Courdimanche

Courdimanche est une commune française située dans le département du Val-d'Oise, en région Île-de-France[1].

Pour les articles homonymes, voir Courdimanche (homonymie).

Courdimanche

Le château d'eau visible à plusieurs kilomètres
à la ronde.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Pontoise
Intercommunalité CA de Cergy-Pontoise
Maire
Mandat
Elvira Jaouën
2020-2026
Code postal 95800
Code commune 95183
Démographie
Gentilé Courdimanchois
Population
municipale
6 650 hab. (2018 )
Densité 1 200 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 02′ 00″ nord, 2° 00′ 00″ est
Altitude 150 m
Min. 95 m
Max. 160 m
Superficie 5,54 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Vauréal
Législatives 10e circonscription du Val-d'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Courdimanche
Géolocalisation sur la carte : Val-d'Oise
Courdimanche
Géolocalisation sur la carte : France
Courdimanche
Géolocalisation sur la carte : France
Courdimanche
Liens
Site web http://www.ville-courdimanche.fr

    Ses habitants sont appelés les Courdimanchois.

    Géographie

    La partie la plus ancienne du village est située sur une colline. Courdimanche est visible de loin grâce à son château d'eau. La partie la plus récente est située en contrebas et dispose d'un golf. Jouxtant Cergy-le-Haut, Courdimanche dispose du RER de la gare de Cergy-le-Haut à quelques minutes.

    Localisation

    Communes voisines

    Communes limitrophes de Courdimanche
    Sagy Puiseux-Pontoise Cergy
    Sagy
    Menucourt
    Cergy
    Menucourt Boisemont Vauréal

    Voies de communication et transports

    Réseau routier

    Située à la sortie 13 et à environ 40 km de Paris, Courdimanche bénéficie de l'autoroute A15 et de la RN 14 qui devient la RD 14 et continue vers Magny-en-Vexin et Rouen, en voie rapide à deux fois deux voies sur une grande partie de son parcours francilien.

    Depuis le 21 mars 2009, Courdimanche est doté d'un système de vélopartage appelé VélO2 qui permet une liaison avec l'ensemble de Cergy-Pontoise.

    Transports en commun

    On accède à Courdimanche, qui se situe en zone 5, par la RER A, à la station terminus de Cergy-le-Haut.
    Les trains du RER A circulent toutes les 10 min du lundi au vendredi et toutes les 20 min le week-end[2].
    Le schéma directeur du RER A[3] prévoit un renforcement de la fonction de terminus sur le territoire de Courdimanche.

    Les transports urbains sont assurés par le réseau de bus STIVO, le réseau de l'agglomération de Cergy-Pontoise, dont 2 lignes régulières desservent Courdimanche[4].

    Climat

    Contrairement à Courdimanche sur Essonne, Courdimanche ne dispose pas de station météo sur son territoire, la station météo la plus proche étant sur la commune voisine de Boissy-l'Aillerie (ID: 95078001)

    Urbanisme

    Typologie

    Courdimanche est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[8] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[9],[10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Cordomange en 1248, Curai dominica en 1249[13], Curia dominica en 1337.

    Le nom de la commune provient du bas latin curtis dominica, « le domaine du seigneur », « la demeure du maître ».

    Histoire

    La découverte d'outils sur le site permet d'affirmer que Courdimanche était habité au néolithique[14],[15].

    À l'époque gauloise l'oppidum de Courdimanche aurait été un centre religieux où les druides perpétraient des sacrifices[16],[17].
    Les Romains construisent sur cette colline un temple dédié à Apollon à partir duquel on pouvait communiquer avec deux autres montagnes sacrificielles; le mont Mercure (Montmartre) à l'est et le mont Jupiter (Montjavoult) à l'ouest[15],[17].

    En 2009, lors des travaux pour la création de la gendarmerie, les archéologues ont découvert des traces d’un habitat gallo-romain[18].

    Par la suite, les moines de l'abbaye Saint-Martin de Pontoise, fondent une chapelle, puis une église, sous le vocable Saint-Martin[15].

    Au début du Moyen Âge, le territoire est divisé entre les seigneurs de Courdimanche, vassaux des comtes de Meulan, l'abbaye Saint-Martin de Pontoise et l'abbaye Notre-Dame du Bec qui sera propriétaire de l’église et du village jusqu’à la Révolution[14].

    En 1160, Courdimanche appartient aux seigneurs Mauvoisin, barons de Rosny[19]. par le mariage de Raoul IV Mauvoisin avec Agnès d'Aulnay, veuve de Guillaume III de Garlande[20]. La seigneurie passe, en 1217, aux mains de Guy III Mauvoisin et en 1248 à Guy IV Mauvoisin.

