Faits économiques et sociaux au XIVe siècle

Événements

  • 1302 : dévaluation en Égypte. Le ducat de Venise est utilisé sur les marchés d’Alexandrie comme unité de compte en 1302[1].
  • Vers 1328-1330 : en Inde, le sultan de Delhi Muhammad bin-Tughlûq fait frapper des jetons de cuivre pour remplacer l'or et l'argent, qui trop faciles à imiter, seront à l’origine de la ruine du trésor[2].
  • Vers 1330 : en Asie centrale, les grands marchés qui sillonnent la route des Indes entrent en décadence. Kaboul et Ghaznî sont en ruine (selon Ibn Battûta). Le marché de Tabriz s’appauvrit et les routes qui en partent vers Trébizonde, SivasLajazzo n’offrent plus aucune sécurité.
  • Vers 1380 :
    • la situation économique et sociale en Égypte se dégrade : au-dessus d’une population « arabe » méprisée, et d’émirs mamelouks paupérisés, grands émirs et fermier de l’impôt détiennent le pouvoir réel, qui les enrichit. Ils découragent l’initiative par leur politique de monopoles toujours plus envahissants.
    • des artisans turcs, fabricants de côtes de mailles et d’armes diverses, s’établissent en Éthiopie à l'époque de David Ier.
  • Vers 1390 : système des timars dans l’Empire ottoman : les terres de la conquête, qui sont dans leur majorité propriété de l’État (erz-i-mirie), sont redistribuées sous forme de concession, les timars : 90 % d’entre eux sont des timars d’épée attribués à des cavaliers (sipahis), le reste des timars d’office qui entretiennent les fonctionnaires civils ou religieux (kadis, évêques, etc.). Les terres ne sont pas pour autant confisquées à leurs anciens propriétaires : s’ils sont fidèles, les anciens détenteurs de bashtina ou de pronoia peuvent devenir timariotes sans même se convertir à l’Islam.


  • Japon : à la fin du XIVe siècle, les shoguns, confrontés à la nécessité d’arrêter les guerres privées, contraignent les individus à choisir entre la fonction de paysan et celle de guerrier. Les classes intermédiaires, les jizamurai, exploitants prêtant main-forte à leurs seigneurs, disparaissent.
  • L'agriculture se développe dans la vallée du Saint-Laurent.
  • La nécropole de Sanga, à l’est du Congo-Kinshasa, montre la différenciation du corps social. Avant 1300, les tombes contiennent de la céramique et des objets de métal, dont des bijoux de cuivre, extrait 300 km au Sud, à Kansashi et Kipoushi. Plus tard, elles comportent aussi des marchandises importées ; coquillages-porcelaines, perles de verre, céramiques fines, lingots de cuivre cruciformes et gongs de fer.
  • Chez les tribus Zuñi du Sud-Ouest américain, la famille élargie (en réalité des clans assez vastes) repose sur la femme dans la famille de laquelle le mari vient s’installer. Les femmes possèdent les maisons et les terres appartenant aux clans. Femmes et hommes ont un droit égal sur les biens produits et la situation de la femme est mieux assurée, puisqu’elle vit dans sa propre famille et est autorisée à « divorcer » tout en conservant ses biens.

