Faits économiques et sociaux au XIIIe siècle

Événements

  • Vers 1200 :
  • 1185-1333 : époque de Kamakura au Japon ; le clan des Minamoto développe le commerce avec la Chine grâce à son port de Kamakura.
  • 1215-1216 : selon le chroniqueur algérien Al Maqqari (mort en 1632), trois mille marchands latins auraient touché Alexandrie pour l’année 612 de l'hégire[2].
  • Vers 1240 :
    • les Mongols utilisent le papier monnaie.
    • au Tibet, des morceaux de sel aux armes de l'empereur sont utilisés comme monnaie[3].
  • Vers 1260 :
    • au Japon, le bakufu envoie de l’or en Chine pour acheter des pièces de cuivre (sapèques) qui deviennent monnaie légale pour le paiement de l’impôt au Japon. Par cette importation massive de monnaie chinoise, le régime de Kamakura connaît une ère inflationniste jusqu’en 1300.
    • le service postal de l'empire mongol devient une institution régulière[4].
  • 1273-1285 : aridité exceptionnelle dans le Sud-ouest de l'Amérique du Nord[5].
  • Vers 1270 :
  • Vers 1280 : Kubilai Khan fait améliorer le réseau routier en Chine et en Mongolie. Il fait réparer les routes abîmées pendant les guerres. Des arbres bordent les chaussées. Il fait construire des caravansérails et des relais dans lesquels 200 000 chevaux sont à la disposition des messagers. Pour ravitailler Pékin, il fait rétablir et prolonger vers le nord le canal impérial reliant la ville avec la mer[6]. Il rétablit le système des greniers d’abondance pour parer aux famines.
  • Vers 1290 :
    • la Chine compte 59 millions d’habitants.
    • sous les règnes de Qala'ûn et de son fils Khalil, l’Égypte connaît un nouvel essor économique. Jusqu’en 1382, la vie commerciale du royaume mamelouk s’étend de l’Europe occidentale à l’Extrême-Orient et du Caucase à l’Afrique occidentale.
    • en Égypte, excepté les terres réservées au souverain et à ses Mamelouks royaux, la totalité des terres cultivables sont concédées en iqtâ aux émirs, à leurs Mamelouks et à la cavalerie non mamelouk (ajnâd al-halqa). Le Trésor fait procéder à une redistribution des iqtâ dont une bonne partie avait été indûment annexée par certains émirs.
    • abandon des terres et diminution de la production en Égypte : le Trésor, qui encaisse 10 800 000 dinars de kharâdj (impôt foncier) en 1298 n’en perçoit plus que 9 428 000 en 1315 et 1 800 000 en 1520.

Europe

  • Entre 72 et 75 millions d’habitants en Europe et entre 20 et 22 millions en France vers la fin du XIIIe siècle.
  • Le XIIIe siècle est marqué en Bohême par un net accroissement de la population. Concentrée jusque-là dans le bassin de l'Elbe (Polabí), très favorable à l’agriculture, elle défriche intensément les montagnes du quadrilatère de Bohême. C’est surtout l’œuvre de colons allemands venus de Thuringe, de Souabe, de Saxe ou d’Autriche. Des villages sont créés par des contrats écrits entre les seigneurs et les colons, garantissant à ces derniers le droit héréditaire sur leurs terres. Dirigés par le colon le plus riche (rychter ou šule), ils développent en plaine l’assolement triennal pratiqué par les Germains, mais l’exploitation minière constitue la richesse essentielle.
  • Foire de Skanör (Scanie), dès le début du XIIIe siècle. Elle se tient au moment où d’énormes bancs de harengs migrent d’une mer à l’autre. Les Lübeckois apportent et vendent le sel de Lunebourg pour la conservation des poissons, qui s’exportent dans les pays du Sud. Ils sont rejoints par d’autres marchands allemands, puis par des Anglais et Néerlandais qui commencent à doubler la pointe de Skagen (Umlandsfahrer, « cirumnavigatores ») à partir du milieu du siècle. Outre les harengs et le sel, la foire permet l’échange d’autres produits : fer de Stockholm, bière de Lübeck, articles d’emballage, cordes, tonneaux, étoffes des Pays-Bas et autres produits manufacturés.
  • 1150-1250 : apogée de l’activité des foires de Champagne : favorisées par leur situation à la rencontre des routes de Flandre et d’Italie, les foires de Champagne deviennent le centre des échanges internationaux de produits (draps) et de finance. Elles déclinent après 1300[7].
