Alain Chamfort

Alain Chamfort, de son vrai nom Alain Le Govic, est un musicien, chanteur et compositeur français né le , dans le 11e arrondissement de Paris.

Pour les articles homonymes, voir Chamfort.

Alain Chamfort
Alain Chamfort lors du Festival Fnac Indétendances à Paris Plage le 22 juillet 2006.
Informations générales
Nom de naissance Alain Joseph Yves Le Govic [1]
Naissance
Paris, France
Activité principale chanteur, compositeur
Activités annexes acteur
Genre musical Musique pop, chanson française, synthpop
Instruments Piano, orgue
Années actives depuis 1966
Labels Vogue, Odéon, Disques Flèche, CBS, Sony Music, Delabel, XIII Bis Records, Mercury Records, Pias-Le Label
Site officiel http://www.alain-chamfort.com

Il est remarqué par Claude François, qui lui fait enregistrer ses premiers succès comme Adieu mon bébé chanteur et L'Amour en France, qui lui valent d'être catalogué « chanteur à minettes ». Il quitte cet univers en 1976 en signant chez CBS afin de changer de style et d'avoir une totale liberté artistique.

En 1979, il interprète Manureva, qui reste à ce jour le plus grand succès de sa carrière (single vendu à plus d'un million d'exemplaires).

Biographie

La jeunesse

La famille Le Govic habite Clichy dans un petit deux-pièces d'un premier étage sur cour. Pendant l'été 1952, elle déménage à Eaubonne dans le Val-d'Oise. Dès son plus jeune âge, Alain apprend le piano qui deviendra son instrument de prédilection. Il prend des cours avec un professeur dans une des salles du casino de la ville d'Enghien. Il passe plusieurs concours en 1957, 1958 et 1959 et remporte le concours Nérini au cours duquel ses prestations sont enregistrées sur un disque monoface pour la famille.

Adolescent, il renonce à entrer au Conservatoire de Paris, alors qu'il s'y est préparé. Il fonde assez rapidement son premier groupe avec un ami, Les Dreamer's. Avec un troisième musicien, ils jouent principalement les standards de jazz d'Art Blakey, Jazz Messengers, Erroll Garner, John Coltrane, Art Tatum...

Les débuts

Alain Chamfort finit par quitter le groupe pour se joindre au groupe Les Shakers de Houilles avec qui il gagne un concours. Devenu Les Murators, le groupe joue le répertoire des Beatles, tous les dimanches après-midi à Argenteuil, à la Porte Saint-Germain, dans une salle louée située au-dessus d'un magasin de meubles, devant tous leurs fans venant de toute la région, pendant plusieurs années. L'une de ces fans, la chanteuse Séverine, rejoint le groupe pour chanter Goldfinger et des chansons en vogue de ces années-là. Le groupe finit par se séparer. Alain rejoint alors les Mods et en devient le leader, et pour la première fois, se met au chant. Les Mods signent chez Vogue et enregistrent un 45 tours dont la chanson principale J'veux partir est composée par Alain. Ils sortent ensuite un deuxième 45 tours sans succès. La chance vient aux Mods grâce à Jacques Dutronc qui leur propose de l'accompagner sur sa chanson Et moi, et moi, et moi pour quelques émissions de télé du moment. Dutronc finit par reprendre ses anciens musiciens, mais propose à Alain de rester et compléter son groupe, ainsi qu'à un autre membre des Mods, Jean-Pierre Alarcen.

Alain Chamfort enregistre plusieurs titres avec Dutronc, comme On nous cache tout, on nous dit rien, La Fille du Père Noël, Les Play-Boys, J'aime les filles (où Alain joue les introductions au piano), Les Cactus... Il participe ainsi au 1er album de Dutronc qui est publié en . Alain quitte ensuite Dutronc pour enregistrer quelques titres seul  et sous le nom d'Alain Legovic (son vrai nom étant Alain Le Govic)  en signant[Quoi ?] avec Dick Rivers qu'il a rencontré lors des événements de mai 68.

