Acigné

Acigné est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne, peuplée de 6 814 habitants[Note 1]. Elle fait partie des quarante-trois communes de Rennes Métropole.

Ne doit pas être confondu avec Apigné.

Acigné

La mairie.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Rennes Métropole
Maire
Mandat
Olivier Dehaese (PS)
2020-2026
Code postal 35690
Code commune 35001
Démographie
Gentilé Acignolais
Population
municipale
6 814 hab. (2018 en augmentation de 8,47 % par rapport à 2013)
Densité 231 hab./km2
Population
agglomération
395 710 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 08′ 03″ nord, 1° 32′ 12″ ouest
Altitude Min. 29 m
Max. 96 m
Superficie 29,55 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Acigné
(ville isolée)
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Liffré
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Acigné
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Acigné
Géolocalisation sur la carte : France
Acigné
Géolocalisation sur la carte : France
Acigné
Liens
Site web www.ville-acigne.fr

    Géographie

    Localisation

    Acigné est situé à environ 10 km à l'est de Rennes, préfecture du département.

    Le centre-ville se situe à l'extrême sud de la commune, au bord de la Vilaine, alors que le nord de la commune est marqué par l'entrée de la forêt de Rennes (commune de Liffré).

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Les distances orthodromiques des bourgs voisins sont les suivantes :

    Géologie et relief

    L'altitude varie de 29 à 96 mètres.

    La topographie à l'échelle de la commune révèle une pente du nord vers le sud. Le centre d'Acigné se situe donc dans un creux alors que sa campagne est plus en hauteur.

    Vue aérienne d'Acigné, en 2019. Vue en direction de l'est.

    Hydrographie

    Le fleuve côtier Vilaine est le principal cours d’eau de la commune. Il coule d’est en ouest et marque la limite sud du territoire, séparant Acigné de Noyal-sur-Vilaine. Acigné se trouve intégralement dans le bassin versant de la Vilaine.

    Son principal affluent sur le territoire est la Chevré (ou la Veuvre) qui coule en rive droite, du nord vers le sud[1]. La confluence de la Vilaine et de la Chevré se situe à l’ouest du centre-ville d’Acigné. La confluence de la Chevré et son affluent le ruisseau du Gué se trouve à quelques mètres du tripoint entre Acigné, Liffré et La Bouëxière.

    Transports

    Acigné est desservi par les bus du service des transports en commun de l'agglomération rennaise (STAR) de Rennes Métropole via les lignes 64 et 164ex.

    La gare de Noyal - Acigné est située à 2 minutes sur la commune de Noyal-sur-Vilaine. Elle est desservie par le TER Bretagne.

    Les itinéraires de déplacements dits doux, pédestres et cyclables, représentent une douzaine de kilomètres sur la commune, avec 4 itinéraires en ville, une piste cyclable reliant Acigné à Noyal-sur-Vilaine et une autre vers Rennes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 748 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945[8] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 12,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Acigné est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Acigné, une unité urbaine monocommunale[16] de 6 740 habitants en 2017, constituant une ville isolée[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,8 %), zones agricoles hétérogènes (24,1 %), prairies (12,6 %), zones urbanisées (7,6 %), forêts (6,9 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Morphologie urbaine

    La Vilaine et le centre ville.

    Le bourg est au bord de la Vilaine, sur sa rive nord. La rive sud fait partie du territoire de la commune de Noyal-sur-Vilaine et n'est pas constructible car inondable. Le développement de l’agglomération, continu depuis les années 1960, s’est donc effectué en demi-cercle à partir du noyau initial, adossé à la Vilaine.

    Jusque dans les années 1950, le bourg comprenait deux quartiers, le "bas du bourg", autour de l'église, et 250 m plus loin, le "haut du bourg" ou Les Clouères, autour de la mairie.

    La première extension, un lotissement, a été finalisée en 1959 au nord-ouest du bourg initial. C'est le quartier actuel autour de l'avenue Abbé Barbedet.