  • De 1199 à 1483 : 2800 chartes octroyant le privilège de tenir des marchés à dates fixes sont concédées à des villes en Angleterre[8].
  • Vers 1200 :
    • l'utilisation systématique de la charrue à soc de fer tirée par un important attelage augmente le rendement du sol en Europe du Nord.
    • la masse paysanne en France est en majorité composée de serfs, embrigadés dans le cadre de la seigneurie et uniformément astreints à trois charges spécifiques : le chevage, le formariage et la mainmorte. Au cours du XIIIe siècle, le progrès économique conduit les maîtres à accorder des affranchissements individuels ou collectifs, de sorte que le servage devient le lot des plus démunis, mais leur offre un privilège de protection et de non expulsion du seigneur.
    • apparition des villages forestiers (Waldhufendorf) dans les régions alpines à partir de 1200. Ils s’étendent le long d’une route avec des champs perpendiculaires à celle-ci. La main-d’œuvre est fournie par des paysans serfs à qui des chartes de colonisation offrent des conditions plus avantageuses.
    • des fabriques de soie s'ouvrent à Venise et dans toute l'Italie du Nord.
  • 1200-1258 : Très ancien coutumier (1200-1245) et Summa de legibus Normanniae in curia laicali (1235-1258), transcriptions du droit coutumier en Normandie.
  • Après 1204 :
    • les Italiens tiennent l’économie de l'Empire byzantin en tutelle : Pise et Gênes concentrent leurs activités sur Constantinople et quelques comptoirs de Grèce (Almyros, Thessalonique, Thèbes) et continuent à payer les 4 % de droits de douane. Venise est partout : Épire, Macédoine, Grèce, Thessalie, Thrace, Asie Mineure, îles Ioniennes et égéennes. Seule la Mer Noire lui échappe. Trois fois par an, des convois de galées sous escorte, les mudae, quittent Venise pour l’Empire. Dans l’empire vénitien en Orient, la Commune est par principe propriétaire de toutes les terres. Les anciens démosiaires byzantins, devenus les « vilains de la Commune », conservent leur statut. Les vilains seigneuriaux, par contre, ont pratiquement un statut de serf. L’atmosphère dans les campagnes crétoise devient rapidement explosive (fuite, criminalité, brigandage, révoltes ouvertes).
    • la mer Noire est ouverte au commerce occidental. Kiev décline après le sac de Constantinople par les croisés. Une partie des habitants de Kiev migre vers le nord. Novgorod, ainsi renforcée, devient une principauté au commerce florissant tourné vers la mer Baltique, siège au XIIIe siècle d’un grand comptoir de la ligue hanséatique.
  • 1215 :
    • les barons anglais obtiennent du roi la Grande Charte qui garantit les droits féodaux, les libertés des villes contre l’arbitraire royal et institue le contrôle de l’impôt par le Grand conseil du royaume[9].
    • le quatrième concile du Latran défini les modalités de la contribution du clergé à la croisade , soit un vingtième pour cinq ans à partir de 1215, plus tard un dixième (décimes). L’argent recueilli est envoyé au légat en Terre sainte pour qu’il le distribue aux croisés[10].
  • 1230 à 1290 : étés secs en Europe.
  • 1230-1250 : ralentissement des défrichements dans le Bassin parisien.
  • Vers 1230 :
  • 1235 :
  • Vers 1240 : les Hanséates obtiennent une lettre de privilège à Bergen. Ils y achètent de la morue séchée, de l’huile de poisson, du beurre et des peaux, et vendent aux Norvégiens des céréales et de la farine. En ce temps où la population s’accroît, les paysans se tournent vers l’élevage, plus rémunérateur. Les Norvégiens deviennent dépendant des Hanséates qui ont le monopole du transport des céréales entre l’Allemagne, puis la Pologne et la Norvège. Premiers épisodes de la lutte menée par les rois de Norvège contre les empiètements de la Hanse.
  • 1243-1280 : le riche marchand drapier Jehan Boinebroke est près de dix fois échevin de Douai. Donneur d'ouvrage , il personnifie selon Georges Espinas le « commerçant-capitaliste » qui dynamise à cette époque par son énergie et son entregent l’industrie drapière de sa cité. Il est connu par une « réparation testamentaire » où se trouvent relevées toutes les exactions qu'il a commises de son vivant et les témoignages de 45 plaignants[15].
