Esse

Esse (Essa en limousin, dialecte occitan) est une commune du sud-ouest de la France située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Esse (homonymie).

Esse

La mairie et le musée des ostensions.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Roland Fourgeaud
2020-2026
Code postal 16500
Code commune 16131
Démographie
Gentilé Essois
Population
municipale
497 hab. (2018 )
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 02′ 00″ nord, 0° 43′ 20″ est
Altitude Min. 124 m
Max. 242 m
Superficie 30,37 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Confolens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Charente-Vienne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Esse
Géolocalisation sur la carte : Charente
Esse
Géolocalisation sur la carte : France
Esse
Géolocalisation sur la carte : France
Esse

    Ses habitants sont les Essois et Essoises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Esse est une commune de la Charente limousine située à km au nord-est de Confolens.

    Le bourg d'Esse est aussi à 61 km d'Angoulême, sa préfecture, 47 km de Limoges et 68 km de Poitiers[2].

    Les voies de communication sont nombreuses dans la commune. La D 952 (ex-N 151bis), ancienne route d'Angoulême à Nevers, longe la rive droite de la Vienne et dessert l'ouest de la commune. La D 30, route de Confolens à Lesterps en traverse le sud. Le bourg est desservi par plusieurs routes départementales qui l'unissent à Confolens, Saint-Germain-de-Confolens, Brillac, Lesterps et Saint-Maurice-des-Lions. La D 951 déviant Confolens, maillon de la route Centre-Europe Atlantique, d'Angoulême à Bellac et Guéret, contourne la commune par l'ouest et le nord et passe à km du bourg[3].

    Hameaux et lieux-dits

    De nombreux hameaux parsèment la commune, ainsi : le Grand-Neuville et le Petit-Neuville, sur la route de Confolens ; la Cour, sur la route de Lesterps ; La Chaise, dans le sud de la commune ; Périssac, au-dessus de la vallée de la Vienne ; Villemandie et Gorce, dans l'est de la commune ; Longeville ; la Boissonnie, sur la route de Saint-Germain ; la Pouyade, près de la route de Brigueuil ; Château-Guyon, près du bourg ; Bostgueffier, sur la route de Saint-Maurice ; le Repaire, village auprès duquel on trouve le menhir ; chez le Brun, les Vergnes, le Jauju, les Grangettes (anciennement l'Âge)...

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes d’Esse
    Brillac
    Confolens Lesterps
    Saint-Maurice-des-Lions

    Géologie et relief

    Comme toute cette partie nord-est du département de la Charente qu'on appelle la Charente limousine, la commune se trouve sur le plateau du Limousin, partie occidentale du Massif central, composé de roches cristallines et métamorphiques, relique de la chaîne hercynienne.

    Le sous-sol de la commune est essentiellement du granit[4],[5],[6].

    La commune d'Esse occupe un vaste plateau ondulé, dont l'altitude moyenne dépasse 200 m. Les altitudes s'étagent entre 124 m, dans la vallée de la Vienne à l'ouest, et 242 m, au sud-est du bourg. Celui-ci est à environ 210 m d'altitude[3].

    Hydrographie

    La commune d'Esse est comprise entre les vallées de l'Issoire[7], au nord, de la Vienne, à l'ouest, et d'un petit affluent du Goire[8], au sud.

    Quelques étangs parsèment la commune, en particulier l'étang de la Glayolle à l'est, l'étang des Sèches, et la retenue d'eau du barrage de l'Issoire[3].

    Climat

    Le climat est océanique dégradé. C'est celui de la Charente limousine, plus humide et plus frais que celui du reste du département.

    Urbanisme

    Typologie

    Esse est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Confolens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (57,1 %), zones agricoles hétérogènes (24,8 %), forêts (9,7 %), terres arables (6,6 %), zones urbanisées (1,2 %), eaux continentales[Note 3] (0,7 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Essia (non daté)[15], Yssia en 1523[16].

    L'origine du nom d'Esse remonterait à un personnage gallo-romain Essius (selon Dauzat) ou Iccius (selon Talbert) auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait au « domaine d'Essius »[17],[18]. Iccio- est un thème et un terme de nom gaulois[19].

    Langues

    La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[20]. Elle se nomme Essa en occitan[21].

    Histoire

    Pont Binot sur l'Issoire.

    Site néolithique, occupé par les Gaulois et les Romains.

