Ablon-sur-Seine

Ablon-sur-Seine, anciennement Ablon, aussi orthographié Ablons, est une commune française située dans le département du Val-de-Marne en région Île-de-France.

Pour l’article homonyme, voir Ablon.

Ablon-sur-Seine

La mairie.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Val-de-Marne
Arrondissement L'Haÿ-les-Roses
Intercommunalité Métropole du Grand Paris
Maire
Mandat
Éric Grillon
2020-2026
Code postal 94480
Code commune 94001
Démographie
Gentilé Ablonais, Ablonaises
Population
municipale
5 818 hab. (2018 )
Densité 5 241 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 43′ 32″ nord, 2° 25′ 16″ est
Altitude Min. 32 m
Max. 85 m
Superficie 1,11 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Orly
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Ablon-sur-Seine
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Ablon-sur-Seine
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Ablon-sur-Seine
Liens
Site web ablon-sur-seine.fr

    Géographie

    Localisation

    Localisation d'Ablon-sur-Seine dans le Val-de-Marne.

    Les communes limitrophes sont : Villeneuve-le-Roi, Athis-Mons et Vigneux-sur-Seine, située sur l'autre rive de la Seine.

    Géologie et relief

    Hydrographie

    Située au sud du Val-de-Marne, la ville est sur la rive gauche de la Seine, fleuve qui la sépare, vers le sud, du département de l'Essonne dont elle est contiguë à l'ouest via Athis-Mons.

    À hauteur de la Saussaie des Gobelins se trouve l’écluse d’Ablon, dotée de deux sas latéraux, d’un barrage central surmonté d’une passerelle et d’une station de mesure du débit, seule écluse et dernier point de franchissement du département de l’Essonne dans le sens du courant.

    Transports en commun

    La commune est desservie par la gare d'Ablon sur la ligne C du RER d'Île-de-France

    Urbanisme

    Typologie

    Ablon-sur-Seine est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[4] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[7],[8].

    Toponymie

    Ablon est devenu Ablon-sur-Seine pour le différencier d'Ablon (Calvados, Eblelont [?] sans date, Abelon 1198)

    Il peut s'agir du nom de personne germanique Abilo pris absolument[9], en revanche, l'absence de formes anciennes ne permet pas de suggérer le gaulois (celtique) abalo-, aballo- « pomme, pommier » car il aurait abouti normalement à Avallon, comme Avallon (Yonne) et Avallon, nom d'un lieu-dit en Isère.

    Histoire

    Des traces de présence humaine sont observées dès l'Âge du bronze, avec la découverte d'armes en 1863 lors d'un dragage de la Seine [10].

    XVIIe siècle : la présence protestante

    Il y eut à Ablon un château bâti par Agnès Sorel, et un temple qui fut fréquenté, jusqu'à la révocation de l'édit de Nantes[réf. nécessaire], par les réformés parisiens.

    Henri II, duc de Rohan, épouse en 1605, au temple d'Ablon, Marguerite de Béthune, fille du futur duc de Sully.
    Marguerite de Béthune (1595-1660) duchesse de Rohan.

    Au début du XVIIe siècle, Ablon (ou Ablons) accède à la célébrité grâce à son temple protestant dont la création est autorisée par le roi Henri IV (Lettres Patentes du , publiées le ). Construit vers 1601-1603 à droite du châtel, il peut accueillir, selon les estimations de Jacques Pannier, mille à deux mille personnes. Le hameau, alors constitué, hormis du châtel, que d'une trentaine de feux repartis dans des maisons alignées sur la rive gauche de la Seine, devient ainsi, pendant quelques années, le centre du culte protestant des environs de Paris[11]. Selon d'autres textes, cet édifice religieux aurait existé à la fin de l’année 1699[12] et même depuis 1598[13]. Or, en attendant la fixation définitive de leur lieu de culte, les réformés de Paris se réunissent encore, en ce tournant de siècle, dans la grande salle du château seigneurial mise à leur disposition par leur fervent coreligionnaire Josias Mercier dans le petit village isolé de Grigny, situé à six anciennes lieues[14] du parvis de la cathédrale Notre-Dame de Paris, soit une lieue de plus que les cinq alors prescrites[15].

    Par l'édit de Beaulieu (1576) et par l'édit de Nantes (1598) les rois Henri III et Henri IV avaient en effet successivement accordé la liberté de culte aux protestants, en interdisant toutefois son exercice publique à la Cour, à Paris et aux alentours de ces deux lieux, dans les limites fixés par les édits respectifs. Le choix d'Ablon, éloigné du centre de Paris d'exactement cinq lieues est conforme à la distance légale à respecter depuis la promulgation de l’édit de Nantes[16],[17].