    Ont suivi d'autres extensions urbaines, parmi lesquels on peut citer, par ordre chronologique :

    • Vers le nord, formant le quartier des Verdaudais
    • Vers l'ouest, avec le quartier de Maillé
    • Vers l'est, avec le quartier de la Timonière
    • et actuellement l'extension vers le nord-est, avec le quartier du Botrel
    Les nouveaux quartiers d'Acigné en 2020 avec, au premier plan, la ZAC du Botrel

    Ces dernières ont été gérées dans le cadre de ZAC (zones d’aménagement concerté). Ces ZAC concernent également le renouvellement urbain du centre ville.

    Une ceinture verte entoure l’agglomération, suivant les bords de Vilaine au sud, la vallée du Chevré à l’ouest et le ruisseau de Joval à l’est.

    De nombreux villages parsèment la campagne d’Acigné, comme Grébusson, Bourgon, Vernay, Louvigné, etc. Les constructions anciennes y sont fréquemment en bauge (terre), les carrières de pierre étant rarissimes à Acigné et, plus généralement, dans le Bassin rennais.

    Logement

    Le tableau ci-dessous présente une comparaison de quelques indicateurs chiffrés du logement pour Acigné et l'ensemble de l'Ille-et-Vilaine en 2017[I 1],[I 2].

    Le logement à Acigné en 2017
    Acigné Ille-et-Vilaine
    Parc immobilier total (en nombre d'habitations) 2 923 546 440
    Part des résidences principales (en %) 93,6 86,2
    Part des résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,8 6,9
    Part des logements vacants (en %) 5,6 6,9
    Part des ménages propriétaires de leur logement (en %) 69,6 59,8

    Projets d'aménagements

    Acigné dispose d'un plan local d'urbanisme intercommunal approuvé par délibération du conseil métropolitain du 19 décembre 2019[23]. Il divise l'espace des 43 communes de Rennes Métropole en zones urbaines, agricoles ou naturelles.

    La commercialisation en cours (2020) de la première tranche de la ZAC du Botrel concerne 390 logements, en collectifs, semi-collectifs, individuels et lots libres de constructeur. Une deuxième et une troisième tranches suivront[24].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont : Acigniacum (1030), Aciniacum (1030), de Accigneio (1330)[25].

    L'origine pourrait en être le suffixe gaulois -acos (latin -acum) précédé d'un nom de propriétaire ou d'habitant : c'est le prénom latin Accinius (dérivé d' Accius) ou Assinius (dérivé d' Assius). Signification : « lieu habité d'Assinius ».

    Le linguiste Joseph Loth, s’appuyant sur un document caroligien désignant Acigné sous le nom d’Achiniagas villas, pense pour sa part qu’il s’agit d’une déformation d’Aquiniacus, signifant « lieu entouré d’eaux » (du latin « accingere », entourer), Acigné étant entouré par La Vilaine au sud, le Chevré à l’ouest et le ruisseau de Vernay à l’est.

    En gallo, langue traditionnelle des habitants d'Acigné, la commune est appelée Acignë[26]. En breton  langue dont le village est en dehors de l'aire traditionnelle de diffusion , la commune est baptisée Egineg[25] par l'Office public de la langue bretonne.

    Histoire[27]

    Légende de la Muse de Saint-Julien

    Le Moulin Desgués lors d'une crue de la Vilaine.

    Une légende qui remonterait au Moyen Âge veut qu'une Muse perdue dans les méandres de l'Antiquité aurait tant inspiré par sa beauté extraordinaire l'âme des poètes et des musiciens, que Méduse en devint follement jalouse. Celle-ci se lança à la recherche de la Muse pour lui voler cette beauté et la rendre immortelle en la changeant en statue. La Muse, avertie par un songe, dut, pour échapper à Méduse, fuir ce monde de l'Antiquité… Mais, au moment de le quitter, la Muse se retourna pour contempler ce monde qu'elle ne reverrait plus. C'est alors qu'elle croisa le regard de Méduse la poursuivant toujours. La Muse se changea aussitôt en statue et s'échoua au beau milieu d'un cours d'eau dont la crue soudaine empêcha Méduse de ramener la statue.

