Accord de partenariat transpacifique

L'Accord de partenariat transpacifique, aussi connu sous le nom de « Partenariat transpacifique » ou sous son nom anglais « Trans-Pacific Partnership Agreement » ou simplement « Trans-Pacific Partnership » (TPP), est un traité multilatéral de libre-échange signé le , qui vise à intégrer les économies des régions Asie-Pacifique et Amérique.

Pour les articles homonymes, voir Transpacifique.

Partenariat transpacifique
  • Pays du P-4
  • Pays signataires en 2016
Accord de partenariat transpacifique
Type de traité Accord de libre-échange
Signature
Lieu de signature Auckland
Entrée en vigueur
Signataires Australie
Brunei
Canada
Chili
États-Unis (retiré)
Japon
Malaisie
Mexique
Nouvelle-Zélande
Pérou
Singapour
Viêt Nam

Le , Donald Trump, président des États-Unis, signe un décret qui désengage les États-Unis de l'accord[1]. Par la suite, les autres membres de l'accord initial reprennent le traité sans quelques clauses, sous le nom de Comprehensive and Progressive Agreement for Trans-Pacific Partnership (CPTPP) ou en français Partenariat transpacifique global et progressiste (PTPGP[2]), et le signent le . Le traité prend effet le .

L'accord PTP est en vigueur pour les sept pays qui l'ont ratifié : l'Australie, le Canada, le Japon, le Mexique, la Nouvelle-Zélande, Singapour et le Viêt Nam.

Histoire

2002-2006 : Trans-Pacific Strategic Economic Partnership Agreement

Un premier traité, appelé « Accord de partenariat économique stratégique transpacifique », a été négocié officieusement à partir d'une rencontre des chefs de l'APEC en 2002 à Los Cabos au Mexique. Trois pays ont commencé à négocier : Chili, Singapour et Nouvelle-Zélande. Lors de la cinquième ronde de négociations en , le Brunei s'est ajouté et les quatre pays sont alors désignés par Pacific-4 (P4). Il a été signé le par le Brunei, le Chili, la Nouvelle-Zélande et Singapour ; il est entré en vigueur le . Les objectifs du premier traité étaient d'éliminer 90 % des barrières douanières entre les pays membres à partir du et d'atteindre en 2015 des droits de douane égaux à zéro. Ce traité couvre pratiquement tous les échanges de biens, les règlements de litiges, l'application des mesures phytosanitaires, les échanges de services, la propriété intellectuelle, les contrats gouvernementaux et les politiques liées à la concurrence[3].

2008-2016 : Accord de partenariat transpacifique

Réunion en 2010 des chefs d'États des pays en négociation pour le TPP.
Réunion en 2013 des chefs d'États ou des ministres des affaires étrangères, accompagné des négociateurs en chef des pays en négociation pour le TPP.

Les négociations pour le partenariat transpacifique ont démarré en 2008 à la suite de la volonté des États-Unis de négocier un nouveau traité avec les quatre membres de l'Accord de partenariat économique stratégique transpacifique. Puis dès la fin de l'année 2008, l'Australie, le Viêt Nam et le Pérou entrent à leur tour dans les négociations. Enfin en la Malaisie entre également dans les négociations.

Le , dernier jour du sommet de l'APEC, les chefs de gouvernement des neuf pays ont accepté la proposition de Barack Obama de compléter les négociations pour le sommet de l'APEC de 2011[4]. En , la proposition de traité a fuité[5].

En , le Canada et le Mexique rejoignent les négociations. Le Japon rejoint finalement les négociations en .

En , le Congrès des États-Unis refuse dans un premier temps de voter la procédure dite de « fast track (en) » qui aurait permis au Président de demander au Congrès d'adopter ou de rejeter in fine un traité commercial sans pouvoir modifier son contenu par des amendements. Sous la pression d'organisations syndicales hostiles à des mesures qui selon elles introduiraient un dumping social, la chef de file des démocrates Nancy Pelosi a choisi de ne pas soutenir cette procédure de « fast-track » sur laquelle la candidate à l'investiture démocrate pour la présidentielle de 2016, Hillary Clinton, est restée silencieuse[6]. La procédure de « fast-track » est finalement adoptée durant l'été avec le soutien des Républicains[7].

