Andrésy

Andrésy est une commune française située dans le département des Yvelines, chef-lieu de canton, arrondissement de Saint-Germain-en-Laye, en région Île-de-France à 20 kilomètres de Paris.

Andrésy

L'hôtel de ville.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Saint-Germain-en-Laye
Intercommunalité CU Grand Paris Seine et Oise
Maire
Mandat
Lionel Wastl
2020-2026
Code postal 78570
Code commune 78015
Démographie
Gentilé Andrésiens
Population
municipale
13 078 hab. (2018 )
Densité 1 893 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 58′ 47″ nord, 2° 03′ 33″ est
Altitude 30 m
Min. 17 m
Max. 168 m
Superficie 6,91 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Conflans-Sainte-Honorine
Législatives 7e circonscription des Yvelines
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Andrésy
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Andrésy
Géolocalisation sur la carte : France
Andrésy
Géolocalisation sur la carte : France
Andrésy

    Géographie

    Situation

    Andrésy est une commune riveraine de la Seine, qui se trouve sur la rive droite du fleuve au confluent de l’Oise, dans le nord-est des Yvelines, près de la limite du Val-d'Oise. Elle se situe à dix kilomètres environ au nord-ouest de Saint-Germain-en-Laye, chef-lieu d'arrondissement et à vingt-cinq kilomètres environ au nord-ouest de Versailles, préfecture du département.

    Le territoire communal englobe une île de la Seine, l’île Nancy, ainsi qu’une bande de terre sur la rive gauche de la Seine, limitrophe d’Achères.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap.
    Carte topographique.
    Carte avec les communes environnantes.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Maurecourt au nord, Chanteloup-les-Vignes à l’ouest, Carrières-sous-Poissy au sud et à l’est Achères sur la rive gauche de la Seine et Conflans-Sainte-Honorine sur la rive gauche de l’Oise. Andrésy est également proche de l’agglomération nouvelle de Cergy-Pontoise au nord ainsi que de la ville de Poissy au sud.

    Hydrographie

    Vue sur le pont de Conflans sur la Seine.

    Andrésy appartient au bassin versant de la Seine.

    Le territoire longe la rive droite de l'Oise sur environ un kilomètre, la rive droite de la Seine sur environ quatre kilomètres et la rive gauche sur environ 2,5 kilomètres.

    Au droit d'Andrésy la Seine est divisée en deux bras, le bras principal côté rive gauche sur lequel se trouve le barrage d'Andrésy équipé de deux écluses, et le bras d'Oise ou bras d'Andrésy côté rive droite. Ce dernier, long de 4,9 km se prolonge vers le sud sur le territoire de Carrières-sous-Poissy le long de l'île de la Dérivation[1].

    L'île d'Andrésy, longue d'environ trois kilomètres et large de 100 à 300 mètres, est formée par la soudure de plusieurs îles. Dans sa partie nord, VNF a construit en une échelle à poissons sous la forme d'une rivière artificielle de 180 mètres de long et dix de large, pour permettre aux poissons migrateurs de contourner le barrage[2].

    La commune est concernée par les risques d'inondations liés aux crues de la Seine et de l'Oise. Côté ville, les zones inondables se situent surtout dans le secteur nord-est de la commune près du confluent. L'île Nancy et le territoire de la rive gauche sont totalement en zone inondable.

    Dans le cadre du « plan de prévention des risques d’inondation (PPRI) de la vallée de la Seine et de l'Oise, les zones inondables ont été classées en zone verte, rouge ou bleue selon l'importance de l'exposition aux risques d'inondation. La zone verte, très exposée et peu urbanisée ou restée à l'état naturel voit son urbanisation interdite pour préserver le champ d’expansion de crue de la Seine ; il s'agit de l'île Nancy en quasi-totalité et du secteur de rive gauche en partie. Les zones rouge et bleue concernent des secteurs également exposés mais déjà urbanisés où toute nouvelle urbanisation est interdite, mais où l'entretien et le renouvellement des installations existantes peuvent être autorisés sous certaines conditions, lesquelles sont plus strictes en zone rouge où l'aléa inondation est plus élevé[3].

    Transports et déplacements

    La navigation sur la Seine devient un enjeu majeur à partir de 1837. À cette date, une première loi sur le perfectionnement de la Seine est votée, puis en 1946, la canalisation de cette dernière est votée. Le cours de la Seine offre un mouillage de 1,60 mètre et une navigation plus facile. Le trafic devient alors important.

    La ville est desservie par deux gares de banlieue situées sur la ligne Paris-Saint-Lazare-Mantes-la-Jolie via Conflans-Sainte-Honorine : la gare d'Andrésy et la halte de Maurecourt, ainsi que par la gare du RER située à Conflans Fin d’Oise. Elle est aussi desservie par cinq lignes de bus, qui rejoignent les villes limitrophes.

    Sur le plan routier, la route départementale 55, établie à la limite ouest de la commune, constitue une voie de contournement de la ville entre le nord et le sud. Le pont Boussiron de la route départementale 48 relie la ville à Conflans-Sainte-Honorine.