Europe

  • Vers 1300 :
    • première bourse à Bruges au début du XIVe siècle.
    • mise en valeur de la basse vallée de l’Elbe, du delta de la Vistule et de la vallée de Netze par des colons allemands.
    • la Monnaie royale de Prague commence à frapper le denier d’argent (groš), utilisée pour le commerce extérieur. Une monnaie de cuivre de bon aloi sert pour les opérations courantes. L’économie monétaire se développe. Les paysans cessent de payer leurs redevances en nature pour s’acquitter d’une redevance en argent. Certains nobles et l’Église, avec ses biens considérables, s’enrichissent. Le commerce se développe pour importer des draps des Flandres et exporter du blé vers l’Autriche et la Bavière.
    • au début du XIVe siècle, Bordeaux exporte régulièrement 850 000 hectolitres de vin par an vers l’Europe du Nord, particulièrement l’Angleterre, où la viticulture recule durant le XIVe siècle.
  • Vers 1300-1340, le séfarade Ezmel d’Ablitas est le banquier des rois de Navarre et d’Aragon et de l’évêque de Pampelune[3].
  • 1300-1305 : les Juifs de Barcelone investissent dans le grand négoce maritime[3].
  • 1301-1382 : important développement des mines d’or, d’argent, de cuivre et de fer dans la région des Tatras (Slovaquie) pendant la dynastie d’Anjou. Le roi de Hongrie en a le monopole par l’intermédiaire de la Chambre royale minière de Kremnitz (Kremnica). Les villes comme Kaschau (Košice) ou Tyrnau (Trnava) reçoivent d’importants privilèges et sont administrées par un patriarcat allemand dominant les artisans slovaques.
  • 1302 : soulèvement de la Flandre dirigé par le tisserand Pieter de Coninck. La chevalerie française est écrasée par les tisserands de Flandre, simples fantassins, à Courtrai.
L'Apocalypse dans la Biblia pauperum enluminée à Erfurt, à l'époque de la Grande Famine de 1315-1316. La mort chevauche un lion dont la longue queue se termine par une boule de feu (l'Enfer). La Famine ( "Fames") montre sa bouche affamée.
  • 1310-1320 :
    • nombreuses inondations en France de 1312 à 1317. Années exceptionnellement humides en Allemagne du Sud (1312-1319) et en Angleterre du Sud (1313-1320)[4]. Disettes et famine en Europe entre 1315 et 1320[5]. Début de la décrue démographique, rétrécissement de l'espace cultivé et recul de l'activité industrielle[6].
    • Naples compte 30 000 habitants. Sous Robert d’Anjou, le royaume semble stable et prospère, et son unité repose sur l’organisation féodale. En réalité, moins peuplé, doté de petites villes, il est très pauvre. L’exportation de denrées dans le Sud de l’Italie est assurée par des marchands étrangers qui ne laissent sur place presque rien des bénéfices réalisés. Les seigneurs prennent leur part sur les transactions, et la paysannerie vie dans une grande pauvreté. La crise économique du XIVe siècle frappera de plein fouet le pays déjà affaibli. Des régions entières seront désertées, et dans certaines parties de la Sicile, 50 % des villages disparaissent.
  • 1314 : les États généraux sont convoqués à Paris par Philippe IV le Bel pour financer la guerre en Flandre. Pour la première fois l’État français décide du prélèvement d'un impôt direct, la taille, sur l’ensemble du territoire[6]. Il ne devient annuel et permanent qu'en 1439.
  • 1316-1334 : sous Jean XXII, le budget de la papauté est de 228 000 florins (481 000 sous Grégoire XI)[7]. 50 % est consacré à la pacification des États pontificaux, 15 % à la construction du Palais et autres bâtiments d’Avignon, 10 % à l’aumône et 20 % à l’administration (Chambre apostolique, Chancellerie, pénitencerie, Aumônerie, tribunal de la Rote).
  • Vers 1320 :
    • le renforcement du pouvoir royal en Hongrie permet la stabilité monétaire (pas moins de 35 monnaies en circulation avant les réformes), la sécurité des routes, et l’institution d’un système d’impôts par porte. Le roi de Hongrie Carobert dispose annuellement vers 1320 de 15 000 kg d’équivalent argent de revenus. Il améliore par la suite ses finances grâce à des dispositions énergiques et la découverte de nouvelles mines d’or en Slovaquie.
    • le monastère de l’Athos possède 3000 paysans qui cultivent 20 000 ha pour les moines.
    • la Lituanie se féodalise. Les grands se lient en une pyramide d’obligations partant du grand-duc et accaparent de vastes domaines dans les régions conquises, transformant les paysans russes en serfs. Les villes se développent en suivant l’exemple polonais, c’est-à-dire par l’action de marchands et d’artisans allemands.