Au retour d'un séjour à Londres, il enregistre un nouveau 45 tours avec Étienne Roda-Gil, le parolier de Julien Clerc à l'époque. De 1968 à 1970, Alain enregistre cinq 45 tours qui ne rencontrent pas de succès. L'un des derniers disques ne sera pas commercialisé, un autre ne paraîtra qu'en Allemagne.

En 1971, il est choriste lors de l'édition 1971 de l'Eurovision, qu'il remporta pour Monaco, avec la chanteuse Séverine.

Les premiers succès et un difficile changement de cap

Claude François lui propose de travailler avec lui, c'est la période Flèche. Tout d'abord, il est compositeur avec Michel Pelay pour certains artistes et choristes, puis grâce à une proposition de Claude François, il enregistre un disque, d'abord une maquette avec Alain et Pelay qui chantent ensemble, puis d'un commun accord, il est décidé qu'Alain chantera seul.

Claude François trouve le nom Alain Le Govic trop marqué régionalement et cherche un pseudonyme dans le dictionnaire des noms propres. Les deux artistes se mettent d'accord sur Chamfort. Après un premier 45 tours, Dans les ruisseaux, en 1972, il enchaîne les succès commerciaux (Signe de vie, signe d'amour, L'Amour en France, Je pense à elle, elle pense à moi, Adieu mon bébé chanteur) et les tournées.

Il reprendra en 1975 la chanson de Barry Manilow Could It Be Magic en français (Le Temps qui court) sans grand succès. C'est Donna Summer qui fera décoller cette chanson l'année suivante.

Ensuite, les rapports avec Claude François se détériorant, Alain quitte le label Flèche et continue sa carrière seul. Il emmène avec lui Gérard Louvin, qui devient, jusqu'en 1982, le gérant de la société de production de Chamfort (ACO Music) et le manager d'Alain, et Michel Pelay.

En 1976, il signe chez CBS Records avec une liberté totale dans le choix artistique. La même année, il se consacre à l'enregistrement de son premier album (l'album publié chez Flèche n'est qu'une compilation des 45 tours). En 1977, il fait les chœurs pour l'album de Véronique Sanson : Hollywood. À l'automne 1976, l'album Mariage à l'essai sort dans les bacs. Ce disque est un changement radical de style, après les six années passées avec Claude François qui avait fait de lui un chanteur à minettes, mais le succès se fait attendre.

Le renouveau : Gainsbourg, Manureva et les autres

En 1977, Chamfort décide avec l'accord de sa maison de disques d'enregistrer son album suivant (Rock'n rose) dans un studio de Los Angeles dont les musiciens l'ont fasciné par la qualité de leur jeu, leur perfectionnisme et leur sérieux, lors de l'enregistrement de l'album de Véronique Sanson. Durant l'été 1977, il part avec les compositeurs Michel Pelay et Jean-Noël Chaléat à Los Angeles et choisit des musiciens dont Jeff, Steve et Mike Porcaro, qui formeront plus tard le groupe Toto. Les percussions et cordes ont été d'abord enregistrées à Londres. Pour les textes, il fait appel à Serge Gainsbourg.

Le second album, Rock'n rose sort en septembre et ne connaît qu'un succès mitigé malgré les titres Joujou à la casse et Baby Lou. Après avoir publié un 45 tours en 1978, enregistré à Londres et collaboré avec son complice Jean-Noël Chaléat pour le maxi single instrumental Araxis Space Ship, il repart à Los Angeles pour préparer son troisième album Poses. Il compose la musique avec Jean-Noël Chaléat, les textes sont de nouveau écrits par Serge Gainsbourg, notamment ce qui sera son plus grand tube, Manureva, classé 2e en France durant tout le mois de janvier 1980[2] et 19e en Espagne au cours de l'été de la même année[3].