    Géologie

    La colline sur laquelle repose Andrésy s'élève jusqu'à 190 mètres. Elle est recouverte de meulières, reposant sur 50 mètres de sable. S'ensuit une couche imperméable d'argiles et de marnes, qui retient une nappe aquifère. À la base, on découvre une épaisse couche de gypse sur un lit de calcaire lutétien[4].

    Climat

    Andrésy, à l'instar de la ville de Poissy jouit comme toute l'Île-de-France d'un climat océanique dégradé. La température moyenne annuelle est de 10,7 °C. Les mois les plus froids sont décembre et janvier avec 0 à 5 °C et les plus chauds, juillet et août avec 20 à 25 °C (moyenne journalière). La moyenne des précipitations annuelles est de 695 millimètres[5].

    Urbanisme

    Typologie

    Andrésy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8].

    Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[9] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[10],[11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[12],[13].

    Utilisation du territoire

    Occupation des sols en 2008.
    Type d'occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Espace urbain construit 36,4 % 253,50
    Espace urbain non construit 7,5 % 51,89
    Espace rural 56,1 % 390,92
    Source : Iaurif

    Avec 696 hectares, soit moins que la moyenne yvelinoise de 872 hectares, le territoire communal est relativement restreint. Il est majoritairement rural, à 56,1 %, l'espace urbain construit occupant 254 hectares, soit 36,4 % du territoire total[14].

    L'espace rural se partage sensiblement à parts égales entre bois et forêts sur 130 hectares (18,6 % du territoire communal) et l'agriculture sur 135 hectares, soit 19,5 % du territoire, dont la grande majorité (121 hectares) en grandes cultures, céréales, colza, le reste comprenant des cultures maraîchères.

    La partie boisée se trouve d'une part sur les hauteurs du nord-ouest de la commune, qui appartiennent au bois de l'Hautil, massif forestier qui couvre au total 1 250 hectares sur huit communes, et d'autre part dans l'île Nancy qui est très boisée.

    L'espace urbain ouvert, consacré aux parcs et jardins et terrains de sports, est relativement limité avec 52 hectares, soit 7,5 % du territoire.

    La surface consacrée à l'habitat couvre 196 hectares (28,2 % de la superficie totale) et comprend essentiellement des habitations individuelles qui s'étendent sur 167 hectares.

    L'habitat collectif couvre environ 29 hectares, notamment dans le centre ancien et dans le nord-est de la commune.

    Les activités économiques et commerciales occupent 14 hectares (soit 2,1 % du territoire total). Ces implantations sont consacrées pour un cinquième à des bureaux.

    Habitat

    Logements[15]Nombre en 2007 % en 2007nombre en 2012 % en 2012nombre en 2017 % en 2017
    Total5 323100 %5 347100 %5 810100 %
    Résidences principales4 93592,7 %4 90491,7 %5 42093,3 %
    → Dont HLM51710,5 %60312,3 %73313,5 %
    Résidences secondaires et
    logements occasionnels
    911,7 %891,7 %370,6 %
    Logements vacants[Note 3]2975,6 %3546,6 %3536,1 %
    Dont :
    → maisons2 57548,4 %2 63349,3 %2 67846,1 %
    → appartements2 70450,8 %2 66449,8 %3 06652,8 %

    Entre 1949 et 1967, Andrésy connait une forte expansion de la construction d'habitat pavillonnaire. Après 1970, face à l'augmentation massive de la population, la commune se partage entre habitat individuel (44 %) et collectif, contrairement aux communes limitrophes, telles que Maurecourt ou Chanteloup-les-Vignes, où l'habitat collectif est prôné[16].

    Toponymie

    Le tout premier nom d'Andrésy, au IVe siècle, fut Anderitianorum Parisiis, « le grand gué des Parisiis », du gaulois ande, « grand », et ritu, « gué »[17],[18],[19].

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Onresiacus villa en 851[20], Undresiacum[21] et Andriziacum au XIe siècle[21] et Andresiacum en 1190[21], Andresi au XIIIe siècle[21].

    Il s'agit d'une formation toponymique en -(i)acum, dont le premier élément Andrés- représente un anthroponyme.

    Peut-être le nom de personne germanique Unricus[22], tombé plus tard dans l'attraction du prénom André.

    Histoire

    Au Ier siècle av. J.-C., Jules César et les Romains installent, sous le nom de Classis Anderitianorum, une flotte chargée de surveiller le confluent entre Seine et Oise. Les Andéritiens s'installèrent définitivement en aval du confluent et donnèrent le nom de Undresiacum à leur campement, qui deviendra par la suite Andresiacum, Anderita puis « Andrésy »[23].

    Sous le règne de l'Empereur romain Dèce (249-251), les Andéritiens, devenus alors polythéistes se convertissent à la fin du IVe siècle par saint Nicaise venu évangéliser les bords de Seine[23].

    En l'an 500, Clovis fait don de la terre d'Andrésy, par un acte royal à l'évêché de Paris, qui en assure protection et sécurité. Cette donation fut confirmée six fois de Charlemagne à Charles VII[23].

