est des plus actives ; on y rencontre de nombreux fossiles calcaires, particulièrement des bélemites.

    L'argile domine aux environs du bourg, sur les plateaux qui s'étendent au sud vers Faycelles et Frontenac.

    Toute la partie du sud-ouest, de l'ouest et du nord-ouest, qui représente les deux tiers de la commune, est essentiellement calcaire et rocailleuse. Cette zone est également très boisée.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 11,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 955 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villeneuve », sur la commune de Villeneuve, mise en service en 1984[7]et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 941,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rodez-Aveyron », sur la commune de Salles-la-Source, dans le département de l'Aveyron, mise en service en 1972 et à 48 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 10,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[14] : le « puech boisé de Pierre Grosse » (401 ha), couvrant 4 communes du département[15] et la « rivière Célé » (1 383 ha), couvrant 15 communes du département[16] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[14] : la « basse vallée du Célé » (4 063 ha), couvrant 15 communes du département[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Béduer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[18],[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Figeac, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (56,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,6 %), prairies (31,3 %), zones agricoles hétérogènes (16,8 %), terres arables (3,9 %), zones urbanisées (3,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Pour Gaston Bazalgues, le toponyme Béduer est d'explication difficile avec une préférence pour une origine pré-celtique[24] :

    Histoire

    Le château de Béduer.

    Un habitat préhistorique est mentionné à Peyrelevade, au lieu-dit Pecharual dans les confronts de 1277. Le Néolithique est marqué par la présence de plusieurs dolmens encore visibles sur la commune. Aujourd'hui, on trouve des traces d'habitat gallo-romain (tegulae) au lieu-dit : Saint Pierre, près du gué de la voie romaine qui permettait le franchissement du Célé.

    Au Moyen Âge, la communauté de Béduer avait deux paroisses, toutes deux mentionnées dans le testament de Sibylle de Panat, veuve d'Arnaud II Barasc (1268) : Saint-Étienne et Saint-Pierre. La paroisse de Saint-Etienne comprenait 250 communiants vers 1761. L'église de cette paroisse n'existe plus : elle se trouvait située non loin du Célé, près du hameau de Bedigas. La paroisse de Saint-Pierre serait finalement devenue la paroisse principale de Béduer.

    Ancienne possession de la famille de Barasc (XIe - XVIe), puis de Narbonnès, et enfin de Lostanges (XVIIe - XVIIIe), la seigneurie de Béduer domina un temps tout le territoire entre Lot et Célé et rivalisa avec l'abbaye de Figeac. La famille de Lostanges est originaire de la commune du même nom en Corrèze.

    La dynastie Barasc

    Dieudonné Ier (ou Dorde Ier?), fut l'un des fondateurs de la dynastie Barasc. Il mourut en terre sainte en 1085.

    En 1286, Déodat de Barasc, seigneur de Montbrun, créa à Lissac un prieuré de religieuses cisterciennes dont les seigneurs de Béduer furent patrons jusqu'à la Révolution.

    Pendant la guerre de Cent Ans, le seigneur de Barasc reprend aux Anglais le château de Saint-Cirq. La guerre de Cent Ans laisse la région exsangue ; cependant, protégé par le château, Béduer sera moins atteint que d'autres villages du Quercy.

    Afin de repeupler et dynamiser le village après cette période, on fit venir des régions voisines : Rouergue, Auvergne, Limousin des paysans moyennant des " franchises " (avantages en nature)

    Le dernier Barasc, Déodat VIII mourut en combattant les protestants en 1552.

    La transition des Narbonnès

    En 1562, les protestants (C. de Cornely) s'emparent du château de Béduer.

    En 1569, le comte de Montgomery pille et ravage la région. Le château au est repris par les catholiques (capitaine Roques) en 1577.

    Le château fut vendu à J. de Narbonnès en 1594. Sa femme en devint la propriétaire à la mort de celui-ci. Elle se remaria en 1604 avec Louis François de Lostanges qui devint son légataire universel et en hérita en 1608.

    La famille de Lostanges

    Les Lostanges furent des militaires peu présents à Béduer.

    Le seigneur du village n'est plus alors le maître absolu, car les mœurs et les mentalités ont évolué.

    La Révolution ne provoquera pas de heurts spectaculaires à Béduer, même si les pauvres gens ont de plus en plus de mal à s'acquitter de leurs charges.

    La famille de Lostanges, originaire de la petite commune qui porte le même nom en Corrèze, voit sa fortune diminuer ; le château est finalement vendu en 1874 puis à nouveau en 1886.

    Époque contemporaine

    Le XIXe siècle fut une période faste et prospère pour Béduer. La population s'élevait à 1 500 habitants au milieu du XIXe siècle.

    L'agriculture permet une existence quasi autarcique. Dans la deuxième moitié du XIXe, la surpopulation rurale entraîne les premiers exodes des plus pauvres vers les grands travaux et les bassins industriels (constructions des routes, chemin de fer, mines).