Un accord de principe est signé à Atlanta (États-Unis) le après cinq jours de dernières tractations[8]. Le , l'accord de partenariat transpacifique a été signé solennellement[9],[10]. Il doit être soumis à la ratification des douze parties prenantes (États-Unis, Canada, Mexique, Chili, Pérou, Japon, Malaisie, Vietnam, Singapour, Brunei, Australie et Nouvelle-Zélande) regroupant 800 millions d'habitants et 40 % du PNB mondial, ce qui en fait la plus grande zone de libre-échange dans le monde[11].

2017 : Sortie des États-Unis

Au cours de la campagne présidentielle américaine de 2016, Donald Trump s'est prononcé contre le traité, le qualifiant de « viol »[12]. En , à la suite de son élection, il affirme vouloir désengager les États-Unis de cet accord pour privilégier des accords bilatéraux, ce qui, compte tenu de la place des États-Unis dans l'accord, pourrait impliquer l'abandon de l'accord pour certaines des parties prenantes[13],[14].

Toutefois, le Japon ratifie tout de même l’accord le pour montrer sa volonté de maintenir le traité[15]. Le , Donald Trump signe officiellement un document désengageant les États-Unis du traité[1]. Cependant, suivant l’exemple du Japon, la Nouvelle-Zélande ratifie symboliquement le TPP le , en espérant que les autres partenaires fassent de même[16].

Nouveau traité sans les États-Unis

Du fait des efforts diplomatiques de certains pays notamment le Japon et la Nouvelle-Zélande, l'accord reste à l'ordre du jour avec l'Australie, Brunei, le Canada, le Chili, la Malaisie, le Mexique, le Pérou, Singapour et le Vietnam. Des négociations sont prévues en novembre et janvier[17]. Un cadre commun est trouvé entre ces 11 pays le , en marge du sommet de l'APEC à Da Nang (Viêt Nam)[18]. La signature du nouvel accord sans les États-Unis est officialisée le . Ce nouvel accord prend le nom de Comprehensive and Progressive Agreement for Trans-Pacific Partnership (CPTPP) ou en français « Partenariat transpacifique global et progressiste ». Cet accord reprend une très grande partie du traité initial, mais exclut une partie sur la propriété intellectuelle des produits pharmaceutiques, voulue par les États-Unis[19],[20].

Le Mexique ratifie ce nouveau traité le [21], puis vient le tour du Japon le [22], Singapour le [23], la Nouvelle-Zélande le [24], le Canada le [25] et l’Australie le , ce qui permet l’entrée en vigueur du traité soixante jours plus tard[26]. Le Vietnam ratifie le CPTPP le [27].

Le traité prend effet le (le pour le Viet Nam) entre les membres qui l’ont ratifié[28],[29].

En Malaisie, un groupe de pression dénonce un traité dangereux pour le pays. Le gouvernement, signataire de l’accord, annonce en vouloir prendre le temps de l’analyse du traité avant sa ratification[30].

Négociations

Contenu

Le contenu de l'accord a été rendu public le [31]. L'accord contient 30 chapitres qui portent sur la réduction des droits de douane, éléments qui restent le cœur de l'accord, mais aussi la propriété intellectuelle, le droit de l'environnement, le droit du travail, l'accès aux marchés publics, un accord de protection des investissements, etc.[32] Plusieurs analyses mettent en avant que l'accord devrait obliger certains pays en développement comme le Vietnam à renforcer leur droit du travail et de l'environnement déficients[31].

L'accord prévoit de supprimer 18 000 droits de douane[33], y compris sur des denrées agricoles[34]. Ces suppressions de droits de douane touchent 98 % des droits de douane entre les pays signataires[35]. Cependant un certain nombre de baisses progressives de droits de douane mettront plusieurs décennies avant d'être complètes, par exemple trente ans pour les droits de douane des États-Unis pour l'importation de camions, et quinze ans pour la viande bovine[31].

Le Partenariat transpacifique global et progressiste signé en 2018 comprend par exemple des baisses des droits de douane du Canada sur les importations de voitures passant de 6 % à 0 % sur 5 ans, les droits de douane japonais baissent sur la viande de bœuf de 38,5 % à 9 % sur 15 ans, et passant de 6,4 % à 0 % sur les importations de kiwi[28].