    À partir de Villevert, l'ancienne voie romaine Angoulême-Bourges par Argenton (qui passait par Ambernac, Confolens et Brillac) a été suivie en 1921 sur km. Sa largeur variait entre 4,5 m et m, et elle était limitée par deux bandes de blocs de pierre[22].

    Au Moyen Âge, Esse se trouvait sur un itinéraire transversal d'un chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, qui se dirigeait du Limousin vers Angoulême pour bifurquer vers Saintes (reliques de saint Eutrope), Blanzac (vers Blaye) ou Aubeterre (vers Sainte-Foy-la-Grande)[23].

    Esse est l'une des deux communes charentaises qui pratiquent les ostensions limousines, ce depuis 1660[Note 4]. Elles commencent le lundi de Pâques. Les reliques sont ensuite exposées dans l'église jusqu'au lundi de la Pentecôte[23].

    Entre le Xe et XVIIIe siècles, Esse était le siège d'une viguerie, qui rendait la justice localement. Elle était alors dans le diocèse de Limoges, puis fut rattachée aux six autres du comté d'Angoulême, qui en comptera une vingtaine de par son extension au XIe siècle[24].

    L'église de la paroisse dépendait autrefois du diocèse de Poitiers[16].

    Administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    maire en 1871[25]  ? Baron Guillaume Goursaud
    de Chamborant de Périssat
    (1807-1887)
     ? Ancien officier de cavalerie,
    propriétaire du château de Villevert,
    conseiller général
    1977 2008 Guy Traumat PS Président de la CdC du Confolentais
    2008 En cours Roland Fourgeaud PS Chef de cuisine
    Les données manquantes sont à compléter.

    Aire urbaine

    Depuis 2010, l'aire urbaine de Confolens regroupe les communes d'Ansac-sur-Vienne, Confolens, Esse et Lessac.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

    En 2018, la commune comptait 497 habitants[Note 5], en diminution de 1,58 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    942978884871838888930896862
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    796805808858895916920876873
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    875860768743690637640583531
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018
    473427466503497509484510497
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Esse en 2007 en pourcentage[30].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    1,2 
    7,8 
    75 à 89 ans
    10,0 
    20,6 
    60 à 74 ans
    18,7 
    25,9 
    45 à 59 ans
    27,0 
    16,9 
    30 à 44 ans
    19,9 
    9,5 
    15 à 29 ans
    10,4 
    19,3 
    0 à 14 ans
    12,9 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[31].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Économie

    Commerces

    Commerces d'Esse.

    Site ostensionnaire

    Tout savoir sur les ostensions 2016 à Esse

    La commune d'Esse est l'une des deux communes ostensionnaires de Charente et l’une des 20 que comptaient les provinces du Limousin et de la Marche. Le musée des ostensions, situé à côté de la mairie, retrace ce passé [32].

    Les ostensions commencent le lundi de Pâques[33],[34]. Ce jour-là, un habitant de la commune monte au clocher pour y accrocher le drapeau des ostensions, de couleur jaune et bleue[35]. Les reliques sont ensuite exposées dans l'église toute la journée, et une grande procession a lieu sur un parcours de deux à trois kilomètres jalonné de cinq croix, avec retour à l'église[36].

    L'unique musée des ostensions limousines et marchoises, inauguré en juillet 1999, a été installé au premier étage de l’ancien presbytère. Pour le réaliser, le travail de sauvegarde et d’inventaire a porté sur plus de 500 objets et a mobilisé pendant plus de six mois plusieurs chercheurs, dont l’ethnologue Michel Valière. La collection a été classée en six thématiques qui font toute leur place, mais pas seulement, aux objets liés aux célébrations ostensionnaires : châsses reliquaires, bannières, chandelier en émail champlevé du XIe ou XIIIe siècle retrouvé en 1995 lors des travaux de restauration de l’église.

    Village gaulois

    Un village gaulois a été reconstitué, près du Pont Binot sur la route de Brillac. Ouvert en été, son entrée est payante.

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    Les écoles.

    Esse possède une école élémentaire comprenant deux classes. Le secteur du collège est Confolens[37].