    À partir de cette époque, les Andéritiens enterrent leurs morts à flanc de coteau, d'abord en pleine terre puis dans des sarcophages. En 1890, lors de la construction de la voie ferrée Argenteuil-Mantes, une nécropole de 492 tombes fut découverte. Certains sarcophages renfermaient bijoux, poteries et fragments d'habits. Ils sont actuellement conservés au Musée de l'archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye ainsi qu'au musée archéologique du Val-d'Oise à Guiry-en-Vexin[23].

    Pendant tout le Moyen Âge, le bourg féodal fut très important. Il est en effet dans la liste des lieux où le roi se doit d'avoir un gîte. De petites fortifications ont été construites : quatre portes principales, où se tenaient les corps de garde, fermaient le village. D'autres portes non gardées étaient fermées par les villageois eux-mêmes à la tombée de la nuit, afin de préserver le bourg des pillards ou des animaux sauvages[23].

    Un diplôme de Chilpéric, en 710, est daté d'« Andresy ».

    Pendant la guerre de Cent Ans, le village fut occupé par les Anglais, de 1346 à 1423, jusqu'à sa libération par Charles VII en 1441. Pourtant lors du traité de Brétigny, en 1360, le parlement de Paris décide que la seigneurie d'Andrésy-Jouy-le-Moutier contribuerait pour une cotisation de 24 livres pour la délivrance du roi Jean. Les seigneurs Mathieu de Villette et Guy de Guibray furent chargés de percevoir la cotisation et de la faire parvenir au Trésor.

    En 1592, Andrésy fut l'un des villages choisis pour tenir des conférences au sujet de la conversion de Henri IV.

    À partir de 1450 environ, le village appartient à la famille de Lisle. Elle y possède un château (à l'emplacement du centre culturel) Le , Joachim de Lisle, marquis d'Andrésy, seigneur de Boisemont, Puiseux et Courdimanche[24] y mourut et y fut enterré. Son fils Charles de Lisle qui en hérita vendit la terre d'Andrésy au marquis de Louvois et au chapitre de Paris. En 1775, le domaine devient la propriété de la famille de Bourbon-Condé puis en 1779, de la princesse Marie-Charlotte de Rohan-Bourbon, puis de Marie-Louise de Rohan-Soubise, gouvernante des enfants de France. Par la suite, les chanoines du chapitre de Paris échangèrent la terre de Vélizy contre celle d'Andrésy et en restèrent les seuls propriétaires jusqu'à la Révolution française.

    À la fin du XVIIIe siècle, le château est détruit pour être reconstruit vers 1820 et transformé en maison de campagne. Il est ensuite transformé en manufacture d'articles de Paris, acquise par la municipalité en 1873, pour y installer la mairie, les services communaux, l'école des garçons, et en 1888, l'école des filles. En 1948, la bâtisse est transformée en centre culturel[25].

    Vendanges à Andrésy en 1883.

    À la Révolution, Andrésy comprend encore Maurecourt. Le village possède un grand vignoble (341 hectares) et des terres cultivables (322 hectares) : on cultive alors les céréales, les pommes de terre, la vigne et il y a de belles prairies. On y recense 1055 habitants. Le , une délibération du district de Saint-Germain-en-Laye détache Maurecourt du territoire d'Andrésy. De même, Denouval est séparé de Chanteloup et rejoint Andrésy. Trois ans plus tard, la ville voit ses portes détruites, les bâtiments et les terres sont vendus à M. Durupt-Baleine de Versailles.

    Après la prise de pouvoir de Napoléon Ier, les habitants de la commune doivent supporter l'occupation des Alliés et subir leurs réquisitions. En 1827, le général Louis Lepic meurt dans sa maison de notable, dite château Lepic[26], à Andrésy.

    Au XIXe siècle, sont construits des barrages sur la Seine : un à Notre-Dame-de-la-Garenne (Saint-Pierre-la-Garenne), un à Poses, un à Meulan et deux à Andrésy même. Le premier, non éclusé, en amont à la tête de l'île de Nancy, et un autre à Denouval, mobile et éclusé. La ville connaît un trafic important. Très vite, on installe un premier service régulier de remorquage destiné à pallier l'absence de touage sur le cours de l'Oise[27]. De nombreux mariniers viennent alors vivre dans la commune, non loin de la Seine.

    À partir de cette époque, la ville développe sa batellerie. À l'instar de Conflans-Sainte-Honorine, Andrésy devient une cité batelière. Au quartier de Fin-d'Oise, il a été sauvegardé le bâtiment de la « Société Générale de touage et de remorquage de la Seine et de l'Oise ». Jusqu'en 1870, la ville connait une forte prospérité. Lorsque la guerre éclate, deux divisions prussiennes séjournent dans la région mais n'ont pas habité Andrésy[28].

    En 1892, la gare d'Andrésy-Chanteloup est ouverte, puis deux ans plus tard, la halte de Maurecourt. La population parisienne profite de ces ouvertures pour voyager et découvrir les bords de Seine. Des restaurants, guinguettes s'y installent. Se développent alors de nombreuses infrastructures : les adductions d'eau, la transformation des lanternes de pétrole, et le téléphone en 1898. S'ensuit l'arrivée des premières automobiles. Parallèlement, la production agricole s’accroît : on y compte 203 exploitations agricoles. La vigne y est prédominante avec une production de 3 000 hectolitres par an[28]. À partir de cette époque, de nombreuses célébrités viennent vivre dans la commune : Caroline Otéro, actrice de variétés, l'écrivain Julien Green, le journaliste George Delamare.