    Au cours du XIIe siècle, Courdimanche est fortifiée afin de protéger le village des incursions des barbares.
    Au XIIIe siècle l'abbaye Saint-Martin de Pontoise créée au Hazay, au lieudit « les friches aux malades », une léproserie[21],[22].

    Durant la guerre de Cent Ans, le village subit plusieurs assauts et est pris par les Anglais, une première fois en 1429 et une seconde en 1433[23], ou les godons prennent, pillent et brulent Courdimanche, Lieux et Puiseux.

    De 1482 à 1709, la seigneurie dépend de la famille de l'Isle[24] qui est également seigneur de Boisemont. Elle est ensuite achetée par Jean-Baptiste Dufour de Villeneuve, chevalier, conseiller du roi, maître des requêtes en son hôtel, intendant de justice, police et finances du Berry[25],[26]

    Le un orage causa de gros dégâts à Neuville, et dévasta Jouy-le-Moutier, Vauréal, Boisemont, Courdimanche, Osny, Cergy, Puiseux, et Pontoise.

    Circulant en voiture le 27 août 1944, après la libération de Paris, Claire Girard et deux FFI, dont Raymond Berrivin, sont arrêtés au pont de Cergy par une patrouille allemande qui les emmène à Courdimanche. Après un simulacre de procès, les 3 jeunes gens sont condamnés à mort pour terrorisme. L'un d'eux parviendra à s'échapper mais Claire Girard et Raymond Berrivin seront abattus par balles dans le dos[27],[28].

    C'est à Courdimanche que se situe l'ancien parc d'attractions Mirapolis, en fonction de 1987 à 1991, qui était dominé par la statue Gargantua détruite en 1995.

    Politique et administration

    La mairie.

    Rattachements administratifs et électoraux

    Rattachements administratifs

    Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[29], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Pontoise après un transfert administratif effectif au .

    Elle faisait partie de 1793 à 1976 du canton de Pontoise de Seine-et-Oise puis du Val-d'Oise, année où elle est rattachée au canton de Cergy. En 1985 un nouveau découpage intervient et la commune intègre le canton de l'Hautil[30]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    La commune fait partie de la juridiction d’instance, de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[31],[32].

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Vauréal

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dixième circonscription du Val-d'Oise.

    Intercommunalité

    La commune se trouve dans la ville nouvelle de Cergy-Pontoise, aménagée à partir de 1970 par un syndicat communautaire d'aménagement (SCA), puis, en 1984, par un syndicat d'agglomération nouvelle (SAN) créé en 1984.

    L'aménagement de la ville nouvelle étant achevée, celui-ci se transforme en 2004 en communauté d'agglomération, qui a pris la dénomination de Communauté d'agglomération de Cergy-Pontoise et dont Saint-Ouen-l'Aumône est désormais membre.

    Tendances politiques et résultats

    Pour les échéances électorales de 2007 Courdimanche faisait partie des 82 communes[33] de plus de 3 500 habitants ayant utilisé les machines à voter. La nouvelle municipalité, élue en mars 2008, a décidé de revenir au vote « papier »[34] dès les élections européennes du 7 juin 2009.

    Élections présidentielles

    Résultats des deuxièmes tours :

    Élections législatives

    Résultats des deuxièmes tours :

    Référendums
    Élections régionales

    Résultats des deuxièmes tours :

    Élections cantonales puis départementales

    Résultats des deuxièmes tours :

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1835 1848 Pierre Jean Bertolle    
    1848 1853 Louis Hamot    
    1853 1860 Pierre Jean Bertolle    
    1860 1877 Louis Hamot    
    1878 1881 Henri Boissy    
    1881 1894 Paul Adolphe Emery    
    1894 1900 Jean Carpentier    
    1900 1904 Henri Boissy    
    1904 1919 Paul Constant Emery    
    1919 1923 Clément Fontaine    
    1923 1945 Charles Cavan    
    1945 1959 Henri Legendre    
    1959 1971 Maurice Fumery    
    1971 1977 Jacques Dauvergne    
    1977 1983 Raymond Guillotin PS  
    octobre 1983 25 mars 1989 Rémy Allain[50],[51] DVD Chef d'entreprise
    25 mars 1989 25 mars 2001 Robert Marseille UDF Vice-président du SAN de Cergy-Pontoise
    25 mars 2001 18 novembre 2004[52] Alain Lahaye RPR puis UMP Cadre bancaire
    Démissionnaire
    18 novembre 2004 mars 2008 Monique Hervé UMP[53]  
    mars 2008[54],[55] En cours
    (au 10 juillet 2020)
    Elvira Jaouën PS Fonctionnaire
    Conseillère régionale (2010 → )
    Vice-présidente de la CA de Cergy-Pontoise(2008 → )
    Réélue pour le mandat 2020-2026[56],[57]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[59].

