Warluis

Warluis (prononcé [vaʁ.lɥi]) est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Warluis

Mairie de Warluis.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CA du Beauvaisis
Maire
Mandat
Dominique Moret
2020-2026
Code postal 60430
Code commune 60700
Démographie
Gentilé Warluisiens, Warluisiennes
Population
municipale
1 173 hab. (2018 )
Densité 103 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 23′ 20″ nord, 2° 08′ 30″ est
Altitude Min. 51 m
Max. 149 m
Superficie 11,44 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Beauvais-2
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Warluis
Géolocalisation sur la carte : Oise
Warluis
Géolocalisation sur la carte : France
Warluis
Géolocalisation sur la carte : France
Warluis
Liens
Site web http://www.warluis.fr/

    Ses habitants sont appelés les Warluisiens.

    Géographie

    Localisation

    Village péri-urbain du Beauvaisis situé dans la vallée du Thérain, situé au sud-est de Beauvais et dans l'Aire urbaine de Beauvais, sur l'axe Beauvais-Paris constitué par l'ancienne route nationale N1.

    Hameaux et écarts

    La commune a plusieurs hameaux : Bruneval, l'Épine et Merlemont[1].

    Hydrographie

    La commune est traversée par le Thérain, dans lequel se jette le Fossé d'Orgueil.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 644 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[10] à 10,6 °C pour 1981-2010[11], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Warluis est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[13],[14],[15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (60,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (31,2 %), forêts (30,4 %), prairies (23,2 %), zones urbanisées (5,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,7 %), mines, décharges et chantiers (3,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,2 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[19].

    Toponymie

    La localité est dénommée Wadre locus au VIIIe siècle, puis Vuarlosius en 1026 et Wuarlosius en 1057[20],[21].

    Son nom peut provenir du néerlandais water « eau » et du germanique lōh « bois »[20],[21]. Plus vraisemblable que le nom d'homme germanique Watheri combiné à lōh[20].

    Un nom germanique Warno combiné au bas latin luteum « boue, marécage » a aussi été proposé, mais convient mal phonétiquement[21].

    La prononciation actuelle [vaʁlɥiː] a succédé à [waʁlɥiː] au cours du XXe siècle[21].

    Histoire

    La bonne conservation d’un ensemble de sites du premier millénaire du Mésolithique sur la commune de Warluis est sans équivalent dans la moitié Nord de la France et dans les régions voisines d’Europe.[réf. nécessaire]

    Les traces de deux villas gallo-romaines ont été découvertes : l'une entre la Croix Renard et le fossé d’Orgueil et l'autre face au château de Merlemont[22].

    En 1030, la justice seigneuriale et une partie de la seigneurie de Warluis sont données à l'abbaye Saint-Lucien de Beauvais[22].

    Le village dispose d'un instituteur dès 1679. Deux écoles existent en 1879 et une à Merlemont, avant leur regroupement dans une école unique qui se trouvait à l'emplacement de l'actuelle école primaire[22]. Il se dote dès 1800 d'une mairie, implantée à la fin du XIXe siècle dans une des classes de l'école, puis installée dans l'ancien presbytère[22].

    XIXe siècle

    Les conseils municipaux de Warluis et de Rochy-Condé ont décidé le la fusion de leurs collectivités le au sein d'une commune nouvelle qui aurait été dénommée le Val d'Orgueil[Note 6]. Cette fusion était destinée à préserver les ressources des deux villages dans un contexte de baisse des dotations de l’État. Une réunion publique tenue après le vote des élus voit une forte protestation, et, en , une pétition de 812 habitants des deux communes (qui comptent 2 206 habitants) demande le report de la fusion[23],[24],[25].

    Le préfet préconise alors l'organisation d'un référendum d’initiative locale[26],[27]. Celui-ci, organisé le , voit le rejet du projet par près de 90 % des votants des deux communes et une participation de 62 % à Rochy-Condé et 57 % à Warluis[28], amenant le préfet à refuser d'agréer le projet de fusion[29].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Noailles[30]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton de Beauvais-2.

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté d'agglomération du Beauvaisis, créée sous le statut d'une communauté de communes en 2004.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[31]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
        André Bonal[32],[33] RPF puis
    RS puis
    DVD puis
    UDR puis RPR
    Ingénieur agronome
    Conseiller général de Noailles (1949 → 1979)
    Les données manquantes sont à compléter.
    1989 1998 Jeannine Moret    
    1998[34] avril 2014[35] Anne-Marie Dumoulin    
    avril 2014[36] mai 2020[37] Christophe de Ponton d’Amécourt SE  
    mai 2020[38] En cours
    (au 27 mai 2020)
    Mme Dominique Moret    

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].

