Charny (Seine-et-Marne)

Charny est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Charny.

Charny

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité Communauté de communes Plaines et Monts de France
Maire
Mandat
Xavier Ferreira
2020-2026
Code postal 77410
Code commune 77095
Démographie
Gentilé Charnicois
Population
municipale
1 347 hab. (2018 )
Densité 110 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 58′ 13″ nord, 2° 45′ 42″ est
Altitude Min. 90 m
Max. 110 m
Superficie 12,20 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Claye-Souilly
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Charny
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Charny
Géolocalisation sur la carte : France
Charny
Géolocalisation sur la carte : France
Charny
Liens
Site web charny77.fr

    Géographie

    Localisation

    Charny est située à 6,5 km au nord-est de Claye-Souilly et à 10 km à l'ouest de Meaux.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

    Hydrographie

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Charny.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose essentiellement du ru de Courset, long de 6,8 km[2], qui conflue avec la Marne.

    Sa longueur totale sur la commune est de 2,37 km[3].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 2,6 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,2 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 706 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 1,2 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 0,5 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[4]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 41 km à vol d'oiseau[5], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[6] à 11,6 °C pour 1991-2020[7].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[8],[9],[10].

    Urbanisme

    Typologie

    Charny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 89 voies[Note 4] dont 47 lieux-dits administratifs répertoriés[16].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (96,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (84,8% ), mines, décharges et chantiers (10% ), zones urbanisées (5,2 %)[17].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[18],[19],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    Planification

    La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Roissy Pays de France, approuvé le et porté par la communauté d’agglomération Roissy Pays de France[20].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[21]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

    Logement

    En 2014, le nombre total de logements dans la commune était de 490 (dont 87,8 % de maisons et 11,2 % d’appartements).

    Parmi ces logements, 96,3 % étaient des résidences principales, 1,4 % des résidences secondaires et 2,3 % des logements vacants.

    La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 82,2 % contre 17,1 % de locataires[22].

    La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) était de 1,7 %[Note 5].

    Voies de communication

    Charny est proche de la RN 3 à environ km au sud, qui relie Paris à Meaux.

    On accède également à la commune par :

    • Le Plessis-aux-Bois au nord à 3,9 km par la D 54 ;
    • Messy à l’ouest à 4,6 km par la D 139.

    Transports en commun

    Toponymie

    • Formes anciennes : Carni en 1170, Charniacum en 1200, Charneiacum en 1217, Charneyum en 1246, Cherny et Chargniacum au XVe siècle, Charny en France en 1540[23].

    Forme latinisée de charne, désigne un « lieu planté de charmes ».

    Histoire

    Situé au milieu d’une grande plaine fertile, Charny, comme les villages voisins, attire très tôt les agriculteurs et, au début de notre ère, des villas gallo-romaines s’y implantent. Au Moyen Âge, le territoire est partagé entre plusieurs fiefs, devenus depuis des exploitations agricoles : Beauvais, Maupertuis ou Rabaches.

    Le président de la République Jules Grévy habite, pendant quelques années, le « château », grande maison bourgeoise entourée d’un parc et située au centre du village. Par la suite, un orphelinat et une maison de retraite y sont installés. Créés par « l’entraide sociale des ouvriers et ouvrières des manufactures de tabac de France », ils sont inaugurés, le , par M. Caillaux, alors ministre des Finances. L’institution disparaît au milieu des années 1950, et le bâtiment est acquis par la commune en 1992.

    Cinq grandes fermes et trois plus petites pratiquent encore une polyculture intensive, avec prédominance de céréales. L’élevage, autrefois très important, est complètement abandonné. Pendant près de quatre-vingt-dix ans, une râperie, fermée dans les années 1950, transforme en jus les betteraves produites en plaine, avant de les envoyer par canalisation souterraine vers la sucrerie de Villenoy[24].

    Les Templiers et les Hospitaliers

    Peu de temps après la fondation de leur Ordre, les Templiers installent, à proximité du village, en un lieu nommé Soisy ou Choisy, une commanderie dont l’existence est attestée dès 1168. Charny vit à l’ombre de cette dernière et dans un acte de 1491, le village est même nommé Chary-lez-Choisy, Charny près de Choisy. Au XVe siècle, ce domaine consiste en un « beau bâtiment avec chapelle et quarante arpents (environ 15 hectares) entourés de murs flanqués neuf tourelles avec six cents arpents (environ 230 hectares) de terre aux alentours »[24].

    Après la suppression de l’ordre du Temple, le domaine revient aux Hospitaliers de ordre de Saint-Jean de Jérusalem, il est ensuite vendu comme bien national durant la Révolution, puis le mur d’enceinte et les tourelles sont détruits. Deux fermes, connues sous le nom de Choisy-le-Temple, se partagent désormais les bâtiments et les terres de l’ancienne commanderie.

    Politique et administration

    Élections nationales

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1949 1959 Ernest Auperin    
    1959 1968 Pierre Vasseur    
    avril 1968 mai 1968 Marie-Thérèse Proffit    
    mai 1968 septembre 2000[26] Jean-Claude Laurent   Agriculteur
    Décédé en fonction
    2000 En cours
    (au 15 février 2016)
    Xavier Ferreira DVD Vice-président de la CC Plaines et Monts de France (2016 →)
    Réélu pour le mandat 2014-2020[27]
    Les données manquantes sont à compléter.