  • 1245-1320 : soulèvements ouvriers en Flandre. La première grève ouvrière dans le textile éclate à Douai takehan ») en 1245. Ces conflits deviennent fréquent après 1274, quand les tisserands et les foulons de Gand quittent la ville en masse pour se retirer en Brabant où les échevinages refusent de les recevoir[16]. En 1280, les artisans de Ypres (été) Bruges (septembre), Douai (octobre) descendent dans les rues en armes. Massacres et pillages sont suivis d'une dure répression et de l'exil de nombreux ouvriers vers l'Angleterre ou l'Italie. À Arras Jean Cabot anime les réclamations populaires entre 1282 et 1289. Vers 1320, les bourgeois d'Ypres demandent au roi de France de ne pas faire démolir l'enceinte intérieure de la ville qui les protège contre les gens du « commun »[17]. Ces conflits permettent aux ouvriers d'obtenir le droit d'élire leurs représentants[18].
  • 1250-1290 : apogée de la révolution commerciale en Europe médiévale. Les cités italiennes créent un vaste empire commercial, de l’Angleterre à la mer Noire, des oasis du Sahara jusqu’au cœur de l’Asie.
  • 1250-1270 : apogée de la création des bastides dans le Sud-Ouest de la France.
  • Vers 1250 :
    • fin des grands défrichements sur le territoire de la France.
    • première utilisation avérée de l'assolement triennal dans le Nord de la France.
    • activité du commerce anglais de la laine.
    • rédaction des Lois et coutumes des Anglais par Henry de Bracton (common law).
    • opérations de banque : les Génois avancent plus de 100 000 livres tournois à Louis IX lors de sa croisade, que le roi paye par mandats sur son trésor à Paris. Les mandats envoyés à Gênes sont remis à une compagnie de Plaisance qui, par l’intermédiaire de ses représentants aux foires de Champagne, les recouvre à Paris. Les Placentins payent immédiatement les Génois au reçu du mandat : c’est le premier exemple d’escompte connu. Au change s’ajoute le bénéfice du prêt, et les Génois gagnent près de 20 % à ces opérations.
    • agitation dans les métiers parisiens[19].
    • plusieurs monastères d’Île-de-France libèrent leurs serfs contre l’octroi d’une franchise payée en argent, de nouvelles constructions et le versement de décimes pour la croisade, ayant mis à mal leurs réserves financières[20].
    • le système de la possession héréditaire des titres semble ne pas avoir existé en Scandinavie. Le bénéficiaire d’un fief (län) l’est à titre personnel en liaison avec l’exercice d’une fonction. Les princes de la famille royale se voient confier d’importantes provinces, afin de combler les désirs des branches royales écartées du trône (fyrstelän). Les charges liées à certaines fonctions sont compensées par la détention d’un fief : les intendants, ou « baillis » (norrois fóguti, danois foged, suédois fut), les commandants de places ou des districts militaires (danois hovedsmand, suédois hövitsman), les chefs de circonscription juridique et administratives (lagmän), les préfets administrant une circonscription territoriale (suédois häradshövding). Ces chefs territoriaux ne sont pas forcément issus de l’aristocratie. Ils sont installés dans des demeures fortifiées et servent les intérêts du roi dans leur circonscription. Certain fiefs sont donnés en gage contre un prêt en argent (suédois pantlän, « fief-gage »). D’autres rétribuent totalement le service demandé (tjänstelän, « fief de fonction »). Parfois les bénéficiaires doivent rendre des comptes au suzerain (räkenskapslän). La Scandinavie a adopté également la chevalerie (riddari, chevalier). On distingue les nobles issus des grandes familles, les stormœnd optimi viri ») des landmœnd gentilshommes »), qui souvent ne se distinguent des plus gros propriétaires terriens (storbœnder) que par leur exemption d’impôt.
  • 1251 : le bateau Paradisus Magnus (Le Grand Paradis) est capable de transporter 200 passagers et près de 250 tonnes de marchandises de Gênes à Tunis[21].
  • 1256-1265 : dans les Siete Partidas, Alphonse X de Castille tente d’empêcher les Juifs d’être courtiers de grands négoces, collecteurs des finances (ils le sont tous et partout), de tenir des boutiques de denrées alimentaires que fréquentent les Chrétiens, d’ouvrir leurs ateliers et négoces le dimanche. On leur interdit de porter des objets et tissus de luxes et on les oblige à assister à certains offices religieux et d’écouter les sermons des frères dominicains dans les églises. Le plus souvent, ces contraintes officielles restent lettre morte.
  • Années 1260-1270 : ralentissement de la croissance économique en Europe[22].