    Malgré la distance moindre, ce choix ne satisfait pas les protestants. Le chemin de terre à parcourir reste long et éprouvant pour les habitants réformés de Paris qui se déplacent le plus souvent à pied, et la voie fluviale empruntée par les plus fortunés qui utilisent le coche d'eau peut s'avérer dangereuse. Le voyage est pénible par temps de grand froid ou de grand soleil, périlleux pour les nourrissons amenés au baptême (40 décès en 1600, selon les huguenots) et, de plus, inenvisageable pour les vieillards, malades, femmes enceintes et enfants. Sur requête des réformés parisiens  soutenus par le futur duc de Sully qui se rendait chaque dimanche au temple d'Ablon[18]  la construction d’un nouveau temple à Charenton-Saint-Maurice, plus proche de Paris est autorisée, mise en chantier et achevée en 1606.

    Parmi les événements qui marquent la communauté protestante réunie au temple d'Ablon figurent, parmi bien d'autres,

    Histoire contemporaine

    Le bourg était desservi, au tout début du XXe siècle par des navettes fluviales pour Paris.

    L'activité économique d'Ablon a toujours été liée au fleuve : d'une part les cultures favorisées par les sols limoneux, et d'autre part le commerce. C'est traditionnellement une commune résidentielle, à l'urbanisme majoritairement pavillonnaire.

    Pendant la Première Guerre mondiale, le couvent du Sacré-cœur devient un Hôpital auxiliaire pour convalescents militaires (HACM), tandis que l'institution Jeanne-d'Arc devient l'Hôpital auxiliaire de l'Union des femmes françaises (HAUFF) n°126[20].

    Politique et administration

    Administration municipale

    À la suite du décès de monsieur Jean-Louis Cohen, alors maire de la commune, survenu le , madame Corinne Gorlier, alors première adjointe, a été élue maire de la commune par le conseil municipal lors de la séance extraordinaire du . Lors des élections municipales de , la liste Ablon Renouveau, menée par Éric Grillon a été élue par la population ablonaise.

    Liste des maires successifs depuis 1945
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1983 Alain Poher MRP puis CD
    puis UDF-CDS
    Ingénieur et haut fonctionnaire, ministre
    Président de la République par intérim (1969 et 1974)
    Sénateur, président du Sénat (1968 → 1992)
    Président de l'Association des maires de France
    Président de l'Assemblée parlementaire des Communautés européennes
    1983 2008 Jean-Pierre Hermellin UDF puis DL
    puis UMP
    Ingénieur au CNRS
    Conseiller général du canton de Villeneuve-le-Roi (1994 → 2001)
    2008 2012[Note 3] Jean-Louis Cohen (1948-2012) PS Retraité de la banque
    2012 2014 Corinne Gorlier (1965- ) DVG Cadre
    2014 En cours Éric Grillon (1960- ) UMPLR Fonctionnaire
    Réélu pour le mandat 2020-2026

    Jumelages

    Ablon-sur-Seine est actuellement jumelée avec une ville d'Allemagne et une ville de Grande-Bretagne.

    Tendances politiques et résultats

    Lors des élections européennes de 2019, le taux de participation d’Ablon sur Seine est inférieur à la moyenne (48,92% contre 50,12% au niveau national). La liste du Rassemblement National arrive en tête avec 22,55% des suffrages, contre 23,31% au niveau national. La liste de la République en Marche obtient 21,92% des voix, contre 22,31% au niveau national. La liste d’Europe Écologie Les Verts réalise un score de 13,92% des votes, contre 13,48% au niveau national. La liste des Républicains fait un score de 8,63% des suffrages, contre 8,48% au niveau national. La liste de la France Insoumise obtient 6,75% des voix, contre 6,31% au niveau national. Les autres listes obtiennent des scores inférieurs à 5%[21].

    Le résultat de l'élection présidentielle de 2012 dans cette commune est le suivant[22] :

    Candidat Premier tour Second tour
    Voix % Voix %
    François Hollande (PS)66227,54 1 15148,69
    Nicolas Sarkozy (UMP)65327,16 1 21351,31
    Marine Le Pen (FN)45518,93
    Jean-Luc Mélenchon (PG)29912,44
    François Bayrou (MoDem)2068,57
    Nicolas Dupont-Aignan (DLR)592,45
    Eva Joly (EÉLV)411,71
    Philippe Poutou (NPA)170,71
    Nathalie Arthaud (LO)70,29
    Jacques Cheminade (SP)50,21
    Inscrits 3 038 100,00 3 041 100,00
    Abstentions 599 19,72 537 17,66
    Votants 2 439 80,28 2 504 82,34
    Blancs et nuls 35 1,44 140 5,59
    Exprimés 2 404 98,56 2 364 94,41