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [28],[29].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Charny est assurée par la communauté de communes Plaines et Monts de France (CCPMF) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [30],[31],[32].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[33]. La communauté de communes Plaines et Monts de France (CCPMF) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à l'entreprise Suez, dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2022[30],[34].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SMAEP de Thérouanne, Marne et Morin (TMM) qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [30],[35],[36].

    Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Meaux[37].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].

    En 2018, la commune comptait 1 347 habitants[Note 6], en augmentation de 7,76 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    490440479429480431432419454
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    450440450455480430443417400
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    418469451355483504534603531
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    4974176197538851 1501 1831 1921 201
    2013 2018 - - - - - - -
    1 2501 347-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Charny dispose d’une école primaire publique comprenant une section maternelle et une école élémentaire, située dans le bourg (1 rue de la Mairie).

    Cet établissement public, inscrit sous le code 0771082H, comprend 143 élèves (chiffre du Ministère de l'Éducation nationale)[42], et dispose d’un restaurant scolaire[43]

    La commune dépend de l'Académie de Créteil ; pour le calendrier des vacances scolaires, Charny est en zone C.

    Économie

    Charny est composée d'une Zone d'Activités en bordure du village regroupant une société de transports en commun, TVF, qui fut rachetée au cours des années 2000 par l'entreprise Veolia. Il y a également dans la Z.A. un garage ainsi que d'autres entreprises plus petites. Dans le village se trouvent la boutique Effets de Scène, qui fait salon de coiffure en même temps que farces et attrapes ; deux bars-tabacs dont un fait librairie, une boulangerie, un mini-marché, une poste, deux cabinets de médecin, une pharmacie ainsi que d'autres sociétés dont des indépendants. Un marché s'établit sur la place devant la mairie les vendredis de 16 h à 20 h, proposant des produits très divers.

    Revenus de la population et fiscalité

    Le nombre de ménages fiscaux en 2014 était de 467 représentant 1 280 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 25 662 [22].

    Emploi

    En 2014, le nombre total d’emploi dans la zone était de 373, occupant 663 actifs résidents (salariés et non salariés) .

    Le taux d’activité de la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 81,8 % contre un taux de chômage (au sens du recensement) de 6,3 %. Les inactifs se répartissent de la façon suivante : étudiants et stagiaires non rémunérés 8,5 %, retraités ou préretraités 6,9 %, autres inactifs 2,8 %[22].

    Entreprises et commerces

    En 2015, le nombre d’établissements actifs était de cent-six dont six dans l’agriculture-sylviculture-pêche, cinq dans l’industrie, quinze dans la construction, soixante-deux dans le commerce-transports-services divers et dix-huit étaient relatifs au secteur administratif[22].

    Agriculture

    Charny est dans la petite région agricole dénommée la « Goële et Multien », regroupant deux petites régions naturelles, respectivement la Goële et le pays de Meaux (Multien)[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 7] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[44].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[45]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 9 en 1988 à 5 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 132 ha en 1988 à 264 ha en 2010[44]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Charny, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Charny entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[44],[Note 8]
    Nombre d’exploitations (u) 9 9 5
    Travail (UTA) 27 21 13
    Surface agricole utilisée (ha) 1 188 1 140 1 321
    Cultures[46]
    Terres labourables (ha) 1 098 1 131 1 318
    Céréales (ha) 602 653 687
    dont blé tendre (ha) 499 522 584
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) s s 64
    Tournesol (ha) 42
    Colza et navette (ha) 84 52 s
    Élevage[44]
    Cheptel (UGBTA[Note 9]) 9 23 0

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Léger.

    Monuments historiques

    • Église Saint-Léger : l’église primitive daterait du XIIIe siècle, mais en 1782, en raison de son mauvais état, elle est démolie et reconstruite entièrement sur le même emplacement. Extérieurement, elle se présente sous la forme d’un bâtiment sans bas-côtés, prolongé par deux chapelles rondes qui encadrent le chevet, lui-même arrondi. L’autel est inscrit à l’Inventaire supplémentaire des Monuments historiques[24],[47]
    • Monument aux morts : le monument aux morts est érigé au fond de l’allée centrale du cimetière[24].

    Héraldique

    Blason
    Mi-parti : d'argent à la croix alésée et pattée de gueules et de gueules à la croix fleur-de-lisée d'argent cantonnée de quatre billettes du même.
    Ornements extérieurs
    Posé sur une gerbe de blé en pal.
    Détails
    Conçu par Jean-Paul DENEF en 2002[48].
    Adopté par le conseil municipal en 2002.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Trois annulations en 1993, 1994 et 2001.
    5. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    7. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    8. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    9. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Charny - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Plan séisme consulté le 24 octobre 2017 ».
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Courset (F6604000) ».
    3. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 11 décembre 2018
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    5. « Orthodromie entre Charny et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    6. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    7. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    8. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Charny », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    9. « Liste des ZNIEFF de la commune de Charny », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    10. « Liste des espaces protégés sur la commune de Charny », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    11. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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    23. Dictionnaire topographique de la France, page 107
    24. « CHARNY », sur http://www.histoireclaye77.org (consulté le ).
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    48. le blason sur le site de la mairie (consulté le 31/05/2013)
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