  • 1263-1266 : ordonnances monétaires en France : imposition de l’unique monnaie royale dans le domaine, création du « gros tournois », premiers écus d'or[23].
  • Vers 1260 :
    • destruction du vignoble du bassin parisien[24].
    • la couronne de Castille est le plus vaste état de la péninsule ibérique, avec trois millions d’habitants.
    • dépréciation de l’hyperpère byzantin (monnaie d’or) qui passe de 24 à 9 carats.
    • réapparition à Constantinople d’un haut enseignement privé dominé par Georges Acropolite et Grégoire de Chypre.
    • Russie : Saraï devient jusqu’à sa destruction en 1395 un centre commercial important reliant les routes entre l’Orient et l’Occident. Des commerçants vénitiens et génois viennent y acheter des fourrures venues du Nord ainsi que des esclaves kiptchak qu’ils revendent aux Mamelouks d’Égypte.
  • Vers 1268 : Étienne Boileau, le prévôt de Paris fait rédiger les coutumes et règlements d'une centaine de métiers, Le Livre des Métiers.
  • 1270-1312 : début d'une période de climat sec en Angleterre.
  • 1272-1294 : les Riccardi, banquiers italiens, avancent 400 000 livres aux Plantagenêts[25].
  • 1275-1300 : ralentissement de l’essor démographique en Occident : la proportion des familles picardes ayant plus de deux garçons tombe de 43 % en 1200-1225 à 34 % en 1275-1300.
  • 1275 : création de la compagnie florentine des Peruzzi, société commerciale à succursales (Londres, Pise, Naples, Avignon, Bruges, Chypre, etc.) active de 1275 à 1343[26].
  • Entre 1276 et 1285 : des Juifs séfarades obtiennent de hautes charges en Aragon : Jeuda de la Caballeria est gouverneur de Saragosse et de Valence, Benvenist de la Caballeria est collecteur des douanes du royaume d’Aragon, Mossé de Portella est bayle de Morella, Peníscola, Sagonte, Segorbe et Tarazona, Mossé Al-Constantini est bayle de Saragosse puis de Valence en 1280-1282[27].
  • 1279-1280 : nouveau recensement de tous les domaines et des revenus de tous les seigneurs du royaume d'Angleterre (Hundred Rolls) : 46 % des paysans anglais ne disposent plus que d’une exploitation égale où inférieure à six hectares. Dès la fin du XIIIe siècle, 36 % des paysans anglais disposent à peine du minimum vital nécessaire à entretenir leur famille (4 à 5 ha).
  • Vers 1280 :
  • Dans les Balkans, à la fin du XIIIe siècle, en pays slaves et en Albanie, les guerres locales et l’avidité seigneuriale découragent paysans et citadins qui commencent à passer l’Adriatique pour tenter leur chance. Le mouvement s’accentue après la Peste noire, encouragé par les souverains italiens.
  • Le texte d’un édit du roi de Suède Magnus Eriksson donne à penser qu’il n’existe pratiquement plus d’esclaves en Scandinavie vers la fin du XIIIe siècle.

Articles connexes

Notes et références

  1. Isabelle Catteddu, Quoi de neuf au Moyen Age ?, DLM, (ISBN 978-2-7324-8224-8, présentation en ligne)
  2. Wilhelm von Heyd, Histoire du commerce du Levant au Moyen-Âge, O. Harrassowitz, (présentation en ligne)
  3. Jean Pierre Guillaume Pauthier, Le livre de Marco Polo : citoyen de Venise, conseiller privé et commissaire impériale de Khoubilaï Khaân; rédigé en français sous sa dictée en 1298 par Rusticien de Pise; publié pour la première fois d'après trois manuscrits inédits de la Bibliothèque impériale de Paris, présentant la rédaction primitive du livre, revue par Marc Pol lui-même et donnée par lui, en 1307, à thiébault de Cépoy, accompagnée des variantes, de l'explication des mots hors d'usage et de commentaires géographiques et historiques, tirés des écrivains orientaux, principalement chinois, avec une carte générale de l'Asie, Firmin Didot frères, fils et cie, (lire en ligne)
  4. (en) James Delgado, Khubilai Khan's Lost Fleet, D&M Publishers Incorporated, , 240 p. (ISBN 978-1-55365-819-1, lire en ligne)
