Estaing (Aveyron)

Estaing est une commune française située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Estaing.

Estaing

Le château et le pont gothique sur le Lot.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Rodez
Intercommunalité Communauté de communes Comtal Lot et Truyère
Maire
Mandat
Nathalie Couseran
2020-2026
Code postal 12190
Code commune 12098
Démographie
Gentilé Estagnols
Population
municipale
467 hab. (2018 )
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 33′ 17″ nord, 2° 40′ 19″ est
Altitude Min. 301 m
Max. 760 m
Superficie 16,96 km2
Élections
Départementales Canton de Lot et Truyère
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Estaing
Géolocalisation sur la carte : Aveyron
Estaing
Géolocalisation sur la carte : France
Estaing
Géolocalisation sur la carte : France
Estaing
Liens
Site web www.estaing12.fr

    Elle est adhérente de l'association Les Plus Beaux Villages de France.

    Géographie

    Généralités

    Le pont d'Estaing sur le Lot.

    Dans le quart nord-est du département de l'Aveyron, la commune d'Estaing s'étend sur 16,96 km2. Elle est bordée au sud par le Lot et arrosée par son affluent la Coussane qui conflue avec le Lot au bourg d'Estaing.

    L'altitude minimale, 301 mètres, se trouve à l'ouest, dans la retenue du barrage de Golinhac, là où le Lot quitte la commune et sert de limite entre celles de Golinhac et du Nayrac. L'altitude maximale avec 760 mètres est localisée à l'extrême nord, près du lieu-dit les Prats, en limite de la commune du Nayrac.

    À l'intersection des routes départementales 22, 97 et 920, le bourg d'Estaing est situé, en distances orthodromiques, huit kilomètres au nord-ouest d'Espalion, vingt kilomètres au sud-ouest de Laguiole, et vingt-quatre kilomètres au nord-nord-est de la préfecture Rodez.

    Communes limitrophes

    Carte d'Estaing et des communes avoisinantes.

    Estaing est limitrophe de quatre autres communes. Au sud-est, son territoire est distant d'environ 150 mètres de celui de Bessuéjouls.

    Communes limitrophes d’Estaing
    Le Nayrac
    Golinhac Coubisou
    Sébrazac

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg d'Estaing proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[1] :

    • Annat (la commune d'Annat fusionne en 1832, en partie avec Estaing et en partie avec Le Nayrac[2])
    • Baldesc
    • Belle Biste
    • la Bessaillade
    • la Blanquerie
    • la Borie Sèche
    • le Bouissas
    • le Bouyssas
    • Carmarans
    • Cauvin
    • la Chantelerie
    • le Combayre
    • las Combes
    • la Coursière
    • la Croix Marie
    • la Devèze
    • la Devinerie
    • la Fabrègue
    • Fabrègues
    • Fournols
    • la Frayssinette
    • la Gaillouste
    • Hauterive
    • Labro
    • Mal Pas
    • Mas de Saint-Fleuret
    • Mas del Rieu
    • Moncan
    • Monplaisir
    • Monrepos
    • Montaurou
    • l'Ouradou
    • la Parfaiterie
    • la Parro
    • le Picard
    • la Ponsarderie
    • le Puech
    • Puech de l'Église
    • le Rang
    • Ravin de Braygues
    • Roque Longue
    • Rouliès
    • Tabust
    • le Viala
    • le Vialaret
    • la Viguerie
    • Vinnac

    Toponymie

    Panneau d'entrée à Estaing.

    La localité est mentionnée en 1082 sous le nom de Stagno, désignant un lieu où l'eau stagne, un étang[3].

    En occitan, la commune porte le nom d'Estanh.

    Histoire

    La famille d'Estaing est l'une des plus puissantes du Rouergue entre le XIIIe siècle et le XVIIIe siècle, période à laquelle elle s'éteint. Le nom d'Estaing est pris en 1922 par plusieurs membres de la famille Giscard.

    Le pèlerinage de Compostelle

    La halte de Saint-Jacques.