Sur la question de la circulation des données numériques, l’accord inscrit des principes défendus par l’Internet Association et la Computer & Communications Industry Association (en), des lobbys majeurs de l’industrie du numérique : il s’agit notamment de faciliter la diffusion des données recueillies et de restreindre celle des technologies utilisées, y compris les codes sources[36].

Enjeux

Les retombées économiques attendues de cette entente vont de zéro à 485 milliards de dollars américains, l'estimation la plus citée est de 285 milliards d'ici 2025, dont la majorité irait aux États-Unis et au Japon[réf. nécessaire].

Pour beaucoup d'analystes, l'accord de partenariat transpacifique a avant tout pour objectif de contrecarrer la domination économique de la Chine en Asie, ou de la forcer à réformer son modèle économique afin d'intégrer l'accord[13],[37]. De fait, en septembre 2021, la Chine présente sa demande officielle d'adhésion à l'accord de partenariat transpacifique[38] alors que l'annonce de l'AUKUS est effective.

Cinq autres pays, dont la Corée du Sud, la Thaïlande et les Philippines, ont déjà signalé leur intérêt pour cet accord[39].

Difficulté durant les négociations

Les négociations ont mis en évidence plusieurs éléments importants pour certains États, qu'ils souhaitaient protéger. Ainsi le Canada, les États-Unis et le Japon souhaitaient se prémunir face aux denrées agricoles d'Australie et de Nouvelle-Zélande, tandis que l'Australie, le Pérou et le Chili ne souhaitaient pas avoir les mêmes règles de protection des brevets pharmaceutiques que les États-Unis[33],[7].

Exclusion du tabac de la négociation

La Malaisie a proposé en de complètement exclure les produits du tabac de la négociation, au motif que certaines clauses font peser un risque juridique sérieux sur les pays qui s'engagent dans des politiques de lutte contre le tabagisme. Ces pays pourraient être attaqués en justice par les entreprises qui s'estiment pénalisées par de nouvelles mesures de contrôle du tabac ; cette procédure d'arbitrage commercial international s'est déjà présentée plusieurs fois, permise notamment par des traités portant sur le commerce et l'investissement[40].

Les États-Unis n'ont pas donné une suite favorable à cette demande mais ils ont laissé entendre qu'ils pourraient proposer que ce secteur soit exclu du dispositif de protection des investissements[41]. Cette exclusion figure dans la première mouture de l'accord conclu le , mais doit encore être approuvée par le Congrès des États-Unis[42]. Si elle est confirmée, cette décision supprimera le risque juridique pesant sur les États désireux de mettre en place des politiques contre le tabagisme.

Certains observateurs observent toutefois que l'industrie du tabac et ses défenseurs pourraient essayer de faire dérailler le processus pour éviter que l'exclusion de cette industrie du mécanisme de règlement des différends entre investisseurs et États ne crée un précédent applicable aux futurs accords de libre-échange[43].

En dépit de cette opposition, la version finale de l’accord de partenariat transpacifique exclut finalement les industries du tabac de tout processus d’arbitrage, les États parties à l’accord souhaitant se prémunir contre des recours comme celui de Philip Morris contre l'Uruguay[44]. L'exemption du tabac des procédures d’arbitrage est une première pour un accord commercial international.

Critiques et opposition

Manifestation contre le TPP à Auckland le 4 février 2016.

En 2011, le juriste canadien Michael Geist affirme que « le projet des États-Unis est tout ce qu'ils voulaient dans l'ACTA, mais n'ont pas obtenu[45] ».

Dès , l'Electronic Frontier Foundation tire la sonnette d'alarme sur le traité qu'elle compare à l'ACTA[46]. Diverses accusations sont portées comme la tentative de censure d'Internet et de la suppression de la liberté du Web. L'EFF reproche également au processus de négociation de manquer de transparence[47].

Le , une pétition, lancée par Avaaz.org, réclame un processus de négociation plus transparent et le rejet de toute mesure qui limiterait la capacité de légiférer des États. Les actions d'opposition au traité se multiplient courant 2013, notamment à la suite de la publication par WikiLeaks du chapitre sur la propriété intellectuelle le  ; cinq jours plus tard, on dénombre sept cent douze mille signatures sur la pétition d'Avaaz[48].