  5. Emmanuel Le Roy Ladurie, Histoire du climat depuis l'An mil, Flammarion, paris, 376 p p.
  6. Flora Blanchon et Centre de recherche sur l'Extrême-Orient de Paris-Sorbonne, Aller et venir : mythe et histoire, Presses Paris Sorbonne, , 227 p. (ISBN 978-2-84050-099-5, lire en ligne)
  7. Georges Minois, Histoire du Moyen Âge, Paris, EDI8, , 592 p. (ISBN 978-2-262-06673-4, présentation en ligne)
  8. (en) Joan Thirsk et John Chartres, Chapters from The Agrarian History of England and Wales : Volume 4, Agricultural Markets and Trade, 1500-1750, Cambridge University Press, , 308 p. (ISBN 978-0-521-36881-0, lire en ligne)
  9. Jean-Louis Dufays, Marie-Laurence De Keersmaeckers, Annick Detry, Interdisciplinarité en sciences humaines : Huit disciplines, cinq projets pédagogiques, De Boeck (Pédagogie et Formation), (ISBN 9782804187989, présentation en ligne)
  10. Alain Demurger, Croisades et croisés au Moyen Âge, Flammarion (ISBN 9782081255913, présentation en ligne)
  11. Assistance technique à la ville de Banská Štiavnica (Republique slovaque) : rapport établi par les experts désignés par le Conseil de l'Europe, octobre 1992, Council of Europe, , 38 p. (ISBN 978-92-871-2519-4, lire en ligne)
  12. Actes du XVe Congrès international d'études byzantines : Athènes, Septembre 1976, Association Internationale des Études Byzantines, (lire en ligne)
  13. (en) Marc Szeftel, Russian institutions and culture up to Peter the Great, Variorum Reprints, , 374 p. (ISBN 978-0-902089-80-8, lire en ligne)
  14. Béatrice Leroy, L'aventure séfarade, Flammarion, coll. « Champs » (no 253), , 222 p. (ISBN 978-2-08-081253-7, lire en ligne)
  15. Simone Roux, Le monde des villes au Moyen Âge : XIe : XVe siècle, Hachette Éducation, , 256 p. (ISBN 978-2-01-181883-6, présentation en ligne)
  16. Jean Gimpel, La Révolution industrielle au Moyen Âge, , 288 p. (ISBN 978-2-7578-6101-1, présentation en ligne)
  17. Jean-Christophe Cassard, L'âge d'or capétien (1180-1328), Belin, , 64 p. (ISBN 978-2-7011-8888-1, présentation en ligne)
  18. Gérard Noiriel, Une histoire populaire de la France : De la guerre de Cent Ans à nos jours, Agone, , 832 p. (ISBN 978-2-7489-0302-7, présentation en ligne)
  19. Émile Coornaert, Les corporations en France : avant 1789, Gallimard, (lire en ligne)
  20. Marie Anne Polo de Beaulieu, La France au Moyen âge : de l'an mil à la peste noire (1348), Les Belles Lettres, , 299 p. (ISBN 978-2-251-41019-7, lire en ligne)
  21. Jean Dufournet et Claude Lachet, La littérature française du Moyen Âge : Théâtre et poésie, Flammarion, , 620 p. (ISBN 978-2-08-071172-4, lire en ligne)
  22. Georges Jehel et al., Histoire du monde : 500-1000-1500, Nantes, Éd. Temps, , 510 p. (ISBN 978-2-84274-397-0 et 2842743970, OCLC 470955209)
  23. Gérard Sivery, Les Capétiens et l'argent au siècle de Saint Louis : essai sur l'administration et les finances royales au XIIIe siècle, Presses Univ. Septentrion, , 205 p. (ISBN 978-2-85939-482-0, lire en ligne)
  24. Roger Dion, Histoire de la vigne et du vin en France des origines au XIXe siècle, Clavreuil, (lire en ligne)
  25. (en) Charles Arnold-Baker, The Companion to British History, Routledge, , 1391 p. (ISBN 978-0-415-26016-9, lire en ligne)
  26. Frédéric Delouche, Histoire de l'Europe, De Boeck Supérieur, , 420 p. (ISBN 978-2-01-145143-9, lire en ligne).
  27. Béatrice Leroy, L'aventure séfarade, Flammarion, , 222 p. (ISBN 978-2-08-081253-7, lire en ligne)
  28. Léopold Génicot, Le XIIIe siècle européen, Presses universitaires de France, (lire en ligne)
  29. Bernard Chevalier, L'Occident de 1280 à 1492, A. Colin, (ISBN 9782200312275, présentation en ligne)
  30. Michel Mollat, Univers de la France, Privat, (lire en ligne)
  • Portail du temps
  • Portail de l’histoire
  • Portail du Moyen Âge
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.