    Estaing est situé sur la via Podiensis du pèlerinage de Compostelle. En venant de Bessuéjouls, la prochaine commune est Golinhac et son église Saint Martin. Le village est autrefois considéré comme un des points où les chemins venant du nord-est traversent le Lot pour continuer sur Conques. Parmi les pèlerins qui voulaient éviter les embûches et les rigueurs de l’Aubrac, certains arrivaient directement à Estaing venant de Saint-Flour par Laguiole, d'autres passaient par Sainte-Geneviève-sur-Argence et le plateau de la Viadène.

    Estaing conserve bien vivant le souvenir du passage des pèlerins de Compostelle qui y laissent des traces. Il s'agit d'abord la célèbre fête de saint Fleuret qui a lieu tous les ans depuis le XIXe siècle, le premier dimanche de juillet. Fleuret que la tradition présente comme un évêque du diocèse d’Auvergne peut vraisemblablement être identifié avec saint Flour dont les reliques sont amenées à Estaing vers 1361-1368 par le cardinal Pierre d'Estaing. Il devient le patron de la ville et chaque année, depuis six siècles, la fête est célébrée le premier dimanche de juillet avec un faste particulier. Plusieurs centaines de personnages costumés représentent les membres du clergé et de l'illustre famille d'Estaing. Ils suivent en procession l'antique buste relique du saint et parmi eux, trois ou quatre sous le nom de « les jacques la coquille », participants habillés en pèlerins de Saint-Jacques munis de la gourde et du bourdon, avec le grand chapeau et la pèlerine garnie de coquilles.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1965 1977 Olivier Giscard d'Estaing RI Député des Alpes-Maritimes (1968-1973)
    1977 1995 Pierre Marc    
    1995 2008 Léon Romieu UMP Conseiller général du canton d'Estaing (1992-2004)
    2008 juillet 2020 Jean Pradalier DVD Retraité de l'enseignement
    juillet 2020 En cours Nathalie Couseran    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[4]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[5].

    En 2018, la commune comptait 467 habitants[Note 1], en diminution de 19,9 % par rapport à 2013 (Aveyron : +0,55 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9181 0751 3291 3091 3751 4751 5311 5141 156
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4971 5941 6421 6641 7041 7711 6271 5961 395
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3091 2731 2181 1851 1071 0361 0201 002842
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    809718667666665612610596475
    2018 - - - - - - - -
    467--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puis Insee à partir de 2006[6].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2014[7], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 278 personnes, soit 50,8 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (19) a baissé par rapport à 2009 (27) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 9,4 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 88 établissements[8], dont quarante au niveau des commerces, transports ou services, dix-sept dans la construction, seize relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, huit dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et sept dans l'industrie, [9].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    À Estaing se trouvent un monument classé (le château) et cinq autres monuments inscrits.

    Patrimoine civil ou militaire

    Vue panoramique d'Estaing. Après le pont, on aperçoit l'église Saint-Fleuret et le château. Avril 2018.
    Le château d’Estaing

    Le village est dominé par l'imposant château d'Estaing, classé au titre des monuments historiques en 1945[10] qui rappelle la présence historique de la famille d'Estaing. Le château domine le confluent du Lot et de la Coussanne. Datant du XVe siècle, il a été acheté en 2005 par Valéry Giscard d'Estaing, ancien président de la République, son frère Olivier Giscard d'Estaing, ancien député des Alpes-Maritimes et ancien maire d'Estaing, et leur cousin Philippe Giscard d'Estaing. Ce château est, avec l'abbatiale de Conques, un des monuments les plus connus et les plus rayonnants de l'Aveyron. Sous la Première République, il fut vendu par lots après que l'amiral d'Estaing eut été guillotiné. En 1836, les religieuses de Saint-Joseph achetèrent le château pour en faire un couvent, une école et une maison de retraite. Elles le cédèrent à la commune d'Estaing en 2000, qui, devant l'ampleur des travaux, la revendit en 2005 à la famille Giscard d'Estaing à travers une SCI pour 510 000 euros[11]. Grâce à une subvention publique de 450 000 euros, les travaux y ont été engagés dès l'année suivante.