    En 2018, la commune comptait 1 173 habitants[Note 7], en augmentation de 1,91 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    500402504513561596597623661
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    641688661669670713717663602
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    589551571581537515502615669
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    6616541 0041 1561 1291 1661 1551 1211 168
    2018 - - - - - - - -
    1 173--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune était relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (22,2 %) était en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune était égale à la population féminine.

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge était, en 2007, la suivante :

    • 50 % d’hommes (0 à 14 ans = 18,5 %, 15 à 29 ans = 15,4 %, 30 à 44 ans = 21,3 %, 45 à 59 ans = 23,1 %, plus de 60 ans = 21,7 %) ;
    • 50 % de femmes (0 à 14 ans = 17,8 %, 15 à 29 ans = 12,5 %, 30 à 44 ans = 23,2 %, 45 à 59 ans = 23,7 %, plus de 60 ans = 22,9 %).
    Pyramide des âges à Warluis en 2007 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,2 
    5,4 
    75 à 89 ans
    6,1 
    16,3 
    60 à 74 ans
    16,6 
    23,1 
    45 à 59 ans
    23,7 
    21,3 
    30 à 44 ans
    23,2 
    15,4 
    15 à 29 ans
    12,5 
    18,5 
    0 à 14 ans
    17,8 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[43]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Enseignement

    L'école maternelle a été reconstruite en 1995[22].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Warluis compte quatre monuments historiques sur son territoire :

    Elle réunit une nef unique du XIe siècle, simple salle rectangulaire, à un élégant clocher roman du premier tiers du XIIe siècle, situé au sud de la dernière travée de la nef, et un transept et une abside du début du XVIIe siècle. Ces parties orientales constituent un modeste ensemble d'un pur style gothique flamboyant, en décalage total avec la architecture de la Renaissance tardive qui règne à la période de construction.
    En 1866, la nef fut prolongée d'une travée vers l'ouest, et l'édifice se développe ainsi tout en longueur. Il possède une série de vitraux intéressants du XIXe siècle, et également une verrière du début du XVIe siècle classée monument historique[45],[46], ainsi qu'un fauteuil en bois sculpté de style Louis XV[47]
    • Chapelle Saint-Séverin de Merlemont, d'époque pré-romane, situé à l'écart des habitations du hameau de Merlemont (classée monument historique en 1993[48])[49],[1]. Elle contient des fonts baptismaux en pierre taillée et polie du XIe siècle[50], deux retables du début du XVIe siècle[51],[52], une poutre de gloire en bois taillé et peint du XVIe siècle[53] et un maître-autel du XIXe siècle[54]
    • Château de Merlemont, près du hameau du même nom (pignon nord avec ses deux tourelles en encorbellement, tourelle sud-ouest et salle voutée en sous-sol inscrits monument historique en 1979[55])
    • Domaine du château de L'Épine, près du hameau du même nom (façades et toitures du château, escalier Louis XV avec sa rampe en ferronnerie, tour et tourelle, façades et toitures de la remise et du logement du gardien, chapelle inscrits monument historique en 2012[56])

    On peut également noter :

    • Au cœur de Warluis se trouvent plusieurs portails de ferme en pierre, avec une porte piétonne et une grande porte cochère, notamment à l'entrée du château.
    • Le château de Warluis (propriété privée) est un ensemble hétérogène de constructions de diverses époques. La base du XVe siècle est encore visible. Les anciennes écuries ont été transformées en habitations.
    • Le musée de l'Aviation[57],[58].
    • L'abbaye de Saint-Arnoult, du XIIe siècle, dépendance de l'abbaye de Froidmont, fut un lieu de pèlerinage jusqu'en 1856. Depuis 1987, il abrite la pierre tombale du saint. Cette abbaye privée se visite encore actuellement[59].
    • Chemin de randonnée « des bois de Warluis », long de 11 km., dont le départ est devant le musée de l'aviation. Il passe à Bruneval et Rochy-Condé, au hameau de Merlemont (château du XVIe siècle et église Saint-Séverin), ermitage de Saint-Arnoult du XIIe siècle[60]...