    Le phylloxera (fin XIXe) accentue le dépeuplement de la commune. La grande guerre emporte, comme ailleurs, de nombreux jeunes gens à la fleur de l'âge.

    Après la deuxième guerre mondiale, la vie s'accélère : la mécanisation se généralise, les exploitations agricoles se concentrent. Le village de Béduer devient un centre d'habitation préservé pour des salariés de Figeac ainsi qu'un lieu de villégiature appréciée en vue de la retraite.

    Héraldique

    Blason
    D'or aux trois fasces d'azur, au franc-canton d'argent, chargé d'un château de trois tours de gueules.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Le pèlerinage de Compostelle

    Sur la via Podiensis du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, les randonneurs et les pèlerins arrivent de Figeac par le GR 65. Arrivé au lieu dit Mas de la Croix de Béduer, deux variantes s'offrent à eux :

    • Certains jacquets rejoignent Gréalou et son église, Notre-Dame-de l'Assomption, et atteignent les rives du Lot à Cajarc. C'est peu ou prou l'itinéraire du chemin de grande randonnée actuel GR 65.
    • D’autres suivent le cours du Célé jusqu’à sa confluence avec le Lot, et passaient par Espagnac-Sainte-Eulalie et son couvent. C'est l'itinéraire par la variante du chemin de grande randonnée actuel GR 651.

    Politique et administration

    La mairie de Béduer.
    Liste des maires successifs[25]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1793 1795 Jean Laborie    
    1795 1797 Bourdes    
    1797 1798 Pierre Augme    
    1798 1801 Balthazar Longpuech    
    1801 1802 Toussaint Maurandy    
    1802 1810 René Desplas    
    1810 1814 Jean-françois Debons    
    1814 1825 Pierre Delfour    
    1826 1830 Nicolas Mauranges    
    1831 1835 Louis Vaysse    
    1835 1848 Jean Cavarroc    
    04.1848 10.1848 Louis Vaysse    
    1848 1852 David Pierre Daynac    
    1852 1860 Antoine Gautie    
    1860 1871 Pierre Capus    
    1871 1884 Emile Pezet    
    1884 1888 François Frejaville    
    1888 1902 Vaysse    
    1944 1965 Jean Pélissié    
    03.1965 03.1971 Emile Gilbert Soursou    
    1971 1983 Jean Capus    
    1983 2001 Jean Hirondelle    
    2001 2008 Gabriel Soursou    
    03.2008   Jean Hirondelle    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

    En 2018, la commune comptait 709 habitants[Note 7], en diminution de 5,21 % par rapport à 2013 (Lot : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1591 4061 0131 2751 3541 4461 4591 5111 397
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3131 3721 1621 1411 0931 1211 1121 1231 032
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    832750680594574508510510460
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    419426454516596623708720745
    2017 2018 - - - - - - -
    720709-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Perché sur un coteau, il subsiste du château des Barasc un donjon et une tour très restaurés. Ce château d'architecture romane du XIIe siècle, appartint à la famille de Barasc dont un membre, Géraud V Barasc, fut évêque de Cahors de 1236 à 1250. Puis le château fut propriété de la famille de Lostanges.

    • Jean Clottes a recensé plus d'une dizaine de dolmens simples sur le territoire de la commune : dolmens de Combes-Salgues, de Leï-Barto, de Martignes, des Baillères, de Sabin, des Garrigues, des Justices (3 dolmens), du Cloup de Coutze, du Mas-Perdut, du Pech de la Roussille[30].

    Personnalités liées à la commune

    Sources

    • Lartigaut (Jean), 1989, « Les paroisses dans la châtellenie de Béduer », Bulletin de la Société des Etudes du Lot, CX, p. 247
    • Champeval (J.-B.), 1890, « Franchises de Béduer en Haut-Quercy », Bulletin de la Société des Etudes du Lot, XV, p. 76, 160, 216
    • Albe (Edmond), Monographies, Archives diocésaines de Cahors & quercy.net
    • Lefavrais-Raymond (A.) Laporte (D.), Histoire de Béduer en Quercy

    Voir aussi

    Articles connexes

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Villeneuve - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Béduer et Villeneuve », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Villeneuve - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Béduer et Salles-la-Source », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rodez-Aveyron - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rodez-Aveyron - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rodez-Aveyron - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Liste des ZNIEFF de la commune de Béduer », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF le « puech boisé de Pierre Grosse » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « ZNIEFF la « rivière Célé » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « ZNIEFF la « basse vallée du Célé » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 106.
    25. « Les maires de Béduer », sur Site francegenweb, (consulté le ).
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. Jean Clottes, Inventaire des mégalithes de la France, 5- Lot, CNRS, , 552 p. (ISBN 978-2222019459), p 53-57.
    31. Quercy Recherche, 91 (octobre-décembre 1997), p. 50-57
    32. L'Esprit en fête de Michel David-Weill, Michel Lafon, 2007

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Liens externes

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