    C'est ainsi, que, d'après la légende, l'on donna le nom de Vilaine[28] à ce cours d'eau, pour ne jamais oublier les méfaits de la méchante Méduse. Quant à la Muse, elle ne cessa jamais d'inspirer les poètes et les musiciens, qui, au fil des siècles, passèrent à Acigné et finirent par lui donner le nom de Saint-Julien.

    Certaines rumeurs laissent à penser que la statue de la Muse de Saint-Julien aurait été retrouvée sur les bords de la Vilaine, non loin de l'actuel Moulin Desgués.

    Protohistoire

    En 1956, au nord du bourg, trois haches polies, que l’on date de 3500 av. J.C., ont été trouvées dans un champ par un agriculteur au nord du bourg. En 1970, ce sont trois bracelets en bronze finement ciselés datant de 1000 av. J.C. qui ont été découverts au nord du village de La Motte. En 2017, un diagnostic archéologique au Botrel a mis au jour un réseau de fossés de la fin de l’âge du Bronze ou du début de l’âge du Fer.

    Période gallo-romaine

    Une petite nécropole gallo-romaine a été découverte près des Onglées au XIXe siècle. En 1985, les traces d’une villa gallo-romaine ont été détectées par prospection aérienne à proximité. Il a également été reconnu dans le parcellaire d’Acigné la marque d’un arpentage gallo-romain couvrant 900 ha, de chaque côté de la voie romaine Rennes-Le Mans qui traversait le territoire.

    Moyen Âge

    Un denier de Charlemagne et de Roland daté d’environ 770 a été trouvé le long du Chevré. Les Francs abandonnèrent le contrôle de la région aux Bretons en 851.

    C’est en 1040 que le premier seigneur d’Acigné est désigné par Riwallon, un vassal du duc de Bretagne. Après s’être installés près de l’église, les seigneurs d’Acigné déplacèrent leur résidence au Fort de la Motte, dans un méandre de la Vilaine. Cette résidence entourée de douves, d’abord en bois et en terre, puis en pierres, fut abandonnée au début du XVe siècle et tomba en ruine. La famille d’Acigné, initialement vassale des barons de Vitré, bénéficia d’une ascension sociale grâce à ses succès au service du duc de Bretagne, du roi de France et également de beaux mariages, quittant alors Acigné pour d’autres résidences plus prestigieuses.

    La voie romaine évolua en grand chemin de Rennes au Mans via Vitré en traversant le bourg, avant d'être abandonnée au profit d'un autre tracé au sud de la Vilaine par Noyal, sous l'Ancien Régime.

    Temps modernes

    Après l’annexion de la Bretagne, de 1532 et 1675, la Bretagne connut une période de paix et de prospérité. De belles demeures acignolaises du bourg en sont les témoins, comme la maison dite d’Acigné, rue Saint-Louis, et la maison des Chevaliers, rue de Calais.

    L’Ancien Régime nous a laissé de nombreux manoirs (Les Ecures, La Havardière, La Ville Aubrée, …) en campagne. Le château des Onglées, résidence de campagne d’un conseiller au Parlement de Bretagne, construit au XVIIe siècle, a une dimension plus majestueuse.

    La fin de l’Ancien Régime fut marquée par de développement des tanneries à Acigné, installées en particulier rue des Roches, en bord de Vilaine.

    Epoque contemporaine

    Lors de la Révolution, Acigné manifesta de la résistance aux idées nouvelles, comme beaucoup de paroisses rurales de L'Ouest..

    Le , des gardes nationaux provenant d'une vingtaine de paroisses avoisinantes font irruption à Acigné pour piller les maisons des habitants. Les deux commissaires envoyés par le département pour calmer les esprits sont couchés en joue et doivent se retirer pour sauver leur vie[29]. Le centre du village est en partie détruit. À l'origine, les habitants avaient pris le parti du curé réfractaire, ce qui leur valut cet acte de répression. On remarque, à l'intérieur de l'église, la chaire dont les personnages ont été décapités par les gardes nationaux.