    C'est ainsi que le château fut vendu deux fois, en 2000 à la commune et, en 2005, aux enchères, avec la seule publicité légale et en écartant un autre acquéreur qui voulait "restructurer" le château et en vendre le mobilier non classé à l'inventaire des monuments historiques. Le Monde titrait : « Après le nom, le château »[12]. The Sunday Times[13] : « The natives are revolting at Château Giscard ». Le Figaro notait[14] : « (...) dans dix ans il aura des subventions et un jour les visiteurs contempleront le cèdre où il avait l'habitude de s'entretenir avec Sésostris II ». Et la Neue Zürcher Zeitung[15] a démonté une combinaison qui visait probablement à transférer le bien à la famille Giscard d'Estaing sans surenchère inopportune. L'une des sœurs de Saint-Joseph, qui possédaient le château depuis 1836, aurait déclaré au magazine Point de vue que sa congrégation avait préféré vendre à la commune en 2000, parce que cela « ne leur plaisait pas » de vendre à la famille Giscard d'Estaing.

    Le pont d'Estaing

    Le pont d'Estaing permet de franchir le Lot entre Sébrazac en rive gauche et Estaing sur l'autre rive. Ouvrage en schiste avec un couronnement de calcaire, il est construit à partir de 1490. Ses trois piles sont protégées par des becs, triangulaires vers l'amont et rectangulaires vers l'aval. Sa pile centrale est surmontée de deux éléments architecturaux se faisant face : une croix à l'amont et la statue de François d'Estaing à l'aval. Il est inscrit au titre des monuments historiques en 2005[16].

    La mairie

    Inscrit en 1975 au titre des monuments historiques pour ses façades et toitures, l'actuel bâtiment de la mairie et de l'office de tourisme a été construit au XVIe siècle pour servir de collège de prêtres[17], associé alors à la chapelle de Louradou[18].

    Le manoir de la Fabrègues

    Cette demeure du XVIe siècle est située le long du Lot au lieu-dit la Fabrègues. Elle a gardé de nombreuses traces du passé : cheminées monumentales, murs de pierres à vif et salle voûtée. C'est aujourd'hui un hôtel.

    Le monument aux morts

    Le monument aux morts a été sculpté par René-Albert Baucour (1878-1969) dans le premier quart du XXe siècle[19],[20].

    Patrimoine religieux

    L'église Saint-Fleuret d'Estaing

    Bâtiment inscrit au titre des monuments historiques en 1927[21], l'église Saint-Fleuret fut construite au XVe siècle sur l'emplacement d'un ancien prieuré Saint-Fleuret qui avait été donné à l'abbaye de Montsalvy par Pons Étienne, évêque de Rodez. Elle abrite maintenant, indépendamment des reliques du patron de la ville, un Christ du XVe siècle et une pietà du XVIIe siècle ainsi qu'une statue de saint Jacques dans un retable doré.

    À l'extérieur, sur la terrasse, une croix en pierre sculptée du XVe siècle est particulièrement remarquable. Entre le motif principal et le fût, on discerne à gauche un petit pèlerin agenouillé qui semble implorer le Christ. Il a son chapeau à large bord rejeté en arrière et son costume rappelle une fois de plus le souvenir du pèlerin de Compostelle.

    Saint Fleuret était évêque d'Auvergne des VIe-VIIe siècles[22].

    L'église Saint-Blaise de Vinnac

    Surplombant la vallée du Lot au lieu-dit Vinnac et inscrite en 1979 au titre des monuments historiques, l'église Saint-Blaise a été bâtie au XIIe siècle et modifiée au début du XVIIe siècle[23].

    La chapelle Saint-Jean de l'Ouradou

    À environ un kilomètre au nord-nord-ouest du bourg, au lieu-dit l'Ouradou, en bordure de la route départementale 97, et inscrite en 1997 au titre des monuments historiques, la chapelle Saint-Jean a été construite entre 1524 et 1529[24].