    Plaque commémorative sur le site du Manoir de Denouval.

    Entre 1904 et 1908, le manoir de Denouval fut construit par Pierre Sardou, fils du dramaturge Victorien Sardou. De 1945 à 1949, ce manoir fut la propriété de la Commission centrale de l'enfance (CCE) auprès de l'Union des juifs pour la résistance et l'entraide (UJRE), organisme qui s'occupe de recueillir des orphelins victimes de la persécution des juifs dans des foyers situés notamment à Andrésy, Arcueil, Montreuil, le Raincy, Livry-Gargan et Aix-les-Bains[29]. Environ deux cents enfants au total y ont séjourné. Une plaque commémorative en l'honneur de leurs parents est apposée sur un mur extérieur du site, rue du Général-Leclerc.

    Pendant la Première Guerre mondiale, la commune accueillit des troupes en cantonnement. 69 Andrésiens sont morts pendant ce conflit. Leurs noms sont inscrits sur le monument aux morts.

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Allemands s'installent à Andrésy à partir du [30]. Le , le bombardement du quartier de Denouval par l’aviation alliée cause 33 morts parmi la population. La ville est libérée le .

    Après la guerre, la population quintuple. En conséquence du découpage du département de Seine-et-Oise par la loi du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, Andrésy appartient au département des Yvelines depuis le 1er janvier 1968.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Rattachements administratifs

    Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[31], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Saint-Germain-en-Laye, après un transfert administratif effectif au .

    Elle faisait partie de 1801 à 1964 du canton de Poissy, année où elle intègre le canton de Conflans-Sainte-Honorine de Seine-et-Oise puis des Yvelines. En 1985, la ville devient le chef-lieu du canton d'Andrésy[32]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Conflans-Sainte-Honorine.

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la septième circonscription des Yvelines.

    Intercommunalité

    Andrésy était membre de la communauté d'agglomération des Deux Rives de Seine, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2006.

    Dans le cadre des prescriptions de la loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles (loi MAPAM), qui impose la création de territoires d'au moins 200 000 habitants[réf. nécessaire] dans la grande couronne de Paris, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise (GP S&O) qui regroupe 73 communes et environ 400 000 habitants, et dont Andrésy est désormais membre.

    Tendances politiques et résultats

    Lors du second tour des élections municipales de 2020[33], où le maire sortant Hugues Ribault (DVD) ne se représentait pas, la liste menée par Lionel Wastl (EELV) obtient 44,97 % des suffrages exprimés, devançant celle , de Virginie Muneret (SE, 40,28 %) et celle de l'ancien maire-adjoint aux finances Denis Faist, soutenu par le maire sortant (DVD, 14,73 %)[34].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[35],[36]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1947 Georges Pelé   Clerc de notaire
    1947 1947 Marthe Coquelin    
    1947 1959 Georges Wattiau    
    mars 1959 mars 1977 Jean-Jacques Peyré    
    mars 1977 mars 1983 Jean-François Thil PS Cadre bancaire
    mars 1983 juin 1995 Marie-Jane Pruvot UDF  
    juin 1995 mars 2001 Jean-François Thil PS Cadre bancaire
    mars 2001 juillet 2020[37] Hugues Ribault DL puis
    UMPLR
    Chef d'établissement retraité
    Conseiller général d'Andrésy (2001 → 2011)
    Vice-président de la CC puis CA des Deux Rives de Seine (2006 → 2015)
    juillet 2020[38] En cours
    (au 21 juillet 2020)
    Lionel Wastl EÉLV Enseignant dans un lycée de Conflans-Sainte-Honorine
    et en classe préparatoire à Cergy

    Politique de développement durable

    La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2009[39].

    Jumelages

    Andrésy est jumelée avec les communes de :

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[40],[Note 4]

    En 2018, la commune comptait 13 078 habitants[Note 5], en augmentation de 6,77 % par rapport à 2013 (Yvelines : +1,62 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0791 017938895919942862945937
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9079529399429709621 1171 2561 265
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3231 3101 4691 7591 9772 2342 4562 9683 279
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    4 1894 8768 92711 18512 54812 48512 55811 98012 924
    2018 - - - - - - - -
    13 078--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (19 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois supérieur au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,1 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 48,9 % d’hommes (0 à 14 ans = 21,8 %, 15 à 29 ans = 17,8 %, 30 à 44 ans = 23,8 %, 45 à 59 ans = 19,5 %, plus de 60 ans = 17,2 %) ;
    • 51,1 % de femmes (0 à 14 ans = 18,3 %, 15 à 29 ans = 17,2 %, 30 à 44 ans = 22,8 %, 45 à 59 ans = 20,9 %, plus de 60 ans = 20,7 %).
    Pyramide des âges à Andrésy en 2007 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90  ans ou +
    1,1 
    4,1 
    75 à 89 ans
    6,2 
    12,8 
    60 à 74 ans
    13,4 
    19,5 
    45 à 59 ans
    20,9 
    23,8 
    30 à 44 ans
    22,8 
    17,8 
    15 à 29 ans
    17,2 
    21,8 
    0 à 14 ans
    18,3 
    Pyramide des âges du département des Yvelines en 2007 en pourcentage[43]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90  ans ou +
    0,9 
    4,3 
    75 à 89 ans
    6,6 
    11,2 
    60 à 74 ans
    11,6 
    20,3 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,1 
    30 à 44 ans
    21,5 
    19,9 
    15 à 29 ans
    18,9 
    21,9 
    0 à 14 ans
    19,8 

    Vie culturelle

    La commune offre un espace culturel Saint-Exupéry, qui propose des animations et des spectacles variés. Elle a mis en place une bibliothèque, des ateliers artistiques, une école de musique et de danse, et une cyber-base[réf. nécessaire].