    Au XIXe siècle, l’économie locale, toujours à dominante agricole, a été marquée par le développement de l’élevage laitier (beurre) et de la production de cidre pour le marché rennais. On trouvait une petite industrie du bois, issue de l’exploitation de la forêt de Rennes proche.

    L'église d'Acigné., achevée en 1904.

    Le a lieu l'inventaire des biens d'église à Acigné ; le journal Ouest-Éclair écrit : « Aujourd'hui, à huit heures, la paisible paroisse d'Acigné était envahie par 25 gendarmes et 60 artilleurs sous les ordres d'un jeune lieutenant venant d'opérer à Thorigné. Une demi-heure après, M. le recteur et les membres du conseil de fabrique sortent du presbytère et se rendent sur le parvis de l'église. […] L'agent du fisc expose l'objet de sa mission et demande l'ouverture de la porte, ce qui lui est refusé. […] Aussitôt après la foule entonne les cantiques : Nous voulons Dieu, Je suis chrétien, et crie À bas les voleurs ! les crocheteurs ! Après les trois sommations d'usage, et sur réquisition du commissaire, cinq soldats d'artillerie apportent leurs instruments de cambriolage et veulent fracturer la porte du midi qui résiste à leurs efforts. Ils s'attaquent alors à celle de la sacristie qui est mise en pièces au bout de vingt minutes. Pendant le crochetage, quelques jeunes gens enfermés dans l'église ont consciencieusement arrosé les soldats et le chapeau du commissaire »[30].

    L’exode rural, conjugué à la perte de 74 hommes pendant la Guerre 14-18, impacta Acigné au XXe siècle, avant que la démographie ne se redresse à partir des années 1960, avec le développement de l’agglomération rennaise qui entraîna l’installation de nouveaux habitants y travaillant.

    Aujourd’hui, Acigné est une commune rurbaine, tout en préservant des éléments de son patrimoine historique et en maintenant sa vocation agricole dans une campagne verdoyante et doucement vallonnée.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Acigné appartient à l'arrondissement de Rennes et au canton de Liffré depuis le redécoupage cantonal de 2014. Auparavant, elle a successivement appartenu aux cantons suivants : Rennes-Sud-Est (1833-1973), Rennes-VI (1973-1985), Rennes-Est (1985-1991) et Cesson-Sévigné (1991-2015).

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la deuxième circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis par Laurence Maillart-Méhaignerie (MoDem). Elle appartenait à la deuxième circonscription de Rennes sous la IIIe République puis à la 2e circonscription (Rennes-Sud) de 1958 à 1986 et enfin à la 5e circonscription (Vitré) de 1986 à 2010.

    Sur le plan des institutions judiciaires, la commune relève du tribunal d'instance, du tribunal de grande instance, du tribunal pour enfants, du conseil de prud’hommes, du tribunal de commerce, de la cour d’appel et du tribunal administratif de Rennes et de la cour administrative d'appel de Nantes.

    Intercommunalité

    La commune appartient à Rennes Métropole depuis sa création le . Acigné faisait alors partie des 27 communes fondatrices du District urbain de l'agglomération rennaise qui a pris sa dénomination actuelle le .

    Acigné fait aussi partie du Pays de Rennes.

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 5 000 et 9 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 29[31].

    Conseil municipal actuel

    Les 29 sièges composant le conseil municipal ont été pourvus le lors du premier tour de scrutin. Actuellement, il est réparti comme suit :

    GroupeEffectifStatut
    « Acigné ensemble » (PS)27majorité
    « Lutte ouvrière - Faire entendre le camp des travailleurs » (LO)2opposition