    • réformes importantes en matière de Finances et de Justice en France. Charles IV de France dispose annuellement de 40 000 kg d’équivalent argent de revenus.
  • 1323-1328 : révolte des Karls en Flandre.
  • 1321-1336 : période de climat sec en Angleterre.
  • 1323 : construction sur ordre du comte Édouard Ier de Bar d'une forge hydraulique à la confluence de l'Orne et du Conroy à Moyeuvre-Grande[8]. Elle est la plus ancienne connue de la France actuelle[9].
  • 1325 : premier exemple de lettre de change[10]. Son utilisation supprime tout transfert de numéraire et résout le problème du change.
  • 1328 : à Venise, un ducat égale 24 Gros sous[11].
  • Vers 1340 :
    • importation d’Afrique du Nord en Espagne de moutons mérinos, à laine fine.
    • les guerres civiles du XIVe siècle entraînent un relâchement du contrôle de l’État byzantin : l’aristocratie byzantine en profite pour obtenir l’hérédité complète sur les pronoiai (terre cédée par l’État moyennant un service armé) et une immunité fiscale accrue. Jean V Paléologue est le dernier empereur byzantin à émettre une monnaie d’or, de meilleur titre mais de poids réduit, à l’effigie de Saint Jean-Baptiste, à l’imitation du florin. Le sou byzantin cesse d’être un critère.
    • en Hongrie, les Anjou, Carobert et son fils Louis, ont restauré une grosse partie de la propriété domaniale dilapidée ou raflée par les magnats brigands. Ils ont récupéré quelque 150 places fortes, soit la moitié de l’ensemble, et environ 20 % des terres. L’exploitation des mines d’or du Nord et de Transylvanie complète les revenus royaux, pour atteindre au milieu du siècle une production représentant les trois quarts de l’or extrait en Europe.
    • au temps de Valdemar Atterdag, la société rurale au Danemark est très hiérarchisée. Des seigneurs habitent leurs manoirs (sœdegård), administrent leurs biens mais ne les cultivent pas. Au sommet de la pyramide, on trouve des paysans-propriétaires indépendants (selveire). Ensuite viennent les « intendants » (brydere), assez riches, qui donnent un tiers de la récolte au seigneur propriétaire, gardent un tiers pour eux et un tiers pour les futures semences. Les landboer (colons) doivent au propriétaire une redevance fixe, le landsgilde. Au-dessous d’eux existe un prolétariat rural, les gårdssœderne, sortes de journaliers qui cultivent un lopin concédé par le seigneur contre une redevance en nature.
    • la douane de la ville génoise de Péra, face à Constantinople, rapporte annuellement 200 000 livres, alors que celle de Constantinople ne perçoit que 30 000 livres. Avec la reconquête de Chios en 1346, les Génois deviennent les principaux pourvoyeurs en alun de l’industrie textile européenne.
  • 1340-1345 : chute des grands établissements bancaires florentins[14]. La faillite des banques de Florence entraîne une crise économique en Europe (1345-1347).
  • 1343 :
  • 1344 : première mention officielle de la ligue Hanséatique, ligue de marchands qui rassemble les cités marchandes d’Allemagne du Nord sous la domination de Lübeck et de Hambourg[15] : la fédération compte bientôt plus de quatre-vingt-cinq villes. La Hanse est formée de villes de première importance (Brême, Hambourg, Lübeck, Stralsund sur la côte allemande, Cologne et Dortmund à l’intérieur des terres, Rīga et Visby à l’extérieur de l’empire), de multiples cités plus ou moins importantes (Kampen, Königsberg, Stettin, Reval, Dorpat…), de quatre grands comptoirs (Bruges, Bergen, Londres, Novgorod), et de nombreuses factoreries dépendantes des villes. Chaque ville peut se faire entendre dans le cadre des assemblées (Tag) : à la base des assemblées régionales, puis à partir de 1347 des assemblées de tiers (Lübeck, Cologne, Visby-Rostock). Au sommet siège la Diète générale (Hansetag) qui réunit irrégulièrement les représentants des villes à Lübeck et prend les décisions importantes. La Hanse teutonique dispose de façon irrégulière de la force militaire des villes pour défendre des intérêts essentiellement commerciaux. Elle échange les produits bruts de la Baltique (ambre, fourrure, cire, céréales, bois, fer, harengs) contre la laine anglaise, les draps flamands (Bruges), le sel de l’Atlantique, des objets manufacturés et les épices d’Orient apportées par les Italiens.
  • 1347-1352 : la Peste noire a tué de 30 à 50 % des Européens en cinq ans faisant environ vingt-cinq millions de victimes.