    Lieux et monuments

    • L'église paroissiale Saint-Étienne, de l'ancien diocèse de Limoges. L'église, de la seconde moitié du XIIe siècle, a une nef couverte d'un berceau en briques avec une abside semi-circulaire, voûtée en cul-de-four; sa porte, en plein cintre, est surmontée d'un bas-relief encadré dans un rectangle, très intéressant. Le clocher postérieur est rectangulaire, surmonté d'une haute flèche octogonale en charpente couverte de bois. À l'intérieur, un retable datant du XVIIe siècle, dont les bas-reliefs représentent la Nativité et l'Adoration des Anges[38], classé à titre objet en 1908[39]. Un chandelier en émail champlevé est aussi remarquable[40],[41]. L'église est inscrite monument historique le 24 juillet 1972[42].
    • Le château de Villevert, des XVe et XVIIe siècles, a été remanié, voire reconstruit au XIXe siècle. Il est inscrit monument historique depuis le 29 avril 1988[43].
    • Le manoir de Longeville, édifié au XVIIe siècle, était l'ancienne résidence de la famille de James.
    • Le menhir du Repaire dit aussi de Pierre Fixe : haut de 2,75 m, il est le seul menhir de ce genre connu dans le département de la Charente.
    • Le dolmen de Périssac, dont la table de granit avait plus d'un mètre d'épaisseur, s'élevait dans l'ouest de la commune, près de l'étang des Sèches. Il fut démantelé afin d'en faire un piédestal pour le tombeau de la femme du sous-préfet de Confolens[Note 6],[44].
    • Le logis du Bost, vieille demeure des XVIe et XVIIe siècles située dans les châtaigneraies qui couvrent les pentes abruptes et sauvages de la vallée de l'Issoire.
    • Château-Guyon, petite gentilhommière située tout près du bourg.
    • Tilleul de Sully, sur la place de l'église, qui abrite le monument aux morts réalisé avec des dalles issues de l'ancien dolmen dit Tombe du Curé qui était situé à proximité du dolmen de Périssac[44].
    • Barrage de l'Issoire, dont la partie amont rive gauche est sur la commune.

    Personnalités liées à la commune

    • Gilbert Bonneau, un agriculteur célibataire de 78 ans joue son propre rôle dans le film Les Gardiennes (2017) de Xavier Beauvois, dans lequel il joue le rôle du frère de l'actrice Nathalie Baye[45].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. L'autre étant Abzac, depuis 1762.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    6. Il s'agit de Jean-Amédée Gontier, sous-préfet de Confolens, dont la jeune épouse Cécile-Jeanne-Marie Crévelier est morte à l'âge de 21 ans en 1884. Le monument funéraire, localisé au cimetière de Confolens, a une hauteur de 3,20 m.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    5. Carte du BRGM sous Géoportail
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Confolens », sur Infoterre, (consulté le )
    7. SANDRE-fiche rivière l'Issoire
    8. SANDRE-fiche rivière le Goire
    9. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. Henri Beauchet-Filleau, Pouillé historique du diocèse de Poitiers, t. III, Niort, Clouzot, , 574 p. (lire en ligne), p. 27.
    16. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 40
    17. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    18. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 273.
    19. Georges Dottin, La langue gauloise, , 381 p. (lire en ligne)
    20. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
    21. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
    22. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 126
    23. Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne), p. 9,39-41
    24. André Debord in Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll. « L'histoire par les documents », , 429 p. (ISBN 2-903504-21-0, notice BnF no FRBNF34901024, présentation en ligne), p. 88
    25. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6200790h/f31.image.r=canton?rk=5257536;4
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. « Evolution et structure de la population à Esse en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    31. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    32. « Une curiosité au moins septennale, p.7 » [PDF], sur www.charente-limousine.fr, (consulté le )
    33. Nouvelles de la Charente.
    34. Nouvelles du Confolentais
    35. Un drapeau dans le vent
    36. Au cœur de la campagne.
    37. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    38. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., et t.IV
    39. « Retable », notice no PM16000148, base Palissy, ministère français de la Culture
    40. « Chandelier », notice no PM16000394, base Palissy, ministère français de la Culture
    41. Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne), p. 40
    42. « Église Saint-Étienne », notice no PA00104363, base Mérimée, ministère français de la Culture
    43. « Château de Villevert », notice no PA00104362, base Mérimée, ministère français de la Culture
    44. [PDF] Michel Dominique et Roger Crédot, « Dolmen de Périssac », (consulté le )
    45. François Goubault, « Gilbert Bonneau, star de ciné à 79 ans », Charente libre, (lire en ligne, consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Bibliographie

    • Dujardin V., Moineau É., Ourry Y. (2007) - Le Confolentais, entre Poitou, Charente et Limousin, Images du patrimoine, no 243, Geste éditions, 2007.

    Liens externes

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