Un des points les plus importants des critiques au traité semble être les clauses d'arbitrage international pour la protection des investissements qui permettent à des entreprises d'intenter un procès à un État pour le non-respect du traité. Ces clauses sont cependant présentes dans un grand nombre d'accord de libre-échange et ne sont pas spécifiques à ce traité[49],[31]. Une autre critique de ce traité est qu'il favoriserait des délocalisations d'industries notamment des États-Unis vers les pays signataires en Asie, alors qu'il favoriserait à l'inverse la création d'emploi à plus haute valeur ajoutée dans les biotechnologies ou l'informatique[49].

Élargissement

Des pays comme le Royaume-Uni, la Chine, la Corée du Sud et Taïwan ont manifesté le souhait de rejoindre l'accord de partenariat[50],[51]. Le Japon, favorable à un renforcement de l'accord et à son élargissement à d'autres pays, a obtenu l'accord du Mexique pour une collaboration sur ce projet[52],[50].

Le Royaume-Uni souhaite entamer des négociations pour rejoindre l'accord de libre-échange ; la demande devrait être faite le au cours d'une discussion avec des ministres du Japon et de la Nouvelle-Zélande[53].

La Chine formule sa demande le [38].

Ratification

TPP

  • Le Japon ratifie le Partenariat transpacifique le [15].
  • Le , les États-Unis se désengagent officiellement du traité[1].
  • La Nouvelle-Zélande ratifie le TPP le [16].

CPTPP

Dates de ratification par les institutions nationales des pays signataires[Note 1]
Signataire Signature[54] Institution Ratification Ab. Dépôt
Mexique Sénat [55] 73 24 [56]
Accord présidentiel Accordé
Japon Chambre des représentants [57] Approbation à la majorité [58]
Chambre des conseillers [59] 168 69
Singapour Pas d'accord parlementaire requis[60]
Nouvelle-Zélande Chambre des représentants [61] 111 8
Sanction royale [61] Accordée
Canada Chambre des communes [62] 236[63] 44 2
Sénat [62] Approbation à la majorité
Sanction royale [62] Accordée
Australie Chambre des représentants [64],[65] Approbation à la majorité [64]
Sénat [64],[65] 33 15
Sanction royale [65] Accordée
Viet Nam Assemblée nationale [66] 469 0 16 [67]
Chili Chambre des députés [68],[69] 77 68 2  
Sénat En délibération

Notes et références

Notes

  1. Ce tableau est complètement ou en partie basée sur celui dans l’article Comprehensive and Progressive Agreement for Trans-Pacific Partnership (voir les auteurs) de la Wikipédia en anglais.

Références

  1. « Libre-échange : Trump signe l'acte de retrait des États-Unis du Partenariat transpacifique », Le Monde, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
  2. « L’Accord de Partenariat transpacifique global et progressiste (PTPGP) », sur Gouvernement du Canada, .
  3. (en) Trans-Pacific Strategic Economic Partnership Agreement - The Ministry of Foreign Affairs and Trade, New Zealand [PDF] (texte original - voir archive)
  4. (ja) « 2011年11月の妥結目指す 首脳会議で方針確認 », Nihon keizai shinbun, Tokyo, (lire en ligne, consulté le )
    Le titre peut être traduit par « TPP, la rencontre des chefs confirme un accord pour novembre 2011 ».
  5. Propositions par pays :
  6. Gilles Paris, « Échec au Congrès américain pour Obama sur un projet de libre-échange », Le Monde, (consulté le ).
  7. Stéphane Lauer, « Accord sur un traité de libre-échange transpacifique entre les États-Unis et 11 autres pays », Le Monde, (consulté le ).
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  9. La Tribune avec AFP, « Le partenariat transpacifique (TPP) expliqué en 7 points », .
  10. AFP, « Signature d'un vaste traité transpacifique salué par Washington », L'Express, .
  11. Alexander Panetta, « Dix questions au sujet du Partenariat transpacifique », Le Devoir, (consulté le ).
  12. « Trump calls trade deal 'a rape of our country' » - Politico.com, 28 juin 2016.
  13. Marie de Vergès, « Qu'est ce que le traité transpacifique, que Trump veut abandonner ? », Le Monde, .
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Annexes

Liens externes


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