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    Écartelé : au 1er d'azur à la fleur de lys d'or soutenue de l'inscription « PAX » en lettres capitales de sable, au 2e de sable à trois fasces d'argent chargées chacune de trois merlettes de sable, au 3e de gueules à trois ombres de fleurs de lys de sable, au 4e d'argent à la croisette pattée de gueules accompagnée de trois maillets de sinople.
    Détails
    Adopté par la municipalité.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • M. le comte d'Elbée, « Notice archéologique sur Merlemont : Warluis, L'Épine et Saint-Arnoult », Mémoires de la Société académique d'archéologie, sciences et arts du département de l'Oise, Beauvais, Imprimerie départementale de l’Oise, vol. 17, , p. 657-757 (ISSN 1280-5343, lire en ligne)
    • M. le comte d'Elbée, « Notice archéologique sur L'Épine », Mémoires de la Société académique d'archéologie, sciences et arts du département de l'Oise, Beauvais, Imprimerie départementale de l’Oise, vol. 18, , p. 158-248 (ISSN 1280-5343, lire en ligne)
    • M. le comte d'Elbée, « Notice archéologique sur Warluis », Mémoires de la Société académique d'archéologie, sciences et arts du département de l'Oise, Beauvais, Imprimerie départementale de l’Oise, vol. 18, , p. 249-354 (ISSN 1280-5343, lire en ligne)
    • M. le comte d'Elbée, « Notice archéologique sur Saint-Arnoult ou Parfondeval », Mémoires de la Société académique d'archéologie, sciences et arts du département de l'Oise, Beauvais, Imprimerie départementale de l’Oise, vol. 18, , p. 355-369 (ISSN 1280-5343, lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. La dénomination du Val d'Orgueil évoque le nom du nom du ruisseau qui traverse les deux communes.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Présentation et Histoire de Warluis », Le territoire de l'agglomération, sur http://www.beauvaisis.fr (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station météofrance Beauvais-Tillé - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Warluis et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur insee.fr (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    19. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    20. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, , 738 p., p. 732.
    21. Maurice Lebègue, Les noms de communes du département de l'Oise, Amiens, Société de Linguistique picarde, , 234 p., p. 223.
    22. « Histoire », Histoire-patrimoine, sur http://www.warluis.fr (consulté le ).
    23. Kevin Helies, « Fusion de Warluis et de Rochy-Condé : Bienvenue à Val d'Orgeuil : Dans un souci de finances et de dotations, les deux communes ont décidé de fusionner afin de donner naissance à un nouvel ensemble : Val d’Orgueil », L'Observateur de Beauvais, no 1065, , p. 15.
    24. Patrick Caffin, « La fusion de Rochy-Condé et de Warluis provoque la colère des habitants : Lors d’une réunion publique, les habitants ont dénoncé la méthode et le nom, Val d’Orgueil, choisi pour baptiser la nouvelle commune issue de la fusion entre Warluis et Rochy-Condé », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    25. Patrick Caffin, « Warluis et Rochy-Condé : les habitants prêts à tout pour casser la fusion : Dans une pétition remise au préfet, 812 habitants des deux communes demandent le report de la fusion. Un recours au tribunal est envisagé en cas d’échec », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Interrogé, Christophe de Ponton d’Amécourt, maire (SE) de Warluis, souligne que les deux conseils municipaux ont voté la fusion. « Ils sont souverains, nous ne reviendrons pas en arrière, déclare-t-il. On me parle d’un report de deux ans ? Cette fusion nous fait gagner des moyens financiers ».
    26. Patrick Caffin, « Fusion de Rochy-Condé et Warluis : le préfet conseille un référendum : Face à l’hostilité d’une partie de la population des deux villages, la préfecture a demandé aux maires d’organiser un référendum d’initiative locale », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « J’ai reçu les deux maires et je leur ai conseillé d’organiser un référendum d’initiative locale, précise Dominique Lepidi, sous-préfet de Beauvais. Nous avons reçu une pétition qui regroupait plus de 800 signatures et une lettre de parlementaires (le député (LR) Olivier Dassault et le sénateur (LR) Olivier Paccaud, NDLR). L’opposition à cette fusion semble être une réalité. Le référendum pourra apporter une réponse, même s’il n’a aucune valeur juridique ».
    27. Patrick Caffin, « Fusion de Rochy-Condé et Warluis : les habitants votent dimanche : Une consultation citoyenne est organisée pour décider si le rapprochement entre les deux communes se fera ou non », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Si le « non » l’emporte dimanche, Christophe de Ponton d’Amécourt précise que « même si les conseils municipaux sont souverains, on verra avec la préfecture ».
    28. « Un NON franc et massif à la fusion de Rochy Condé et Warluis », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3525, , p. 16.
    29. Patrick Caffin, « Rochy-Condé - Warluis : le préfet dit non à la fusion : Le 19 novembre, les habitants de ces deux communes avaient voté contre ce projet. Ils ont été entendus par l’Etat », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Mais la décision finale revenait au représentant de l’État, qui a donc tranché. « Compte tenu des résultats du référendum d’initiative locale, la fusion n’était pas possible », déclare Dominique Lepidi, sous-préfet de Beauvais.Pour Christophe de Ponton d’Amécourt, maire (SE) de Warluis, c’est incontestablement un désaveu. Jusqu’au bout, il a cru à ce mariage. Interrogé ce mardi, il ne cachait pas sa déception ».