    Santé

    La commune propose de nombreux professionnels de santé : ambulances, ophtalmologue, cardiologue, orthophoniste, dentiste, pédiatre, dermatologue, pédicure podologue, gastro-entérologue, gynécologue, phlébologue, infirmier, prothésiste dentaire, kinésithérapeute, psychiatre, psychologue, sophrologue, médecin généraliste, stomatologue, opticien, vétérinaire…[réf. nécessaire]

    Enseignement

    Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (août 2020). 
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    La commune dispose de six écoles maternelles et quatre écoles élémentaires, qui accueillent 1 400 enfants[Quand ?].

    Le collège Saint-Exupéry regroupe environ 1 000 élèves[44]. La ville disposait aussi du Centre des formations industrielles de la chambre de commerce et d'industrie de Paris. Existant depuis 1932, ce centre de formation d'apprentis a fermé ses portes en . Il devrait être démoli au profit d'un projet immobilier. Cette école accueillait des formations en mécanique automobile et poids lourds, en transport routier, en logistique, en horticulture, en chauffagiste et climatique, en acoustique architecture et menuiserie, et en électrotechnique. Le site dispose d'un internat en meulière classé, ainsi que son jardin, vendu dans le cadre associatif à la CCIP, d'une cantine, d'un gymnase, d'un terrain de football et d'un magnifique jardin...une perte inestimable pour le secteur de l'apprentissage que le gouvernement tente cette année de relancer.

    Sports

    La ville propose de nombreuses activités sportives à ses habitants : Triathlon, billard, basket-ball, cyclisme, tennis de table, pêche, aviron, natation, danse, judo, football, gymnastique, karaté, équitation, roller, volley-ball et yoga[45].

    Chaque dernier dimanche de novembre ont lieu les 20 Bornes d'Andrésy. Ce semi-marathon (et aussi 10 km, 5 km, et 2 km) fait courir environ 2 000 personnes à travers les rues d'Andrésy.[réf. nécessaire]

    Associations

    La commune regroupe différentes associations : Anciens Combattants, Associations Culturelles, Associations d'Usagers et d'Environnement, Associations de Commerçants, Associations Scolaires, et Associations Sociales[réf. nécessaire].

    Lieux de cultes

    • Culte catholique en la paroisse catholique, située en centre-ville.

    Manifestations culturelles et festivités

    La ville participe au concours des villes et villages fleuris et possède deux fleurs en 2007[46] ainsi que deux libellules du label Ville Nature.

    Chaque année, la ville organise un rassemblement de voitures anciennes. En 2016, l'ancien rugbyman Sébastien Chabal y assiste d'ailleurs[47].

    Économie

    En 1846, Jacques louis Lemaire-Daimé, manufacturier achète l'ancienne propriété de la comtesse de Marsan pour y installer une manufacture d'articles de Paris. Cette usine produisait des pétards, en papier et des articles pour fumeurs. Parallèlement, il fait construire une école pour garçons, pour y enseigner l'art du tourneur, le découpage, l'estampage des métaux[48]. Après la Première Guerre mondiale, en 1919, J.E. Jonhson fait construire une fabrique de clous et un atelier de serrurerie, qui cessa son activité en 1980, pour être détruite en 2007.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Chevet de l'église.

    Andrésy compte trois monuments historiques sur son territoire :

    • Église Saint-Germain, boulevard Noël-Marc (classée monument historique par arrêté du [49]) : Son noyau est un édifice gothique de plan allongé, avec un vaisseau central avec triforium et fenêtres hautes, et deux bas-côtés, le tout voûté d'ogives, et se terminant par un chevet plat. Hormis sa grande fenêtre du chevet, qui fut aménagée après coup, la période de construction de cette église de dimensions considérables et de belle facture peut être située entre la fin du XIIe et le premier quart du XIIIe siècle.
      Comme la plupart des grandes églises de la région, elle subit des modifications de structure après la guerre de Cent Ans. À partir de 1517, la moitié orientale du bas-côté sud est reconstruite, et munie de quatre petites chapelles rectangulaires, le tout dans le style gothique flamboyant. Une génération plus tard, sous le règne de François Ier, un agrandissement de plus grande envergure est entrepris du côté nord. Pour l'adjonction d'un vaste collatéral, presque aussi large que la nef et son bas-côté sud réunis, l'ancien bas-côté nord est démoli, et l'élévation septentrionale du vaisseau central est successivement reprise en sous-œuvre. Le collatéral Renaissance est remarquable pour ses chapiteaux évoquant Saint-Maclou de Pontoise et trois verrières datant en partie d'origine, mais ses proportions sont peu favorables, tant pour l'aspect trapu que pour la stabilité. Deux autres verrières du XVIe siècle subsistent dans le bas-côté sud[50].
    • Demeure dite Rêve Cottage, 18 avenue de Fin-d'Oise (inscrite monument historique par arrêté du [51]) : ce pavillon de plan polygonal irrégulier, accolée à une maison plus ancienne, proviendrait de l'Exposition universelle de 1900. Des panneaux en céramique signés H. Cannes recouvrent l'ensemble des élévations extérieures, et évoquent l'Asie d'est. Ils ont été fabriqués par Villeroy & Boch. À l'intérieur, plus grande chose du décor d'origine ne subsiste. Le soubassement rustique, en ciment armé gravé de branchages feints, n'a été créé qu'au moment du transfert du pavillon vers Andrésy. Il le met au même niveau que la salle à manger de la maison attenante[51].

