Bailleul-sur-Thérain

Bailleul-sur-Thérain est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Bailleul.

Pour les articles homonymes, voir Thérain (homonymie).

Bailleul-sur-Thérain

Place Maurice-Segonds.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CA du Beauvaisis
Maire
Mandat
Béatrice Lejeune
2020-2026
Code postal 60930
Code commune 60041
Démographie
Gentilé Bailleulois, Bailleuloises
Population
municipale
2 247 hab. (2018 )
Densité 237 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 23′ 10″ nord, 2° 13′ 22″ est
Altitude Min. 46 m
Max. 138 m
Superficie 9,5 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bailleul-sur-Thérain
(ville isolée)
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mouy
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Bailleul-sur-Thérain
Géolocalisation sur la carte : Oise
Bailleul-sur-Thérain
Géolocalisation sur la carte : France
Bailleul-sur-Thérain
Géolocalisation sur la carte : France
Bailleul-sur-Thérain

    Géographie

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Bailleul-sur-Thérain
    Rochy-Condé Bresles
    Warluis
    Montreuil-sur-Thérain Villers-Saint-Sépulcre Hermès

    Hameaux et écarts

    Froidmont, situé au pied du Mont César où fut érigée l'abbaye de Froidmont, est un hameau de Bailleul-sur-Thérain.

    Hydrographie

    Le Thérain, affluent de l'Oise traverse le village au sud-ouest.

    Le Thérain à Bailleul.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 661 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[9] à 10,6 °C pour 1981-2010[10], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Bailleul-sur-Thérain est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bailleul-sur-Thérain, une unité urbaine monocommunale[15] de 2 175 habitants en 2017, constituant une ville isolée[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (53,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (37,4 %), forêts (14 %), eaux continentales[Note 6] (11,2 %), zones agricoles hétérogènes (9,6 %), zones urbanisées (9,4 %), prairies (5,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,4 %), mines, décharges et chantiers (3,7 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Histoire

    La commune disposait, de 1886 à 1939, d'une halte sur la ligne de Rochy-Condé à Soissons .

    Politique et administration

    Mairie de Bailleul-sur-Thérain.

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Nivillers [22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Mouy

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes Rurales du Beauvaisis (CCRB), créée le .

    La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , prévoyant que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[23], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités, et en particulier de la communauté d’agglomération du Beauvaisis et de la communauté de communes rurales du Beauvaisis, de manière à créer un nouvel EPCI rassemblant quarante-quatre communes pour 93 341 habitants[24]. Malgré les réticences du président de la CCRB[25], le schéma est entériné[26],[27].

    La fusion prend effet le , et la commune est désormais membre de la communauté d’agglomération du Beauvaisis (CAB).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    ca. 1962   Eugène Fournier    
    mars 1989 avril 2004[28] Yves Rome PS Professeur de collège
    Député de l'Oise (1re circ.) (1997 → 2002)
    Conseiller général du canton de Nivillers (1988 → 2015)
    Président du conseil général de l'Oise (2004 → 2015)
    Président de la CC rurales du Beauvaisis (2001 → 2014)
    Démissionnaire à la suite de son élection de président du Conseil général
    mars 2004[29] 2014 Gratien Carrère PS Retraité de l'enseignement
    2014[30] En cours
    (au 10 juillet 2020)
    Béatrice Lejeune[31],[32] PS Enseignante, cadre territoriale
    Conseillère régionale de Picardie (2004 → 2015)
    Vice-présidente du conseil régional de Picardie (2004 → 2015)
    Vice-présidente de la CA du Beauvaisis (2017 → )
    Réélue pour le mandat 2020-2026[33]

    Politique de développement durable

    La commune compte de nombreux aménagements paysagers, dont 150 tilleuls, arbres typiques des villages de Picardie, et a adopté dès 2005 une charte « Zéro phyto »[31].

    Les enfants des écoles bénéficient depuis la fin des années 2000 d’une alimentation bio à la cantine et de produits de saison, issus de circuits courts[31].