  • Vers 1350 :
    • réchauffement climatique : remontée des glaciers dans les Alpes (jusqu’en 1550-1600).
    • la comptabilité en partie double, dont les premières ébauches sont apparues en Toscane à la fin du XIIIe siècle, se diffuse lentement chez les marchands italiens à partir du milieu du XIVe siècle.
    • la Peste noire provoque une grande crise dans le monde paysan scandinave. La main-d’œuvre se fait rare, des terres retombent en friche et des fermes sont désertées. La Suède est dépeuplée au profit de la colonisation de la Finlande. Les revenus fonciers s’effondrent, à la suite de la baisse du taux des redevances et à la hausse des salaires. Des paysans danois, propriétaires indépendants ruinés, se placent dans certaines provinces sous l’autorité d’un seigneur ou d’un monastère proche.
    • crise financière au milieu du XIVe siècle en Italie. La plupart des villes ont leurs caisses vides, malgré une pression fiscale considérable, à cause des guerres incessantes nécessitant outre les hommes du matériel (bombardes…) de plus en plus sophistiqué.
    • diminution du nombre des serfs aux Pays-Bas : « les hommes de maisnie » appartenant au comte de Hainaut ont diminué de 70 % depuis 1317. Leur nombre se réduira encore de moitié à la fin du siècle.
    • après la peste et les révoltes nobiliaires en Crète, Venise doit y faire venir des Grecs insulaires et des Arméniens.
    • le médecin juif d’Estella Abraham Ezquerra obtient du roi de Navarre un dégrèvement d’impôt pour services rendus à toute la cité[16].
  • Après 1350 : en France, en conséquence des ravages de la guerre, de la pression fiscale et des désastres démographiques, les paysans n’hésitent plus à déserter leurs villages pour aller où il y a des terres libres et de meilleurs salaires. Les terres laissés en friche sont d’abord les parcelles éloignées où infertiles. Les terres les plus pauvres, défrichées aux débuts du siècle lors du pic démographique, sont abandonnées tandis que les riches plaines du bassin parisien gardent de fortes densités. Le déclin des peuplements ruraux induit une phase de concentration foncière. La Grande Jacquerie de 1358 éclate dans une région riche où la paysannerie ressent durement les effets de la baisse conjoncturelle du prix du grain et supporte difficilement le poids croissant de la fiscalité.
  • Entre 1350 et 1400 : régression du vignoble parisien, due à l’augmentation du coût de la main-d’œuvre.
  • 1355-1356, budget de l’État en France : les sommes votées par les assemblées d’état (y compris le domaine) atteignent 24 tonnes d’équivalent argent.
  • 1380-1460 : les Génois utilisent de très grands navires pour transporter l’alun d’Orient.
  • 1381 : révolte des paysans ou « des travailleurs » en Angleterre.
  • 1382 : premier édit anti-pollution, interdisant l'émission de gaz fétides à Paris, par Charles VI.
  • 1382-1384 : épidémies de peste noire en France, Catalogne, Séville, Portugal, Italie du Nord, Londres, Kent, Irlande, Europe centrale, Baltique, Rhénanie et Pologne[22].
  • 1383-1385 : canicule en été en France.
  • 1386 : le roi de France Charles VI attribue à la Couronne le droit d'aubaine par lettres patentes en créant les « lettres de naturalité »[23].
  • 1387 : des marchands portugais ont une factorerie à Bruges.
  • Vers 1390 :
    • on compte en Bohême trente-cinq villes de plus de deux mille habitants. Fondées pour beaucoup d’entre elles par des colons allemands au XIIe siècle, elles sont administrées par des chartes issues des droits de Magdebourg et de Nuremberg. Non soumises à l’autorité du župan, elles sont exemptes de taxes. Prague, cité essentiellement allemande, domine avec 30 000 habitants.
    • à la fin du siècle, l’aristocratie byzantine quitte Constantinople où l’appauvrissement de l’État ne lui assure plus les emplois habituels. Certaines grandes familles vont s’établir à Mistra (Péloponnèse) où la prospérité temporaire leur est plus favorable. La majorité préfère se retirer sur ses domaines pour protéger ses revenus contre le brigandage et l’invasion turque.
    • Gênes négocie avec les Ottomans pour son ravitaillement en blé.
  • 1395-1415 : crise monétaire en Occident due au bilan commercial déficitaire avec l’Orient depuis l’an mil (achat d’épice, de soie, de perle, pèlerinages, croisades, rançons) aggravés par les désastres internes de l’Occident et l’assèchement de l’or Soudanais[24].

