Condorcet (Drôme)

Condorcet est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Pour les articles homonymes, voir Condorcet.

Condorcet
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Communauté de communes des Baronnies en Drôme Provençale
Maire
Mandat
Jean-Claude Brus
2020-2026
Code postal 26110
Code commune 26103
Démographie
Gentilé Condorcéens, Condorcéennes
Population
municipale
493 hab. (2018 )
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 24′ 31″ nord, 5° 12′ 03″ est
Altitude Min. 301 m
Max. 1 217 m
Superficie 22,44 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Nyons
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nyons et Baronnies
Législatives Troisième circonscription
Canton de Nyons (avant mars 2015)
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Condorcet
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Condorcet
Géolocalisation sur la carte : France
Condorcet
Géolocalisation sur la carte : France
Condorcet

    Géographie

    Localisation

    Condorcet est situé à 10 km au nord-est de Nyons.

    Relief et géologie

    Le relief de la commune est accidenté, composé de plusieurs vallons, des affluents du Bentrix, et quelques sommets entre 600 et 800 mètres. Le point culminant est le Cougoir, à 1 214 m[1].

    Plusieurs gisements de baryte, gypse, calcite, plâtre, plomb étaient exploités. Le , la fermeture de la ligne de chemin de fer de Pierrelatte à Nyons provoqua la fin de ces activités[réf. nécessaire].

    Hydrographie

    La commune est arrosée par le Bentrix, cours d'eau de 15,4 km, affluent de l'Eygues[2], ainsi que par certains de ses affluents, comme le ruisseau de Roubiousse[3], ou le ravin de Marnas[4].

    Voies de communication et transports

    Le village est traversé par la route départementale D 70 qui permet de rejoindre le hameau de La Bonté vers le sud, Saint-Ferréol-Trente-Pas, Crest et Valence vers le nord.

    Le hameau de La Bonté est quant à lui traversé par la route départementale D 94 qui rejoint Nyons, Montélimar, Orange et les grands axes autoroutiers vers l'ouest, Gap et les Alpes vers l'est.

    Le hameau de Saint-Pons est accessible par la route départementale D 227.

    La ligne de bus 38 du réseau interurbain de la Drôme qui relie Bouvières à Nyons traverse le village. Elle circule en période scolaire et tous les jeudis matins (pour le marché de Nyons)[5].

    Urbanisme

    Typologie

    Condorcet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nyons dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,4 %), zones agricoles hétérogènes (28,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (21,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (7,4 %), zones urbanisées (1,5 %), cultures permanentes (1,3 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Hameaux et lieux-dits

    En plus du village principal, cette commune de la Drôme provençale comporte plusieurs hameaux : la Bégude, proche du village, les Cognets, Saint-Pons, les Ouvières, et la Bonté, le plus au sud.

    Toponymie

    Attestations

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[13] :

    • 956 : Condacense in pago Diense (cartulaire de Cluny, 1013).
    • 998 : castrum Condorcense in Proventia (D. Bouquet, XI, 545).
    • 1295 : Condorceium (archives de la Drôme, E 796).
    • 1309 : Condorcesio (inventaire des dauphins, 241).
    • 1391 : Condorssez (choix de docum., 214).
    • XIVe siècle : mention du prieuré : prior de Condorceyo (pouillé de Die).
    • 1415 : mention du prieuré : prior de Condecesio (pouillé de Die).
    • 1430 : Condorseys in Baroniis (choix de docum., 334).
    • 1449 : mention du prieuré : prioratus de Condorcesio (pouillé hist.).
    • 1503 : mention de l'église Saint-Pierre : ecclesia Sancti Petri de Condorcesio (visites épiscopales).
    • 1516 : mention de la paroisse : cura Condorcesii (rôle de décimes).
    • 1576 : Condorses (choix de docum., 334).
    • 1644 : Condourcet (visites épiscopales de Die).
    • XVIIe siècle : mention du prieuré : prioratus de Condorceyio (pouillé gén., 95).
    • 1891 : Condorcet, commune du canton de Nyons.

    Entre 1880 et 1914 : Condorcet les Bains[réf. nécessaire].

    Étymologie

    Il y a plusieurs hypothèses :

    • Dérivé de corca orcium (vase de terre)[14][source insuffisante].
    • Le château aurait été bâti sur le fundus, propriété de Condorcus, latinisation du nom de personne gaulois Condorcos (celui qui voit, ou celui qu'on regarde)[15][source insuffisante].

    Histoire

    Protohistoire

    L'origine de Condorcet remonterait à l'époque gauloise comme en témoignerait le toponyme. Une vieille tradition veut que l'emplacement du village, actuellement en ruines, ait été occupé autrefois par un bois sacré des druides[réf. nécessaire].

    Du Moyen Âge à la Révolution

    945 : fondation d'un prieuré de l'ordre de Cluny, dépendant du prieuré de Sainte-Jatte[13].