    écoquartier

    La commune est à l'initiative de la création en 2016 d'un écoquartier, baptisé « l'Entre-deux-Monts » sur une ancienne friche industrielle de cinq hectares où était exploitée une carrière, comprenant un foyer d'accueil spécialisé pour les autistes adultes, et dont la première tranche est constituée de vingt-neuf maisons, sur un total programmé de 143 logements[34].

    Distinctions et labels

    Trois fleurs attribuée en 2007 par le Conseil des Villes et Villages Fleuris de France au Concours des villes et villages fleuris[35], puis quatre fleurs en 2012[31].

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].

    En 2018, la commune comptait 2 247 habitants[Note 7], en augmentation de 8,81 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    737730791707721710687665668
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    659680694709713695641732663
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    717670725654680688642676745
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    9271 1501 2121 5231 5671 7531 9912 0782 055
    2018 - - - - - - - -
    2 247--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (17,1 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,4 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 49,6 % d’hommes (0 à 14 ans = 22,4 %, 15 à 29 ans = 19,6 %, 30 à 44 ans = 21,4 %, 45 à 59 ans = 20,8 %, plus de 60 ans = 15,8 %) ;
    • 50,4 % de femmes (0 à 14 ans = 21,8 %, 15 à 29 ans = 16,9 %, 30 à 44 ans = 22,5 %, 45 à 59 ans = 20,4 %, plus de 60 ans = 18,4 %).
    Pyramide des âges à Bailleul-sur-Thérain en 2007 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,4 
    3,8 
    75 à 89 ans
    7,4 
    12,0 
    60 à 74 ans
    10,6 
    20,8 
    45 à 59 ans
    20,4 
    21,4 
    30 à 44 ans
    22,5 
    19,6 
    15 à 29 ans
    16,9 
    22,4 
    0 à 14 ans
    21,8 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Petite enfance

    La commune s'est dotée en 2016 d'une double structure d'accueil des petits enfants[41] :

    • les nourrissons dans une crèche de vingt berceaux ;
    • les enfants de dix-huit mois à trois ans dans un « jardin passerelle », ayant une capacité de dix places et organisé en lien avec l'école maternelle ;

    Ces deux structures sont aménagées à côté de la bibliothèque et de l'école[42].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Bailleul-sur-Thérain compte deux monuments historiques sur son territoire :

    Oppidum

    L'oppidum de Bailleul-sur-Thérain est un site gaulois puis gallo-romain, oppidum gaulois et camp de César (inscrit monument historique par arrêté du 22 octobre 1979[43]) : Le camp de César[44] a peut-être été le chef-lieu des Bellovaques, avant son transfert à Caesaromagus (Beauvais).

    Le site fut étudié au XVIIIe siècle et fouillé au XIXe. Il connut une période d'occupation très longue, de l'Age du bronze final jusqu'à la période mérovingienne. sa superficie est de 35 ha. Un seul sondage a été effectué en 1974[45].

    Château

    château de Bailleul-sur-Thérain (façades et toitures du bâtiment principal à l'exclusion de la poterne d'entrée avec ses deux tours, façades et toitures des communs, grille d'entrée inscrites monument historique par arrêté du 19 avril 1961[46]) : Le château est cité dès le XIIIe siècle. Remanié aux siècles suivants, il abrite pendant un temps le petit séminaire africain de la mère Anne-Marie Javouhey.

    Autres monuments et lieux

    On peut également aussi noter :