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. « Les maires de Warluis », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    32. T. H., « Diamant pour Noëlle et André Bonal », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Plusieurs fois maire de Warluis, André Bonal a été une figure politique du département en étant pendant trente années le conseiller général du canton de Noailles. A l´âge de 70 ans, il décide de se retirer et appuie la campagne d´un tout jeune élu, conseiller municipal de Beauvais, Jean-François Mancel, dont il sera le suppléant quelques années plus tard lorsque son successeur est élu député. André Bonal est également l´initiateur de la création de la Maison familiale de Saint-Sulpice et du premier syndicat des eaux de l´Oise ».
    33. « André Bonal n'est plus », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    34. « Municipales 2014 - Noailles et alentours », L'Observateur de Beauvais, , p. 24 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
    35. « Le maire brigue un 5e mandat à Warluis », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    36. F. C., « Un nouveau comité des fêtes à Warluis », L'Observateur de Beauvais, no 850, , p. 23 « Constituer un comité des fêtes ou tout du moins recréer des animations et du lien entre les habitants, « donner envie de Warluis » , c’était une promesse de campagne de la liste du maire nouvellement élu Christophe D’Amécourt. Il faut dire que dans la commune, beaucoup sont nostalgiques d’une époque où Warluis savait attirer du monde grâce à ses manifestations ».
    37. « Son regret : la fusion ratée avec Rochy : Lors des vœux, Christophe de Ponton d'Amecourt a annoncé qu'il ne se représentait pas. Il est revenu sur les erreurs de communication qui ont conduit à l'échec de la fusion », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3588, 5/2/1/2020, p. 14.
    38. « À Warluis et Rochy-Condé, deux maires anti-fusion : Les candidats qui étaient opposés à la fusion des communes de Rochy-Condé et Warluis ont été élus lors du premier tour des municipales. Ils viennent de prendre leurs fonctions », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Dominique Moret, dans son premier discours de maire, a tenu à remercier Christophe de Ponton d'Amécourt pour avoir assuré une passation dans de très bonnes conditions ».
    39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    42. « Évolution et structure de la population à Warluis en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    43. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le ).
    44. « Église Saint-Lucien », notice no PA00114974, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. Dominique Vermand, Églises de l'Oise : Canton de Noailles, Pays de Bray, Pays de Thelle et Vallée de Thérain, Beauvais, Conseil général de l'Oise, avec le concours de l’Office de tourisme du pôle Vexin-Sablons-Thelle, s.d., 32 p., p. 27-28.
    46. « verrière figurée (baie 0) : Saint Jean Baptiste, Christ en croix entouré de saints », notice no PM60001745, base Palissy, ministère français de la Culture.
    47. « Fauteuil de style Louis XV », notice no PM60001746, base Palissy, ministère français de la Culture.
    48. « Chapelle Saint-Séverin », notice no PA00114999, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    49. Vermand s.d., op. cit., p. 29-30.
    50. « fonts baptismaux (cuve baptismale à infusion) », notice no PM60001747, base Palissy, ministère français de la Culture.
    51. « retable n°1 (éléments) : Saint Jean-Baptiste, saint Pierre et saint Paul », notice no PM60005012, base Palissy, ministère français de la Culture.
    52. « retable n°2 (éléments) : Sainte Trinité et deux anges », notice no PM60005013, base Palissy, ministère français de la Culture.
    53. « Poutre de gloire (éléments) : Christ en croix, la Vierge et saint Jean », notice no PM60005011, base Palissy, ministère français de la Culture.
    54. « Autel (maître-autel) et retable », notice no PM60005163, base Palissy, ministère français de la Culture.
    55. « Château de Merlemont », notice no PA00114973, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    56. « Domaine du château de L'Épine », notice no PA60000083, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    57. Pascal Corpart et Fred Haslin (Phot.), « Une heure à Warluis avec les avions : Exclusivement consacré à la dimension aérienne de la Seconde Guerre mondiale, le musée de Warluis vous permettra, en une heure de visite, de mieux comprendre la part déterminante qu'ont prise les armées de l'air dans ce terrible conflit », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    58. « Warluis : deux jours d’animations au musée de l’aviation », L'Observateur de Beauvais , no 1047, , p. 20.
    59. Vermand s.d., op. cit., p. 30-31.
    60. « A travers les bois de Warluis », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    61. V.G., « Arnaud Démare s’est marié dimanche à Warluis : Le coureur cycliste professionnel est originaire de l’Oise », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    • Portail de l’Oise
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.