Cette chanson demeure à ce jour la plus célèbre de son répertoire. À l'origine, elle doit s'appeler Adieu California mais Chamfort n'est pas convaincu par la première version écrite par Gainsbourg. C'est à l'occasion d'un dîner que ce dernier entend parler du navigateur disparu Alain Colas et de son bateau Manureva. Le sujet lui inspire directement les paroles de la chanson qui, en plus de devenir un considérable succès, s'avère être un morceau de disco mélancolique révélant un travail de production inventif. D'une manière plus générale, la nouvelle orientation musicale d'Alain Chamfort, teintée de « nouveau romantisme », n'est pas sans rappeler les productions anglaises de Duran Duran ou Roxy Music. Gainsbourg n'écrit que quelques textes de l'album (Manureva, Démodé et Bébé Polaroïd). Pour les autres, Alain fait appel à Jean-Michel Rivat (Geant, Béguine), Jay Alanski (Palais Royal, Toute La Ville En Parle) et Jane Birkin (Let Me Try Again). Manureva se vend à près d'un million d'exemplaires et permet à Alain de renouer avec le succès qu'il avait connu au début de la décennie.

En 1981 sort l'album Amour année zéro, enregistré à Los Angeles, qui est une nouvelle collaboration entre Serge Gainsbourg et Alain Chamfort (pour huit des neuf titres de l'album). La chanson Bambou est un succès avec 200 000 exemplaires vendus en France[4].

En 1983 il produit le second album de Lio, Amour toujours, pour lequel il compose notamment la chanson La Reine des pommes[5].

Puis, débute une période durant laquelle la musique d'Alain Chamfort s'inscrit plus nettement dans une mouvance que l'on peut associer à la new wave naissante, tout en conservant le côté « nouveau romantisme » abordé quelques années plus tôt, avec l'utilisation marquée d'instruments électroniques comme les synthétiseurs (en collaboration avec Wally Badarou notamment), qui accompagnent des mélodies pop sucrées et des thèmes à la saveur exotique, évoquant les voyages ou encore l'Orient. Les albums s'enchaînent jusqu'au tout début des années 1990, faisant de Chamfort une figure incontournable de la musique pop française de cette époque-là : Bambou, Chasseur d'ivoire, Paradis, Bons baisers d'ici, Rendez-vous, Traces de toi, La Fièvre dans le sang, Souris puisque c'est grave, sont autant de succès.

Période plus délicate et nouvelle voie

Les années 1990 se révèlent finalement plus difficiles pour Alain malgré quelques titres marquants, comme Clara veut la lune ou L'ennemi dans la glace (Victoire de la musique du meilleur vidéo-clip en 1994, réalisé par Jean-Baptiste Mondino[6]). Avec cette baisse de succès, son contrat avec Sony n'est pas reconduit : sa période de gloire semble passée. Après avoir publié en 2000 la compilation Ce n'est que moi, il signe chez Delabel et sort en 2003 l'album Le Plaisir. Lorsqu'il arrête ses comptes fin décembre, le label estime cependant que le disque, sorti en septembre, n'affiche pas des chiffres de vente suffisants. Alain est alors contraint de quitter sa maison de disques [7].

Il rebondit en 2004 avec le clip des Beaux Yeux de Laure, remarqué par les médias et très diffusé : il remporte la Victoire de la musique du meilleur vidéo-clip l'année suivante.

Depuis 2005, il a signé avec un label indépendant, XIII Bis Records, et s'est fait remarquer en donnant un concert surprise au Jardin du Luxembourg. Il donne une série de concerts à l'Alhambra où il reprend ses plus grands succès ainsi que des chansons en duo « virtuel » via une série d'écrans, avec Michel Delpech, Vincent Delerm et Jane Birkin (en 1998, il avait composé Les clés du Paradis pour le premier album non Gainsbourg de cette dernière, A la légère).

En 2007, il contribue au cinquième album de Vanessa Paradis, Divinidylle, avec Junior Suite, une chanson qu'il a écrite pour elle en 2000 et qui devait initialement figurer sur l'album Bliss de la chanteuse.

Le , il sort un nouvel album intitulé Une vie Saint Laurent. Consacré à Yves Saint Laurent, il est écrit par Pierre-Dominique Burgaud et réalisé par Jean-Philippe Verdin. Disponible en digital et en physique exclusivement sur le site vente-privee.com[8], l'album connaît un succès public et critique, réalisant un bon démarrage avec 7 962 exemplaires vendus en une semaine[9],[10].

En 2012, il sort un nouvel album intitulé Elles et lui, une collection de duos reprenant ses principaux succès, où chaque titre est chanté avec une femme différente.