    Liste des maires

    Liste des maires successifs depuis 1850
    Période Identité Étiquette Qualité
    1850 1860 François de Montigny   Médecin
    1860 1878 Jules-Jean-Marie Chevalier de la Teillais   Propriétaire
    1878 1902 Pierre Georges   Agriculteur
    1902 1929 Alain de Tréverret   Propriétaire
    1929 1940 Pierre Aubrée URD Agriculteur, Chevalier du Mérite agricole
    1940 1941 Joseph Lelièvre    
    1941 1943 Emmanuel Pillet   Négociant en bois
    1943 1944 Armand Le Douarec   Médecin
    1945 1945 Emmanuel Pillet   Négociant en bois
    1945 1947 François Louapre   Agriculteur
    1947 1971 Charles de Tréverret   Minotier
    1971 1989 Michel Simonneaux SE Agriculteur
    Chevalier du Mérite agricole (1978)
    1989 2014 Guy Jouhier[32] (1947- ) PS Enseignant retraité
    Conseiller général du canton de Cesson-Sévigné (1998 → 2011)
    5e vice-président de Rennes Métropole (2008 → 2014)
    3e vice-président de Rennes Métropole (2001 → 2008)
    2014 En cours
    (au 25 mai 2020)
    Olivier Dehaese[33] (1970- ) PS Ingénieur de recherche
    6e vice-président de Rennes Métropole (2020 → )
    16e vice-président de Rennes Métropole (2014 → 2020)
    Réélu pour le mandat 2020-2026[34]

    [35]

    Politique de développement durable

    La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2012[36].

    Tendances politiques et résultats

    Candidats ou listes ayant obtenu plus 5 % des suffrages exprimés lors des dernières élections présidentielles :

    Jumelages

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[40].

    En 2018, la commune comptait 6 814 habitants[Note 7], en augmentation de 8,47 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +4,83 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 9212 3221 7922 1842 3062 1011 9902 0832 058
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 0692 1482 1672 1512 1192 0772 0171 9721 950
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8431 8301 7091 5091 4801 4721 4511 4931 556
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 5571 7762 3193 5544 3615 2465 7856 1666 645
    2018 - - - - - - - -
    6 814--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Acigné comptait plus de 400 établissements en 2015, représentant 1800 emplois[43]. Parmi ces entreprises, on compte 33 exploitations agricoles.

    L'usine MX d'Acigné avec, au premier plan, la rivière Le Chevré.

    L'employeur le plus important est l'entreprise MX, premier fabricant de chargeurs sur tracteur en France, avec 640 collaborateurs. MX a été créé en 1951 par un artisan d'Acigné, Louis Mailleux[44]. Forgeron entreprenant installé dans le bourg, il fabrique d'abord des charrues puis, en 1963, il conçoit et réalise le premier chargeur avant. Le succès du matériel produit favorise le développement de l'entreprise qui s'industrialise alors[45].

    La SCOP EBS Le Relais Bretagne, installée à Acigné depuis 1997, emploie 150 salariés. Cette coopérative collecte les textiles et chaussures usagées en Bretagne, puis les trie dans son centre à Acigné, avant de les revendre. Sa vocation est de lutter contre l'exclusion par la création d'emplois[46]

    Beaucoup d'Acignolais travaillent sur Rennes et sa métropole.

    Vie locale

    Santé

    Sont installés sur la commune:

    • 4 médecins (dans un cabinet médical)
    • 4 infirmières libérales
    • 7 kinésithérapeutes
    • 1 sage-femme

    La commune dispose de deux pharmacies.

    L'hôpital privé Sévigné, à Cesson-Sévigné, à 7 km, est l'établissement hospitalier le plus proche.

    Enseignement

    • École Jeanne-d’Arc, école élémentaire et maternelle privée.
    • École du Chevré, école élémentaire publique.
    • École du Chat-Perché, école maternelle publique.

    Les collèges et lycées les plus proches sont situés dans les communes mitoyennes: Noyal-sur-Vilaine, Cesson-Sévigné et Liffré.