    On peut également signaler :

    Le barrage-écluse.
    • Le barrage-écluse d'Andrésy, en aval immédiat du confluent de la Seine et de l'Oise au point kilométrique 72.500, remplace un premier barrage à aiguilles construit en 1845. C'est un barrage à vannes levantes / abaissantes type wagon. Il comporte trois passes navigables de 30,50 m. Son inauguration et mise en service intervient en . À partir de novembre 1959, le barrage ancien est démonté. En période de crue, lorsque qu'il y a égalité des biefs aval et amont, et une tendance à la hausse, les vannes des trois passes sont levées en partie haute de l'ouvrage. La navigation s'effectue ainsi directement par le barrage.
    • La construction de l'écluse à grand gabarit de 185 × 24 × 5 m d’Andrésy a commencé en 1970. Les travaux de construction se sont poursuivis jusqu'en 1975 avec la réalisation de nouveaux abords. Sans qu'il y ait de date officielle de mise en service de l'ouvrage, la date à retenir est le , jour où le premier bateau, le pousseur Okapi, a été éclusé.
    • Dès 1989, la ville s'est dotée d'une zone de protection du patrimoine architectural et urbain (loi de décentralisation du qui crée les ZPPAU devenues les ZPPAUP depuis 1993)[53] : certains espaces architecturaux, urbains ou paysagers sont donc protégés.
    • Vestiges d’un cimetière mérovingien.
    • Château du Faÿ, XVe siècle.
    • Château de la Barbannerie.
    • Manoir de Denouval. Il fut construit entre 1904 et 1908, à l'instigation de sa propriétaire madame Sarah Hershey Marsh, par Pierre Sardou architecte en chef des Monuments historiques et fils du dramaturge Victorien Sardou[54].
    • La mairie : le bâtiment, de style Louis XV, a été édifié par Jean Anatolie en 1861. Les aménagements du jardin (grotte, kiosque, etc.) ont disparu avec le temps.
    • Collège Saint-Exupéry, des architectes Philippe Ameller et Jacques Dubois, 2008.

    Personnalités liées à la commune

    Chemin montant. Un coin du village d'Andrésy, 1875, par Alfred Sisley.
    • Alfred Sisley, peintre impressionniste, a peint Chemin montant. Un coin du village d'Andrésy en 1875.
    • Ludovic-Napoléon Lepic (1839-1889) membre fondateur des impressionnistes, graveur, peintre, archéologue, séjours fréquents dans la propriété familiale d'Andrésy, est enterré à Andrésy.
    • le général Lepic (1765-1827) a terminé sa vie à Andrésy où il s’était retiré en 1815.
    • Joseph-Thadeus Winnerl (1799-1886), chronométrier de marine, a passé à Andrésy la fin de ses jours[55].
    • Charles Infroit (1874-1920), médecin[56].
    • Raymond Renefer, pseudonyme de Jean-Constant-Raymond Fontanet (1879-1957), dessinateur, et peintre post-impressionniste, résida à Andrésy de 1928 à sa mort.
    • Marcel Allain (1885-1969), romancier, co-créateur de Fantômas avec Pierre Souvestre (1874-1914) résida à Andrésy, villa Eden-Roc de 1939 à sa mort.
    • Julien Green (1900-1998) a vécu une partie de son enfance dans la commune. L'espace culturel de la commune porte son nom.
    • Ivry Gitlis a donné son nom à l'école de musique de la ville.
    • Ahmed Mouici, du groupe POW WOW, a vécu dans le centre-ville d'Andrésy.
    • Randy de Puniet, pilote de moto GP, a passé son enfance dans la commune.
    • Bernard Lancret, acteur français, a habité la propriété sise 55, rue du Général-Leclerc.
    • Marcel Mouloudji, chanteur compositeur, vécut quelque temps au 56, rue du Général-Leclerc.
    • Léon Gaumont, inventeur et industriel français qui fut l’un des pionniers de l’industrie du cinéma, possédait une maison sur l’île du Devant, achetée en 1924 et détruite par les bombardements.
    • Joséphine Baker, aurait séjourné quelque temps au manoir de Denouval avec les nombreux enfants qu’elle avait adoptés.
    • Annie Ducaux (1908-1996), comédienne française, s'est installée à Andrésy à la fin des années 1930 et a habité la propriété sise 57, rue du Général-Leclerc.
    • Andrée Pollier (1916-2009), artiste peintre, vécut à Andrésy.
    • David Gitlis, chanteur du groupe de néo metal français Enhancer formé en 1997 à Andrésy, qui mêle des éléments de metal et de rap.
    • Gérard Baste, chanteur du groupe de rap français Svinkels et présentateur télé sur Game One puis D17 réside à Andrésy en compagnie de sa compagne Fred Poher dit fancy (précurseur du graph au féminin) et leur fils.
    • René Ravo (1904-1998), dessinateur et affichiste, y a longtemps résidé[57].