Il fait partie des 60 artistes du Collectif Paris Africa réunis pour l'UNICEF pour la lutte contre la crise nutritionnelle et alimentaire qui frappe quatre pays de la Corne de l’Afrique.

Il publie le 20 avril 2018 son quinzième album, Le Désordre des choses.

Cinéma et télévision

Alain Chamfort compose aussi pour le cinéma : il travaille avec Jean-Pierre Mocky (À mort l'arbitre en 1984) il écrit la musique du film et le générique Backdoor Man dont il choisit Viktor Lazlo[11] comme interprète ; Arnaud Sélignac (Eye of the Wolf en 1995) qui l'avait sollicité comme acteur dans son téléfilm Une femme pour moi en 1993. On le retrouve dans le court-métrage Men/Toys/Girl en 2001.

En 2011, il participe à l'épreuve de « La maison des juges » de l'émission X-Factor sur M6, en tant que bras-droit d'Olivier Schultheis, chargé du groupe des filles de moins de 25 ans.

En 2012, il tourne dans le film Les Jeux des nuages et de la pluie (sortie 2013) dans lequel il donne la réplique à Hiam Abbass.

En 2013, il assiste Jenifer dans la Saison 2 de The Voice, la plus belle voix au moment des battles[12].

En 2014, il participe à la première de l'émission Stars au grand air avec Patrick Bruel, Amel Bent et Bénabar, diffusée sur TF1 et enregistrée à l'automne 2013 dans une maison du Gers.

Autres activités

En 2004, il devient membre du conseil d'administration de la SACEM.

En 2007, il est fait Chevalier de la Légion d'honneur.

En 2009, il participe à la Commission Culture et Université présidée par Emmanuel Ethis.

En , à la suite de la démission de Nicolas Hulot, il signe la tribune contre le réchauffement climatique intitulée Le Plus Grand Défi de l'histoire de l'Humanité, qui parait en Une du journal Le Monde, avec pour titre L'appel de 200 personnalités pour sauver la planète[13].

Vie privée

Il a cinq enfants avec trois compagnes. Avec sa première compagne, Corinne : Clémentine, née le , Gary et Lucas nés le . Tess[14] née le avec Claire, une jeune mannequin rencontrée en 1987. Puis il a rencontré Nathalie en 2005, une styliste avec laquelle il a eu Lucien, né le 13 mai 2009 [15],[16]. Il a aussi deux petits-enfants[17].

Il a aussi eu une relation entre 1979 et 1985 avec la chanteuse Lio[18],[19].

Distinctions

Décorations

Médaille

Discographie

Grâce au soutien de Claude François, Alain Chamfort connaît ses premiers succès avec les titres Dans les ruisseaux et Signe de vie, signe d'amour, en 1972. Catalogué, à l'époque, « chanteur à minettes », il connaît le succès avec des chansons sentimentales. Il compose trois titres pour Claude François : Des Roses de Noël (1970), Vivre de soleil (1970) et Plus rien qu'une adresse en commun (1971), adapté aux États-Unis par Paul Anka. Il quitte Claude François après le tube, Le temps qui court (1975), une adaptation de la chanson Could It Be Magic de Barry Manilow, reprise également par Donna Summer.

Souhaitant se défaire de son étiquette, il enregistre Mariage à l'essai, en 1976, un album différent de ce qu'il a produit. Serge Gainsbourg sauve la carrière du jeune chanteur et collabore à l'album Rock'n Rose, avec des titres Baby Lou et Joujou à la casse, puis à l'album Poses, en 1979, où figure l'énorme succès de l'année 1979, Manureva qui se vend à un million d'exemplaires. Sur leur dernière production ensemble, se détachent les titres Amour année zéro, et avec Wally Badarou aux synthés, Malaise en Malaisie, Bambou, Chasseur d'ivoire et Paradis, que signe E. Hagen Dierks, alias Jacques Duvall).

Depuis 1983, Alain Chamfort travaille avec Duvall et connaît quelques succès, comme Traces de toi, La Fièvre dans le sang, Souris puisque c'est grave et Clara veut la lune. En 2003, après quelques échecs commerciaux, Chamfort revient sur le devant de la scène avec l'album Le Plaisir où figure Le Grand retour. Malgré cette chanson, l'album n'a pas le succès escompté. Remercié par sa maison de disques, Alain réalise le clip Les Beaux Yeux de Laure, que les Victoires de la Musique récompensent. Ensuite il reprend avec Mylène Jampanoï un titre de Serge Gainsbourg de 1971, La décadanse.

