Charmentray

Charmentray est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Charmentray

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité communauté de communes Plaines et monts de France
Maire
Mandat
Bernard Lenfant
2020-2026
Code postal 77410
Code commune 77094
Démographie
Gentilé Carmentraciens
Population
municipale
293 hab. (2018 )
Densité 63 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 56′ 43″ nord, 2° 46′ 35″ est
Altitude Min. 40 m
Max. 95 m
Superficie 4,67 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Claye-Souilly
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Charmentray
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Charmentray
Géolocalisation sur la carte : France
Charmentray
Géolocalisation sur la carte : France
Charmentray

    Géographie

    Localisation

    Charmentray est situé à 9,5 km à ouest de Meaux[Carte 1].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Charmentray
    Charny Villeroy
    Trilbardou
    Fresnes-sur-Marne Précy-sur-Marne

    Hydrographie

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Charmentray.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de quatre cours d'eau référencés :

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 6,02 km[4].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11,4 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 2,9 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,7 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,3 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 712 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 1 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 1,1 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[5]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 38 km à vol d'oiseau[6], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[7] à 11,6 °C pour 1991-2020[8].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[9],[10].

    Un espace protégé est présent sur la commune : le « plan d'eau des Olivettes », objet d'un arrêté préfectoral de protection de biotope, d'une superficie de 131 ha[11].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[12].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Oiseaux »[13] : les « Boucles de la Marne », d'une superficie de 2 641 ha, un lieu refuge pour une population d’Œdicnèmes criards d’importance régionale qui subsiste malgré la détérioration des milieux[14],[15].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Charmentray comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2],[16], les « plans d'eau de Trilbardou » (278,86 ha), couvrant 3 communes du département[17] , et un ZNIEFF de type 2[Note 3],[16], la « vallée de la Marne de Coupvray à Pomponne » (3 619,57 ha), couvrant 17 communes du département[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Charmentray est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[19],[20],[21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire regroupe 1 929 communes[22],[23].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 32 lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés[24].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,6% ), eaux continentales[Note 7] (12% ), zones urbanisées (6,4 %)[25].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[26],[27],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

    Planification

    La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Roissy Pays de France, approuvé le et porté par la communauté d’agglomération Roissy Pays de France[28].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[29]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 111 dont 81,6 % de maisons et 16,6 % d'appartements[Note 8].

    Parmi ces logements, 92,8 % étaient des résidences principales, 1 % des résidences secondaires et 6,2 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 70,1 % contre 23,4 % de locataires et 6,5 % logés gratuitement[30].

    Transports

    La commune est desservie par la ligne d'autocars No 9 (MeauxMitry-Mory) du réseau de cars Transdev[31].

    Toponymie

    La commune a été mentionnée au Xe siècle sous le nom de Carmentundis vers 940[32] ; puis sous les formes Carmentriacum vers 1070[33] ; Charmentri en 1217[34] ; Charmentroiacum en 1222[35] ; Terra de Charmentreio en 1223[36] ; Charmentré en 1246[37] ; O. de Charmentario en 1256[38] ; Charmetreium en 1273[39] ; Charmenterium en 1291[40] ; Chermentré au XIIIe siècle[41] ; Charmentreyum en 1307[42] ; Charmentière en 1338[43] ; Chiermentré en 1418[44] ; Charmentrel en 1505[45] ; Charmentrey en 1514[46] ; Charmentré en France en 1540[47] ; Charmantré en 1569[48] ; Charmenteray en 1584[48] ; Charmantray en Brieau XVIIIe siècle[49],[50].

    Ce toponyme provient de l'agglutination du nom de personne gallo-romain carmentirus et du suffixe acum qui signifie : la « terre de carmentirus », du nom de la divinité gallo-romaine carmentis.

    Histoire

    D'après la tradition, un jeune prince mérovingien, peut-être l’un des fils du roi Chilpéric, est retrouvé mort, vers 570, près de la Marne, sans que la cause du décès, noyade, accident ou règlement de comptes, soit élucidée[51]. À l’emplacement de sa sépulture est élevée une première église dédiée à saint Symphorien. Disparue depuis, elle figure toutefois sur la carte de Cassini, à la fin du XVIIe siècle. À deux reprises, en 862 et en 888, des Normands, qui, sur leurs drakkars, remontent la Marne vers Meaux, dévastent le village. Des armes attestant leur passage sont mises au jour, en 1845, à l’occasion des travaux de percement du canal de l’Ourcq. À la fin du XIe siècle, en 1085, Oger, seigneur de Charmentray abandonne sa terre à l’abbaye de Saint-Faron de Meaux, alors qu’il y entre comme moine. Le fief figure dans les possessions du monastère jusqu’à la Révolution et attaché, un certain temps, à la fonction de trésorier, il est souvent désigné sous le nom de « trésorerie ». Depuis le Moyen Âge, une source, la « fontaine Sainte-Geneviève », est le but de processions auxquelles les enfants coquelucheux sont conduits pour obtenir leur guérison. Le dernier pèlerinage aurait eu lieu en 1863[51].