    Sports

    • L'Union sportive acignolaise Rugby (USAR), fondé en 2000, compte 180 licenciés, et comprend plusieurs sections. Une école de rugby et de Touch, du rugby à 5, du Touch, et du XV. La section XV a été deux fois championne de Bretagne (4e série en 2014, 3e série en 2017), et a pour la saison 2016/2017 effectué une saison parfaite avec douze victoires pour douze matchs, toutes bonifiées. Pour la saison 2017/2018, elle joue en championnat 2e série. La section Touch (Ratafia) a régulièrement des joueurs et joueuses sélectionnés en équipe de France de Touch.
    L'OEF (Ovalie en Fête) a lieu tous les premiers week-end de juillet, c'est la grande fête du club, où sont organisés un tournoi de rugby à 5 et de rugby à 7, des animations pour les grands et les petits, ainsi qu'un repas de clôture au Triptik.
    • L'Union sportive acignolaise Football, fondée en 1937, comprend 7 équipes. Elles jouent sur le complexe sportif du Chevré qui comprend plusieurs terrains, dont un terrain d'honneur synthétique[47].
    • Les kayakistes acignolaises sont les ex-championnes d'Europe de kayak et comptent de nombreux autres titres à leur actif.
    • L'association Acigné au féminin[48] est née en 1988. La première course nationale sur une distance de 10 km labellisée par la FFA. Aujourd'hui encore, la notoriété de cette épreuve dépasse la région Bretagne. C'est la course féminine la plus fréquentée en France sur cette distance de 10 km.
    • L'Acigné Basket Club[49] est une association sportive affiliée à la FFBB et permet la pratique du basket-ball en championnat ou en loisir. L'association accueille les licenciés à partir de 5 ans. Le club organise plusieurs manifestations tout au long de l'année : des plateaux pour les baby basketteurs, le Noël des jeunes, la galette des rois, un tournoi détente et enfin la fête du basket au mois de juin. Depuis 2016, les clubs de Basket de Liffré, Thorigné-Fouillard et Acigné se sont associés en CTC (Coopération territoriale de clubs) sous la bannière Mi-Forêt Basket 35, afin de permettre à leurs joueurs respectifs d'évoluer à leur meilleur niveau (départemental à pré-national) et de pouvoir pratiquer le basket année après année, même si le club n'est pas en mesure de fournir l'effectif nécessaire à la composition d'une équipe.

    Culture

    Le Triptik, ensemble multifonction, intègre une salle de spectacle de 250 places.

    Le cinéma et la médiathèque d'Acigné.

    Le cinéma associatif Le Foyer est équipé de deux salles climatisées pour des séances quotidiennes totalisant 30 000 entrées par an[50].

    La médiathèque municipale est ouverte 21 h 30 par semaine. Elle propose des livres, des CD audio et des CDrom en prêt.

    La commune compte une troupe de théâtre amateur : Les Arlequins d'Acigné [51].

    L'association musicale de Haute Vilaine (AMHV) propose un enseignement musical dès 4 ans et des ensembles pour les plus grands[52].

    Fest noz à Acigné le 2 mars 2019

    Le Moulinet, association dédiée à la culture gallèse, bretonne et au folk, organise des cours de danse, des fest-noz et concerts[53].

    L'association Acigné Autrefois, valorise et partage avec le public le patrimoine et l'histoire de la commune et de la région[54].

    Cultes et religions

    La paroisse Saint-Julien sur Vilaine regroupe Acigné, Noyal-sur-Vilaine et Brécé. Elle appartient au doyenné de Cesson-Sévigné et au diocèse de Rennes[55].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le château des Onglées.
    • La commune possède 224 bâtiments inventoriés[56] mais un seul monument historique, le château des Onglées . La totalité du domaine des Onglées  comprenant logis, chapelle, parc, etc.  a été inscrit en 2012[57],[58],. Il est ouvert au public l'été, pendant le week-end[59].
      La maison dite d'Acigné, rue Saint-Louis.
    • L’église Saint-Martin-de-Tours a été édifiée en 1904 par Arthur Regnault[60],[61] dans un style flamboyant breton. Son clocher contient quatre cloches dénommées Adolphine-Marie, Geneviève-Yvonne, Édith-Louise et Olive-Constance (dernière arrivée, le )[62]
    • La ferme de la Motte, en bord de Vilaine, est un centre de loisirs appelé l’Espace de la Motte.
    • Le marais de la Motte[63] est un espace naturel protégé au pied du bourg, avec un circuit de promenade en bord de Vilaine.
    • Le château d’eau est décoré par une fresque « aquarium ».