    La seigneurie :

    • Terre des anciens comte de Diois[13].
    • Terre des Isoard d'Aix[13].
    • 1239 : elle passe (par mariage) aux princes d'Orange (de la maison de Baux)[13].
    • Ces derniers la dotent à l'une de leurs filles mariée chez les Rolland[13].
    • 1414 : recouvrée par les Orange[13].
    • 1478 : cédée aux Bathernay[13].
    • Peu après : la terre fait retour aux Orange[13].
    • 1501 : donnée aux Poitiers d'Allan[13].
    • 1564 : passe (par alliance) aux Caritat, derniers seigneurs[13].

    1304 (démographie) : 63 familles[13].

    1685 (démographie) : 576 personnes[13].

    Avant 1790, Condorcet était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation et bailliage du Buis.
    Elle formait une paroisse du diocèse de Die dont l'église, dédiée à saint Pierre, était celle d'un prieuré de l'ordre de Cluny (dépendant du prieuré de Sainte-Jatte) qui fut fondé en 945. Son titulaire avait la collation de la cure et les dîmes de cette paroisse[13].

    Jusqu'à la Révolution, on utilisait sur le marché de Condorcet les unités de mesure en cours à Orange, sauf pour les poids, pour lesquels on utilisait ceux du Buis[17].

    Le péage de Condorcet fut supprimé au XVIIIe siècle)[14].

    De la Révolution à nos jours

    Comprise, en 1790, dans le canton de Vinsobres, cette commune devient, en 1793, le chef-lieu d'un canton, comprenant Aubres, Condorcet, Eyrolles, les Pilles, le Pègue, Rousset, Saint-Pantaléon et Valouse.
    La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait une simple commune du canton de Nyons[13].

    1796 (démographie) : 602 personnes[13].

    Vers 1870, une nouvelle route menant à Dieulefit est construite dans la vallée en remplacement de celle qui passait par le vieux village.
    C'est à cette époque que les villageois démolissent leurs maisons et construisent dans la vallée, à l'emplacement du village actuel. C'est aussi de cette époque que datent l'église et les écoles actuelles. L'ancien cimetière au pied du vieux village a été fonctionnel jusque dans les années 1950[réf. nécessaire].

    Plusieurs gisements de baryte, gypse, calcite, plâtre, plomb. Le , la fermeture de la ligne de chemin de fer de Pierrelatte à Nyons provoqua la fin de ces activités[réf. nécessaire].

    L'eau de la source minérale du Rouet a servi de remède à de nombreux malades. Condorcet les Bains fut le nom du village entre 1880 et 1914. Cette activité cessa également ; la commune n'ayant pas les moyens de rivaliser avec d'autres villes d'eaux[réf. nécessaire].

    Politique et administration

    Administration municipale

    La village de Condorcet est une collectivité territoriale administrée par un conseil municipal qui est l'assemblée délibérante de la commune et qui a pour mission de régler par ses délibérations les affaires de la commune. Le conseil municipal élit en son sein le maire. Comme pour toute commune dont la population est comprise entre 100 et 499 habitants, ce conseil est composé de 11 membres (le maire, 3 adjoints et 7 conseillers municipaux) élus au suffrage universel direct pour un mandat de six ans renouvelable[18].

    Liste des maires

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    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1871    ?    
    1874    ?    
    1878    ?    
    1884    ?    
    1888    ?    
    1892    ?    
    1896    ?    
    1900    ?    
    1904    ?    
    1908    ?    
    1912    ?    
    1919    ?    
    1925    ?    
    1929    ?    
    1935    ?    
    1945    ?    
    1947    ?    
    1953    ?    
    1959    ?    
    1965    ?    
    1971    ?    
    1977 1983 Jean-Paul Verdun    
    1983    ?    
    1989    ?    
    1995    ?    
    2001 2014 Patrick Coullet    
    2008 2014 Patrick Coullet   maire sortant
    2014 2020 Jean-Claude Brus (sans étiquette) fonctionnaire
    2020 En cours
    (au 4 janvier 2021)
    Jean-Claude Brus[19][source insuffisante]   maire sortant

    Rattachements administratifs et électoraux

    En 1800, la commune fait partie du Canton de Nyons puis, en 2015, de celui de Nyons et Baronnies, dans l'arrondissement de Nyons.

    Depuis le découpage de 1986, elle est rattachée à la 3e circonscription législative de la Drôme.

    De 1997 à 2016, elle fait partie de la communauté de communes du Val d'Eygues puis, en 2017, de celle des Baronnies en Drôme Provençale.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[21].