    À partir de 1420 jusqu'au début du XIXe siècle, les Courtier, descendants d'Oger, famille de laboureurs installée dans la région de Meaux, tiennent la ferme de Charmentray.

    L’un des membres de cette famille, Éléonore-Ambroise Courtier de Charmentray, né en 1772, effectue une brillante carrière militaire. Commandant de la garde nationale locale en 1790, il sert dans l’armée de Sambre et Meuse sous la 1re République, dans les armées de Hollande, de Vendée et surtout dans la Grande Armée pendant le Consulat et l’Empire. Il franchit tous les grades jusqu’à celui de colonel, que lui confère Napoléon en 1813. Il se retire en « demi-solde » à Charmentray après la bataille de Waterloo, où deux chevaux sont tués sous lui. En 1818, Louis XVIII lui confie à nouveau un commandement et le nomme « maréchal de camp ». En 1826, Charles X le fait baron, en remerciement de sa participation à la guerre menée en Espagne[51].

    Politique et administration

    Élections nationales

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    4 mai 1974 2014 Henri Lenfant    
    2014 En cours Bernard Lenfant[53]   Agriculteur

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [54],[55].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Charmentray est assurée par la communauté de communes Plaines et monts de France (CCPMF) pour la collecte et[56],[57],[58].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[59]. La communauté de communes Plaines et monts de France (CCPMF) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[56],[60].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SMAEP de Thérouanne, Marne et Morin (TMM) qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [56],[61],[62].

    Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Meaux[63].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[64]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[65].

    En 2018, la commune comptait 293 habitants[Note 9], en augmentation de 12,69 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    223243219214216205208200212
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    213219197174170169164196209
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    216229215162153143154147127
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    133135148190236234255258270
    2017 2018 - - - - - - -
    289293-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[66] puis Insee à partir de 2006[67].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • La Fête de l'oignon (vers septembre).
    • La Kermesse (vers mai/juin).

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 100, représentant 269 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 25 590 euros[68].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 48, occupant 152 actifs résidants.

    Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 78,2 % contre un taux de chômage de 5,7 %.

    Les 16,1 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 8,8 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 3,6 % de retraités ou préretraités et 3,6 % pour les autres inactifs[69].

    Entreprises et commerces

    En 2015, le nombre d'établissements actifs était de 25 dont 4 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 3 dans la construction, 15 dans le commerce-transports-services divers et 3 étaient relatifs au secteur administratif[70].

    Ces établissements ont pourvu 36 postes salariés.

    Agriculture

    Charmentray est dans la petite région agricole dénommée la « Goële et Multien », regroupant deux petites régions naturelles, respectivement la Goële et le pays de Meaux (Multien)[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 10] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[71].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[72]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 4 en 1988 à 2 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 126 ha en 1988 à 268 ha en 2010[71]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Charmentray, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Charmentray entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[71],[Note 11]
    Nombre d’exploitations (u) 4 3 2
    Travail (UTA) 8 7 6
    Surface agricole utilisée (ha) 502 564 536
    Cultures[73]
    Terres labourables (ha) 455 564 s
    Céréales (ha) 261 316 s
    dont blé tendre (ha) 237 303 s
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) s s
    Tournesol (ha) 50 s
    Colza et navette (ha) s s s
    Élevage[71]
    Cheptel (UGBTA[Note 12]) 0 0 0

    Culture locale et patrimoine

    L'église de la Sainte-Trinité.
    Le canal de l'Ourcq.

    Lieux et monuments

    • L'église placée sous le vocable de la Sainte-Trinité, reconstruite au XVIIe siècle contient plusieurs éléments classés au titre d'objet dont le retable du maître-autel avec un tableau de Jean Bardin[74].
    • Les berges du canal de l'Ourcq.
    • La rivière la Marne.

    Personnalités liées à la commune

    • Caroline-Eugénie Weber (1867-1945), actrice française a résidé de 1906 à sa mort dans la propriété des « Feuilles » au bord du canal de l'Ourcq.
    • Jean Bardin (1732-1809), peintre français[51].

    Héraldique

    Blason
    De gueules à la barre d'or accompagnée d'un épi de blé en chef et d'une fleur de lis en pointe, le tout du même.
    Détails

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    10. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    11. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    12. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Localisation de Charmentray, » sur Géoportail (consulté le 16 mai 2020)..
    2. « Charmentray - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    4. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Marne (F---0100) » (consulté le ).
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de la Marne (F6607501) » (consulté le ).
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Courset (F6604000) » (consulté le ).
    4. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 10 décembre 2018
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    6. « Orthodromie entre Charmentray et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    7. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    8. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    9. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le ).
    10. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    11. « le « plan d'eau des Olivettes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. « Réseau européen Natura 2000 », sur le site du Ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
    13. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Charmentray », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « Boucles de la Marne - ZPS - FR1112003 », sur www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr, 12 septembre 2019, modifié (consulté le ).
    15. « site Natura 2000 FR1112003 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    17. « ZNIEFF les « plans d'eau de Trilbardou » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF la « vallée de la Marne de Coupvray à Pomponne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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