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    D'hermine à la fasce de gueules chargée de trois fleurs de lys d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018, légale en 2021.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Rivière la Chevré ou rivière la Veuvre (J70-0310) ».
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    8. « Station météofrance Rennes-Saint-Jacques - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Acigné et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Unité urbaine 2020 d'Acigné », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    17. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. Le plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi), sur ville-acigne.fr
    24. « Site officiel de la ville d'Acigné » (consulté le ).
    25. « Résultats concernant « Acigné » », sur la base KerOfis, Office public de la langue bretonne (consulté le ).
    26. le jardin graphique, « ChubEndret — Dictionnaire de noms de lieux - institu Chubri - Du galo pourr astourr », sur www.chubri-galo.bzh (consulté le ).
    27. « Site internet d'Acigné Autrefois ».
    28. « Vilaine — Wiki Rennes Métropole », sur www.wiki-rennes.fr (consulté le ).
    29. Roger Dupuis, "De la Révolution à la Chouannerie", Nouvelle bibliothèque scientifique, Flammarion, 1988 [ (ISBN 2-08-211173-3)]
    30. Journal Ouest-Éclair no 3288 du 9 mars 1906, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6410026/f3.image.r=Poc%C3%A9?rk=5622345;2
    31. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    32. « Ils ont été élus maires hier soir », Ouest-France (éd. Rennes), no 19320, 22-23 mars 2008, p. 7 (ISSN 0999-2138).
    33. « Olivier Dehaese a été élu maire de la ville », Ouest-France, 30 mars 2014.
    34. « Municipales à Acigné. Un premier conseil dans des conditions insolites », Ouest-France, (lire en ligne).
    35. Alain Racineux, Histoire d'Acigné et de ses environs, , p 196.
    36. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Acigné, consultée le 27 octobre 2017
    37. « Résultats de l'élection présidentielle de 2017 à Acigné », sur www.interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le ).
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    58. Château des Onglées, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
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    60. « Église paroissiale Saint-Martin », notice no IA00130848, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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    62. « Olive-Constance : 4e cloche d'Acigné », sur ville-acigne.fr, mairie d'Acigné (consulté le ).
    63. Louis Diard, La flore d’Ille-et-Vilaine, Atlas floristique de Bretagne, Rennes, Siloë, 2005, p. 65.
    64. Alain Racineux, Si Acigné m'était conté, Atimco Combourg, , 40 p., p. 10.
    65. Alain Racineux, Acigné au fil du temps, Rennes, Média Graphic, , 128 p., p. 39-40.
    66. http://www.bddm.org/liv/details.php?id=I.250.#CHUBERT
    67. http://archives-en-ligne.ille-et-vilaine.fr/thot_internet/FrmLotDocFrame.asp?idlot=23602&idfic=0271515&resX=1600&resY=900&init=1
    68. http://www.bddm.org/liv/details.php?id=I.282.#BRANCARDouBROCARD
    69. Archives départementales d'Ille-et-Vilaine. 167 J. Fonds Pétri
    70. http://memoiredeguerre.free.fr/ccmr/p6-list-b.htm

    Annexes

    Bibliographie

    • Marquisat d'Acigné, érigé en 1609, cote 14 J 31 à 14 J 35, Fonds Freslon de la Freslonnière, (14 J) Archives départementales d'Ille-et-Vilaine.
    • Jacques Briard et Y. Lecerf, « Parures de l'âge du Bronze : les bracelets décorés d'Acigné et Pléchâtel », Annales de Bretagne, vol. 2, no 82, , p. 107–114
    • Lavallée, « Acte de fondation d'une école de filles à Acigné en 1729 par les seigneurs de Coniac », Bulletin de la Société archéologique du département d'Ille-et-Vilaine, vol. X, , p. XXVI (lire en ligne)
    • Alain Racineux, Histoire d'Acigné et de ses environs, 1999

    Articles connexes

    Liens externes

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