La carrière d'Alain Chamfort connaît des hauts et des bas et des chansons qui marquent la chanson française. Selon Infodisc, il est classé à la 220e place des ventes de disques cumulées en France avec 3 267 300 disques vendus (2 449 000 singles et 818 300 albums)[24].

Albums studio depuis 1976

Albums en public

Compilations depuis 2000

Principales chansons

Filmographie


Livres

  • Alain Chamfort, Robert Murphy et Pierre-Dominique Burgaud, Une vie Saint Laurent, Paris, Albin Michel, , + 1 cd exclusif (ISBN 978-2-226-18182-4)
  • Anaïs Delorme, Alain Chamfort, Une Vie, Paris, Les Editions des Etoiles, (ISBN 978-2360830022)
  • Alain Wais, Alain Chamfort, Une Vie, Paris, Le Club des Stars, Editions Seghers, (ISBN 978-2232101304)
  • Alain Chamfort, Intime, anti-biographie musicale, Paris, Cherche-Midi, 2016 (ISBN 978-274911467-5)

Liens externes

Notes et références

  1. Bulletin d’adhésion à la SACEM comme compositeur stagiaire (consulté le 19 janvier 2019)
  2. (fr) Top France - Cliquer sur onglet 1980 et semaines de janvier
  3. Classé en Espagne, sur http://artisteschartsventes.blogspot.fr .
  4. Ventes de 1981
  5. Gilles Verlant, Pierre Mikaïloff, Le Dictionnaire des années 80, Paris, Larousse, 2011, 560 p. (ISBN 978-2035850256) [lire en ligne]
  6. 9e cérémonie des Victoires de la musique
  7. « Alain Chamfort : tout savoir sur le tournant de sa carrière dans les années 2000 », sur nostalgie.fr, (consulté le )
  8. Julien Mielcarek, « Alain Chamfort : "La sortie d'un disque n'intéresse plus personne" », sur ozap.com, Puremédias, (consulté le ).
  9. Bon démarrage pour l'album d'Alain Chamfort : Une vie Saint Laurent, sur Chartsinfrance.net. Consulté le
  10. Gérard Lefort, « Chamfort hors piste », sur liberation.fr, Libération, (consulté le ).
  11. « Viktor Lazlo, le blog »
  12. « The Voice 2 : une nouvelle règle qui peut tout changer ! », tf1, (lire en ligne, consulté le )
  13. « « Le plus grand défi de l’histoire de l’humanité » : l’appel de 200 personnalités pour sauver la planète », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
  14. Anas Tazi, « Alain Chamfort : découvrez sa fille, Tess [Photos] », Télé Star, (lire en ligne, consulté le ).
  15. https://www.francedimanche.fr/actualites/alain-chamfort-il-prend-le-temps-d-etre-papa
  16. Sally Mokrane, « Alain Chamfort "un papa gâteau" découvrez ses enfants (photos) », sur closermag.fr, (consulté le ).
  17. Marc UYTTERHAEGHE, « « Papa à 60 ans, c’est particulier » », L'Avenir, (lire en ligne, consulté le ).
  18. Marie Lacombe, « Alain Chamfort : découvrez les femmes qui ont marqué sa vie (photos) », sur closermag.fr, (consulté le ).
  19. Juliette Deboom, « "Ça a été un épisode bouleversant"  Alain Chamfort se confie sur sa liaison avec Lio », Paris Match, (lire en ligne, consulté le ).
  20. Décret du 31 décembre 2006 portant promotion et nomination dans l'ordre national de la Légion d'honneur
  21. Décret du 14 novembre 2016 portant promotion et nomination
  22. Arrêté du 31 août 2018 portant nomination et promotion dans l'ordre des Arts et des Lettres
  23. RFI, reportage du 12 février 2011
  24. http://www.infodisc.fr/Vente_Artiste.php?debut=200
  25. , sur allociné.
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