    Le résultat de l'élection présidentielle de 2017 dans cette commune est le suivant[23] :

    Candidat Premier tour Deuxième tour
    % Voix % Voix
    Emmanuel Macron (EM)21,8153166,191329
    François Fillon (LR)21,40521
    Jean-Luc Mélenchon (LFI)21,15515
    Marine Le Pen (FN)19,3447133,81679
    Nicolas Dupont-Aignan (DLF)7,56184
    Benoît Hamon (PS)5,13125
    François Asselineau (UPR)1,1127
    Jean Lassalle (R!)0,9022
    Philippe Poutou (NPA)0,8621
    Nathalie Arthaud (LO)0,5714
    Jacques Cheminade (SP)0,164
    Inscrits 3 132 100,00 3 132 100,00
    Abstentions 639 20,40 869 27,75
    Votants 2 493 79,60 2 263 72,25
    Blancs 46 1,85 155 6,85
    Nuls 12 0,48 100 4,42
    Exprimés 2 435 97,67 2 008 88,73

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].

    En 2018, la commune comptait 5 818 habitants[Note 4], en augmentation de 7,98 % par rapport à 2013 (Val-de-Marne : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    208209236172224294307338305
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    344446474490531600688782896
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3321 4201 4631 8982 0002 2462 1932 6373 220
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    5 0865 6925 5315 2644 9384 8675 1185 1615 449
    2018 - - - - - - - -
    5 818--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Ablon-sur-Seine dispose de deux écoles maternelles et une école élémentaire publiques. La ville possède aussi un collège privé qui s'appelle le Sacré-Cœur.

    Manifestations culturelles et festivités

    De 2001 à 2008, Ablon s'est distinguée par la création de rendez-vous culturels variés. À l'origine de ces initiatives, une association indépendante, Il était une fois... Ablon, désireuse de faire vivre l'histoire de la ville et de susciter chez ses habitants le goût des rencontres entre Ablonais. Certaines ont marqué la ville, notamment le grand rendez-vous autour d'un rallye historique avec des thèmes comme « la découverte des quartiers », « les vieux métiers d'Ablon », « un mystère au château », etc.

    Autre axe d'animation culturelle, le festival « Vos Voisins Ont Du Talent », qui accueillait les peintres, sculpteurs, photographes et musiciens de la région. Ce festival accueillait également de jeunes artistes du Conservatoire national supérieur de Paris, ou artistes nouvellement diplômés des écoles d'arts (Beaux Arts...).

    Autre rendez-vous fortement apprécié par toutes les générations de la ville était le cyber-Ablon, organisé sur un week-end entier. Cette manifestation permettait aux plus anciens de s'initier à la bureautique (navigation sur internet, messagerie, Word, Excel...) et au plus jeunes de se retrouver pour des jeux en réseau.

    Tous les , l'association "Il était une fois... Ablon" proposait une manifestation à l'occasion de la journée internationale des droits des femmes (films, exposition de peintures et ou de photographies, conférences...).

    En sommeil depuis 2008, la vie de cette association est interrompue.

    Sports

    La ville possède un stade et gymnase

    Cultes

    Culture locale et patrimoine

    L'ancien chatel d'Ablon

    La tour du chatel d’Ablon qui se dresse face à la Seine, à l’angle de la grande bâtisse portant le no 7 du quai Magne, est l’unique vestige du castel médiéval construit en 1348 par Jacques de Pacy, seigneur d’Ablon.

    Selon une tradition locale, ce premier castel passe pour avoir été habité par la reine Blanche de sorte qu’il est rapporté, sans fondement, que la reine Blanche de Castille (1188-1252), y aurait séjourné, alors que cela est impossible, étant donné que son décès est antérieur à la construction du castel[28]. Jean Lebeuf note, dans son Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris, parue en 1757 : s'il est vrai qu’une des reines de France, du nom de Blanche, y ait fait sa demeure, ce ne peut gueres [sic] être que Blanche de Navarre[29]. Cette dernière est reine douairière depuis la mort du roi Philippe de Valois, décédé en 1350, dont elle est la seconde épouse. A ce jour, aucune source n’a permis de vérifier et de confirmer cette simple hypothèse émise par Lebeuf. De plus, toutes les veuves des rois de France portent alors le deuil blanc et sont, en raison de leurs vêtements surnommées reines blanches[30].