    L'église de Bailleul-sur-Thérain.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Bailleul-sur-Thérain », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station météofrance Beauvais-Tillé - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Bailleul-sur-Thérain et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Unité urbaine 2020 de Bailleul-sur-Thérain », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    16. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur insee.fr (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, Légifrance.
    24. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
    25. « Communauté de communes rurales du Beauvaisis : vers un mariage forcé ? : Le préfet et la commission départementale ont choisi de rattacher la CCRB à la Communauté d’Agglomération du Beauvaisis », L'Observateur de Beauvais, no 926, , p. 14 « A priori, le préfet et la commission départementale ont choisi de la rattacher à la Communauté d’Agglomération du Beauvaisis. Ce qui n’est pas forcément du goût de Jean-François Dufour, son président (PS), furieux de perdre son indépendance pour si peu. Peu pressé, semble-til, d’effectuer ce mariage forcé, il a cependant pris quelques contacts, notamment avec la communauté voisine du Clermontois, à la surprise de quelques élus de la CCRB qui pensent que le bassin de vie breslois se tourne plus naturellement vers le Beauvaisis. «J’ai eu la surprise d’apprendre que le Clermontois réfléchissait à un rapprochement avec… la Communauté d’Agglomération du Beauvaisis» a-t-il déclaré ».
    26. D. L., « Oise : six collectivités fusionnent », Le Parisien, (lire en ligne).
    27. Patrick Caffin, « Beauvaisis : une fusion qui manque de dynamisme mais qui se prépare », Le Parisien, (lire en ligne) « C’est dommage que le préfet n’ait pas été plus dynamique pour mettre la pression afin que davantage de communes fusionnent. Il y en a 8 autour de Crèvecœur-le-Grand qui sont candidates pour nous rejoindre. Nous estimons que pour exister et résister en termes de projets dans la nouvelle grande région, il faut atteindre au minimum 100 000 habitants. Avec ces communes, nous les aurions. Avec la CCRB, nous y sommes presque (NDLR : 93 000 habitants). » Mais ce ne sera que partie remise puisqu’après 2017, les communes pourront faire acte de candidature pour rallier l’entité qu’elles souhaiteront ».
    28. F.H., « Qui va succéder à Yves Rome à la mairie », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
    29. « Gratien Carrère succède à Yves Rome », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
    30. « Béatrice Lejeune a été élue maire. Son prédécesseur Gratien Carrère reste conseiller municipal », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3284, , p. 19 (ISSN 1144-5092).
    31. « Béatrice Lejeune, maire de Bailleul-sur-Thérain (Oise, 2 300 habitants) », Actualités, sur http://www.villes-et-villages-fleuris.com, (consulté le ) « Engagée très jeune dans le service public et la politique, elle devient conseillère municipale de Bailleul-sur-Thérain en 1995, puis adjointe au Maire en 2001. Elle poursuit en parallèle sa carrière d’attachée de la fonction publique en tant que Directrice de Cabinet dans la communauté d’agglomération et Vice-Présidente de la région Picardie. C’est là qu’elle découvre le label des Villes et Villages Fleuris et sa démarche qu’elle poursuit en tant que maire de Bailleul-sur-Thérain depuis 2014 ».
    32. Diane Semerdjian, « Béatrice Lejeune, maire de Bailleul-sur -Thérain: “Notre rôle est d’ apaiser et d’atténuer les coups que nos concitoyens ne cessent de prendre en milieu rural” », sur https://medium.com, (consulté le ).
    33. Patricia Haute-Pottier, « Bailleul-sur-Thérain. Béatrice Lejeune réélue maire », Le Bonhomme picard, (lire en ligne, consulté le ).
    34. « Bailleul-sur-Thérain : le premier écoquartier labellisé en zone rurale », Le Parisien, (lire en ligne).
    35. « Le palmarès des villes et villages fleuris », Le Courrier picard édition de l'Oise, .
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    39. « Évolution et structure de la population à Bailleul-sur-Thérain en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    40. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), sur le site de l'Insee (consulté le ).
    41. « Portes ouvertes au jardin passerelle et à la crèche de Bailleul-sur-Thérain », Le Parisien, (lire en ligne).
    42. Patrick Caffin, « Bailleul-sur-Thérain innove encore, cette fois pour l’accueil des enfants », Le Parisien, (lire en ligne) « La grande fierté de la municipalité reste l’ouverture du jardin passerelle. « C’est un projet qui nous tenait à cœur, confirme Béatrice Lejeune. Les enfants multiplieront les contacts avec les élèves de la petite section de maternelle. Nous avons passé une convention avec l’Éducation nationale pour avoir cinq temps communs et travailler sur la motricité, la lecture et la musique. L’espace jeux sera le même et ils feront les activités natures (poulailler, jardinage) ensemble ».
    43. « Oppidum gaulois et camp de César », notice no PA00114493, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    44. L'expression camp de César désigne généralement un établissement de l'âge du fer final (période gauloise), voire médiéval.
    45. http://oppida.org/page.php?lg=fr&rub=00&id_oppidum=27
    46. « Château », notice no PA00114492, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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