Montjavoult

Montjavoult est une commune française située dans le Vexin français, dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont les Montjoviciens.

Montjavoult

L'église Saint-Martin.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité Communauté de communes du Vexin-Thelle
Maire
Mandat
Laura Catry
2020-2026
Code postal 60240
Code commune 60420
Démographie
Population
municipale
481 hab. (2018 )
Densité 29 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 12′ 54″ nord, 1° 47′ 01″ est
Altitude Min. 71 m
Max. 207 m
Superficie 16,73 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chaumont-en-Vexin
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Montjavoult
Géolocalisation sur la carte : Oise
Montjavoult
Géolocalisation sur la carte : France
Montjavoult
Géolocalisation sur la carte : France
Montjavoult

    Géographie

    Montjavoult, situé entre Paris et Rouen, fait parie du Vexin français et culmine à 207 mètres, étant ainsi l'un des plus hauts villages du Bassin parisien. Le bourg n'est desservi par aucune grande route, mais la RD 915 y passe à proximité (axe Pontoise-Gisors-Dieppe).

    La commune compte six hameaux et lieux-dits habités, qui sont Beaugrenier, Hérouval, le Bout du Bois, le Marais, le Vouast et Valécourt. Les communes limitrophes sont les suivantes :

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 754 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Buhy », sur la commune de Buhy, mise en service en 1986[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 727,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 37 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Montjavoult est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75 %), forêts (18,7 %), prairies (4,7 %), zones urbanisées (1,6 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous la forme Mons Jocondiacus au IXe siècle[21].

    Elle pourrait tirer son nom de mons Jovis où aurait existé un temple dédié à Jupiter[22].

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2008 Elisabeth Gourdain    
    mars 2008 mai 2012 Gérard Lubrano   retraité
    Démissionnaire
    15 juin 2012 2020 Pierre Corade   Ingénieur à la retraite
    2020 En cours Laura Catry   Agent SNCF

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

    En 2018, la commune comptait 481 habitants[Note 7], en augmentation de 5,95 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    650642615661642626654702654
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    628579539525543513475456441
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    421441477386434378361431394
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    366313292324449465496475482
    2018 - - - - - - - -
    481--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (17,7 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (52 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 52 % d’hommes (0 à 14 ans = 25,6 %, 15 à 29 ans = 17,1 %, 30 à 44 ans = 19 %, 45 à 59 ans = 21,7 %, plus de 60 ans = 16,7 %) ;
    • 48 % de femmes (0 à 14 ans = 22,7 %, 15 à 29 ans = 13,9 %, 30 à 44 ans = 20,2 %, 45 à 59 ans = 24,4 %, plus de 60 ans = 18,9 %).
    Pyramide des âges à Montjavoult en 2007 en pourcentage[27]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,4 
    4,7 
    75 à 89 ans
    6,3 
    12,0 
    60 à 74 ans
    12,2 
    21,7 
    45 à 59 ans
    24,4 
    19,0 
    30 à 44 ans
    20,2 
    17,1 
    15 à 29 ans
    13,9 
    25,6 
    0 à 14 ans
    22,7 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Lieux et monuments

    Monument historique

    Montjavoult ne compte qu'un seul monument historique sur son territoire.

    • Église Saint-Martin (classée monument historique par arrêté du [29]) : Bâtie sur le sommet d'une butte, à 207 m d'altitude, elle marque le paysage à plusieurs kilomètres à la ronde, et représente l'un des principaux monuments de l'ancien canton de Chaumont-en-Vexin. Son grand portail Renaissance, bâti vers 1565 par Jean Grappin, de Gisors, constitue son élément le plus remarquable. À l'instar du volumineux clocher de la même époque qui le jouxte à l'ouest, il serait digne d'une grande église de ville. À l'intérieur, le collatéral sud voûté à la même hauteur que le vaisseau central, forme avec la nef un vaste volume unifié de proportions élancées, inattendu dans un village aujourd'hui sans importance. Son style flamboyant tardif intègre quelques éléments Renaissance. Le reste de l'église est beaucoup plus modeste, et a été édifié majoritairement entre la fin du XVe siècle et le premier quart du XVIe siècle dans le style gothique flamboyant, en reprenant en partie des structures plus anciennes, notamment la base d'un clocher central du XIIe siècle. Dans la nef tout comme dans le chœur et ses collatéraux, l'on observe des types de piliers atypiques et des manières particulières de faire retomber les voûtes, ce qui permet de conclure à un lien de parenté avec l'église de Parnes. Cependant, une partie subsiste encore de l'église romane du XIe siècle. Il s'agit du bas-côté nord de la nef, qui s'ouvre par trois arcades en plein cintre sans style particulier, mais possède à l'intérieur une voûte en berceau très ancienne renforcée par quatre arcs-doubleaux déformés sous le poids de la voûte. La grande sobriété de l'architecture et la réfection des fenêtres et des contreforts au début du XVIIIe siècle suscitent la confusion avec une construction néo-classique[30].

    Autres éléments du patrimoine

    Ancienne croix de cimetière.
    • Ancienne croix de cimetière devant l'église, de style gothique.
    • Ancien lavoir de Valécourt.
    • Parc de loisirs d'Hérouval, sur la route de Gisors.

    Culture

    Personnalités liées à la commune

    • Dado (1933-2010) et Hessie (1936-2017), peintre et artiste textile contemporaine installés dans les années 1960 dans un moulin d'Hérouval[31].
    • Aymar Pezant (1846-1916), peintre animalier français du 19e et 20e siècle

    Montjavoult au cinéma

    Héraldique

    Blason
    D'or au sautoir ancré d'azur chargé en coeur d'une fleur de lis du champ, soutenu de deux doloires adossées de gueules, celle de dextre posée en barre, l'autre en bande.
    Détails
    Armes empruntées à des seigneurs de la commune : les Broglie (sautoir ancré) et les seigneurs du Bout du Bois (haches).
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Abbé L. Le Blévenec, Montjavoult des origines à nos jours, Beauvais, Imprimerie départementale de l'Oise, , 44 p.
    • Christian Ménard, « Promenades au travers des villages du Vexin-Thelle : Montjavoult », Les cahiers de la Société historique et géographique du bassin de l'Epte, Le Coudray-Saint-Germer, no 34, , p. 13-25 (ISSN 0756-6336)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Buhy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Montjavoult et Buhy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Buhy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Montjavoult et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Eusèbe Girault de Saint-Fargeau, Dictionnaire géographique, historique, industriel et commercial de toutes les communes de la France, vol. 2, F. Didot, 1844-1846, p. 656 lire en ligne sur Gallica.
    22. Jacques Cambry, Description du département de l'Oise, par le citoyen Cambry, P. Didot l'aîné, 1803, p. 145 lire en ligne sur Gallica.
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    27. « Évolution et structure de la population à Montjavoult en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    28. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    29. Notice no PA00114757, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    30. Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Montjavoult, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 237-239.
    31. Cf. le site du peintre Dado.
    32. Visite de Montjavoult.
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