    En 2018, la commune comptait 493 habitants[Note 3], en augmentation de 2,49 % par rapport à 2013 (Drôme : +4,05 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    602450626639748734714704689
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    639617561528594572558585516
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    505494495461436430408287256
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    222224252340386447471482474
    2018 - - - - - - - -
    493--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Grenoble et dispose d'une école maternelle à classe unique (20 enfants)[24] faisant partie du regroupement pédagogique intercommunal (R.P.I) du Bentrix. L'école primaire se situe dans la commune voisine de Saint-Ferréol-Trente-Pas. Les services de garderie, cantine et de gestion des écoles sont gérés par le syndicat intercommunal à vocation scolaire (S.I.V.O.S) La Récréation[25].

    Le collège public le plus proche se situe à Nyons[26].

    Le lycée public le plus proche se situe également à Nyons. Les lycéens peuvent y suivre un cursus général ou technologique (filière STMG uniquement)[26]. Le lycée professionnel le plus proche se situe à Valréas mais dépend de l'Académie d'Aix-Marseille[27].

    Santé

    Il n'y a aucun professionnel de santé sur la commune de Condorcet. Les médecins généralistes les plus proches, ainsi que l’hôpital, se situent à Nyons. En revanche, une maison spécialisée de l'association Perce-Neige est à la disposition des personnes handicapées au lieu-dit Saint-Pons[28].

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête de la Saint-Jean: samedi précédent la Saint-Jean (24 juin)[29].
    • Fête votive (ou patronale) : premier week-end d'août[30].

    Sports

    • Centre équestre[14].

    Cultes

    La paroisse catholique de Condorcet dépend du diocèse de Valence, doyenné de Sahune[31].

    Économie

    Agriculture

    En 1992 : pâturages (caprins, ovins), lavande, vergers, oliviers, aviculture / Produits locaux : fromage Picodon)[14].

    Viticulture

    La commune fait partie de la zone de production des coteaux-des-baronnies.

    Artisanat et commerces

    Rue principale

    De nombreux commerces et entreprises de proximité sont implantés sur la commune : boulangerie, maçons, services à l'habitat plus généralement[32].

    Marchés de l'été : tous les mardis dès 17h30[33].

    Tourisme

    • Collines et torrents pittoresques)[14].
    • Gîte d'étape de randonnées[14].

    Plusieurs modes d'hébergement sont à la disposition des touristes : un camping, quatre gîtes ruraux, une chambre d'hôte, un gîte d'étape équestre. Le tourisme de la commune est essentiellement tournée vers les sports de plein air, notamment la randonnée pédestre et équestre, via le GR9 avec plusieurs circuits proposés. La commune bénéficie également de sa proximité de Nyons, avec quelques monuments à visiter[34].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Vieux village ruiné sur éminence et château fort[14].
    L'ancien château fort est en ruine. Il n'en subsiste que quelques tours. Le donjon en est la partie la mieux conservée. Les fortifications du château et celle du village de Condorcet furent comprises au nombre des « places non frontières » dont l'édit royal de 1627 ordonna le démantèlement[réf. nécessaire].
    • Église catholique Saint-Pons, reconstruite au XVIIe siècle[14].
    • Reste d'un temple protestant dans le vieux village[14].
    • Église catholique du XIXe siècle[14].

    Patrimoine naturel

    • Source d'eau salée (établissement thermal au XIXe siècle)[14].
    • Minéralogie riche et variée (nombreuses mines)[14].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes peuvent se blasonner ainsi : D'azur au dragon volant d'or, lampassé et armé de sable à la bordure du même.

    Annexes

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Le cougoir, point culminant de la commune
    2. Le Bentrix sur le site du SANDRE
    3. Fiche du Roubiousse sur le site duy SANDRE
    4. ravin de Marnas sur le site du SANDRE
    5. Lignes du réseau interurbain de la Drôme
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 109.
    14. Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), p. Condorcet.
    15. Recueil des chartes de l’abbaye de Cluny, t. II, p. 547, fondation du prieuré clunisien
    16. Charles-Laurent SALCH, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du Moyen-Âge en France, Strasbourg, PUBLITOTAL, , 1287 p. (ISBN 2-86535-070-3), p. Condorcet.
    17. Roger Pierre, « Les mesures sous l'Ancien Régime », Bulletin de l'association universitaire d'études drômoises, no 26, 1972, p. 17.
    18. Le conseil municipal sur le portail de l'Etat au service des collectivités
    19. http://www.mairesdeladrome.fr/annuaire/
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    24. école maternelle de Condorcet
    25. L'école - Condorcet (site officiel)
    26. Site internet de la Cité scolaire Barjavel-Roumanille de Nyons
    27. Site internet du lycée Ferdinand Revoul de Valréas
    28. Maison Perce Neige
    29. La fête de la Saint-Jean sous les rayons fluos samedi 22 juin dans Le Dauphiné libéré du 7 juin 2019
    30. tourisme à Condorcet
    31. paroisse de Condorcet
    32. entreprises à Condorcet
    33. Les marchés nocturnes de l'été
    34. tourisme à Condorcet
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