    Andrésy dans les arts

    Maurice Leblanc a donné à son héro de romans policiers Arsène Lupin le pseudonyme de Raoul d'Andrésy.

    Héraldique

    Les armes d'Andrésy se blasonnent ainsi :

    De gueules à la galère antique d’or équipée d’argent voguant sur les ondes du même, au chef d’azur chargé de deux crosses adossées d’argent mouvant de la partition, accostées de deux fleurs de lis d’or.

    Ce blason a été approuvé par délibération du conseil municipal le 27 novembre 1948.

    La galère antique évoque la présence dans l’Antiquité d’une flotte romaine au confluent de la Seine et de l’Oise, le chef rappelle que le chapitre de Notre-Dame de Paris fut le seigneur spirituel et temporel d’Andrésy sous l’Ancien Régime[58].

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations
    4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Fiche cours d'eau - Bras d'Andrésy (H3005101) », Sandre (consulté le ).
    2. « Passe à poissons d'Andrésy (Yvelines) - Dossier de presse », Service navigation de la seine (VNF) (consulté le ).
    3. « Plan de Prévention des Risques d’Inondation de la vallée de la Seine et de l'Oise - Département des Yvelines -Notice de présentation », Préfecture des Yvelines, (consulté le ).
    4. Un belvédère en Yvelines, Images du patrimoine, éditions Somogy, Paris 2008, p. 5.
    5. Météo-France - Climatologie
    6. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune urbaine - définition », sur insee.fr (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    10. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. « Occupation du sol détaillée en 2008 - Andrésy », sur iau-idf.fr (consulté le ).
    15. Tableaux LOG T2 et LOG T7, Recensement général de la population 2017, document mentionné en liens externes.
    16. Un belvédère en Yvelines, Images du patrimoine, éditions Somogy, Paris, 2008, p. 5 39.
    17. Association des amis du vexin Français
    18. Revue internationale d'onomastique - Volume 22 - Page 112
    19. Charles Dezobry, Théodore Bachelet, C. Delagrave, Dictionnaire général de biographie et d'histoire, page 93.
    20. Ernest Nègre - 1996 - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 942 - (ISBN 2600001336).
    21. Hippolyte Cocheris, Conservateur de la Bibliothèque Mazarine, Conseiller général du département de Seine-et-Oise, Dictionnaire des anciens noms des communes du département de Seine-et-Oise, 1874
    22. (de) « Germanische Wörter in französischen Siedlungsnamen », Exonyme - Vergessene Ortsnamen NG (consulté le ).
    23. « Andrésy, entre Seine et Hautil », Club historique d'Andrésy, éditions du Valhermeil (ISBN 2-913328-90-3), p. 7.
    24. Dictionnaire de la Noblesse
    25. Andrésy, entre Seine et Hautil, Club historique d'Andrésy, éditions du Valhermeil, (ISBN 2-913328-90-3), p. 8.
    26. « Château Lepic », notice no IA78000958, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    27. Un belvédère en Yvelines, Images du patrimoine, éditions Somogy, Paris, 2008, p. 26.
    28. « Andrésy, entre Seine et Hautil », Club historique d'Andrésy, éditions du Valhermeil (ISBN 2913328-90-3), p. 9.
    29. Michel Stermann, Maman Grète - Une éducatrice venue d'Allemagne pour des Orphelins de la Déportation en France, Edilivre, 2016 (ISBN 978-2-334-23049-0).
    30. Andrésy, entre Seine et Hautil, Club historique d'Andrésy, éditions du Valhermeil, (ISBN 2-913328-90-3), p. 10.
    31. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Yves Fossey, « Municipales : le suspense est entier à Andrésy, Triel, Villennes et Verneuil : Le scrutin du second tour reste très ouvert dans ces quatre villes de la vallée de la Seine où les maires sortants ne se représentent pas », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ) « Les électeurs devront choisir parmi trois candidats pour succéder à Hugues Ribault (DVD) qui ne brigue pas de nouveau mandat Et la commune pourrait tomber dans l'escarcelle des écologistes. Lionel Wastl, chef de file de la liste Andrésy énergies renouvelées, est arrivé en tête le 15 mars avec 32 % des voix ».
    34. Yves Fossey, « Municipales : l’unique maire écologiste des Yvelines s’installe à Andrésy : Lionel Wastl, qui a récolté 45 % des voix dimanche lors du second tour, a fait basculer la commune qui était à droite depuis 2001 », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ) « Lionel Wastl ne va pas débarquer en terre inconnue. Élu d'opposition depuis 2014 et chef de file du groupe Andrésy Énergies Renouvelées (AER), il connaît le fonctionnement des services de la ville mais surtout les principaux projets en cours notamment dans le domaine de l'immobilier ainsi que le rôle de la communauté urbaine Grand Paris Seine & Oise ».