    En 2018, la commune comptait 6 650 habitants[Note 3], en augmentation de 0,61 % par rapport à 2013 (Val-d'Oise : +3,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    328329381431430428432450436
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    453427452451434503440458414
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    398389382367401408365343350
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    5606637257751 5375 8956 4286 5056 581
    2013 2018 - - - - - - -
    6 6106 650-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[60].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Martin

    L'église Saint-Martin est l'unique monument historique du Val-d'Oise[61], cette église dédiée à saint Martin est située rue Claire-Girard et sur la place Claire-Girard. Fondée pendant la seconde moitié du XIIe siècle, l'édifice est endommagé pendant la guerre de Cent Ans, en 1429, et une seconde fois quelques années plus tard, puis reconstruit partiellement au XVIIe ou XVIIIe siècle. C'est une petite église villageoise rustique, d'un style gothique primitif réduit à sa plus simple expression, avec des baies en plein cintre, un clocher central en bâtière gardant des vestiges d'une corniche à modillons sculptés en masques, avec deux baies abat-son par face, sans colonnettes ni cordons.

    De plan cruciforme, l'église se compose d'une nef non voûtée de trois travées accompagnée d'un seul et étroit bas-côté au nord ; d'un transept dont le croisillon sud est incomplet ; d'un chœur carré d'une travée au chevet plat ; et d'une chapelle latérale au nord. Le transept se termine par un pignon au nord et au sud. Exception faite des contreforts du clocher et des chaînages d'angle, tout le bâtiment est construit en moellons noyés dans le mortier ; les façades de la nef étant entièrement recouvertes d'enduit. L'on note l'absence de contreforts pour tous les composants de l'église hormis du clocher, la faible hauteur des murs ne les ayant pas rendu nécessaires. L'entrée se situe sous un porche devant la façade occidentale.

    À l'intérieur, le transept, le chœur et la chapelle sont voûtées d'ogives dans le style gothique, mais les arcades autour de la croisée du transept sont en partie en plein cintre, en partie en tiers-point. Des chapiteaux ne restent que des vestiges, sauf à l'entrée du croisillon sud. La plupart des nervures des voûtes, des arcs-doubleaux et des formerets retombent sur des faisceaux de colonnettes. La chapelle latérale ne communique pas avec le croisillon du transept adjacent et est entièrement dépourvue de fenêtres[62],[63]. Le clocher contient une cloche particulièrement ancienne, nommée Marie et fondue en 1554 par Lemaître. Elle est classée monument historique au titre objet[64]. Deux nouvelles cloches, nommées Claire et Apolline, sont installées en 1992.

    Autres éléments du patrimoine

    • Escaliers de l'église : l'église étant construite sur un promontoire naturel, ayant sans doute servi de poste d'observation et ayant déjà accueilli un temple voué au culte d'Apollon selon la légende, l'on ne peut y accéder que par des escaliers. L'un est situé au sud, à côté de la mairie ; l'autre est situé à l'ouest et part de la place du village[63].
    • Mare Saint-Martin, chemin de la Mare-Saint-Martin : cette mare pavée au sud du village est un aménagement communal du XIXe siècle, servant d'abreuvoir au bétail et de pédiluve aux chevaux. Les mares de ce type ont également été utilisées pour le trempage du chanvre[63].
    • Lavoir dit la mare Bicourt, au bout d'une courte impasse en herbe partant de la rue Vieille-Saint-Martin : ce lavoir depuis longtemps abandonné est devenu méconnaissable. Envahi par la végétation, il attend une potentielle réhabilitation.
    • Le village conserve cinq fermes datant pour la plupart du XVIIIe siècle, dont deux sont encore en exploitation. Les bâtiments s'organisent autour de cours rectangulaires et ne présentent que des murs aveugles sur la rue. Plusieurs fermes possèdent des portails avec des arcs plein cintre[63].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de Courdimanche se blasonnent ainsi : « De gueules au chevron d'argent accompagné d'un mont d'or mouvant de la pointe, au chef aussi d'or chargé d'une fleur de lys cousue d'argent. »