    Jean de La Barre (mort en 1649) affirme à propos du chasteau d’Ablon que c’est la gracieuse demoiselle Agnès Sorel (1422-1450), favorite du roi Charles VII qui a fait bâtir cette maison de plaisance, mais cet historien et ci-devant preuost de Corbeil ne justifie pas non plus son propos[31].

    L'ancien castel, fortement remanié au cours des siècles, échoue, à l'époque de la révolution, entre les mains de spéculateurs qui s'adonnent au pillage et au démantèlement des éléments décoratifs intérieurs[32].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique, logotype et devise

    Les armes d'Ablon-sur-Seine se blasonnent ainsi :

    D'azur à la fasce ondée d'argent chargée de trois ablettes de sable posées en bande, accompagnée en chef d'un rai d'escarboucle fleurdelysé d'or et en pointe d'un pampre de vigne fruité, tigé et feuillé du même.


    Pour approfondir

    Article connexe

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Jean-Louis Cohen, maire, meurt pendant la mandature.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 2a.
    10. Alain Croix, Histoire du Val de Marne, Messidor - Conseil général du Val-de-Marne, 1987, p. 32, 353.
    11. Jacques Pannier : L'Église réformée de Paris sous Henri IV : rapports de l'Église et de l'État, vie publique et privée des protestants …, Ed. H. Champion, Paris, 101 (lire en ligne) sur le site gallica.bnf.fr.
    12. État des communes à la fin du XIXe siècle, publié par la direction des affaires départementales, Département de la Seine, Impr. Typographique de l’Ecole d’Alembert, 1904, pp. 9-10.
    13. Alain Hugon : Au service du Roi Catholique : « Honorables ambassadeurs » et « divins espoirs », Casa de Velázquez, 2017, p. 160 (lire en ligne).
    14. L'ancienne lieue de Paris équivaut à 3,248 kilomètres. Elle est en vigueur jusqu’en 1674, année au cours de laquelle est définie la nouvelle lieue de Paris qui mesure 3.898 kilomètres
    15. Le château seigneurial et la ferme des Blancs-Manteaux, plaquette publiée par la municipalité de Grigny (voir pdf ligne)
    16. Paix de Monsieur. Édit de Paris dit Édit de Beaulieu, Paris, mai 1576, sur elec.enc.sorbonne (lire en ligne).
    17. Édit de Nantes, Nantes, avril 1598, sur elec.enc.sorbonne (lire en ligne).
    18. Pierre-Joseph-Spiridion Dufey, Dictionnaire historique des environs de Paris, Paris, Ch. Perrotin, 1825, p. 1-2.
    19. Copie de fragments des registres de l’État Civil des Protestants détruits par l’incendie du Palais de Justice de Paris, en 1871, d’après la transcription faite par le comte Jules Delaborde, transmise à la Société de l’Histoire du Protestantisme Français et publiée dans le Bulletin historique et littéraire, Volume 21, Agence centrale de la Société, 1872, p. 225 (voir en ligne).
    20. Marie-Claire Roux, En arrière toutes ! Des villes de banlieue dans la Grande Guerre, Athis-Mons, Maison de Banlieue et de l’Architecture, , 96 p. (ISBN 978-2-9538890-8-6), p. 35.
    21. « Ablon-sur-Seine : Découvrez les résultats des élections Européennes 2019 », sur LCI (consulté le ).
    22. Ministère de l'Intérieur - Val-de-Marne (Ile-de-France), « Résultats de l'élection présidentielle de 2012 à Ablon-sur-Seine » (consulté le ).
    23. Ministère de l'Intérieur - Val-de-Marne (Île-de-France), « Résultats de l'élection présidentielle de 2017 à Ablon-sur-Seine » (consulté le ).
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. Blanche de Castille séjournait fréquemment au château de Corbeil, situé à environ 17 kilomètres au sud d'Ablon, après avoir reçu le comté de Corbeil en douaire à l’occasion de son veuvage, survenu en 1226
    29. Jean Lebeuf: Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris, Prault père, Paris (lire en ligne)
    30. … les roynes vefves de France ne portent que le deuil blanc ; a cause de ce sont appellées [sic] les 'roynes blanches'. Cf. Jean de Gaufreteau (1572-1639) : Chronique Bordeloise, achevée en 1636, préfacée et réeditée par Jules Delpit, 1877-1878, tome 1, p. 279 (lire en ligne sur le site gallica.bnf.fr)
    31. Jean de La Barre : Les antiquitez de la ville, comté et chatelenie de Corbeil, N. et J. de La Coste, 1647, p. 210 (lire en ligne)
    32. Georges Poisson: Le Val-de-Marne: art et histoire, Éditions de Minuit, 1968, pp. 46ff.
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