    35. « Les maires de la ville d'Andrésy de 1790 à nos jours », sur andresy.com
    36. « Les maires d'Andrésy de la Révolution à nos jours », sur histoire.andresy.free.fr
    37. « Municipales à Andrésy : Hugues Ribault tourne la page après 30 ans de mandat : Élu à Andrésy (Yvelines) depuis 1989 dont trois mandats de maire de 2001 à 2020, Hugues Ribault, confirme qu'il ne sera pas candidat à sa propre succession en mars prochain », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Le maire sortant soutiendra la candidature de son premier adjoint, Denis Faist, dont le programme devrait s’inscrire dans la continuité (...) Après avoir été tête de liste de l’opposition face à Jean-François Thil de 1995 à 2001, il a été élu maire en 2001 avec une petite voix d’avance seulement. Face aux recours et après avoir été élu conseiller général en novembre de la même année, il provoque de nouvelles élections municipales début 2002 et l’emporte cette fois avec une large majorité. Il sera reconduit dans ses fonctions en 2008, puis, dans le cadre d’une triangulaire, en 2014 ».
    38. Maxime Laffiac, Michel Charrier, « Andrésy. Le nouveau conseil municipal se réunit : Avec un public restreint, et en respectant les mesures sanitaires, le conseil municipal d'installation s'est ouvert samedi matin à l'espace Julien-Green d'Andrésy (Yvelines) », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Le conseil municipal est composé de 24 sièges pour la liste Andrésy Énergies Renouvelées (dont 2 communautaires), 7 pour Andrésy Dynamique (dont 1 communautaire) et 2 pour Notre Parti C’est Andrésy (...) Sans surprise Lionel Wastl a été élu maire de la ville, Andrésy Dynamique ayant voté blanc et Notre Parti C’est Andrésy s’étant abstenu ».
    39. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Andrésy, consultée le 27 octobre 2017
    40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    42. « Évolution et structure de la population à Andrésy en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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    45. http://www.andresy.com/affiche_annu.php?act=3&IdContact=124 Sports.
    46. Palmarès 2008 du 49e concours des villes et villages fleuris. Consulté le 22 septembre 2009.
    47. Le 23 septembre 2016 à 10h56, « Andrésy : Chabal au rassemblement des voitures anciennes », sur leparisien.fr, (consulté le ).
    48. Un belvédère en Yvelines, Images du patrimoine, éditions Somogy, Paris, 2008, p. 34.
    49. « Église Saint-Germain », notice no PA00087360, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    50. Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Andrésy, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 978-2-905684-23-3, notice BnF no FRBNF35089201), p. 39-41.
    51. « Croix de cimetière », notice no PA00087359, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    52. « Croix de cimetière », notice no PA78000022, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    53. Un belvédère en Yvelines, Images du patrimoine, éditions Somogy, Paris, 2008, p. 42.
    54. http://histoire.andresy.free.fr/manoir.htm Manoir de Denouval
    55. ANCAHA no 35, automne-hiver 1982.
    56. [ http://histoire.andresy.free.fr/charles-infroit/charles-infroit.htm Victime de la science]
    57. Club Historique Andrésy, « L'andrésien René Ravault : Ravo », sur histoire.andresy.free.fr (consulté le ).
    58. Club historique d’Andrésy, Andrésy, éditions Alan Sutton, collection mémoire en images, Saint-Cyr-sur-Loire, 2001 (ISBN 2-84253-599-5).

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, Préface de Paul-Louis Tenaillon, président du Conseil général des Yvelines de 1977 à 1994, membre émérite de l'Académie des sciences morales, des lettres et des arts de Versailles, Librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328)
    • Club historique d'Andrésy, Andrésy, vingt siècles d'histoire, Club historique d'Andrésy, , 236 p. (ISBN 978-2-9504964-0-9)
    • Club historique d'Andrésy, Andrésy, Alan Sutton, coll. « Mémoire en images », , 127 p. (ISBN 978-2-84253-599-5)
    • Club historique d'Andrésy, Andrésy, entre Seine et Hautil, Valhermeil, , 127 p. (ISBN 978-2-913328-90-7)
    • Club historique d'Andrésy, Regards croisés sur Andrésy, Saint-Cyr-sur-Loire, Alan Sutton, coll. « Regards croisés », , 96 p. (ISBN 978-2-84910-879-6, notice BnF no FRBNF41371505)
    • Roselyne Bussière (photogr. Laurent Kruszyk), Un belvédère en Yvelines : Andrésy, Chanteloup-les-Vignes, Maurecourt, Paris, Somogy, éditions d'art, coll. « Images du patrimoine », , 144 p. (ISBN 978-2-7572-0236-4, notice BnF no FRBNF41413820)

    Articles connexes

    Liens externes

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