    La chapelle Saint-Fleuret d'Estaing

    La chapelle Saint-Fleuret se trouve au nord du bourg, à côté du foirail, le long de la route départementale 97. Au XIXe siècle, elle servait de lieu de réunion à la confrérie des pénitents bleus d'Estaing[25]. Elle sert désormais de gîte d'étape pour les pèlerins de Compostelle[26].

    À l'ouest, de l'autre côté de la route, la fontaine Saint-Fleuret, surmontée d'une statue du saint, était réputée miraculeuse, d'après la croyance populaire[27].

    Statue de la Vierge à l'Enfant

    Sur le quai Amiral-d'Estaing, au milieu du pont qui franchit la Coussane, se dresse une statue de la Vierge à l'Enfant, œuvre de François Mahoux en 1866[28].

    • Chapelle Saint-Joseph du château d'Estaing.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    « D’azur, aux trois fleurs-de-lys d'or et au chef du même. »

    Galerie de photos

    Voir aussi

    Bibliographie

    • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Léon Romieu), Estanh : Campuac, Cobison, Lo Nairac, Sebrasac, Vila Comtal / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton d'Estanh, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 231 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-19-X, ISSN 1151-8375, notice BnF no FRBNF36685849)
    • Albert Ginisty, Estaing : aspects du passé, Rodez, Subervie, , 274 p., 15 p. de pl. dont 1 f. dépl. : couv. ill. ; 22 cm (notice BnF no FRBNF34762604)
    • Anne-Marie Brisebarre, « Le recours à Saint-Fleuret, guérisseur des bestiaux à Estaing (Aveyron) », Ethnozootechnie, no 34, , p. 59-76 (ISSN 0397-6572)
    • Louis Molinier, Une famille Rouergate, à travers quatre siècles d'histoire (1598-1950), Paray-Vieille-Poste, Celer, , 211 p., in-8

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Estaing » sur Géoportail (consulté le 14 octobre 2017).
    2. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    3. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, , 2e éd. (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 273.
    4. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    5. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    6. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    7. Dossier complet - Commune d'Estaing (12098) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 14 octobre 2017.
    8. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    9. Dossier complet - Commune d'Estaing (12098) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 14 octobre 2017.
    10. « Château », notice no PA00094021, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 14 octobre 2017.
    11. Jean-Marc Philibert in L'argent de nos présidents : De Gaulle, Pompidou, Giscard d'Estaing ...
    12. 24 décembre 2004
    13. 16 janvier 2005
    14. 22 février 2005
    15. 15 février 2005
    16. « Pont dit d'Estaing », notice no PA12000037, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 3 octobre 2017.
    17. Le collège, panneau à l'extérieur de la mairie, vu le 19 juin 2017.
    18. « Mairie », notice no PA00094024, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 11 octobre 2017.
    19. Inventaire général du patrimoine culturel, « relief du monument aux morts », notice no IM12002064, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 octobre 2017.
    20. BAUCOUR René- Sculpteur, Les monuments aux morts France - Belgique, consulté le 16 octobre 2017.
    21. « Église », notice no PA00094022, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 8 octobre 2017.
    22. « Saint Fleuret », sur nominis.cef.fr (consulté le )
    23. « L'église Saint-Blaise de Vinnac », notice no PA00094023, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 11 octobre 2017.
    24. « Chapelle de l'Ouradou », notice no PA12000007, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 11 octobre 2017.
    25. « La Chapelle des Pénitents blancs d'Espalion », Sauvegarde du Rouergue no 102, imprimerie Maury, Millau, mars 2010, (ISSN 0184-9085), chapitre « Les chapelles de Pénitents dans l'Aveyron », p. 22.
    26. Estaing. Gîte d'étape de la chapelle Saint-Fleuret, ouverture au public aujourd'hui, La Dépêche, 31 mai 2014.
    27. « Estaing Aveyron – Vallée du Lot », Découverte du Canton d'Estaing, dépliant fourni par l'office de tourisme d'Estaing, vu en juin 2017.
    28. Inventaire général du patrimoine culturel, « statue monumentale : la Vierge à l'enfant », notice no IM12002069, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 octobre 2017.
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