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Limite communale sur OpenStreetMap
    2. Horaires consultables à partir du site « Transilien - Fiches horaires », sur Transilien (site officiel) (consulté le ).
    3. schéma directeur du RER A
    4. « L'entreprise », sur STIVO (site officiel) (consulté le ) ; ainsi que le plan du réseau [PDF] « Plan du réseau de bus de l'agglomération de Cergy-Pontoise », sur STIVO (site officiel) (consulté le ).
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    9. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    10. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    14. Petite histoire de Courdimanche d’après l’ouvrage de M. Parrain (1946)
    15. Courdimanche sur artetpatrimoine.net
    16. La colline sacrée de Courdimanche
    17. Courdimanche sur topic-topos.com
    18. La villa gallo-romaine
    19. Rosny-sur-Seine, Saint Illiers la ville, Rosay, Longues etc. Les Fiefs des Mauvoisins
    20. Une famille de châtelain du département de Seine Saint Denis et de Bondy; les Garlande
    21. Plan de Courdimanche en 1911. La friche aux malades est répertoriée en Section C
    22. [archives.valdoise.fr/ark:/18127/vta52024e129dc8d/daogrp/0#id:1394142159?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00&center=3929.572,-2299.429&zoom=12&rotation=0.000 3P 2279 - Section C, Le Maulu. 1812-1812]
    23. Certaines sources indiquent l'année 1452
    24. Familles de L'Isle (-Adam), de Villiers, & de Villiers de L’Isle-Adam
    25. Courdimanche sur amisduvexinfrancais.fr
    26. Benoît Gonod : Notice historique du château de Villeneuve page 27
    27. Stèles à la mémoire de Claire Girard et Raymond Berrivin
    28. Claire Girard
    29. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Site du conseil général - Administration du Val-d'Oise
    32. Ministère de la Justice - Conseil départemental de l'accès au droit du Val-d'Oise
    33. La liste des 82 communes équipées de machines à voter sur le site de ZDNet.fr
    34. Retour au vote "papier"
    35. Présidentielles 2002 à Courdimanche
    36. Présidentielles 2007 à Courdimanche
    37. Présidentielles 2012 à Courdimanche
    38. Présidentielles 2017 à Courdimanche
    39. Législatives 2002 à Courdimanche
    40. Législatives 2007 à Courdimanche
    41. Législatives 2012 à Courdimanche
    42. Législatives 2017 à Courdimanche
    43. https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Referendums/elecresult__referendum_1992/(path)/referendum_1992/011/095/95183.html Référendum du 20 septembre 1992 à Courdimanche]
    44. Référendum du 29 mai 2005 à Courdimanche
    45. Élections régionales de 2004 à Courdimanche
    46. Élections régionales de 2010 à Courdimanche
    47. Élections régionales de 2015 à Courdimanche
    48. Cantonales 2008 à Courdimanche
    49. Départementales 2015 à Courdimanche
    50. « Un ancien maire du Val-d'Oise kidnappé et tué », Libération, (lire en ligne, consulté le ).
    51. Perpétuité confirmée pour l'assassin de Rémi Allain sur leparisien.fr
    52. Éric Bureau, « La surprenante démission du maire », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
    53. E.B., « Monique Hervé suppléante d'Axel Poniatowski », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
    54. « Elvira Jaouën (PS) officiellement candidate à Courdimanche », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
    55. Résultat élection municipale 2014 Courdimanche
    56. Jérôme Cavaretta, « Municipales 2020. Courdimanche : Elvira Jaouën, sans rival(e) : La maire (dvg) de Courdimanche (Val-d'Oise) briguera un troisième mandat en mars 2020. Avec la certitude d'être réélue puisque personne n'a osé lui disputer la victoire. », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Élue pour la première fois maire de Courdimanche (Val-d’Oise)en 2008 aux dépens de Monique Hervé (Ump), réélue en 2014 face à Antoine Vandaele (Ump), Elvira Jaouën se présentera en mars prochain devant les électeurs avec la certitude de l’emporter. Et pour cause, la maire (dvg, ex-Ps) de Courdimanche sera seule en lice ».
    57. « Courdimanche 95800 », Résultats aux municipales 2020, sur https://www.lemonde.fr (consulté le ).
    58. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    59. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    60. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    61. Inscrite aux monuments historiques par arrêté du , Notice no PA00080038, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    62. Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Courdimanche, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 109-110.
    63. Véronique Daver et Hautem Bali, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Courdimanche », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. I, , p. 362-364 (ISBN 2-84234-056-6).
    64. « Cloche », notice no PM95000210, base Palissy, ministère français de la Culture.
    65. Municipales : Carlos à Cergy Pontoise document INA
    66. Carlos candidat aux municipales de Courdimanche en 1989
    67. Abbé Paul Lieutier, Bourg-la-Reine, essai d'histoire locale, 1913, réédition Le Livre d'histoire, Paris, 2003, p.244/306.p. (ISBN 2-84373-320-0).
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