Démographie

  • Vers 1320 : la population de l'Angleterre est estimée à 3,5 millions d'habitants.
  • 1328 : la France compte 21,2 millions d’habitants dans ses frontières actuelles. Paris compte 61 098 feux (de 80 000 à 200 000 habitants, selon les historiens !).
  • 1338 : 110 000 à 120 000 habitants à Venise (60 000 en 1382).
  • Vers 1340 :
    • la population de la Terre s'élève à quelque 442 millions d'êtres humains.
    • 65 millions d’habitants en Europe.
  • 1346 : 3,7 millions d’habitants en Angleterre. Elle a triplé depuis 1086.
  • 1347 : 41 000 habitants à Rouen.
  • Avant 1348 : la population de l’Europe occidentale serait de 54,4 millions d’habitants[26].

Articles connexes

Notes et références

  1. Aḥmad Darrāǧ, L'Égypte sous le règne de Barsbay : 825-841, 1422-1438, Institut Français de Damas, (lire en ligne)
  2. (en) Tapan Raychaudhuri, Irfan Habib et Dharma Kumar, The Cambridge Economic History of India : Volume 1, C.1200-c.1750, CUP Archive, , 543 p. (ISBN 978-0-521-22692-9, lire en ligne)
  3. Béatrice Leroy, L'aventure séfarade, Flammarion, , 222 p. (ISBN 978-2-08-081253-7, lire en ligne)
  4. Histoire du climat depuis l'an mil, par Emmanuel Le Roy Ladurie et L'Histoire Publié par la Société d'éditions scientifiques, 1978
  5. http://www.histoire.ens.fr/colloques/disettes%20tous%20les%20r%E9sum%E9s.pdf
  6. Gérard Noiriel, Une histoire populaire de la France : De la guerre de Cent Ans à nos jours, Agone, , 832 p. (ISBN 978-2-7489-0302-7, présentation en ligne)
  7. Louis Caillet, La papauté d'Avignon et l'Église de France : la politique bénéficiale du pape Jean XXII en France, 1316-1334, Publications des universités de Rouen et du Havre, (lire en ligne)
  8. Jean-Luc Fray, Villes et bourgs de Lorraine : réseaux urbains et centralité au Moyen Âge, Clermont-Ferrand, Presses Universitaires Blaise Pascal, coll. « Histoires croisées », (ISBN 2-84516-238-3), p. 111.
  9. Philippe Braunstein, Travail et entreprise au Moyen Âge, De Boeck Supérieur, , 530 p. (ISBN 978-2-8041-4377-0, lire en ligne)
  10. Friedrich Schoell, Cours d'histoire des états Européens : depuis le bouleversement de l'Empire romain d'occident jusqu'en 1789, vol. 7, Gide, (présentation en ligne)
  11. Freddy Thiriet, La Romanie vénitienne au Moyen Âge, Geuthner, (lire en ligne)
  12. Emmanuel Le Roy Ladurie, Les Paysans de Languedoc, Imprimerie nationale, (lire en ligne)
  13. Sabine Bollack, Petite histoire de la Slovaquie [« L̕ubomír Lipták »], Institut d'études slaves, (ISBN 978-2-7204-0317-0, lire en ligne)
  14. Robert Fossier et Jacques Verger, Histoire du Moyen Âge, Bruxelles/Paris, Editions Complexe, , 249 p. (ISBN 2-8048-0045-8 et 9782804800451, lire en ligne)
  15. (en) Peter N. Stearns, William Leonard Langer, The Encyclopedia of world history : ancient, medieval, and modern, chronologically arranged, Houghton Mifflin Harcourt, (ISBN 0-395-65237-5 et 9780395652374, lire en ligne)
  16. Béatrice Leroy, L'aventure séfarade, Paris, Flammarion, , 222 p. (ISBN 2-08-081253-X et 9782080812537, présentation en ligne)
  17. Stanislav baron de Shoduar, Aperçu sur les monnaies russes et sur les monnaies étrangères qui ont eu cours en Russie : Depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, F. Bellizard et Company, (lire en ligne)
  18. J-L Bailly, Collectif, Économie monétaire et financière, Éditions Bréal, (ISBN 978-2-7495-0611-1, présentation en ligne)
  19. (es) Michel Mollat et Philippe Wolff, Uñas azules, Jacques y Ciompi : las revoluciones populares en Europa en los siglos XIV y XV, Siglo Veintiuno de España, , 284 p. (ISBN 978-84-323-0232-9, lire en ligne)
  20. Marc Montoussé, 100 Fiches de lecture en économie, sociologie, histoire et géographie : économiques, Rosny-sous-Bois, Editions Bréal, , 477 p. (ISBN 978-2-7495-0790-3, lire en ligne)
  21. Antonia Bernard, Petite histoire de la Slovénie, Institut d'études slaves, , 151 p. (ISBN 978-2-7204-0316-3, lire en ligne)
  22. (en) Joseph Patrick Byrne, Daily Life During the Black Death, Westport (Conn.), Greenwood Publishing Group, , 326 p. (ISBN 978-0-313-33297-5, lire en ligne)
  23. Louis-Firmin-Julien Laferrière, Essai sur l'histoire du droit français, vol. 2, (présentation en ligne)
  24. Emmanuel Le Roy Ladurie, Henry Méchoulan et André Robinet, L'Etat baroque : regards sur la pensée politique de la France du premier XVIIe siècle, Vrin, , 504 p. (ISBN 978-2-7116-0893-5, lire en ligne)
  25. Jean-Noël Biraben, « L’évolution du nombre des hommes », POPULATION ET SOCIÉTÉS, bulletin mensuel d’information de l’Institut national d’études démographiques, no 394, (présentation en ligne)
  26. Guy Bajoit, Le modèle culturel chrétien de la France médiévale- XIe, XIIe et XIIIe siècles, Academia-L'Harmattan, (ISBN 9782806105226, présentation en ligne)
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